n° 20051 | Fiche technique | 9788 caractères | 9788Temps de lecture estimé : 6 mn | 08/02/21 |
Résumé: Anya fait du théâtre à l'université. Son professeur lui semble assez sexy pour commencer un jeu de séduction | ||||
Critères: fh jeunes profélève école toilettes hsoumis fdomine voir exhib fmast hmast fellation -occasion | ||||
Auteur : Rrrobin (Marrié, 45 ans, cerebral, j'aime écrire et lire.) |
Je suis un metteur en scène professionnel.
Je m’appelle Robin.
Je travaille avec tout type de public, des adultes, des enfants, des personnes en situation de handicap et des étudiants à l’université.
Les étudiantes…
Certaines années, j’ai cru lire dans les yeux de Coline ou de Magali, que j’avais peut-être quarante-cinq ans, mais que ce n’était pas un problème pour elle.
Je ne suis pas grand 1,72 m, 78 kg, et je sais que mes yeux verts et mes cheveux poivre et sel sont des atouts. Et puis le théâtre est un outil de séduction du public, non ?
Bref, je suis de ce côté-là plutôt serein.
Mais parmi les centaines d’étudiantes croisées évidemment certaines étaient bien à mon goût aussi.
Mais je n’ai jamais rien fait pour que ces pensées s’incarnent en des après-midi de baise, dans une chambre universitaire ou dans les coulisses du théâtre.
Je restais professionnel. Et puis je suis marié. Fidèle par le corps. La pensée…
Pourtant il m’arrivait d’imaginer qu’une de ces petites nanas soit un peu plus audacieuse et fasse le premier pas.
Ça n’arriva jamais… Et puis.
Cette année, parmi la quarantaine d’étudiants qui suivent mes cours, il y a Anya.
Elle est un peu ronde (je préfère les filles généreuses aux maigrichonnes), les yeux bleus, des lunettes (quoi de plus sexy ?) et des yeux où dès le premier regard, j’ai pu lire de l’attirance. Réciproque ?
Mercredi soir après le cours.
C’est la rentrée, je respecte les formalités administratives
D’habitude je souris avec indulgence, et lance une réplique du style, vous êtes prête pour votre premier stand-up, mademoiselle, mais cette fois-ci, j’ai été sans réponse, pire quand ses yeux ont appuyé sa demande avec son regard, j’ai rougi. Devant cette gamine de vingt-cinq ans de moins, j’ai baissé les yeux qui se sont retrouvés posés sur son décolleté. Ce qui n’a pas arrangé les choses. Je restais bloqué, le regard sur ses seins. (Reprends-toi, mon pote).
Elle me regarda avec intérêt, et dit :
Cette petite Anya était trop directe pour moi. D’excité j’étais devenu agacé.
Je mentais : évidemment que j’étais intéressé, je la détaillais l’air de rien.
Des cuisses fermes et rondes, j’imaginais sa petite chatte rose et serrée, des seins libres et ronds à lécher, pincer, sucer. Voilà ce qui se passait dans ma tête.
Elle se baissa un peu plus pour inscrire son numéro sur le formulaire posé sur la table devant moi. Ses tétons étaient rosés, elle n’avait pas de soutien-gorge, à l’évidence.
Quel spectacle même pour un habitué du festival d’Avignon.
J’étais… excité, avec un début de barreau, sans avoir jamais de ma vie ouvert le Code pénal.
Elle se releva et posa le stylo sur la table.
Je lui souris, cette Anya avait des « couilles » et moi ?
************
Samedi matin, bibliothèque universitaire.
Absorbé par la lecture d’Anton Chekov, le père de la méthode Stanislavsky, les bases du jeu d’acteur. Je l’ai lu une bonne centaine de fois et toujours j’y reviens. Y découvrir de nouvelles idées, repenser des idées anciennes, bref j’étais en plein taff. Les allées sont désertes, le samedi il y a pas foule au département art et spectacle. Les étudiants doivent cuver les shooters envoyés la veille dans les bars de la vieille ville.
Non, pas un chat
Soudain, je sens une présence et quelqu’un qui lit au-dessus de mon épaule.
Anya ! Mon corps se redresse et je la regarde. Putain, ces décolletés, ça devrait être interdit ou obligatoire voire les deux à la fois. Et toujours ses tétons. Petite allumeuse que tu es, Anya.
Ni bonjour, ni « comment allez-vous ». Cette petite salope était du genre direct. « No time to lose »
Et toujours ses seins, je voulais toujours les presser, les lécher, pincer ses tétons. Putain, je bande.
Anya approche sa bouche près de mon cou et chuchote à mon oreille.
Et sans se presser Anya se lève et mes yeux se posent sur son gros cul.
Qu’est-ce que je pouvais faire d’autre que de la suivre.
Je te suis, Anya
************
Ma pression artérielle qui grimpe, les battements du cœur aux tempes, et le sentiment que l’air est chargé de sexe, d’une densité rare d’hormones à conjuguer au présent, violemment.
Je fixe le gros cul d’Anya, je me suis branlé hier soir. (Heureusement la situation présente aurait pu me faire partir avant l’heure)
Delphine, ma femme, était devant Nflix, moi sur P. Hub, j’ai tapé « étudiantes rondes solo », et j’ai éjaculé devant une Anya de substitution, des yeux bleus, une chatte rose et étroite, qui se doigtait aussi le cul. Es-tu aussi rose, Anya ?
Mon chibre est dur et il tend le devant de mon pantalon comme une manche à air indique la direction du vent.
Le cul d’Anya, la vraie, disparaît derrière la porte des toilettes pour hommes qui se referme lentement.
Quand je l’ouvre à mon tour, il n’y a personne. Anya a disparu. Ai-je rêvé ?
Je colle l’oreille à la porte et je comprends que la petite salope est déjà en train de se doigter.
Je regarde autour de moi avant de sortir mon chibre et de frapper à la porte avec.
Elle m’ouvre, ferme derrière nous. Et prend le temps de le montrer sa chatte.
Elle s’enfonce un doigt et le ressort pour me le faire goûter.
Je savais pas si elle bluffait ou pas, mais jamais je n’avais testé une gorge profonde.
Anya était à genoux devant moi, les seins toujours prisonniers de son top décolleté.
Elle commença par me bouffer les couilles, j’étais en sueur. Je commençai à me branler.
Elle abandonne mes couilles et se dirige vers mon cul. Personne ne m’avait jamais bouffé le cul. Putain, quelle sensation étrange !
Je me suis vu une fraction de seconde, moi, responsable du cursus d’Art dramatique à l’université, pantalon aux chevilles en train de me faire lécher le cul par une petite nympho aux chiottes et je me suis dit : La vie est belle !
Et puis Anya a dit :
Je vous jure que, oui, et c’était délicieux.
Anya ouvrit sa bouche et prit les quinze jolis centimètres de mon chibre tout entier jusqu’aux couilles.
Anya continuait à me doigter le cul en me suçant. De temps en temps, elle me faisait goûter le jus de sa chatte qu’elle recueillait avec ses doigts.
Au bout de cinq minutes de ce traitement de faveur, je n’en pouvais plus.
Elle sortit ma queue de sa bouche, lécha son doigt qui sortait de mon cul pour la dernière fois.
Mon foutre sortit en trois grands jets sur ses lunettes, entre ses seins, et sur le mur des chiottes.
J’étais cotonneux.
Anya lécha ses lunettes et se caressa les seins pour y faire pénétrer mon sperme (nouvelle formule de crème hydratante ? Elle va être hors de prix.)
Elle me regarda avec ses yeux bleus
Rrrobin