n° 20061 | Fiche technique | 17533 caractères | 17533Temps de lecture estimé : 10 mn | 14/02/21 |
Résumé: Les parents d'Arnaud qui vient de fêter ses 18 ans envoient leur fils puceau passer quinze jours de vacances chez sa marraine à Nice. | ||||
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Auteur : Jimmychou Envoi mini-message |
Je venais de fêter mes dix-huit ans et pour les vacances d’été mes parents m’avaient envoyé passer deux semaines chez Sylvie, ma marraine, qui habite dans une petite maison située dans les hauts de Nice. Sylvie était alors âgée de trente-neuf ans. Célibataire convaincue, elle était l’une des plus anciennes copines de ma mère et sa meilleure amie à l’époque de ma naissance.
Sylvie avait la réputation d’être peu farouche et je m’étais demandé si mes parents ne m’avaient pas envoyé séjourner chez elle avec l’espoir qu’elle m’aiderait à me déniaiser, car non seulement, j’étais toujours puceau, mais en plus j’étais plutôt timide et maladroit avec les filles.
Lorsque j’aperçus Sylvie venue m’accueillir à l’aéroport, je me dis que mes prédictions ne devaient pas être si mauvaises et je me demandai comment j’allais pouvoir faire pour ne pas choper une gaule monumentale pendant qu’elle me conduirait chez elle.
J’avais devant les yeux une vraie bombe, brune de 1,66 m avec toute la panoplie de la cagole : dos nu jaune canari sous lequel on devinait ses gros nichons ronds et siliconés aux tétons turgescents, minijupe en jean blanc mettant en valeur son cul épanoui et ses longues jambes bronzées, escarpins en cuir beige à talons aiguille de 13 cm, le tout rehaussé par un maquillage appuyé, de larges créoles à ses oreilles et une fine chaîne en or autour de la cheville.
Bref, le fantasme ultime pour le puceau que j’étais à l’époque. Et lorsque Sylvie me fit la bise pour me saluer, l’odeur envoûtante de son parfum déclencha immédiatement mon érection.
Elle fit mine de ne pas s’en apercevoir, mais son sourire en coin me laissa penser qu’elle était plutôt satisfaite de l’effet produit sur ma personne.
La confidence de Sylvie me surprit un peu, car j’imaginais mal à cet instant que l’homme dégarni au ventre rebondi que j’avais quitté quelques heures plus tôt ait pu être un bourreau des cœurs dans sa jeunesse.
Constatant mon léger malaise, Sylvie me regarda en souriant :
J’étais plutôt fier de ma tignasse à la Jimmy Hendrix, mais j’étais prêt à la sacrifier pour faire plaisir à ma marraine qui, je l’espérais, allait m’aider à me débarrasser d’un pucelage qui commençait à me peser.
Confortablement assis aux côtés de Sylvie dans sa golf décapotable, je passai une bonne partie du trajet à mater ses cuisses magnifiques et les attaches de ses seins bien visibles grâce au dos nu léger. À aucun moment, elle ne s’en offusqua jetant même de temps en temps un coup d’œil sur la bosse indécente qui déformait mon 501, ce qui me faisait rougir à chaque fois.
Une fois arrivés dans sa petite maison à la décoration toute provençale, Sylvie me montra ma chambre ainsi que la salle de bains avant de me proposer de prendre une douche. J’acceptai aussitôt et profitai de la tiédeur bienfaisante de l’eau qui coulait sur mon corps pour calmer mes sens et me taper une bonne branlette en espérant qu’elle allait m’aider à faire baisser mon excitation.
Lorsque je sortis de la salle de bains, une serviette nouée autour de la taille, j’aperçus mon hôtesse sur la terrasse de la maison. Installée sur un transat avec comme seules parures ses créoles, sa chaîne de cheville et un string noir constitué d’un minuscule triangle de tissu et de trois lacets dont un enfoncé dans sa raie culière, elle profitait du soleil, étendue sur le ventre.
En m’entendant, Sylvie se redressa sur ses coudes me dévoilant sans pudeur ses deux obus aussi bronzés que le reste de son corps puis elle s’adressa à moi :
Quelques minutes plus tard, je me retrouvai donc agenouillé sur un coussin à proximité du transat sur lequel ma marraine était allongée et je badigeonnais son dos magnifique d’huile protectrice en bandant comme un âne dans le bermuda très ample que j’avais passé avant de nous apporter les bières.
Mon visage était rouge pivoine, mais le soleil n’y était pas pour grand-chose alors que je massais délicatement les fesses fermes et rebondies de ma marraine avec la crème solaire. Elle avait écarté les jambes et une tache humide apparaissait distinctement sur le tissu du bain-de-soleil. En proie à un trouble difficilement maîtrisable, je glissai involontairement mon doigt à l’entrée de sa fente ce qui lui fit pousser un petit cri.
Soucieux de ne pas déplaire à ma marraine, j’enfonçai alors mon index plus profondément avant de laisser mon médium le rejoindre pour une exploration minutieuse de sa vulve trempée.
Comme Sylvie soulevait le cul pour mieux me sentir, je décidai de faire coulisser mes deux doigts de plus en plus vite dans sa chatte. Sa respiration se cala sur la cadence imposée par mes extrémités jusqu’à ce qu’elle pousse un cri en se tendant comme un arc tout en broyant mes doigts dans sa grotte intime.
Mon niveau d’excitation était tel que j’éjaculai aussitôt dans mon maillot sans même avoir eu besoin de me toucher.
Tout penaud, je me levai discrètement et retournai dans ma chambre avant de m’allonger sur le lit attendant avec inquiétude la réaction de ma marraine. Ne voyant rien venir au bout de quelques minutes, je finis par me lever et quitter la chambre. Comme si rien n’était arrivé, Sylvie, toujours allongée sur le transat, parcourait calmement une revue people.
Elle se tourna ensuite pointant à nouveau ses plantureux obus vers moi et m’adressa un grand sourire.
Sa remarque me fit rougir de plus belle.
Devant mon air interloqué, Sylvie reprit ses confidences.
J’espère que ce que je dis ne te choque pas ? demanda soudain Sylvie, l’air vaguement inquiet.
J’étais bien trop sidéré pour pouvoir répondre quoi que ce soit.
Les confessions de ma marraine m’avaient momentanément fait perdre toute pensée égrillarde et je pus enfin m’adresser à elle comme un filleul respectueux et bien élevé :
À ma connaissance, la seule fois où Sylvie avait rencontré son « filleul chéri » remontait à mon baptême. Mais je n’avais pas envie de la contredire et de lui faire regretter son abnégation. D’autant plus que j’imaginais difficilement une personne plus compétente qu’elle pour mon initiation amoureuse. Elle se leva alors et marcha vers moi avant d’aller se positionner derrière la chaise sur laquelle je m’étais assis.
Sa demande me laissa tétanisé.
Je m’exécutai avant de faire glisser mon bermuda en bas de mes jambes, n’osant me tourner pour lui faire face.
L’effet sur ma sérénité fut assez mitigé au contraire de celui produit sur mon dard qui se mit à enfler de manière indécente.
Je ne pouvais détacher mon regard du mont de Vénus de ma marraine. Recouvert d’une petite toison triangulaire bien fournie, il était trempé de cyprine.
Sans se soucier de mon état, Sylvie attrapa mon manche à pleines mains.
Elle s’accroupit alors à mes pieds et emboucha la grosse tête violacée entre ses lèvres couvertes de rouge à lèvres vermillon. Puis elle se mit à donner de petits coups de langue sur mon méat et à la base de mon gland avec une maestria telle que je ne pus m’empêcher, après quelques minutes de ce traitement de maintenir fermement sa tête dans mes mains tout en déversant mon jus par saccades au fond de sa gorge.
Sans répondre, j’aidai ma tante à se relever et la pris dans mes bras pour l’embrasser à pleine bouche. Elle ne me repoussa pas, bien au contraire, constatant avec satisfaction que mon braquemart reprenait toute sa vigueur.
Elle s’en saisit alors et décolla ses lèvres des miennes pour regarder mon chibre et le soupeser avec admiration.
J’eus ainsi l’occasion de constater que ma marraine n’était pas qu’une belle femme très chaude, mais qu’elle avait aussi des lettres.
Tout en me tenant par le sexe, elle me conduisit alors dans sa chambre où elle me fit comprendre que je devais m’allonger sur le lit et sur le dos.
J’attendis donc respectueusement, la queue pointée vers le plafond qu’elle vienne s’accroupir au-dessus de moi avant d’attraper mon manche de sa main droite et de venir positionner sa vulve sur mon gland turgescent.
La lubrification intense de son minou permettait à mon dard de s’enfoncer de plus en plus loin sans dommage notable pour ses parois intimes et la peau de mon zgeg.
Les yeux clos, je goûtai au plaisir inconnu de me faire écraser le chibre dans un étau délicieux. Lorsque mon gland percuta le fond de son con, Sylvie poussa un bref cri sourd et ses yeux se révulsèrent.
J’attrapai instinctivement ses hanches généreuses de peur qu’elle se blesse si elle continuait à descendre sur ma hampe dont une longueur non négligeable se trouvait encore à l’extérieur de sa grotte accueillante.
J’accentuai alors ma pression sur les bords de son abdomen et imprimai un mouvement vers le haut. Machinalement, Sylvie suivit l’impulsion donnée et je pus ainsi l’aider à coulisser sur mon tenon. Ses gémissements dont le volume augmentait au gré de ses va-et-vient étaient entrecoupés de hoquets à chaque fois que sa matrice percutait le bout de mon nœud.
Les efforts dépensés pour empêcher ma marraine de se détruire l’utérus sur mon foret me permettaient de repousser l’explosion que je sentais malgré tout imminente. Je redoublai donc d’énergie, secouant Sylvie tel un pantin désarticulé sans me rendre compte qu’elle était en train de jouir de manière quasi ininterrompue depuis plus d’une minute.
Lorsqu’épuisé, je décidai de la lâcher, elle s’écroula sur moi, inconsciente des flots de foutre que ma queue s’était mise à déverser dans son intimité. Nous restâmes ainsi immobiles pendant plusieurs minutes, ses gros seins plaqués contre mon torse couvert de sueur, tandis que ma queue se dégonflait lentement permettant au vagin distendu de reprendre figure humaine.
Sa première réaction après avoir ouvert les yeux fut de déposer des petits baisers reconnaissants au creux de mon épaule puis elle s’approcha de mon visage pour m’offrir ses lèvres que j’acceptai goulûment avant de mélanger ma langue à la sienne.
J’étais devenu un homme et je dus admettre que mes parents avaient eu le nez creux en me confiant aux bons soins de ma marraine Sylvie.
Les deux semaines qui suivirent furent l’occasion de parfaire mon éducation amoureuse et même si je ne quittai pratiquement pas, pendant tout le séjour, ma professeur que je possédais quotidiennement par tous les orifices, j’eus quelques occasions d’honorer d’autres femmes sous l’impulsion de ma mentor jamais à court d’initiatives quand il s’agissait de mettre un peu de variété ou de piquant dans notre relation.
Ma marraine me raccompagna à l’aéroport comme elle était venue me chercher, pouvant juger à l’occasion que l’effet qu’elle produisait sur ma personne n’avait nullement été altéré par ces quinze jours d’étroite proximité.
Et après m’avoir embrassé à pleine bouche pendant une bonne minute, elle me fit promettre de lui rendre une nouvelle visite dès que possible.