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n° 20052Fiche technique12079 caractères12079
Temps de lecture estimé : 8 mn
09/02/21
Résumé:  Un pote d'armée, son ex et moi.
Critères:  fhh jeunes voir hmast caresses intermast fellation cunnilingu pénétratio init -occasion
Auteur : Kilik      Envoi mini-message
Ma première fois avec M & M




Août 1996


Cet été, j’avais dix-huit ans et demi. J’effectuais mon service militaire au sein des troupes sanitaires dans la caserne de Moudon. Il s’agissait d’une ancienne prison aménagée en caserne militaire. J’avais fait la connaissance de Mathieu, un Fribourgeois d’origine italienne qui avait deux mois de plus que moi. C’était un beau brun ténébreux avec un petit bouc et il avait la même taille que moi. Nous avions rapidement sympathisé, si bien que nous étions devenus un peu comme cul et chemise pendant la semaine, sous les drapeaux. Le week-end, il nous arrivait de sortir le samedi soir pour aller boire des verres.


Ce soir-là, nous avions décidé d’aller nous faire une toile, puis un petit tour en boîte après le film. Je me rendis chez lui en début de soirée, car nous devions encore choisir un film. Ce fut une jolie blonde aux yeux bleus qui m’ouvrit. Elle avait des cheveux courts et portait un petit débardeur blanc et une courte jupe noire en cuir. J’ai tout de suite flashé sur cette nana. Nous nous fîmes la bise, puis Mathieu nous présenta l’un à l’autre. Elle s’appelait Mélanie, c’était son ex, sa première copine même. Leur histoire était finie, mais ils étaient restés bons amis. Comme nous avions encore du temps devant nous, Mathieu me proposa de prendre un verre.


Nous discutâmes tranquillement dans le salon. Aucun film au programme n’attirait vraiment notre attention. J’étais confortablement installé dans un fauteuil, tandis que Mathieu et Mélanie étaient assis en face de moi sur le canapé. Elle était très sympa, vive d’esprit, pleine d’humour et tellement mignonne dans son ensemble. Je commençais vraiment à tomber amoureux d’elle.


Tout allait bien, jusqu’au moment où je m’aperçus qu’elle n’avait pas mis de culotte… J’avalai alors lentement ma salive, puis je sentis mes joues chauffer et rougir. Je me dis que j’avais dû mal voir, mais j’eus la confirmation lorsqu’elle décroisa ses jambes. J’entrevis alors des poils clairs sous sa jupe décidément trop courte.


Je n’avais jamais vraiment eu de petites amies, seulement quelques petites amourettes d’adolescence avec de chastes bisous. Cette situation bien que très excitante me troublait quelque peu.


Mélanie se alors tourna vers Mathieu et lui murmura quelque chose l’oreille. Ils me regardèrent en souriant. Elle commença à caresser lentement l’entrejambe de son ami tout en me fixant dans les yeux. De son côté, Mathieu mit sa main droite sur la cuisse gauche de la jeune femme, puis fit doucement remonter la jupe découvrant ainsi une petite toison blonde bien entretenue, puis il caressa doucement la vulve de son amie. Les lèvres de la jeune femme étaient à présent bien exposées. Des reflets de la lampe faisaient briller les doigts de Mathieu signifiant que le sexe de son ex ruisselait abondamment…


Mais ils me font quoi ? me dis-je en me mordillant les lèvres.


À ce spectacle, une douce sensation de chaleur envahit tout mon corps tandis que je commençais à me sentir vraiment trop serré dans mon jean. La suite n’allait pas arranger les choses.


Au bout de deux ou trois minutes, Mathieu ouvrit sa braguette, baissa, puis enleva son pantalon. Il n’avait pas mis de sous-vêtement, lui non plus. Décidément… Mélanie s’approcha alors du pénis circoncis de mon pote et commença à lui prodiguer une douce et langoureuse fellation.


J’avais déjà vu ce genre de scène dans des films, mais le fait de l’avoir devant mes yeux m’excitait encore plus. J’étais pourtant incapable de faire le moindre mouvement. J’étais à la fois excité, mais aussi gêné par ce spectacle. Après tout, ça ne faisait qu’un mois à peine que je connaissais Mathieu…



Mélanie se leva, puis s’essuya les lèvres pleines de salive du dos de sa main. Elle se mit alors à genoux devant moi, entre mes jambes, puis sortit mon sexe de mon pantalon. Ce fut pour moi comme une « libération », car il était à l’air libre. Elle commença par des petits coups de langue sur le long de mon pénis, puis des petites caresses du bout des lèvres. Du bout de la langue, elle lécha le liquide séminal qui s’écoulait abondamment de ma verge, puis mit tout le mon gland dans sa bouche, avant d’engloutir tout mon pénis jusqu’à la racine.


Comment fait-elle ? me dis-je dans un état second. Je ne devrais pas…


C’était chaud et humide, mais c’était tellement bon. Elle me masturbait de la main droite, tandis qu’elle intensifiait le mouvement de va-et-vient avec la tête. De temps autre, elle levait la tête pour regarder mes réactions et mes frissons. Ses sourires malicieux me faisaient littéralement fondre. J’en profitai pour lui enlever son petit débardeur sexy, puis elle enleva elle-même son soutien-gorge. Ses seins fermes et généreux rebondissaient sur sa poitrine à chacun de ses mouvements. Je lui caressais la tête et les joues de mes mains le sourire béat.


Mathieu qui observait la scène avec excitation se masturbait lentement. Puis, il se déshabilla complètement et se plaça derrière Mélanie. Il lui demanda de lever les fesses. Il posa ses mains sur les hanches et la pénétra en levrette. Plusieurs fois je sentis ses dents serrer doucement mon membre. J’imaginais alors le plaisir qu’elle devait ressentir, mais elle prenait bien soin de ne pas me faire mal.


Je sentais que je n’étais pas loin de l’orgasme, mais Mathieu se retira et alla se rasseoir sur le canapé. Mélanie s’interrompit et le suivit en me disant de me déshabiller entièrement. Elle s’assit à califourchon sur le jeune homme et commença à faire des mouvements de haut en bas tout en l’embrassant. Je ne manquais rien du spectacle pendant que je me déshabillais. Cette petite stimulation buccale avait fait tomber mes faibles réticences…


Mathieu caressait les fesses de sa belle, les pétrissait, les écartait me laissant ainsi voir un petit anus pigmenté, rasé de près. Que c’était excitant !


Je m’assis alors à côté d’eux, de sorte que Mélanie puisse me masturber. J’étais vraiment tout près de leur souffle, leur halètement et leurs gémissements. Je me mis à lui caresser les seins, doux et fermes à la fois. Je sentais bien ses tétons durcir. La jeune femme se pencha soudainement vers moi et m’embrassa. L’idée de toucher cette langue toute chaude qui venait à peine de procurer deux fellations me donna un regain de vigueur. Je me mis à me masturber frénétiquement en pensant à ses autres « lèvres »…


Au bout de quelques minutes, ils se regardèrent et firent un geste en direction de la chambre à coucher. Elle se retira, puis elle se leva en me faisant signe de la suivre. Nous nous rendîmes dans une chambre à coucher avec un grand lit double. Mathieu alla se servir à boire.


Mélanie s’allongea dans le lit sur le dos. Elle écarta les jambes et me demanda d’approcher. Alors que je m’apprêtais à la pénétrer, elle secoua la tête et baissa la tête vers son entrejambe, vers son sexe. Je compris tout de suite ce qu’elle voulait…


C’était la première fois que je voyais une vulve de si près. Je pris quelques secondes pour prendre mes « marques » en me remémorant mes cours d’éducation sexuelle.


Voici les grandes et les petites lèvres, l’entrée du vagin et le petit bouton là, c’est le clitoris. Bon, rien de bien compliqué… Il faut juste se jeter à l’eau !


Je commençai à lui embrasser la vulve, puis à lui donner de grands coups de langue sur les lèvres, je l’introduisis dans son vagin ruisselant, puis je m’attardai sur ce fameux clitoris. Je retroussai un peu la peau pour bien exposer ton petit bouton turgescent avant de le lécher. Mélanie gémissait et se tortillait. Puis, j’ai doucement caressé le clitoris de la jeune femme, du bout de mes doigts, j’alternais entre mouvements rapides et lents, et coups de langue. J’espérais que ça lui faisait plaisir. C’était apparemment le cas, au vu des caresses qu’elle me faisait sur la tête.


Puis, elle me demanda de mettre un doigt dans son vagin, ce que je fis. Je n’osais pas aller trop loin. Je sentis alors une petite zone un peu rugueuse près de l’entrée. Ça devait être le fameux point G. J’entrepris alors de le masser, de le presser de mon index, tandis que je continuais lui lécher le clitoris.


Quand soudain, Mélanie se cambra, ses bras et ses jambes se crispèrent. Je vis alors son corps tressaillir, se durcir, comme si elle recevait des décharges électriques. Elle avait joui…


Le souffle haletant, elle se redressa vers moi et m’embrassa tendrement. Puis, elle se pencha vers mon pénis qui n’avait pas perdu de sa vigueur. Elle me fit une courte fellation, puis se recoucha sur le dos en me faisant comprendre que je pouvais à présent venir en elle.



J’introduisis lentement mon pénis dans son vagin lubrifié par l’excitation et le plaisir qu’elle avait ressenti auparavant, puis je commençai les mouvements de va-et-vient, de plus en plus rapidement et profondément. Cette sensation chaude et humide autour mon membre était des plus délicieuses, sans parler du « spectacle » que j’avais devant mes yeux : une magnifique femme à la poitrine opulente prenant du plaisir.


Je me lâchais à présent complètement, je l’embrassais dans le cou, sur les lèvres, je lui mordillais le lobe de l’oreille de temps à autre. J’alternais des mouvements rapides et superficiels et des mouvements lents et profonds pour bien sentir la sensation de la pénétration. Je sentais que ça venait, que j’allais jouir… Quand soudain, je me suis dit : « Merde, on n’a pas mis de capote ». J’ai dû faire une drôle de tête, mais ma partenaire a compris et a dit :



Et je le fis. Ce fut à mon tour de me crisper et de ressentir des décharges électriques à travers le corps. Après m’être retiré, Mélanie me sourit et me fit un bisou sur la joue. Je remarquai alors que Mathieu était assis dans un fauteuil dans un coin de la pièce et n’avait rien manqué de la scène. Il avait eu la délicatesse de nous laisser un moment rien que tous les deux. Il tendit des mouchoirs pour que son amie puisse essuyer l’excédent de sperme qui s’écoulait de son vagin. Puis, ils prirent du bon temps à leur tour.


Ce fut alors à mon tour d’être spectateur. C’était beau de voir l’alchimie et la complicité qui se dégageaient de ce couple. Difficile à croire qu’il n’était plus ensemble. Pour ma part, j’étais vraiment honoré qu’ils m’aient invité dans leur intimité. Ce, d’autant plus que c’était ma première fois avec une femme…



Ma seule réponse fut un simple sourire, parce que je savais qu’il y aurait une prochaine fois.



(Ceci est une fiction… Sortez couverts !)