n° 20077 | Fiche technique | 55624 caractères | 55624Temps de lecture estimé : 33 mn | 21/02/21 |
Résumé: Matthieu est complexé par son sexe. Cette différence créera une passion érotique chez sa voisine, puis chez la compagne de sa voisine. Peu à peu, cette passion se transformera en une histoire d'Amour à trois, et même un projet de vie... | ||||
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Auteur : Antilope Envoi mini-message |
J’ai toujours été un garçon très timide.
À l’époque du début de cette aventure, j’étais étudiant en deuxième année dans une école d’ingénieurs en informatique. J’habitais dans une chambre de bonne à Paris, au sixième étage sans ascenseur, comme souvent. J’étais seul occupant à l’étage, la deuxième chambre de bonne immédiatement contre la mienne étant inoccupée. Je rageais de ne pouvoir l’occuper aussi, car une porte de communication verrouillée de chaque côté existait entre les deux chambres.
J’avais choisi ce type d’étude, car en plus du fait que j’étais un véritable geek, cela me permettait de croiser très peu de filles, et les rares que je croisais étaient plutôt moches.
Cela m’arrangeait beaucoup, car j’avais un problème de taille, et c’était peu de le dire, il s’agissait de mon pénis.
Il n’était pas trop petit, non, il était beaucoup trop grand. Au repos, il mesurait déjà 12 cm, mais s’il restait mou, j’arrivais quand même à le cacher, même si ça représentait déjà un volume très important à caser dans mon pantalon et mes sous-vêtements. En érection, ça devenait impossible à gérer : 22 cm. Il devenait alors impossible de me cacher et je devais alors m’isoler immédiatement en attendant que ça passe.
À la suite de plusieurs incidents gênants pendant mon adolescence, j’avais pris la décision d’exclure tout contact avec les filles autant que possible, et de suivre un traitement pour inhiber mes pulsions. Je me souviens notamment d’un incident au lycée où mon engin était carrément sorti de mon pantalon par le haut pendant l’heure de gym, car une des filles de la classe, assez bien pourvue au niveau de la poitrine et qui s’était accrochée par les pieds aux barres parallèles, s’était retrouvée avec son pull descendu au niveau des bras. Elle nous avait exposé ses aisselles poilues et nous avait aussi montré ses seins qui étaient tombés de son soutien-gorge.
L’incident avait fait rire tout le monde et la fille concernée avait elle-même rigolé de sa mésaventure en se rhabillant. Mais quand les élèves s’étaient tournés vers moi en voyant mon engin à moitié en dehors de mon pantalon, l’ambiance avait changé et ils avaient tous pris des mines horrifiées ou dégoûtées. J’étais alors devenu la risée de tout l’établissement et certaines filles, particulièrement perverses, s’amusaient à me montrer des parties de leur corps ou me toucher pour me faire bander au détour d’un couloir juste pour voir l’effet que ça produisait chez moi. C’était allé très loin, jusqu’à des commandos qui s’organisaient pour prendre des photos ou des vidéos après m’avoir excité. J’avais alors décidé de changer d’établissement. Et ma mère m’y avait aidé en déménageant dans une autre ville. Je vivais uniquement avec ma mère, mon père étant parti de la maison à mes dix ans.
Bref, je coulais des jours heureux, dans ma chambre de bonne, au sixième, sans sexe, tranquille et sans tentation. Bien sûr, je répondais à mes pulsions grâce à Internet le soir après les cours, mais toujours seul.
C’était trop facile et ça n’allait pas durer.
Un soir, en rentrant chez moi, j’ai entendu du bruit dans la chambre d’à côté, je me suis dit que ma tranquillité allait prendre fin et j’espérais de toutes mes forces que mon nouveau voisin allait être un mec. Je fus fixé tout de suite en entendant ma nouvelle voisine parler à sa mère au téléphone. L’effet fut immédiat et dévastateur : je fus pris d’une érection géante rien qu’en entendant sa voix.
Cela m’a rappelé à quel point ma situation était précaire.
Les jours suivants, j’ai pris toutes les précautions possibles pour ne jamais croiser ma voisine. Si sa voix me faisait cet effet-là, je ne voulais même pas voir à quoi elle ressemblait, de peur d’avoir des érections spontanées rien qu’en pensant à elle.
J’avais fini par repérer ses horaires pour les éviter.
Mais un soir où j’étais moins attentif que d’habitude, je suis tombé sur elle dans le hall. Elle se débattait avec ses courses qui s’étaient répandues par terre, suite à la rupture de son sac.
Elle avait l’air désemparée et me regardait d’un air perdu. J’étais coincé, je ne pouvais pas décemment pas passer mon chemin sans passer pour un rustre, alors je me suis décidé à l’aider en prenant les packs de lait.
J’ai alors rapidement jeté un œil à ma nouvelle voisine et j’ai rapidement détourné le regard.
Elle était habillée avec une petite robe courte en tissu très fin, presque transparente, boutonnée du haut jusqu’en bas. Les bras et les épaules nus. Elle avait des seins assez petits et ne portait visiblement pas de soutien-gorge. Par contre, ses hanches étaient voluptueuses et déformaient sa robe. Ses cuisses blanches et assez dodues étaient bien visibles.
Elle s’est penchée face à moi pour attraper ses sacs, me montrant ses petits seins intégralement par son décolleté et a commencé à monter l’escalier.
Grosse imprudence de ma part, alors que j’avais déjà commencé une érection, de lui emboîtai le pas dans l’escalier. Je me suis retrouvé le nez au raz de ses fesses, et comme je ne suis pas très sportif, elle m’a progressivement distancé, jusqu’à ce que je me retrouve suffisamment bas pour voir pointer la rondeur de ses fesses sous sa jupe.
J’avais atteint un niveau d’érection catastrophique, et je priais pour qu’elle ne se retourne pas.
J’ai eu l’impression que cette montée durait des heures. Et plus ça durait plus je voyais mes bonnes résolutions s’envoler, et plus mon sexe prenait de place. Par chance, il s’était logé dans l’une des jambes de mon jean, je ne risquais donc pas de la voir surgir au-dessus de ma ceinture. Il en reste qu’il était sorti de mon slip depuis longtemps, et que l’effet « poutre apparente » que ça produisait était totalement indécent.
Au troisième étage, elle fit une pause, et se tourna vers moi, en gardant un pied sur la marche en dessous d’elle et l’autre trois marches au-dessus.
Évidemment je ne pouvais pas poser les packs de lait sans lui révéler mon monstrueux engin, alors je suis resté planté là, en les gardant dans la main bien devant moi.
Lorsqu’elle est repartie, elle s’est penchée, cette fois en me tournant le dos et j’ai juste eu le temps de fermer les yeux pour éviter d’avoir une vue panoramique sur ses fesses et sa culotte, et lorsque j’ai rouvert les yeux, j’ai vu que sa jupe s’était coincée entre ses deux grandes fesses molles tremblotantes, ce qui l’avait rendue encore plus courte.
C’est à ce moment-là, au quatrième étage que j’ai vu apparaître son entrejambe.
Sa culotte lui était rentrée dans la chatte, et je pouvais voir juste ce qu’il fallait de ses grandes lèvres, entre lesquelles était enfoui le pauvre petit bout de tissu, le tout garni d’une épaisse broussaille de longs poils noirs qui surgissaient entre ses deux fesses, comme s’ils voulaient me sauter à la figure.
Ça a été pour moi comme une décharge électrique. Mon cœur s’est emballé, et mon sexe a encore grossi jusqu’à me faire mal. Je pense que je n’avais jamais atteint une telle taille. Je ne pouvais plus décoller mes yeux de cette splendeur de la nature en mouvement. Je suivais des yeux chaque frémissement du gras de ses fesses, chaque petit bourrelet de sa cellulite, chaque poil. Je comptais le nombre de fois où la petite culotte disparaissait en étouffant au fond de la fente entre ses deux lèvres qui s’écrasaient l’une contre l’autre, puis réapparaissait brièvement lorsque les deux lèvres s’écartaient puis redisparaissait sans avoir eu le temps de respirer, engloutie par les replis de chairs molles et poilues…
Il allait bien falloir que je lui rende ses packs de lait… et là elle verrait…
Nous sommes arrivés devant sa porte et la mienne, et je n’ai trouvé aucune issue.
Elle m’a dit poliment :
J’ai décliné gentiment.
Là, il s’est passé quelque chose de magique : alors que j’avais encore la poignée d’un pack de lait dans la main, elle a attrapé la poignée et a tiré sur le pack de lait comme pour l’écarter de devant mon sexe. La poignée était trop petite, ce qui fait que nos deux mains étaient serrées l’une contre l’autre quand ça s’est passé. Elle a baissé les yeux vers mon sexe, découvrant l’ampleur de ce qu’elle avait provoqué, et a relevé les yeux vers moi. Complètement interloquée et choquée, elle est devenue toute rouge. Puis, les yeux dans le vide, elle a tourné les talons, est rentrée chez elle et a fermé sa porte sans dire un mot.
J’avais tout gâché, comme d’habitude, je ne la reverrai pas, c’était sûr.
Je suis rentré chez moi à mon tour. Mon érection avait instantanément disparu à l’instant où elle était rentrée chez elle. Et c’est pendant la nuit que les images de la montée de l’escalier ont commencé à me hanter. J’ai dû me masturber au moins quatre fois avant de pouvoir dormir.
C’est le lendemain vers 11 h, alors que j’avais passé une nuit atroce, qu’elle est venue frapper à ma porte. J’ai entrebâillé la porte, passé la tête dehors, mais uniquement la tête, car j’étais en caleçon et il n’était pas question de me montrer dans cette tenue dans laquelle le moindre début d’érection aurait été dévastateur.
Elle avait elle aussi une mine affreuse et se tenait devant ma porte, toute droite dans un grand pull et une jupe longue et tenait dans ses mains une boîte de pâtisseries venant de la boulangerie du coin.
Je ne sais pas si c’est l’effet de ses paroles, mais je ne bandais pas du tout…
Heureusement ! Du coup, je l’ai fait entrer, nous nous sommes assis à ma petite table et elle a ouvert la boîte.
Au départ, j’ai cru qu’elle me faisait une blague. La boîte contenait deux éclairs au chocolat énormes, qui, de par leur gabarit, rappelaient très clairement… vous savez quoi, j’imagine !
Mais visiblement, elle ne s’était rendu compte de rien, c’était juste une maladresse. Elle en a attrapé un et a commencé à mordre dedans goulûment. J’ai fait de même.
Elle a toussé plusieurs fois, l’air gêné… elle avait visiblement quelque chose à me dire, et s’est lancée.
C’est là que j’ai réalisé ! Elle n’en avait jamais vu, elle ne savait pas l’effet que pouvait produire une femme dessus, et n’avait même pas compris qu’elle m’avait montré ses fesses pendant toute la montée de l’escalier ! Je souriais en mangeant mon éclair et elle s’en aperçut.
Et là, je lui ai raconté la montée dans l’escalier. Bien sûr, je n’ai pas donné tous les détails. Je ne lui ai pas dit par exemple qu’elle avait la chatte complètement à l’air.
Puis brutalement elle a dit d’un air surexcité :
J’ai donc enlevé le bas, pour ne pas la laisser dans l’ignorance. Le problème, c’est que je ne bandais décidément pas du tout. Lorsqu’elle a vu mon engin, elle m’a dit :
Nous nous sommes mis face à face et elle a relevé sa jupe très lentement. Au fur et à mesure que je voyais apparaître ses jambes, ma queue montait tout doucement.
Enfin, elle a découvert sa culotte et à nouveau j’ai eu une décharge électrique dans le cœur ! Au milieu de ses hanches et de ses cuisses majestueuses trônait une petite culotte blanche en coton, tenue sur les côtés par des petites ficelles et des petits nœuds. La pauvre petite culotte était complètement débordée par une forêt de broussaille noire qui débordait de plusieurs centimètres de tous les côtés. En bas du triangle, l’une des deux lèvres était complètement sortie et l’élastique de la culotte était coincé dans la fente. Sur ce côté-là, une énorme touffe de poils ressortait et venait même recouvrir la culotte.
C’était à se demander si elle n’avait pas fait exprès.
L’effet a été immédiat : ma queue qui était déjà énorme s’est dressée et s’est allongée encore plus
Elle a alors commencé à me caresser très doucement. Bien sûr, ça n’a fait qu’aggraver mon érection… Je lui ai demandé alors si je pouvais toucher aussi et elle a refusé.
Elle a commencé à me masturber. C’était bon, bien sûr, mais je l’ai arrêtée avant, car je ne voulais pas éjaculer dans ses mains.
Je lui ai expliqué que je n’avais jamais vu une chatte en vrai de toute ma vie, non plus, et que dans un sens, pour moi aussi, ce serait de la culture. Elle m’a répondu qu’elle y réfléchirait.
Nous nous sommes quittés et j’ai terminé le travail moi-même.
Dans la nuit, des images de sa petite culotte blanche garnie de poils sont revenues me hanter et j’ai dû à nouveau me masturber au moins quatre fois avant de pouvoir dormir.
Nous nous sommes revus le lendemain, et cette fois, elle avait cuisiné un plat… Nous avons mangé ensemble. Elle m’a demandé si elle pouvait « jouer » à nouveau avec ma bite et je lui ai répondu que là, à mon avis, ce n’était plus de la culture… Elle m’a répondu qu’effectivement elle avait apprécié de jouer avec hier et qu’elle avait adoré la faire grandir, que ça la passionnait et qu’elle en avait rêvé toute la nuit.
Elle a ajouté qu’elle s’était masturbée toute la nuit en pensant à moi et que c’était la première fois qu’elle se masturbait en pensant à un mec ! Et que tant qu’à faire, ce serait plus sympa si chacun pouvait jouer avec le sexe de l’autre.
Du coup, elle était maintenant d’accord pour que je la touche, tant qu’on ne faisait pas l’amour.
Comme nos deux chambres étaient séparées par une simple porte et que cette porte avait un verrou de chaque côté, nous avons convenu que, le soir venu, chacun déverrouillerait son côté lorsqu’il serait prêt, et qu’une fois la porte complètement déverrouillée, « tout serait possible ! ».
Nous avons fait encore une séance « culturelle » où elle a joué avec mon sexe et j’ai pu caresser le sien. Elle avait cette fois les deux côtés de la culotte qui était rentrés dans la fente de sa chatte. Je lui ai fait remarquer et elle m’a expliqué que c’était le fait de monter les six étages ou de ranger son appartement qui faisait que sa culotte lui rentrait dans la chatte, et que ça arrivait tout le temps, même dehors. J’ai trouvé ça charmant et je me suis dit que j’adorerais faire des courses avec elle dans un centre commercial plein d’escaliers !
Le soir venu, j’ai mis un point d’honneur à déverrouiller mon côté de la porte en premier. Elle, a attendu jusqu’à 22 h pour déverrouiller son côté. J’étais couché, en caleçon et en tee-shirt. Elle est entrée dans ma chambre en ouvrant la porte tout doucement dans un grincement de placard et m’a dit :
Elle s’est glissée dans mon lit, et s’est précipitée directement sur mon sexe, qu’elle a commencé à caresser. Très vite, nous nous sommes mis chacun dans un sens et ensuite toute la panoplie des masturbations et de l’oral y est passée. Elle m’a harcelé toute la nuit et j’ai répondu à chaque fois en lui caressant la chatte ou en la léchant. Ça a été une des nuits les plus magnifiques de ma vie, je l’ai passée presque entièrement la tête entre ses cuisses, le visage enfoui dans sa chatte, serrant ses grandes fesses et ses hanches dans mes bras pendant qu’elle me masturbait ou quelle me suçait… le rêve ! Mais bien sûr, nous n’avons pas du tout dormi.
Et c’est ainsi que nous sommes devenus amants, sans pour autant qu’elle devienne hétéro, car elle semblait être terrorisée par l’idée d’être pénétrée.
Nous avons renouvelé ce genre de nuit régulièrement pendant plusieurs semaines. Puis elle m’a dit qu’il faudrait qu’on ne se voie plus pendant quelque temps, car sa copine, Carole, allait venir habiter avec elle.
Ça m’a fichu un coup. Elle m’a expliqué que Carole était au courant pour nous deux et que ça ne la gênait pas, mais que pendant qu’elle était là, on ne se verrait plus. Ça allait durer deux mois maximum.
C’était horrible pour moi, car mon idylle allait s’arrêter net, et j’allais retourner à ma pauvre condition sans avoir pu faire l’amour une seule fois, à devoir cacher mon sexe toute la journée, après que Mathilde m’ait rempli la tête avec des images de son corps.
Quelques jours après, Carole est arrivée, et à partir de là, la porte de communication entre nos deux chambres est restée désespérément verrouillée. Ce qui s’est passé ensuite a été une véritable torture, car les deux femmes n’arrêtaient pas de baiser toute la journée et toute la nuit de façon très bruyante. Les murs étant en papier, je les entendais se caresser, se masturber, se lécher… et jouir constamment dans la pièce d’à côté, et bien sûr, je bandais du soir au matin. Je me retrouvais à me soulager l’oreille collée contre la porte pendant leurs ébats. C’était devenu une véritable obsession.
Un jour, je les ai croisées toutes les deux dans l’escalier. Mathilde a fait les présentations, un peu gênée. Mais sa copine, elle, était beaucoup plus détendue.
Carole était une femme grande brune, plus âgée, je lui donnais 38-40 ans. Elle était assez voluptueuse, elle aussi, bien que beaucoup moins, au niveau des fesses, par contre, elle avait une poitrine absolument énorme, qui descendait très bas et qui ballottait beaucoup. Elle non plus ne portait visiblement pas de soutien-gorge.
Elle a juste eu le temps de me dire qu’elle était contente de me connaître et que Mathilde lui avait beaucoup parlé de moi… avant que je ne me mette à bander comme un cheval en devinant ses gros seins non tenus sous sa robe.
La situation était désespérée, j’allais percer mon jean devant elle alors que je venais de la rencontrer.
Mathilde m’a sauvé en attrapant sa copine par le bras et en montant l’escalier précipitamment. Je les ai laissées prendre de l’avance avant de monter l’escalier à mon tour.
Quelques jours plus tard, c’est Carole toute seule que j’ai croisée dans le hall. Bizarrement, elle me vouvoyait toujours…
Plutôt sympa ! Ça se voyait que ce n’était pas elle qui avait passé toutes ces années à se cacher des filles ! Encore qu’elle avait peut-être passé des années à essayer de cacher ses seins !
Elle avait baissé les yeux sur mon pantalon à nouveau où une bosse énorme s’était formée sans que je puisse rien y faire. Je ne sais pas si c’était le fait qu’elle me vouvoie ou simplement son petit air de bourgeoise « prout-prout », mais j’avais carrément envie d’elle.
Elle a ajouté en partant :
Je ne savais pas comment je devais interpréter cette dernière phrase… café à trois ? Plan à trois ? Comment deux lesbiennes pourrait-elle avoir envie d’un mec dans leur pieu ? Qui sait ? À notre époque, tout devient possible…
Le soir je n’y suis pas allé. Je n’ai pas osé… et puis sur quel prétexte ? Il me fallait toujours un prétexte pour faire les choses.
C’est vers 22 h que j’ai entendu le petit « clac-clac » du verrou qui se trouvait de leur côté.
J’étais terrorisé ! L’avaient-elles ouvert ? Ou l’avaient-elles fermé ? Impossible de le savoir sans déverrouiller moi-même et tenter d’ouvrir la porte… et me couvrir de ridicule si elles n’avaient pas ouvert de leur côté. Comment faire ? Pourquoi n’avais-je pas vérifié d’abord que la porte était bien fermée ?
Je suis resté prostré pendant plusieurs minutes. Puis je me suis rappelé l’histoire du café à trois. Et il y avait aussi le fait que contrairement aux autres soirs, où, à cette heure-là, elles étaient déjà en train de se bouffer et de gémir, là, je n’entendais rien.
Alors que je me torturais, un miracle s’est produit. Un courant d’air, venant sûrement d’une fenêtre laissée ouverte dans le couloir, a fait que la porte s’est ouverte toute seule ! Je n’avais pas verrouillé de mon côté !
C’était un signe ! Une manifestation divine ! C’était un appel qu’il me fallait suivre ! Alors je me suis déshabillé et j’ai traversé le miroir – cette porte ! – qui allait me transporter vers un pays de volupté… ou vers le râteau du siècle !
Ce fut la volupté !
Alors que je m’avançai dans le noir sur le parquet qui craque, en direction du matelas par terre qui leur servait de lit, j’ai entendu un tout petit murmure qui disait :
Je me suis glissé dans leur lit, au milieu…
La nuit qui a suivi a été un rêve que tous les mecs font. Et même s’il n’était pas question de pénétration pour mes deux partenaires, ce qu’elles m’ont fait cette nuit-là restera à jamais gravé dans mes entrailles !
Nous avons passé toute la nuit, moi dans un sens et elles dans l’autre, et, pendant que j’avais le nez dans leur chatte, leurs fesses, leurs cuisses, leurs hanches, leur nombril, elles s’acharnaient sur mon sexe avec tout ce qu’elles pouvaient : leur bouches leurs doigts, leurs seins.
Parfois j’avais le visage enfoui dans leurs deux chattes en même temps et quatre mains et deux langues s’acharnaient sur mon sexe, parfois j’étouffais sous leurs quatre seins pendant que les doigts de mes deux mains se faisaient manger par leurs deux chattes et que leurs deux mains me masturbaient en même temps. À d’autres moments, j’étais sur le dos, j’étouffais, le nez et la bouche recouverts par une chatte pendant qu’une paire de seins douce et moelleuse me masturbait et que je caressais les fesses de celle qui était assise sur ma bouche, cherchant l’air en léchant son clitoris et en enfonçant mon nez le plus au fond possible de son vagin, puis, elles échangeaient, et la chatte que j’avais sur le nez venait se blottir dans ma main alors qu’une autre encore plus poilue venait m’étouffer encore davantage et qu’une bouche et deux mains s’occupaient à nouveau de mon sexe.
Je pense que cette nuit-là, j’ai réussi à les faire jouir presque autant qu’elles m’ont fait jouir alors qu’elles avaient incontestablement plus de moyens puisqu’elles étaient deux et qu’elles avaient chacune deux mains, deux seins et une bouche.
Le lendemain matin, Carole s’est réveillée avec une envie de faire pipi atroce, et c’est là que nous avons réalisé que leur appartement n’avait pas de toilettes et qu’elles utilisaient les toilettes sur le palier, ce qui les obligeait à s’habiller pour sortir. Mon appartement à moi avait des toilettes, ajoutées par mon père à la hâte et entourées d’une petite cloison fine.
Les filles m’ont expliqué qu’elles aimaient bien se regarder en train de faire pipi et que ce n’était pas possible avec des toilettes sur le palier, même si certaines fois, ça leur arrivait d’y aller à deux mais rarement. Elles m’ont aussi avoué que la nuit, il leur arrivait d’aller faire pipi sur le palier toutes nues, et que jusqu’à présent, elles n’avaient jamais croisé personne.
Nous avons plaisanté là-dessus pendant un bon moment avant que Carole nous rappelle à nouveau qu’elle avait très envie de faire pipi en croisant les jambes et en appuyant sa main sur sa chatte.
D’un coup, Mathilde s’est mise à cheval sur les cuisses de Carole, l’empêchant de se lever
Mais avant même qu’elle ait fini sa phrase, Mathilde avait commencé à lui chatouiller le ventre et la taille. Carole, prise d’un fou rire compulsif, luttait comme elle pouvait pour repousser les doigts de Mathilde qui la chatouillaient sans répit. Elle explosait de rire et criait sans relâche :
Mathilde a fait une pause, laissant Carole respirer. Elle était essoufflée, et agitait nerveusement ses jambes bloquées en disant :
J’ai alors profité de l’accalmie pour saisir les mains de Carole, les monter au-dessus de sa tête et les coincer entre mes jambes.
Elle était en très mauvaise posture, immobilisée, les bras en l’air, ses gros seins mous, ses dessous-de-bras poilus, son ventre, ses hanches, sa chatte et ses cuisses exposées, et Mathilde et moi avions nos deux mains libres.
Il s’en est suivi une séance de torture où, durant plusieurs minutes, Mathilde et moi avons effleuré du bout des doigts les zones les plus chatouilleuses du corps de Carole. Je m’occupais du haut du corps, les bras, les dessous-de-bras, les seins, le cou, et Mathilde s’occupait des meilleurs morceaux : le nombril, le ventre, les hanches, les cuisses, et glissait de temps en temps un petit doigt entre sa chatte et ses cuisses, et ça s’était le pire !
Carole hurlait et se débattait en alternant les « Stop ! Stop ! J’ai envie de faire pipi ! », les « Nooonn ! pas là ! » les « Salauds ! bande de traîtres ! », les « Arrêtez ! je vais faire pipi ! »…
Puis Mathilde a commencé à lui planter ses doigts sous le nombril, précisément là où se trouvait la pauvre vessie, prête à exploser. Nous avons eu droit à :
Puis Carole s’est tellement débattue que nous n’avons plus réussi à la maintenir et elle s’est levée. Elle a couru en direction de la porte de séparation en criant :
Puis elle s’est immobilisée avant d’avoir pu atteindre la porte, s’est pliée en deux en croisant les jambes et a sorti un cri étranglé : « Viiiiite ! »
Je suis passé dans mon appartement, mais les toilettes étaient obstruées par les chaises pliantes que j’avais posées la veille. J’ai pris tout mon temps pour les retirer pendant qu’elle dansait d’un pied sur l’autre, pliée en deux avec une expression de détresse sur le visage.
Lorsque j’ai ouvert la porte, je me suis engouffré dedans en premier, je me suis assis par terre face à la cuvette de façon à avoir les yeux juste bien placés. Pour s’asseoir sur les toilettes, elle a dû m’enjamber, ce qui l’a obligée à écarter les jambes, et cela a déclenché son pipi, bien avant qu’elle soit assise sur les toilettes. Alors qu’elle était encore au-dessus de moi. Je me suis fait complètement arroser, ainsi que tout le sol de mes toilettes. Elle a réussi à s’asseoir, tout en expulsant avec fracas le contenu de sa vessie, dans un grand sifflement, en aspergeant tout en dessous d’elle. Sa chatte projetait des gouttelettes dans toutes les directions et je continuais à en recevoir dans la figure alors qu’elle était assise sur le siège.
Lorsque ça s’est calmé, ses fesses et ses cuisses dégoulinaient de partout, les poils de sa chatte étaient constellés de petites gouttes, et de grandes mèches de poils mouillés pendouillaient et gouttaient en dessous d’elle.
Ayant bien profité de cette magnifique féerie des eaux, je me suis levé pour m’essuyer la figure, car j’en avais partout, et Mathilde qui n’avait pas raté une goutte du spectacle non plus, en a profité pour prendre ma place assise par terre, le nez entre les cuisses de Carole :
Et sous mes yeux ébahis, les deux filles, m’ignorant complètement, se sont livrées au cunnilingus le plus gras et le plus bruyant qui soit ! Carole s’était avancée sur le siège des toilettes pour offrir sa chatte, et Mathilde, à quatre pattes, enfonçait son nez et sa bouche dans la forêt de poils trempée en faisant entendre des bruits de ventouse mouillée…
Je n’ai pas pu résister et j’ai saisi les fesses offertes de Mathilde, et, respectant sa volonté de ne pas être pénétrée, je l’ai masturbé avec ma main.
Les deux filles ont joui en même temps, en criant toutes les deux. Mathilde a retiré son nez de la chatte de Carole et a cherché une serviette pour s’essuyer la figure pendant que Carole, avachie sur les toilettes, la chatte offerte et trempée, faisait entendre un énorme pet vaginal, entrecoupé de plusieurs gargouillis de bulles et qui a duré plus de trente secondes.
Nous avons éclaté de rire tous les trois, ce qui a déclenché chez Carole un nouveau pet vaginal encore plus bruyant que l’autre, et qui est sorti par petites touches, au gré des contractions de son abdomen, tordu de rire.
Mathilde a eu cette phrase extraordinaire entre deux fous-rires :
C’était la fin des cours, et donc les vacances pour nous trois, Carole étant prof.
Les nuits qui ont suivi ont ressemblé à celle-ci, même si inévitablement, l’intensité a diminué avec le temps.
En plus des nuits, le soleil aidant, nous avons commencé à sortir, ce qui nous a fait découvrir une autre attraction : faire des cochonneries en public. C’était difficile pour moi, car je retombais dans mon problème de toujours.
Ce qui était bien, c’est que mon sexe était si sollicité, que pendant la journée je bandais beaucoup moins, car j’avais eu mon compte à la maison. Néanmoins, je cherchais toujours à aller dans des endroits isolés, alors que les deux filles, elles, ne pensaient qu’à m’emmener dans la foule et à me faire bander au milieu de tout le monde pour voir la réaction des gens.
Elles usaient de tous les stratagèmes pour arriver à leurs fins. Dès qu’on était assis, elles étaient assises en face de moi en jupe courte, sans culotte, écartant légèrement les jambes. D’ailleurs elles ne portaient pratiquement jamais de soutien-gorge ni de culotte lorsqu’on sortait. Dès qu’un escalier se présentait, elles le grimpaient juste devant moi. Dans la moindre file d’attente, elles se collaient à moi ouvertement devant tout le monde, assumant notre ménage à trois en public. Dès que personne n’était en vue, les robes se soulevaient et les bretelles tombaient. Sans compter les séances de ciné passées entre les deux filles, les deux mains dans leur chatte, en étant masturbé et parfois même sucé devant le film, parfois par les deux en même temps,.
J’avais régulièrement des commentaires d’autres femmes (plus rarement de mecs !) qui me complimentaient pour ma queue en érection. Un jour dans un bar martiniquais où nous étions debout et où les deux filles me chauffaient depuis une heure. J’avais abandonné tout contrôle depuis longtemps et avais laissé mon engin vivre sa vie dans le peu d’espace qu’il avait dans mon pantalon.
La serveuse, une grosse mama noire, la trentaine avec un joli sourire et des seins gigantesques, s’était approchée et m’avait dit que j’étais super bien monté ! comme un noir ! et m’avait demandé laquelle des deux était la chanceuse qui m’avait dans son lit.
Mathilde avait répondu qu’elles m’avaient toutes les deux et la serveuse était partie dans un grand éclat de rire qui avait secoué toute sa poitrine et le reste aussi :
Nous étions tous un peu bourrés et Carole a alors répondu :
Mathilde et Carole se sont regardées et m’ont regardé. J’ai acquiescé de la tête, alors elles se sont tournées vers la serveuse qui s’appelait Désirée.
Elle m’avait mis la main sur le sexe. Bizarrement par rapport à sa taille, elle avait des toutes petites mains.
Nous sommes rentrés, et pendant tout le trajet, je n’ai eu d’yeux que pour la poitrine monumentale de Désirée. Elle avait ce problème qu’on appelle les doubles seins. Une partie de ses seins était comprimée à mort dans les bonnets de son soutien-gorge qui pourtant était énorme, et une autre partie, pratiquement aussi grosse, débordait sur le dessus en formant deux grosses méduses noires flasques et ballottâtes qui se bousculaient à son décolleté.
Dans le métro, nous étions peu nombreux dans le wagon. Les filles ont commencé à se chauffer entre elles. Carole et Mathilde assises en face de moi étaient en train de se masturber mutuellement sous leurs jupes.
Désiré a dit :
Et elle a commencé à sortir ma queue dans le métro et à me sucer. Moi, j’ai plongé la main entre ses deux seins, c’est ce que j’attendais depuis un bon bout de temps et j’ai commencé à les sortir par le décolleté.
Arrivé à la station, j’ai eu beaucoup de mal à remettre ma queue dans mon pantalon, Désirée a eu beaucoup de mal à remettre ses énormes seins dans son soutif, et Mathilde et Carole ont eu beaucoup de mal à arrêter de ses doigter et ont atteint l’orgasme juste au moment où le métro ouvrait ses portes.
Nous nous sommes rués dehors, moi encore en train de boutonner mon pantalon, Désirée les deux seins libres hors du soutif sous son chemisier, et les deux filles avaient encore des boutons défaits sur leur robe.
Arrivé dans l’escalier, les caresses ont repris, et à l’arrivée au sixième, les deux filles étaient complètement nues, Désirée avait enlevé son chemisier et avait ses grosses mamelles à l’air, et moi, j’avais la braguette ouverte et ma bite sortait de 25 cm. Nous nous sommes engouffrés dans l’appartement et nous nous sommes jetés tous les quatre sur le matelas du côté de chez les filles et je me suis retrouvé de nouveau harcelé de la plus délicieuse façon.
C’était comme la première nuit que j’avais passé avec Mathilde et Carole, mais avec beaucoup plus de possibilités. Par exemple, je pouvais étouffer sous les seins de Désirée (qui pouvait recouvrir toute ma figure avec un seul sein) tout en la masturbant pendant que Carole me masturbait avec ses seins tout en dévorant la chatte de Mathilde… puis très vite, les filles ont enfilé sur mon sexe un préservatif et Désirée est venue s’empaler dessus alors que Mathilde et Carole sont venues s’asseoir toutes les deux sur ma bouche.
C’était la première fois que je faisais l’amour à une femme et je dois dire que les conditions étaient fantastiques. Désirée m’a refait l’amour quatre fois dans la nuit, et tout le reste du temps, elles se sont dévorées ou m’ont dévoré ou se sont fait dévorer par moi.
Désirée nous a quittés le lendemain matin en nous disant que c’était la plus fabuleuse expérience sexuelle qu’elle avait connue et que si j’en avais marre de la masturbation, je pouvais la rappeler tout l’été et qu’elle viendrait arranger ça.
Tout nous souriait, nous étions amants, copains, compagnons… nous partagions tout, bref, il ne manquait que l’Amour, et ça commençait à me travailler, car je ne pouvais plus me passer de mes deux voisines, et pour avoir leur présence, j’étais prêt à céder à tous leurs délires, même si ça supposait de montrer ma queue en public régulièrement.
Un jour, alors que nous étions à table, et que j’avais la ferme intention de leur déclarer ma flamme, Mathilde m’a devancé, et d’un air grave, m’a dit :
Je suis resté bouche bée… je m’attendais à tout sauf à ça. Elle a continué :
Elles se sont regardées, tout était silencieux. J’ai continué, j’étais super chaud.
Elles se sont à nouveau regardées.
Mathilde a déclamé d’un air enthousiaste que c’était la plus belle déclaration d’Amour que je pouvais leur faire, mais Carole a tempéré très vite en disant qu’elles avaient besoin d’y réfléchir, car ce n’était pas le projet de vie qu’elles avaient imaginé au départ.
C’est le lendemain qu’elles m’ont donné leur réponse. Elles sont venues me voir toutes les deux avec un grand sourire. J’ai tout de suite su qu’elles étaient d’accord. Elles m’ont dit qu’elles y avaient réfléchi toutes les deux et qu’elles m’aimaient elles aussi, mais qu’il fallait que je comprenne que nos trois avis allaient compter et que nous allions commencer un projet de vie à trois.
Nous nous sommes pris dans les bras tous les trois et nous nous sommes embrassés pour la première fois sur la bouche. Mon premier patin aura donc été un patin à trois langues.
Bien sûr, administrativement, cette situation posait un gros problème étant donné que la polygamie est interdite en France. Nous avons donc décidé que je serai le père des deux enfants et que les deux filles se marieraient entre elles comme c’était prévu au départ.
Restait à savoir où nous allions vivre, et surtout, comment on allait faire pour faire l’Amour ! Car pour faire un enfant, je devais faire l’Amour aux deux filles, ce qui allait être une première pour elle, car elles étaient lesbiennes.
Pour la première question, nous avons opté pour la maison de Carole dans le Lyonnais. Il y avait de la place, et avec quelques aménagements, on pourrait enfin avoir un lit digne de ce nom, et de la bonne taille pour être trois… ou plus… On pourrait enfin prendre notre douche tous les trois ensemble, ce qui n’était pas possible dans nos petits appartements parisiens et nous manquait beaucoup.
Enfin, on pourrait agrandir les toilettes pour pouvoir continuer nos ébats même si l’un ou l’une de nous trois avait une envie pressante.
Il y avait aussi en faveur de cette maison qu’elle n’avait aucun vis-à-vis et un grand terrain, ce qui nous permettrait de vivre tous nus, au moins pendant la grossesse, car après la venue des enfants, tout allait changer.
Pour la deuxième question, c’était plus compliqué. Les filles ont commencé à me bombarder de questions :
Je leur faisais remarquer au passage que pour Désirée il n’y avait eu aucun problème.
J’ai tenté de répondre à toutes leurs questions, mais elles n’étaient pas rassurées.
Nous avons décidé de faire ça tous les trois en même temps, mais que je ne ferais l’Amour qu’à une seule à la fois par soir pour ne pas précipiter les choses. L’autre serait là pour participer oralement à nos ébats.
Nous avons donc commencé le rituel chaque soir, Mathilde avait les jours pairs et Carole les jours impairs. Les deux filles se mettaient nues puis je m’occupais de l’élue du soir.
Au début, ça a été dur, les filles avaient mal toutes les deux et voulaient revenir au cunnilingus pour ne pas rester sur un échec.
À force de douceur et de caresses, j’ai réussi une première fois avec Carole. Elle a fini par s’abandonner et j’ai pu la prendre et lui faire l’amour comme une bête. Mathilde était restée en retrait et regardait avec une certaine inquiétude pour son amie.
Carole a joui bruyamment, elle a même crié. Lorsqu’elle est retombée, elle avait une banane jusqu’aux oreilles.
Peu de temps après, j’ai réussi à débloquer Mathilde et tout s’est détendu.
Les nuits qui ont suivi, nous avons oublié toute restriction, je faisais l’Amour au deux le même soir. Le protocole était toujours le même : je me mettais sur le dos, Carole s’asseyait sur mon sexe et Mathilde s’asseyait sur ma bouche, les deux femmes rebondissaient sur moi jusqu’à l’orgasme en s’embrassant l’une l’autre. Puis elles échangeaient, mais comme j’avais éjaculé dans la chatte de Carole, elle ne s’asseyait pas sur ma bouche, mais elle se contentait de me recouvrir la figure avec ses seins.
Puis nous sommes passés à des trucs plus fous. Les deux femmes se partageaient mon sexe à tour de rôle, ou encore, elles se mettaient en levrette toute les deux l’une sur l’autre et je naviguais entre leurs deux chattes, très proches l’une de l’autre.
J’avais réussi à les rendre hétéros toutes les deux. Comme elles me le disaient souvent, si j’avais réussi ce tour de force, c’est que j’étais une femme dans l’âme.
Personnellement, j’avais des doutes.
Le premier signe a été l’augmentation de la taille des seins chez Mathilde. Je l’avais mise enceinte. Carole a eu alors la priorité à partir de là. Mathilde restait assise sur ma bouche.
Mettre enceinte Carole a pris un peu plus de temps, mais au bout d’un mois, ses seins ont commencé à grossir aussi. Le problème c’est que Carole avait déjà de très gros seins, et qu’ils sont vite devenus très envahissants.
Les mois ont passé et mes deux femmes s’arrondissaient de partout. J’étais très fier. D’autant qu’elles ont continué à me faire l’amour aussi longtemps qu’elles ont pu. Les positions ont changé, et le plaisir devenait encore plus important.
J’arrivais à une période importante de ma vie où le plaisir charnel allait laisser place à un autre plaisir : celui des projets. J’étais très bien entouré pour attaquer l’avenir, et j’avoue que quand le médecin m’a annoncé que les deux enfants attendus étaient des garçons, j’ai sauté au plafond.