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n° 20088Fiche technique20159 caractères20159
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Temps de lecture estimé : 14 mn
25/02/21
corrigé 30/05/21
Résumé:  Réunie autour du feu de camp, une assemblée hétéroclite de commerçants, de soldats et de voyageurs écoute attentivement le conteur d'histoire. Chut ! Ça commence !
Critères:  #humour #aventure #conte fh couleurs inconnu grossexe taille fépilée forêt fellation pénétratio fdanus
Auteur : pericles  (Epicurien marxiste, tendance Groucho...)      Envoi mini-message

Concours : Faites l'humour et pas la guerre
Une rencontre inattendue

Concours Faites l’humour et pas la guerre, texte classé 7ème. Plus de détails dans le forum.

Dans le cadre du concours, ce texte est publié tel qu’il a été proposé, sans aucune correction.


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Il était une fois, il y a fort fort longtemps, sur une planète fort fort lointaine, que ses habitants appelaient Foresta, un tout petit royaume, le royaume de Logres, sur lequel régnait le bon roi Priape le Burné.


Priape est un Homme. Si cela va sans dire, cela ira encore mieux en le disant.

Car, voyez-vous, sur Foresta, l’Homme n’est qu’une des quatre espèces intelligentes qui, bon gré, mal gré, cohabitent. Parmi ces quatre espèces, on trouve :


Les Hommes ; ni les plus beaux, ni les plus forts, encore moins les plus intelligents, mais étant constamment chauds comme des baraques à frite et d’une fertilité égale à celle des lapins cornus, les Hommes sont de loin l’espèce la plus présente sur les terres émergées de Foresta.


Les Alfes ; gracieux êtres humanoïdes aux oreilles pointues, hautains et dédaigneux, à la vie extrêmement longue, mais se reproduisant fort peu. Etrangement, les femelles Alfes, les Alfettas, superbement carrossées, sont beaucoup plus fertiles lorsqu’elles s’accouplent avec des Hommes que lorsqu’elles copulent avec leurs mâles Alfas. Ce qui fait qu’on trouve beaucoup plus de sang-mêlé (qualifiés par les mâles alfas de sang de bourbe) que de sang-pur. Et, comme les Alfettas ne vivent que pour connaître les joies de la maternité, et que pour ce faire, il est bien plus efficace d’être imprégnée du sperme d’un Homme, les mâles Alfas se traînent une méritée réputation de jaloux atrabilaires imbus de leur personne et en permanence prêts à la bagarre.


Les Géants des Bois ; pour faire simple, les Géants des Bois ressemblent traits pour traits aux Hommes, mais avec 50% de taille en plus. Et tout est proportionnel, vraiment tout ! Ce qui fait que si les Hommes ne rechignent pas à féconder de temps en temps une Alfetta, les Femmes (femelles des Hommes, si vous me suivez bien) sont parfois inexplicablement attirées par les Géants des Bois. Cependant, les Géantes, qui portent la culotte dans le couple, surveillent de très près leurs concubins.


Enfin, last but not least, il y a les Istaris, qu’on appelle aussi les Sages. Très, très, très peu nombreux, et malheureusement en voie de disparition, puisqu’il n’y a plus de femelles Istaris, ils sont des mages puissants, certains, tels Radagast et Mithrandir (aussi appelé Gandalf) sont très appréciés, quand d’autres sont redoutés, tels Saroumane, Alatar et Pallando.


Au Royaume de Logres, on trouve un ordre, mi-guerrier, mi-civil, les Chevalières de la Chambre Ovale. Composé de 12 Chevalières, ce groupe a pour double mission de maintenir l’ordre dans le royaume et le désordre dans le lit du Roi Priape le Burné. Si Priape veille à honorer de sa Sainte Queue chacune de ses Chevalières régulièrement, il a ses préférées. La préférée du moment se nomme Viviane, et c’est l’héroïne de notre histoire, elle est proprement stupéfiante !



Ce jour-là, Dame Viviane chevauche dans les bois, montée sur son fier destrier, son armure polie brillant de mille feux aux rayons du soleil qui traversent la canopée. Ses yeux bleus sont grands ouverts, alors qu’elle scrute intensément le sol devant elle. Les empreintes de pas qu’elle vient de repérer sont fraîches, ce qui signifie que celui qu’elle cherche est proche.

Remisant avec élégance une mèche de ses cheveux blonds sous son casque, Viviane observe alors longuement la forêt autour d’elle, jusqu’à ce qu’elle aperçoive un mouvement plus loin sur le chemin forestier. Eperonnant son fidèle destrier, elle se précipite en avant, ravie de ce combat qui s’annonce.

Le Géant des bois, car c’est bien d’un Géant qu’il s’agit, a entendu la cavalcade derrière lui, alors qu’il entrait dans une jolie clairière ensoleillée. Peu désireux de se battre - il est malheureusement fort fatigué - il court vers l’autre côté de la clairière, où les bois épais lui permettraient de distancer le cheval de guerre bien trop caparaçonné.

Malheureusement, aussi fort et rapide qu’il puisse être, le Géant sait que sa course sera vaine : chargé comme il est du mouton qu’il a volé la veille dans les prés autour de Logresville, il est bien trop lourd pour pouvoir distancer le puissant destrier.

C’est pourquoi, jetant le mouton entravé au sol, il campe ses deux jambes épaisses comme des troncs dans le sol, lève son immense gourdin et attend sa destinée.


Glorg – c’est son nom – est un Géant des bois typique : plus grand et plus fort que n’importe quel Homme ou Femme, il a la peau halée par le soleil et de longs cheveux noirs ébouriffés. Il ne porte qu’une ceinture et un pagne en peau de mouton, et la massue qu’il a attachée à sa ceinture est longue et épaisse comme la jambe de l’étalon de Viviane.


Malgré l’énorme corpulence de son ennemi, Viviane sait qu’avec son cheval de guerre, elle n’en ferait qu’une bouchée. C’est pourquoi - car n’oublions pas qu’elle est Chevalière de la Chambre Ovale - elle arrête sa monture à trois mètres du Géant des bois et saute au sol, ce qui n’est pas si évident, avec une armure de trente kilos sur le corps.


Elle s’adresse au Géant dans la Langue Commune :



Le géant cligne des yeux en regardant la Chevalière, peut-être parce que son armure brille si violemment sous le soleil de l’après-midi :



Et elle jette l’un de ses gantelets contre le torse puissant du Géant. Ses joues rougissent de colère, et sa chevelure blonde rebelle s’est à nouveau échappé de son casque.



Il hausse les épaules et soulève son gourdin, son énorme biceps se gonflant à ce geste.


Dame Viviane descend de son cheval.



Viviane ayant enlevé son casque, ses cheveux blonds cascadent sur ses épaules.



Elle enlève le deuxième gantelet, puis entreprend de défaire les différentes pièces de son armure.

Patiemment, le colosse observe et attend, tandis qu’elle se déshabille de la manière la plus élégante possible. Et ce n’est point chose facile, tant il est compliqué d’enlever une armure complète sans l’aide d’un page : épaulières, plastron, cuissards, brassards, grèves… c’est fou le nombre de pièces qui composent une armure de Chevalier.

Finalement, elle enlève le dernier élément et sa cuirasse tombe dans l’herbe. Elle prend une profonde inspiration, inconsciemment soulagée d’avoir libéré sa voluptueuse poitrine de sa prison d’acier. Elle ne porte plus qu’une tunique si courte qu’elle couvre à peine ce qu’il y a à cacher et ses tétons, manifestement heureux de ne plus être comprimés, tendent encore plus le fin tissu de la chasuble.

Elle se retourne pour se saisir de son épée qu’elle avait laissée dans l’herbe de la clairière, et, se faisant, elle sent sa courte tunique remonter sur ses fesses. Cela, elle le réalise consternée, a forcément donné au balèze une vue parfaite sur sa chatte. Chatte par ailleurs totalement épilée, puisque le bon roi Priape déteste les poils !

Viviane rougit d’embarras, et elle se sent devenir toute moite d’être ainsi exposée sans vergogne aux yeux pervers de ce féroce géant.

Elle se console en pensant qu’elle n’a de toute façon pas le choix : se battre en armure face à un adversaire n’en possédant pas serait inconcevable, absolument pas chevaleresque.


Elle attache son fourreau autour de sa taille, ce qui a pour effet malheureux de tirer l’ourlet de sa tunique encore plus haut, de sorte que le bas de ses adorables fesses rondes est maintenant exposé au grand jour.

Elle remarque que cela n’est pas sans effet sur son ennemi, dont le membre à moitié dressé dessine une tente sous son pagne.

Elle devient cramoisie de honte à la pensée d’être la source d’un tel plaisir chez une créature aussi vile. Mais qu’il en soit ainsi, il va falloir se battre, maintenant.


Elle tire donc son épée et la tient en l’air, en position de quarte. À ce mouvement, le bas de sa tunique se relève encore plus, exposant entièrement son sexe glabre. En face d’elle, le Géant des bois, ignorant l’épée brandie, fixe rêveusement le joli sexe et la poitrine de son adversaire et se demande ce que ça ferait que de sucer ces tétons qui dardent si vaillamment.

Dame Viviane, ignorant le trouble qui l’envahit, recouvre suffisamment son sang-froid pour crier au Géant :



Le Géant est tellement hypnotisé par ce superbe corps pulpeux, qu’elle abat son épée sur lui avant qu’il ne se rende compte qu’elle avait chargé.

Viviane est une vraie Chevalière, courageuse, combattante hors pair à l’épée. Mais, hélas ! la bataille tourne court. La bravoure de Dame Viviane n’est pas à blâmer, mais son adversaire du jour mesure presqu’un mètre de plus qu’elle et son allonge lui est également très supérieure, sans même parler de sa musculature bien plus puissante. Ainsi, quand le colosse se rend enfin compte que l’épée de Viviane s’approche dangereusement de son torse, d’un puisant coup de gourdin il fait voler la lame à vingt pas de là, dans un buisson.


La brave Chevalière se retrouve alors quasiment nue et absolument sans défense face à l’immense Géant des bois.



Elle baisse la tête, puis tombe à genoux devant lui.



Mais il ne bouge pas et le renflement gigantesque sous son pagne trahit son excitation.


Le visage défait, Viviane tend la main et dénoue la cordelette tenant le pagne du géant. Comme monté sur ressort, son énorme pénis en jaillit. Les yeux de la Chevalière s’écarquillent : elle n’avait encore jamais vu membre aussi attirant. L’impressionnant gland couronnant cette merveille de la nature plane juste à quelques centimètres de ses lèvres.



Attrapant la blonde chevelure, il tire la tête de la Chevalière vers lui, jusqu’à enfourner sa gigantesque queue entre ses lèvres. Il n’en rentre même pas la moitié avant qu’elle ne commence à s’étouffer. Il la lâche alors, et Viviane, respirant avec peine, commence à sucer le vit et à passer sa langue dessus.

D’un mouvement rapide, le géant s’étant saisi de la tunique, ultime rempart de la pudeur de Viviane, la déchire en deux, de sorte qu’elle est maintenant complètement nue.


Toute honte bue, Viviane branle maintenant le mat du géant de la main droite, sa langue agaçant son gland, tandis qu’avec l’autre main, elle vient doigter frénétiquement son clitoris, faisant sourdre de sa chatte des flots de mouille.


Les Géants ne sont pas très résistants. Ou alors, cette situation est trop excitante pour lui. Ou bien les humaines sont-elles plus stimulantes. Toujours est-il qu’après à peine une minute dans la bouche de Viviane, en un terrible mugissement, Glorg libère une quantité considérable de foutre dans le gosier de la guerrière. Elle ne peut que déglutir frénétiquement pour tenter d’avaler toute cette manne.

Quand enfin elle a absorbé le sperme jusqu’à sa dernière goutte, le Géant sort son sexe de sa bouche et la poussant au sol, il se penche sur elle et vient lécher ces tétons qui l’avaient tant émoustillé. Il les suce, il les mordille, il les lèche, et, ce faisant, il amène la blonde à gémir de contentement. De sa main droite, dont les doigts sont aussi gros que des saucissons, il commence à tracer de petits cercles autour des lèvres vaginales et du clitoris de Dame Viviane.


Enfin, s’enhardissant, il insère deux doigts en elle, gentiment d’abord – parce qu’il se doute que c’est pour notre héroïne la première fois que quelque chose d’aussi gros entre en elle – puis plus fortement et rapidement, tout en lui massant le clitoris avec son pouce.

Il est en train de la préparer à recevoir quelque chose de considérablement plus gros.

Trop gros peut-être ? Dame Viviane est brave :



A ces mots, il la met à 4 pattes, la manipulant telle une marionnette, puis pousse son énorme queue, toujours en érection, entre les lèvres luisantes de sa chatte. D’une seule longue poussée, il parvient tout au fond d’elle. Enfin, il ne rentre pas tout, il y en a encore pas mal qui dépasse. Viviane gémit de douleur et de plaisir mélangés : même totalement lubrifiée comme elle l’est, ça coince ! Elle est littéralement farcie par ce gourdin, qui, à chaque poussée, rentre un peu plus.

L’ogre la pistonne – dedans, dehors, dedans, dehors – et les feulements d’extase de Viviane emplissent la clairière, faisant fuir de terreur tous les animaux à 200 mètres à la ronde, jusqu’à ce qu’un puissant orgasme la terrasse en vagues successives qui irradient de sa chatte dévastée.

Passablement excité par ce bruyant orgasme, le colosse éjacule à grands jets dans cette matrice si accueillante.

C’est bien autre chose que quand il copule avec son épouse, Glourma. Avec elle, il a toujours l’impression d’enfiler un sac de jute.


Se retirant du sexe de Viviane, en un grand bruit de succion, il s’assied dans l’herbe de la clairière. Le sperme coule de l’extrémité de son pénis, et Viviane le sent aussi qui coule de son vagin.


Avant qu’il ne dise quoi que ce soit, elle le prend à nouveau dans sa bouche. Elle lèche son sperme, ainsi que les sécrétions provenant de sa chatte, jusqu’à ce que le phallus, toujours étonnamment en érection, soit bien propre.

Glorg s’allonge alors complètement dans l’herbe et portant Viviane à bout de bras, il plante à nouveau son puissant mandrin au plus profond d’elle. Il la contemple alors, alors qu’elle est dans un état second, se balançant de haut en bas sur sa puissante queue, sentant sa chatte s’étirer à l’intérieur.


Alors qu’elle sent poindre un deuxième orgasme, elle pose délicatement son index droit sur son clitoris, se touchant comme elle seule sait le faire, tandis que le géant, ayant récupéré directement à cette source intarissable un peu de mouille, enfonce un de ses doigts, gros comme un saucisson, dans son anus.

Ils adoptent alors un même tempo, le Géant poussant avec son bassin et faisant coulisser son doigt dans l’anus, maintenant bien ouvert, au même rythme que Viviane frotte son clitoris.

Cela déclenche chez Viviane un second orgasme, encore plus explosif que le précédent : elle crie si fort que son cheval, qui paissait dans la clairière, se cabre en hennissant de peur.


Le Géant n’en a cependant pas encore fini avec elle. Alors qu’elle s’effondre sur lui, ses jambes trop faibles pour la soutenir, il la soulève, la couche dans l’herbe sur le ventre et la pénètre à nouveau par derrière, admirant son magnifique cul pommelé. Cette fois, il est plus doux, plus tendre, bien qu’il la pénètre encore plus profondément. Il n’arrive pas à le croire, mais son sexe entre presque complétement en elle à présent.

Il ne faut que quelques minutes avant qu’elle n’éprouve un troisième orgasme ; il se laisse alors aller, l’accompagnant dans la jouissance. Se retirant de sa chatte, il jouit à longues saccades sur ses fesses, admirant le blanc nacré de son sperme qui glisse lentement dans l’anus encore ouvert.


Elle est à présent allongée sur l’herbe, trop fatiguée pour bouger.



Et sur ces mots, il remet son pagne, soulève son gourdin et, emmenant le mouton sur son épaule, disparait dans les bois épais, la laissant seule, nue, pantelante.


Il se passe un très long moment avant que Dame Viviane ne puisse esquisser le moindre geste. Ses jambes lui semblent être transformées en gelée tremblotante et sa chatte n’est qu’un abîme de douleur. Elle reste allongée là, sentant la brise fraîche et le soleil chaud se relayer sur son dos.


Finalement, elle se sent assez forte pour s’habiller, remettre son armure tant bien que mal et faire le trajet de retour vers le château du Roi Priape.

Quand elle y arrive enfin, elle envoient un page quérir l’Abbé Joseph.

Quand il arrive, la voyant si abattue, il se précipite à sa rencontre :



Soutenant Dame Viviane, il l’amène jusqu’à sa chambre dans le château. Il reprend alors la parole :