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n° 20100Fiche technique13899 caractères13899
Temps de lecture estimé : 8 mn
03/03/21
Résumé:  Pauvre Roméo, confronté à l'infidélité de Juliette...
Critères:  fh extracon candaul fsoumise cérébral noculotte pénétratio init humour -humour -totalsexe
Auteur : Honoré
Roméo et Juliette... et Alphonse !




Alphonse, un ami de Roméo, devait assister à un concert dans leur ville et avait été invité à venir passer la nuit chez eux. Roméo devant rentrer un peu tard, il avait demandé à Juliette de se charger de l’accueil de leur hôte. Juliette n’aimait pas beaucoup cet homme, pas vraiment beau, bedonnant, vulgaire, mais qui, malgré tous ses défauts, ou pour les oublier, s’acharnait à séduire toutes les femmes qu’il rencontrait. Il ne voulait pas leur plaire, il voulait les baiser ! Juliette avait bien remarqué que les yeux d’Alphonse s’attardaient volontiers sur ses seins, ses hanches, et donc aussi sur ses fesses, supposait-elle… Elle n’avait pas aimé cette concupiscence, même si, en même temps, elle en était flattée… (Ah, les femmes !) Mais bon, depuis qu’elle s’était mariée, Juliette était restée fidèle à son époux et n’avait jamais tenté de déroger à cette règle. Comme elle craignait de devoir faire la conversation à Alphonse pendant des plombes, Juliette pressa Roméo de ne pas rentrer trop tard.


Après avoir jardiné tout l’après-midi, Juliette sortait de la douche, vêtue d’un léger peignoir, quand elle entendit sonner. Croyant que leur voisine venait encore lui emprunter quelques ingrédients pour préparer l’une de ses inénarrables recettes, Juliette ouvrit la porte, insouciante, et se retrouva, nue et encore tiède sous son peignoir, en face d’Alphonse qui, surpris par sa tenue légère, la salua avec désinvolture, puis retrouva promptement ses esprits et son naturel concupiscent pour admirer complaisamment cette beauté, peut-être un peu froide, mais aux seins pleins qui tendaient le peignoir, aux hanches larges et aux jambes galbées, mettant Juliette mal à l’aise devant ce cavalier examen de son anatomie.


Il posa son sac et referma la porte. Avec quelques réticences, Juliette lui souhaita timidement la bienvenue, excusa l’absence de Roméo et tendit ses lèvres vers la joue d’Alphonse, mais fut toute surprise quand sa bouche rencontra les lèvres de l’homme. En la regardant droit dans les yeux et la couvant d’un regard lourd, il passa son bras autour de sa taille mince pour la presser contre sa bedaine, couvrit de sa bouche la bouche de son hôtesse, et sa langue y pénétra lentement, se lovant contre celle de Juliette.


Juliette, surprise par cette invasion, réticente, mais peu habituée à affronter le désir des hommes, résista, essaya de le repousser, puis finit par le laisser faire, parce qu’elle ne voulait pas d’esclandre avec un ami de son chéri. Ses yeux, hagards, rencontrèrent ceux d’Alphonse, y lurent un désir faunesque, son ventre sentit la fermeté du sexe qui se pressait contre lui… La langue qui s’enfonçait dans sa bouche l’empêchait de se défendre et de lui signifier son refus. Se résignant, Juliette feignit d’accepter le baiser, espérant que sa passivité décevrait Alphonse et l’inciterait à la brièveté, mais le baiser dura et Juliette fut surprise de ne pas être dégoûtée par cet envahissement de sa bouche par cette langue qui y prenait ses aises, et même de commencer à y prendre goût… Juliette, jusqu’alors épouse fidèle, était troublée par la langue importune d’un impudent qui se frottait à la sienne, et ne savait plus comment concilier son rejet de ce goujat adipeux (mais qui savait embrasser) avec son trouble en face de sa belle érection qui, à son insu la flattait…


Juliette, troublée par ce baiser, hésita un peu et rendit les armes. Vaincue par l’énergie du soudard, elle passa maladroitement ses bras autour du cou de son hôte, laissa son ventre se plaquer contre le ventre, dur, de l’homme, et sa langue accepta la pression de celle d’Alphonse. Alors, les mains de l’homme se firent plus audacieuses, retroussèrent le peignoir pour caresser les fesses de la femme, pincer leur fermeté crispée, se hasardèrent entre elles, puis remontèrent le long de son dos, jusqu’à sa nuque, qu’elles effleurèrent légèrement. Ensuite, il glissa ses mains dans l’échancrure du peignoir, le rabattirent sur sa taille pour exposer ses seins pleins et généreux à sa vue et leur donner l’assaut pour les pétrir lentement, fermement, les empaumer et en déguster la moelleuse fermeté, puis il se mit à jouer délicatement avec ses tétins, les titillant sans vergogne et, baissant la tête, il les suçota et les téta avec une avidité gourmande.


Juliette savourait les prémices de son premier adultère et s’abandonnait doucement, langoureusement à la lubricité virile. Les mains d’Alphonse poursuivirent leur avantage, ouvrirent la ceinture du peignoir, l’écartèrent et descendirent jusqu’au ventre pour se poser sur le pubis, faisant naître un profond soupir dans la bouche de Juliette. Toujours maître de ses lèvres, il la poussa contre le mur et ses doigts s’attardèrent dans la toison féminine, trouvèrent le clitoris qu’ils titillèrent doucement, longuement. Juliette se mit à respirer de plus en plus vite, de plus en plus fort et poussa un petit cri pour annoncer l’imminence d’un premier orgasme, pendant qu’Alphonse poussait plus loin et s’aventurait dans l’oasis qui commençait à sérieusement s’humidifier. Fiérot, il enfonça gaillardement son majeur dans la vulve, arrachant un nouveau cri, plus fort, à Juliette. Puis son doigt explora les profondeurs de la chatte de la femme qui ne pouvait plus se retenir plus et qui, le corps soudé contre celui d’Alphonse, la tête sur son épaule, déposait des rafales de halètements, de gémissements, et de cris dans l’oreille de l’homme…



Sans attendre de réponse, il dégrafa sa ceinture, baissa son pantalon et son slip pour, dans un ricanement narquois, enconner brutalement la tendre Juliette, appuyée, debout contre la commode de l’entrée. Surprise par la taille et la raideur de la verge du satyre, Juliette accueillit l’entrée en elle de cette chair par un « Oh… » de ravissement, accompagné d’un regard surpris. Accompagnant la pénétration par des râles remontés de profond de ventre bien rempli, Juliette se surprit à répondre, devenant tout aussi vulgaire :



Alphonse la ramona quelques minutes, debout, en commentant :



Mais il trouva vite inconfortable la position.

Malgré la plainte de sa maîtresse, Alphonse se détacha d’elle et la poussa, sans que ses mains ne lâchent les seins et les fesses de sa conquête, jusqu’à la chambre conjugale pendant que la main de la douce Juliette tenait le diable d’homme par la queue.


Arrivée sur le seuil de sa chambre, Juliette s’arrêta… et s’opposa au désir pervers d’Alphonse de profaner la chambre conjugale, même s’il l’embrassait, la doigtait à nouveau, en pressant son braquemart contre son ventre. Sa chatte brûlait de recevoir à nouveau ce robuste mandrin qu’elle serrait dans sa main, mais, retenue par une ultime réticence :



Elle réussit à l’entraîner vers la chambre d’amis, voisine.


Conciliant, il l’accompagna jusqu’au lit, l’y allongea sur le flanc, se coucha derrière elle, il lui releva une jambe et, en cuiller, il glissa à nouveau son sexe dans le vagin maintenant bien lubrifié d’une Juliette qui ne cessait de gémir et quand, toujours finement, il lui dit :



Juliette, s’abaissant au diapason de son baiseur, lui répondit :



Emportée par les violentes sensations qui l’agitaient, tout en se sentant coupable et honteuse de trahir son époux, de plus en cédant à un tel homme, Juliette ahanait au rythme des coups de boutoir de son baiseur. Soudain, elle fut surprise par une sensation encore inconnue, un éclair, une vague, une énorme vague, bien plus forte que ce qu’elle avait jamais connue avec Roméo, qui l’envahit, remontant du fond de son vagin jusqu’à sa poitrine, sa tête, qu’elle exprima par un cri rauque, sauvage… Pour la première fois de sa vie, Juliette jouissait vraiment, « comme une folle », et son cri surprit Alphonse qui ne se retint plus et conclut son assaut vigoureux en crachant son plaisir dans le ventre accueillant qu’il avait besogné si gaillardement.

Embrassée, caressée, pénétrée, assommée par l’orgasme, Juliette avait complètement oublié son mari.


Justement… En arrivant au pavillon, Roméo fut surpris de ne trouver ni sa douce moitié ni son invité, sur le perron. Néanmoins, sans s’inquiéter (« Ils sont peut-être sortis faire des courses… »), il entra, se défit de sa veste, de sa cravate et se dirigea vers la salle de bain. Il sursauta quand, provenant de la chambre d’amis, il entendit un long cri. Arrivé devant la porte entrouverte, il vit Juliette nue, allongée sur le flanc, et Alphonse, nu également, allongé derrière elle, le ventre pressé contre les fesses et le dos de Juliette, qui lui caressait négligemment les seins. Juliette, nue, enlacés par un homme sur le lit… ses seins pressés par les mains de cet homme, ses tétins livrés à des doigts qui en jouaient, son beau cul écrasé par ce gros ventre, ses jambes écartées, l’une pliée en arrière, entre lesquelles apparaissait des couilles qui laissaient entrevoir un sexe encore bien planté, comme réticent à abandonner le corps de la femme après une si agréable visite… Cette vision n’était pas un fantasme ; c’était la réalité, ce qui s’était passé, ce qui se passait réellement.


Roméo ouvrit complètement la porte et entra dans la pièce. En le voyant arriver, Alphonse fut quelque peu déconcerté. Comment Roméo allait-il réagir ? Celui-ci hésita, regarda Juliette qui, les yeux fermés, ne l’avait pas vu ni entendu entrer.


Juliette, les yeux fermés, digérait, avec gourmandise, le plus bel orgasme de sa vie, mais se sentait un peu honteuse d’être sur ce lit, allongée, nue, contre un homme nu dont le sexe, même ramolli, n’était pas encore complètement sorti de son vagin ravagé par l’hommage magnifique qu’il venait de recevoir et qui l’avait fait jouir si fort. « Oh la la… quel orgasme ! »…


Roméo, assommé, regardait son ami, allongé derrière l’amour de sa vie, son vit dégorgé encore fiché dans son con.


Juliette, en ouvrant les yeux, après, découvrit son mari qui, perdu, hébété, les regardait sans pouvoir dire un mot. Alphonse, rassuré par l’absence d’agressivité de Roméo, se sentit badin et, lâchant les nichons de Juliette, tendit la main vers Roméo pour le saluer comme si de rien n’était. Roméo, complètement paumé, accepta la main tendue et se surprit à y chercher l’empreinte, la chaleur des seins de Juliette, que la main impie de Alphonse venait de profaner.


Roméo, toujours profondément choqué par le spectacle, ne pouvait néanmoins en détacher les yeux. Malgré sa vive douleur d’avoir été trahi, il se rendait compte qu’il était aussi terriblement excité… et qu’il bandait à en avoir mal.


Alphonse, savourait la perversité de la scène et l’embarras de Roméo, et recommença à caresser les seins de Juliette tout en lui demandant, devant son mari :



Excité par la situation, le poussah sentait à nouveau son sexe se gorger de sang, durcir à nouveau à l’intérieur de la chatte de Juliette. Juliette sentit renaître dans son ventre le désir de son amant et, se faisant féline, l’encouragea d’un discret miaulement, tout en remuant légèrement les fesses pour masser le ventre de son amant, tout en jouant de ses muscles vaginaux pour masser la bite confortablement installée en elle. Tournant la tête vers Alphonse, Juliette lui tendit ses lèvres en lui disant, crûment :



Roméo, dans un état second, s’approcha de Juliette, l’embrassa, lui caressa les seins, descendit vers son ventre, trouva son clitoris, puis ses doigts rencontrèrent le sexe maintenant bien dur d’Alphonse fiché dans le sexe de son aimée. Avec un grand sourire accompagné de petits gémissements, Juliette lui dit, dans un tendre sourire :



Encouragé par les mots et les mouvements des fesses de Juliette contre son ventre, Alphonse reprit ses va-et-vient, d’abord lents, puis rapides, et enfin effrénés, dans le ventre de son amante, sous le regard abruti de Roméo, jusqu’à la jouissance, célébrée à grands cris par les deux amants, sous les yeux du mari, complice bien malgré lui !