n° 20083 | Fiche technique | 23991 caractères | 23991Temps de lecture estimé : 14 mn | 23/02/21 |
Résumé: Pierre et Martine ont l'habitude de faire l'amour le dimanche. Mais ce jour là, rien ne se passa vraiment comme prévu. | ||||
Critères: fh couple voiture fellation cunnilingu 69 pénétratio humour -couple | ||||
Auteur : Jacquou Envoi mini-message |
Martine et Pierre Néral étaient en plein 69, en ce dimanche matin, quand une voix se fit entendre en bas de la fenêtre de leur chambre, côté rue.
Martine Néral releva la tête et abandonna sa préoccupation immédiate, à savoir le gland de son mari.
Pierre Néral, qui mélangeait depuis un bon moment sa barbe et sa moustache au pubis fourni de son épouse et lapait consciencieusement sa vulve pour la mettre en condition, marmonna dans son entrecuisse :
Martine Néral reprit son activité sans se faire prier. Le 69 était sa position favorite en matière de préliminaire. Chaque dimanche matin, comme un rituel, le couple s’adonnait à sa partie de jambes en l’air hebdomadaire après le petit-déjeuner, pendant que les enfants regardaient les dessins animés à la télé. Ils bouclaient la porte de leur chambre avec interdiction de les déranger. Âgés de douze et quatorze ans, leurs enfants ne se posaient pas trop la question de savoir ce qu’ils faisaient, même s’ils s’en doutaient un peu, car madame Néral n’avait pas l’orgasme discret. Officiellement, il ne s’agissait que de « jeux ».
L’avantage du dimanche matin, c’est d’abord que monsieur Néral était très en forme, ensuite que madame Néral s’était « organisée » la veille et enfin que les gosses étaient occupés, et qu’on pouvait donc prendre tout son temps, contrairement au reste de la semaine, vacances exceptées. Martine Néral est une plantureuse brune d’une quarantaine d’années, à peau mate et cheveux de jais abondants, qu’elle avait réunis pour l’occasion dans un chignon bâti à la diable avec une grosse barrette, histoire de se donner de l’aisance. Elle a les sourcils épais, curieusement assortis à son pubis très fourni qu’elle discipline difficilement à coups de douloureuses séances d’épilation à la cire chez l’esthéticienne. Mais elle tient à conserver ce qu’elle appelle son « triangle des Bermudes », véritable chevelure intime. Pierre Néral est au contraire grand et sec, tout en muscles et en tendons, chauve, mais barbu et moustachu. La nature l’a doté d’un sexe long et épais dont il est fier et dont il se sert exclusivement avec son épouse.
Cette fois, Martine s’interrompit pour de bon et abandonna à regret sa position ventrale pour l’assise, face à son mari :
Et Martine Néral revêtit un léger peignoir pour aller ouvrir la fenêtre.
Alors s’engagea une conversation d’une affligeante banalité, qui menaçait de durer. Pierre Néral voyait son érection diminuer à vue d’œil et ça l’ennuyait profondément. Aussi se glissa-t-il à quatre pattes jusqu’à son épouse penchée à la fenêtre, mais dissimulée de l’extérieur jusqu’à la poitrine, laquelle débordait du peignoir. Couché entre les jambes de sa femme, il glissa son visage à l’intérieur du peignoir et lécha l’intérieur des cuisses avec l’intention de retrouver la vulve prématurément abandonnée par la faute de madame Michel. Martine essaya de le chasser avec son pied, mais Néral lui tenait solidement les cuisses et ses lèvres buccales rencontrèrent les lèvres vaginales et la moustache le luxuriant pubis. Cette situation inattendue lui plaisait finalement assez et sa langue se fit vorace. Martine Néral eut alors une crispation qui inquiéta madame Michel :
Martine Néral n’écoutait plus. Toute son attention était portée sur le travail de la langue de Roger. Ce cunni improbable la mettait en transes et elle dégoulinait sur la barbe en ondulant et en pesant sur la langue par des petits mouvements de son bassin. Elle se mordit les lèvres pour ne pas gémir tout en affectant d’écouter la voisine intarissable. Pierre glissa un doigt dans son vagin et Martine réprima difficilement un petit cri.
Martine Néral referma précipitamment la fenêtre, fit voltiger son peignoir, et s’empala recta, à même le sol, sur la bite tendue de son mari, toujours en position assise :
Les mains en appui sur les épaules de Pierre, les pieds collés au sol, elle faisait danser sa croupe sur la tige verticale de son époux, lui mettant ses obus dans la figure pour qu’il puisse les sucer en même temps. Elle devint vulgaire :
Pierre, stimulé par l’enthousiasme de son épouse, décolla ses fesses du plancher dans la position du marteau piqueur inversé. Surexcité, le couple était au bord d’un orgasme commun quand la fille aînée frappa à la porte de la chambre :
Le couple se désunit avec un bruit mouillé. Martine pesta :
Martine, dépitée, revêtit son peignoir pour gagner la salle de bains et prendre une douche.
Deux heures plus tard, fuite réparée et épongée, Pierre Néral revint au bercail pour prendre lui aussi une douche avant de repartir au lac avec femme et enfants. Il essaya d’entraîner Martine pour un « petit coup vite fait » porte de la salle de bain fermée. Bien qu’habillée et pomponnée, elle était sur le point de céder quand le téléphone sonna. C’était Paul Martin qui s’inquiétait de ne pas les voir arriver au rendez-vous. Néral expliqua ses déboires de la matinée et renonça à son ambition immédiate d’un coït compensateur. Ce n’était décidément pas son jour.
**********
Dans la voiture, sur le chemin du lac, le couple avait choisi de prendre la chose avec humour et de faire contre fortune bon cœur. Pas question d’être trop explicite avec les gosses derrière, on en resterait au stade des allusions.
Comme par provocation, Martine avait écarté les cuisses sur le siège de la voiture et sa courte robe d’été était remontée jusqu’à la limite du slip de bain qu’elle avait revêtu avant de partir. Elle se caressait la cuisse d’une main négligente. S’ils avaient été seuls dans la voiture, Pierre aurait pris des mesures énergiques. De même, Martine ne pouvait pas ignorer la bosse qui tendait le haut du pantalon de son mari.
C’est dans cet état d’esprit que les Néral retrouvèrent les Martin à la plage. On sortit les nappes et les paniers. Comme d’habitude, Myriam Martin portait le bikini de ses quinze ans, c’est-à-dire qu’il ne cachait à peu près rien. Martine Néral avait quand même un peu plus de tissu sur elle, mais il est vrai qu’elle avait aussi quelques kilos de plus, car Myriam était plutôt du genre asperge. Néanmoins, les seins de Martine débordaient généreusement du soutien-gorge et la rendaient de plus en plus désirable aux yeux de Pierre. Son slip ne dissimulait qu’imparfaitement ses fesses, et Martine n’arrêtait pas de le remonter, en vain…
Après le bain, on déjeuna, on fit la sieste et l’heure d’un deuxième bain arriva. Néral comptait mettre le moment à profit pour entraîner Martine dans le sous-bois voisin et lui faire enfin sa fête. Il avait été repérer les lieux et il suffisait juste de prendre négligemment une serviette de bain. Mise au courant, Martine devenait un peu fébrile. L’envie de pénis devenait à la limite du tolérable. Pendant le bain du matin, Pierre avait trouvé le moyen de glisser un doigt dans son slip et ranimé l’incendie qui couvait.
C’est alors que Régis Martin s’avança vers Roger Néral et murmura à son oreille :
Néral en resta muet de stupéfaction. Piégé ! Ces deux cochons l’avaient devancé. Quand ils disparurent dans les fourrés, Martine laissa échapper sa colère :
Pierre Néral accusa piteusement le coup. Le mieux était encore d’aller au bain pour se calmer. Martine fit de même, les nichons dressés comme en révolte. Et quand ils virent une demi-heure plus tard le couple ami sortir réjoui du sous-bois, Martine en remit une couche :
Un peu plus tard, Myriam Martin, toujours très légèrement vêtue de son bikini minimaliste, s’approcha de Martine d’un air mutin :
Martine commençait à être un peu agacée. Elle répondit du tac au tac :
Myriam ne répliqua pas. Son Régis était plutôt du genre rondouillard.
Passablement énervée, Martine, après avoir revêtu sa robe, se débarrassa de son maillot qu’elle remplaça par un simple slip. Régis Martin intervint :
Et chacun prit la direction de sa voiture pour se rendre au domicile des Martin.
**********
Après un bref état des lieux, il fut constaté que la nourriture disponible était insuffisante. Pierre sauta sur l’occasion :
Et le couple s’en fut procéder à ses emplettes. Une fois celles-ci accomplies, Pierre Néral interpella son épouse :
Martine procéda à la vérification d’usage en tâtant la braguette de son mari :
En fait, elle bouillait, mais ne voulait surtout pas l’avouer. La confession de Myriam avait déclenché un incendie dans son entrecuisse et elle se demandait comment arriver à se calmer. Après avoir tâtonné, Pierre trouva un emplacement discret dans une zone industrielle déserte en ce dimanche. À peine eut-il stoppé que Martine déboutonna fébrilement le pantalon du conducteur d’où surgit une pine tendue au gland violacé :
Elle le suça voracement malgré la gêne du levier de vitesse tout en se laissant pétrir les seins qu’elle avait libérés en faisant glisser les bretelles de sa robe. La voix rauque, Pierre lâcha :
Elle dépoitraillée, lui déculotté, ils sortirent du véhicule et après avoir fait de la place dans le hayon, Pierre aida son épouse à s’installer. Elle s’était débarrassée de sa robe et de son slip et l’attendait, pieds nus et cuisses ouvertes, les fesses au bord du pare-choc, et le fixant du regard :
Il la prit par les cuisses et s’enfonça en elle d’une seule poussée, jusqu’à la garde, debout. Elle miaula, s’allongea et trouva à s’accrocher pour lui renvoyer la balle. Devant les assauts conjugués et synchronisés, la voiture se mit à tanguer. Pierre se régalait de la houle de ses seins, Martine de ses pectoraux et de ses abdominaux saillants. Ils s’interpellaient :
Lesdites couilles battaient maintenant sur les fesses rebondies de Martine qui s’extasiait :
Pierre suait à grosses gouttes, soufflait comme un phoque et cherchait à tout prix à retenir un peu son sperme. Il avait d’autant plus de mal que Martine, les pieds en appui au bord du hayon, totalement écartelée, manifestait un enthousiasme sexuel irrésistible. Elle l’admonestait, le sommait, le fustigeait :
Mais Pierre s’interrompit. Il avait trop attendu ce moment pour gicler prématurément et il se retira au grand dam de son épouse :
Et Martine s’exécuta et son homme, toujours debout derrière la voiture, la prit en levrette. Il était juste à la bonne hauteur et Martine manifesta d’emblée son contentement en agitant sa croupe généreuse. Elle prit appui sur les dossiers arrière pour riposter. Roger laissa glisser ses mains pour saisir les deux seins lourds qui balançaient entre les bras de son épouse.
Pierre lima, lima, lima de longues minutes, savourant le moment présent, les yeux sur le dos mouvant et la nuque tendue de Martine, qui se soulagea en se mettant sur les coudes. À nouveau, Pierre se retira. Il s’assit sur le hayon et invita Martine à se mettre accroupie devant lui, face vers l’extérieur. Elle avait la tête qui cognait un peu contre le haut du hayon, mais cette nouvelle position la ravit parce qu’elle le sentait vraiment bien en elle et parce qu’il la tenait fermement par les hanches, accompagnant ses mouvements. Ses seins dansèrent la samba et la voiture tangua sur ses amortisseurs, car Martine ne se maîtrisait plus vraiment et couinait franchement. Pierre sentait qu’il n’en avait plus pour longtemps. Il voulait finir en beauté, la percuter cuisses ouvertes. Martine se rallongea à nouveau sur le hayon, les pieds en appui sur le bord et accompagna les percussions de son homme en ruant dans les brancards et en lâchant d’une voix rauque :
Pierre explosa, son sperme éclaboussa non seulement le corps de son épouse, mais aussi une bonne partie du hayon. La tension retomba d’un coup, Martine reposait jambes pendantes hors de la voiture, anéantie et enfin comblée :
**********
C’est alors qu’un petit coup de klaxon retentit. Martine et Pierre virent s’approcher avec stupeur une voiture surmontée d’un gyrophare bleu. Les flics ! Deux policiers, un homme et une femme, en descendirent alors que le couple se rhabillait en catastrophe, laissant de côté leurs sous-vêtements dans la hâte :
Inspectant les deux cartes d’identité de ceux qu’ils considéraient comme des exhibitionnistes au mieux et au pire comme un couple illégitime, le policier eut l’air surpris :
La fliquette regarda Néral d’un air pensif. Comme si elle n’avait pas été tout à fait indifférente à la fin de sa prestation, qu’elle devait mater avec son collègue depuis quelques minutes, tous feux éteints. Au moins, se dit Néral, ils ont attendu qu’on ait fini.
Pierre et Martine se regardèrent, consternés. Comment allaient-ils expliquer ça aux enfants ?
Sur ce, la fliquette, une grande blonde à queue de cheval, qui n’avait cessé d’observer Néral, en particulier au niveau du pantalon où sa bite encore tendue marquait une excroissance très nette, murmura quelque chose à l’oreille de son collègue, lequel se rembrunit :
Et les deux policiers repartirent après avoir rendu les cartes d’identité, non sans que la fliquette ait adressé un regard appuyé à Néral.
Dans la voiture, Pierre et Martine partirent d’un grand éclat de rire.
Et elle l’embrassa goulûment.
Néral éclata de rire.
Puis il réalisa que l’heure avait tourné :
Et le couple prit la direction du domicile familial. Le dimanche était pratiquement terminé et se terminerait, comme d’habitude, devant la télé. Jusqu’au dimanche suivant.