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n° 20105Fiche technique31401 caractères31401
Temps de lecture estimé : 18 mn
05/03/21
corrigé 30/05/21
Résumé:  Ce vendredi soir du mois de mai, je participe au club de jeux qui se tient dans un bâtiment municipal. Parfois, plus ou moins à la même heure, il arrive que je sois en train de jouer avec des couples libérés dont la femme est peu farouche.
Critères:  fh voir caresses fellation cunnilingu pénétratio jeu -rencontre
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Jeux d'artifice


Un petit texte tout simple… et ludique…

Bonne lecture :)





Premiers jeux




Ce vendredi soir du mois de mai, je participe au club de jeux qui se tient dans un bâtiment municipal. Parfois, plus ou moins à la même heure, il arrive que je sois en train de jouer avec des couples libérés dont la femme est peu farouche.


D’ailleurs, j’ai un prénom prédestiné aux jeux de toute nature, surtout les ludiques, puisque je m’appelle Ludovic, Ludo pour les intimes.


Du haut de ma trentaine, la nature ne m’a pas trop loupé, et j’entretiens ma forme avec divers exercices et autres machines que certains disent de torture. Du coup, en général, les femmes aiment bien jouer avec mes biceps et mes tablettes de chocolat, sans oublier ce qui existe plus bas. Ce soir, un t-shirt blanc et un jean bleu m’habillent et me mettent assez en valeur, je l’admets. C’est l’une de mes maîtresses mariées qui me sert de coach en habillement depuis quelques mois, et ses conseils m’ont aidé bien des fois !


Dans le club, il y a grosso modo deux populations : ceux qui jouent à des gros jeux et ceux qui préfèrent les plus légers. Je fais partie de la seconde catégorie, même si je ne déteste pas m’offrir une partie plus longue de temps à autre. Néanmoins, je ne suis pas un grand adepte de m’avaler vingt pages de règles avant de commencer une partie, et de devoir me plonger dans le fascicule toutes les deux minutes pour vérifier un point de détail !


Actuellement, je suis en train de jouer une partie de Kingdomino (un jeu assez simple et bien conçu) avec Morgane qui a sensiblement le même âge que moi. Ç’aurait été plus amusant d’être à trois ou quatre, mais c’est déjà bien que je puisse jouer avec elle. Ça va faire maintenant presque deux mois qu’elle vient au club, et d’entrée, cette petite chose toute mignonne m’avait tapé dans l’œil. Si elle me disait oui, je ne lui dirais pas non, mais je me méfie des femmes célibataires, car certaines ont tenté de me mettre sérieusement le grappin dessus. Je ne suis pas contre la vie de couple, mais pas sous n’importe quelle condition.


N’empêche qu’elle est adorable avec ses grands yeux noirs, son petit chignon de la même couleur et son fin pull ébène qui moule sa délicate poitrine sans en faire de trop. Plus bas, ma partenaire de jeux a mis une jupette écossaise à carreaux noirs et rouges ainsi que des bas ou des collants sombres, je ne saurais dire. Enfin, des chaussures à talons moyens garnissent ses pieds. Je reconnais que cet ensemble lui va fort bien, et accentue son côté mignonne poupée fragile, d’autant que je la dépasse allégrement d’une bonne tête.


Il y a des jours où je regrette de rentrer dans un appartement vide, j’aimerais bien qu’il y ait une présence féminine. Mais suis-je vraiment capable de renoncer à mes petits jeux triangulaires ? Je ne sais pas…


Soudain, alors que nous sommes au plein beau milieu de la partie, tuile en main, intriguée, Morgane se redresse :



Posant sa tuile dans son royaume, elle se montre très intéressée :



Nous abandonnons momentanément notre partie en cours, changeant de salle, puis nous débouchons sur un couloir sombre. Alors que je m’apprête à monter l’escalier, j’entends un bruit de craquement derrière nous. Surpris, Morgane et moi, nous nous regardons. Désignant l’escalier, je dis alors à Morgane :



Je repars sur mes pas, je regarde, je scrute, je ne vois rien. Sans doute une poutre qui vient de jouer, le bâtiment n’étant pas tout neuf, ni très récent, il doit avoir au moins cent ans, si ce n’est plus. Alors revenant dans le couloir, je pose le pied sur la première marche, Morgane étant devant moi, un peu plus haut qu’à mi-parcours, ses gambettes gainées de noir émergeant fort bien de sa jupette écossaise à carreaux rouges et noirs.


De là où je suis, en contre-plongée, je distingue nettement les bandes noires de ses bas ou de ses collants, impossible à dire. Mais j’adore ce genre de vision très émoustillante. Alors j’attends un peu, laissant Morgane monter un peu plus haut. J’en profite même pour m’abaisser légèrement pour avoir une meilleure vue d’ensemble.


C’est avec un grand sourire que je constate qu’il s’agit de bas autofixants puisque je ne distingue aucune attache, et que je peux contempler avec satisfaction la chair blanche des cuisses au-dessus de la bande noire. Mes maîtresses m’offrent souvent ce petit plaisir d’être nues ou presque, les jambes gainées de noir avec ou sans porte-jarretelles…


Un spectacle très émoustillant !


Aujourd’hui aussi, c’est une agréable vision que j’ai sous les yeux. Volontairement, je reste sur la première marche, en fléchissant plus encore mes jambes pour ne rien perdre du spectacle et en découvrir plus encore ! Parfois, je regrette d’être plus grand que la moyenne…


C’est alors que je suis surpris ! On dirait bien que Morgane ait oublié de mettre une petite culotte ! Ou bien, je me fais des idées, l’escalier étant assez sombre. Ou bien, elle porte un string. Ou bien, sa culotte est de couleur chair ou proche. Ou bien, en effet, elle ne porte rien…


En tout cas, cul nu n’est pas perdu !


Morgane arrive sur le palier, je me redresse avant qu’elle ne se retourne et je commence à grimper les marches deux à deux. Puis je l’invite à aller au fond du couloir de l’étage :



Peu après, nous entrons dans une salle qui sent la térébenthine et autres produits un tantinet désagréable pour les cloisons nasales. Effectivement, de la fenêtre, on peut voir parfaitement des lumières colorées et vibrantes. Comme le temps reste clément, j’ouvre la fenêtre pour être moins assailli par les odeurs. Morgane s’extasie devant le chatoiement du feu d’artifice. Pour ma part, je suis plutôt en train de repenser à ce que j’ai pu voir et aussi à ce que j’ai cru voir.



En réalité, je n’ai pas trop fait attention, je suis un peu perdu dans mes pensées…


C’est alors que je m’amuse à imaginer Morgane à la place des femmes mariées que je côtoie. Quelque chose me dit que ce ne serait pas une mauvaise idée et que j’aurais beaucoup à y gagner. Mais voilà, ma voisine de fenêtre n’est pas mariée et elle est célibataire. Est-elle du style à vouloir se caser à tout prix ? Je ne pense pas si j’en crois ce qu’elle a pu me confier la semaine dernière à ce sujet. Sa maxime en la matière est « Vaut mieux être célibataire que mal accompagnée ». Ce qui est aussi mon avis.


Envoûtée par le spectacle, elle s’exclame :



Machinalement, je réponds :



Ah zut, je viens de m’exprimer à voix haute. Je tente de détourner l’attention :



Elle frissonne un peu, l’air étant devenu plus frais. Je pose ma main sur son épaule. Elle ne dit rien, elle s’appuie même un peu contre moi. Nous regardons les autres fusées monter dans le ciel et exploser en mille gerbes.



Étonné, je la lâche. Elle recule un peu, puis elle en profite pour se moucher. Durant ce temps, je referme la fenêtre. Ceci fait, elle se replace devant pour continuer à regarder le feu d’artifice. Je me replace près d’elle, mettant à présent ma main sur sa taille, un peu au-dessus de sa hanche, mon bras dans son dos. Une fois de plus, elle ne dit rien, elle s’appuie à nouveau contre moi. L’un contre l’autre, nous continuons à regarder les autres fusées monter dans le ciel et déflagrer en mille fleurs de feu pour redescendre lentement vers le sol.



Décidément, elle a pris froid. Après s’être mouchée, elle s’excuse :



Puis les bras le long de son corps, ses mains sur son ventre, elle se place au milieu de la fenêtre afin de continuer à regarder le feu d’artifice. Je sens confusément qu’il y a quelque chose à tenter, alors je me place derrière elle, touchant le haut de son dos de mon torse, l’enveloppant de mes bras, pour pose mes mains sur le haut de son ventre, au-dessus ses propres mains. Elle se laisse aller contre moi. Me voûtant un peu, je pose ma joue sur le haut de sa tête, dans ses cheveux de soie. Nous regardons la suite du feu d’artifice.


Nous restons ainsi, silencieusement, tandis que les dernières fusées éclatent au lointain. Puis le bruit s’arrête, le calme revient, plus aucune lumière dans le ciel. Le feu d’artifice est visiblement fini. Pourtant, nous restons immobiles, regardant le ciel vide.


Le temps passe, lentement, imperturbablement, sans que nous ne bougions. Pour ma part, j’ai peur de briser le charme, et je tiens à profiter de la situation le plus longtemps possible. C’est Morgane qui brise le silence la première :



Ma partenaire de jeu ironise :



Sans bouger, sans s’évader de mes bras, d’un ton amusé, regardant toujours par la fenêtre un ciel vide de lumière, Morgane me demande :



Sans m’émouvoir, je resserre un peu plus mon étreinte :



Je reste philosophe :



Elle s’étonne :



Je propose une excuse imparable :



Puis joignant le geste à la parole, je capture ses deux seins par-dessus le tissu. Je tente ma chance, et tant pis si je reçois une gifle ! En tout cas, j’adore le moelleux et la forme de ses délicats lolos ! Et la gifle n’arrive toujours pas…


Alors je m’enhardis encore un peu plus, la caressant lentement, délicatement, comme si Morgane était une poupée de porcelaine très fragile…


Au bout d’un certain temps, ma partenaire de jeu persifle :



Je continue de tenter ma chance en l’embrassant dans le cou. Elle pousse un petit cri, mais ne se dégage pas pour autant. Sauf erreur de ma part, je peux en conclure que la voie est libre, et que je peux me permettre de moins marcher sur des œufs. Ce qui ne signifie pas pour moi de verser dans l’excès inverse.


Alors je continue à l’embrasser délicatement dans le cou, à lui mordiller un peu le lobe, tout en n’oubliant certainement pas de masser et peloter sa tendre poitrine. De son côté, elle se laisse aller contre moi, jouant impudiquement de ses fesses contre mon sexe raide comme une colonne de bronze.


Si ce n’est pas une permission d’aller plus loin, je me demande bien ce que ça peut être ! Alors je glisse mes mains avides sous son pull afin d’aller mieux capturer ses deux mignons seins. Il ne me faut pas bien longtemps pour les extirper de leur emballage de dentelle, afin de savourer leur douceur et leur moelleux !


Me redressant un peu plus, je surplombe sa tête pour venir cueillir ses lèvres rosées. C’est un long baiser langoureux qui nous unit, à la fois tendre et vorace, qui me fait énormément d’effet, bien plus qu’avec toutes mes précédentes conquêtes ! Quelque chose au fond de moi me dit que cette mignonne petite Morgane risque de prendre prochainement beaucoup de place dans ma vie, et pas que pour quelques jours…




Autres jeux



L’intérêt de partager les mêmes passions, c’est que ça peut simplifier bien des choses. Nous jouons souvent le soir, mais la plupart du temps, nous ne finissons pas notre partie, ayant trop envie l’un de l’autre. Parfois, nous épiçons nos activités ludiques, ce qui est d’ailleurs le cas de ce soir, puisque ma nouvelle petite amie est en nuisette, ce qui est très agréable pour les yeux !


À ma grande joie, Morgane est très ludique dans la spécialisation du sport en chambre, ce qui fait admirablement bien mes affaires. Comme on le dirait dans le domaine du jeu : bonne pioche ! Et parfois, je dois reconnaître que je me fais déborder par ma compagne.


Ma compagne, c’est vite dit, puisque nous ne vivons pas encore ensemble, même si nous partageons souvent les mêmes nuits et le même lit, mais je pense que cette étape sera bientôt franchie. Néanmoins, Morgane n’est pas très pressée, et cette fois-ci, c’est plutôt moi le demandeur, le monde à l’envers par rapport à mes ex. Mais chaque chose en son temps.


Donc pour l’instant, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.



Elle joue les blasées :



Je regarde attentivement les tuiles déjà posées, je compte rapidement le score de chacune des colonnes puis de chacune des rangées. Ceci fait, je me dis que je suis assez mal parti, mais je vais quand même essayer de redresser un peu la barre, sans trop offrir d’avantages à mon adversaire de jeu, même s’il s’agit de la femme que j’aime.


Après mûre réflexion, je pose une tuile sur un emplacement libre :



Elle tend son visage vers le mien :



Elle se contente de rire doucement. La partie continue. Une fois le jeu terminé sur sa victoire, Morgane me demande :



Ce n’est pas faux, mais je trouve ce jeu un peu léger. Je continue sur ma lancée :



Étirant ses bras, ma compagne se lève de table, dardant sa mignonne poitrine vers moi que je peux très bien admirer à travers la transparence de sa nuisette. Tandis qu’elle se déplace, je la suis amoureusement des yeux, je suis décidément complètement dingue de cette femme. Lentement, elle s’approche de moi en disant :



Je comprends vite qu’elle souhaite s’asseoir sur mes genoux, je recule donc ma chaise. Morgane s’installe aussitôt, nouant langoureusement ses bras autour de mon cou :



Elle me sourit :



Me levant de ma chaise, je soulève ma compagne dans mes bras, direction le canapé. En un rien de temps, ma tête est déjà entre ses cuisses, ma langue en train de laper sa mignonne chatounette humide et odorante. J’adore le goût de sa cyprine, c’est une friandise dont je ne me lasse pas ! Alors j’en profite un maximum et Morgane en fait de même en se laissant faire. À grand renfort de léchouilles, de lapement et de bruits incongrus, je sens sous ma langue ma compagne se mettre à frémir. Alors je poursuis de plus belle ma dégustation. Bientôt des petits cris se font entendre par-dessus ma tête, je sais que je vais avoir le plaisir de faire jouir ma partenaire, une chose que j’adore faire.


Ses lèvres intimes laissent échapper de plus en plus de cyprine que je m’empresse de boire. Morgane tangue, oscille, ondule sous ma langue vorace et suave. Ses doigts se noient dans mes cheveux, ses cris deviennent de plus en plus désordonnés, la vague de jouissance n’est plus très loin, elle s’apprête à la submerger dans quelques secondes.



Tandis qu’elle jouit, je continue ma caresse insidieuse. Morgane repousse ma tête, mais je reviens à la charge à chaque fois. Puis je décide de plonger en elle, profitant de sa jouissance pour lui en procurer une autre, tout en m’assouvissant moi-même. Je me redresse, le sexe bien dardé, visant délibérément une vulve luisante largement ouverte.


C’est avec une facilité déconcertante que je m’introduis sans effort en elle tandis qu’elle pousse un long soupir d’aise. Je me glisse jusqu’au fond, savourant ma mise au chaud. Ouvrant momentanément les yeux, Morgane siffle :



Parfois, Morgane se laisse aller à des mots crus, ce qui m’excite encore plus. Je la pistonne avec délectation, tandis que des jambes fines se nouent autour de mes lombes. Pour une femme qui me traite de petit salopard, je la trouve bien permissive et encourageante ! Mais ça me change agréablement de la plupart de mes précédentes conquêtes qui chipotaient souvent. Ma nouvelle compagne est assurément une joueuse, il suffit d’être au moins à sa hauteur et d’entrer dans son jeu.


Et pour ce genre de jeu, je suis toujours partant, même à l’article de la mort !


Ses nouveaux petits cris me confirment que j’ai bien fait de l’investir et que mon initiative est la bienvenue. Ce qui décuple mon envie d’elle et de me laisser aussi aller. Je continue mes va-et-vient en elle, savourant au passage son antre si doux. Je serre parfois les dents et je souffle longuement pour mieux me contenir. L’amour, c’est comme un marathon, ça se joue sur la longueur.



Toute frémissante, Morgane jouit à nouveau. La sentir vibrer sous moi fait ouvrir en grand les vannes et dans un long râle de plaisir, j’éjacule de tout mon être en elle, me déversant, me vidant, m’asséchant pour noyer sa vulve toute chaude et accueillante !


Puis je perds le fil, sombrant peu à peu dans une torpeur cotonneuse…


Oui, que c’est bon de faire l’amour ainsi à Morgane, de façon impromptue ! C’est si bon !


Quand je réémerge de la petite mort, je suis toujours partagé entre deux sentiments, le regret de quitter cet état si paradisiaque et le fait de revenir à la réalité afin de pouvoir contempler et de caresser le corps de la femme que j’aime.


Il n’empêche que le canapé, c’est quand même moins confortable qu’un lit à deux places, mais ça a un petit côté transgressif. Tandis que je caresse son ventre, je constate que Morgane bouge un peu, sa nuisette à moitié remontée par-dessus ses seins, puis elle ouvre les yeux, elle me sourit, puis elle lance son bras vers la table basse.


J’arrête son geste :



Elle se met à rire :



Lui obéissant, je glisse un mouchoir déplié sous ses fesses.


Tandis que je caresse son ventre et parfois ses seins, je contemple un liquide blanchâtre s’évader de sa grotte, puis dégouliner le long de ses lèvres souillées, puis de ses cuisses et fesses pour aller s’aplatir plus bas en une petite mare qui s’agrandit lentement mais sûrement.


Je sens une main se glisser dans mes cheveux, puis Morgane me susurrer :



J’embrasse son pubis :



Disant cela, je dépose un autre baiser sur son pubis. Morgane réplique :



Je veux bien le lui concéder, tandis que je dépose un troisième baiser sous son nombril :



Elle continue de caresser mes cheveux :



Ses doigts toujours dans ma chevelure, elle s’exclame :



Après un dernier baiser à l’orée de sa fente, levant la tête de son pubis, je lui propose :



Abandonnant ma tête, elle enlève sa nuisette qu’elle jette au milieu de la pièce. Puis de ses deux mains, elle presse ses seins l’un contre l’autre :



Il existe des choses pour lesquelles il ne faut pas me mettre au défi ! Je me relève aussitôt, la surplombant tant bien que mal sur le canapé, j’astique ma colonne déjà bien raide, ma verge pointée vers sa poitrine dardée en deux monts blancs jointifs.



Un deuxième fuse aussitôt, dépassant ses seins pour venir mourir dans son cou. Je tente de rectifier l’angle de tir. Mes autres jets, moins fournis, s’écrasent en effet sur sa poitrine et parfois ses doigts. Je suis un peu déçu de ne pas éjaculer plus que ça, mais c’est déjà un bon début !


Je suis asséché, plus rien ne sortira pour l’instant. Alors je me détends, mes muscles se relâchent, tandis que Morgane se masse sensuellement avec mon sperme. C’est très excitant et c’est très vicieux de contempler ses seins devenir luisants ainsi que ses doigts, surtout avec cette façon qu’elle a de le faire et de me regarder !


Admirant le spectacle qu’elle m’offre, mon sexe avachi pendouillant entre mes cuisses, à la fois épuisé et ravi, je la regarde amoureusement :



Bon prince, je vais laisser le dernier mot à ma chère Morgane…