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n° 20112Fiche technique31459 caractères31459
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07/03/21
Résumé:  Pour notre vingtième anniversaire de mariage, nous sortons au restaurant. Ma femme a décidé de m'offrir quelques petits cadeaux inattendus qui vont nous occuper toute la soirée et même plus. Mais l'un d'eux est vraiment exceptionnel.
Critères:  fh ffh fagée couple couplus cadeau inconnu grosseins caférestau anniversai fsoumise contrainte voir fmast intermast fgode jouet jeu uro -couple
Auteur : Antilope      Envoi mini-message
La Clef





Nous avions cinquante ans tous les deux. C’était notre vingtième anniversaire de mariage ! Nos amis nous enviaient beaucoup, et ils avaient raison, car notre couple était plutôt solide. J’avais pris un peu d’embonpoint avec l’âge, mais Valérie, ma femme trouvait ça plutôt à son goût. De mon côté, j’étais comblé. Mon épouse était encore bien foutue pour son âge. Certes, elle avait une poitrine qui tombait un peu, mais ses seins étaient gros alors une fois ramassés dans un soutien-gorge, c’était assez impressionnant. Mais le plus impressionnant était ses fesses. Elle avait un cul magnifique, qu’elle aimait mouler dans des jeans taille basse serrés à mort. Quelquefois, on avait l’impression qu’elle allait se couper en deux ! Cela faisait ressortir ses hanches larges et ses grandes fesses molles avec juste ce qu’il fallait de cellulite pour que ça bouge énormément lorsqu’elle marchait. Sur le devant, la couture de ses jeans pénétrait magnifiquement dans sa fente, et j’aimais beaucoup promener un doigt dans ce sillon de tissu.


Ajoutez à tout ça une grande chevelure brune qu’elle continuait à teinter pour me faire plaisir, un grand nez fin, une bouche presque animale et un sourire radieux qui éclairait son visage, et vous avez la plus belle quinquagénaire du monde.

Et ce soir-là, elle m’avait préparé quelque chose que je n’allais pas oublier de sitôt.


Nous sommes arrivés au restaurant, en retard, bien sûr, car madame avait passé une heure dans la salle de bain à se préparer. Pourtant, sans être méchant, sa tenue (en jean et chemisier) n’était pas si élaborée, et en plus, elle n’était pas vraiment adepte du maquillage, et d’ailleurs moi non plus.


Anciens hippies et motards tous les deux, nous étions plutôt adeptes du naturel, du sans soutif, et de la non-épilation, voire même parfois du sans petite culotte, mais elle ne le faisait pas quand elle était en jean, on pouvait imaginer que ça devait faire mal.


Le restaurant était rempli, mais nous avons eu la chance d’avoir une table plutôt à l’écart. Mes serveuses préférées étaient toutes là et nous avaient toutes salués, et il y en avait même des nouvelles. Il était encore tôt, ça promettait d’être une bonne soirée.

Un détail, toutefois, me laissait avec un arrière-goût de tristesse : un petit regard vers sa chatte moulée dans son jean m’avait révélé qu’on ne voyait pas sa fente. Son triangle était tout plat. J’en avais déduit, que c’était le jour du tampax. Quel dommage pour une occasion comme celle-là ! Heureusement Valérie était du genre à me faire quand même plein de choses sympas quand on était dans cette période.


Valérie a commencé :



Elle a déposé devant moi trois minuscules paquets, de la taille d’une petite boîte d’allumettes.

J’ai tout de suite pensé à des bijoux, j’avais tout faux.

J’ai saisi le plus petit pour l’ouvrir, mais elle m’en a empêché :



Je me suis exécuté, et j’ai ouvert le premier petit paquet qu’elle m’avait indiqué.

Il contenait un petit appareil qui avait un bouton on/off, une touche « + », une touche « - », une touche « go », et un petit écran. J’ai tenu l’objet dans mes mains sans arriver à identifier ce que c’était. Ça ressemblait à une clef de voiture.



J’ai ouvert le deuxième petit paquet, il contenait une petite boîte avec un QR code à l’intérieur.



Nous avons scanné le QR Code. Ça m’a emmené vers la page d’installation d’une application avec une icône rose… La description parlait d’un sex-toy intelligent contrôlé par smartphone.



J’ai ouvert le troisième petit paquet, il contenait juste une petite clef.


Euh… OK et ça, ça sert à quoi ?



J’ai allumé la petite télécommande. Le petit écran s’est éclairé, et un signe avec une petite antenne radio a clignoté pendant quelques secondes puis est devenu fixe. Au même moment, Valérie a sursauté. J’ai su plus tard qu’il s’agissait d’un « appairage » ! En gros, la télécommande me signalait qu’elle s’était connectée au vibreur qui se trouvait dans sa culotte, et ce même vibreur signalait à Valérie qu’une télécommande venait de prendre le contrôle, et il le faisait en vibrant pendant une seconde.



Le petit écran rétro-éclairé de la télécommande affichait « 00 ». J’ai appuyé sur le +, ça a affiché 01, et j’ai appuyé sur GO. Valérie s’est pliée en deux, bouche ouverte puis a éclaté de rire. Elle s’est redressée et m’a fixé avec la bouche toujours ouverte :



C’est là que la serveuse est arrivée avec nos deux cocktails, c’était une nouvelle, plutôt grande, brune, avec des formes plutôt sympas.

Valérie était tête baissée, bouche ouverte avec sa main qui cachait le bas de son visage. Parfois elle fermait les yeux. Je n’ai pas coupé l’appareil, au contraire, je l’ai mis sur 3.

La serveuse a demandé si on avait choisi, je me suis tourné vers Valérie pour lui demander, j’avoue que ce n’était pas sympa de ma part !…

Elle a regardé la serveuse, elle avait le visage rouge écarlate, la bouche ouverte. Aucun son n’est sorti de sa bouche et elle a fait signe de la main que non, puis a eu une sorte de spasme qui lui a secoué tout le corps, et elle s’est détournée.


La serveuse a eu un petit sourire en coin :



Elle avait tout compris au premier coup d’œil !



Attends… et si je fais ça ?


J’ai fait plusieurs fois « + » et je suis passé à 6. À chaque appui sur la touche, elle avait un spasme. Elle a attrapé ma main et l’a serrée très fort, a fermé les yeux, a ouvert la bouche puis une petite ride est apparue entre ses deux soucis.

Je connaissais cette petite ride ! Elle annonçait en général de très belles choses.

Elle s’est pliée en deux et son corps a été secoué de spasmes pendant plusieurs secondes puis elle m’a supplié d’arrêter, elle venait d’avoir le premier orgasme de la soirée, ça ne serait sûrement pas le dernier !

Elle était rouge comme une tomate, avec un grand sourire. Moi, je bandais comme un cheval. Elle m’a dit :



Nous avons installé l’application qui permettait de contrôler le vibro qu’elle s’était mis dans le vagin. C’était beaucoup plus futuriste que la petite télécommande du premier. Sur l’écran du téléphone, Il y a avait un grand carré où on pouvait taper n’importe où avec son doigt. En fonction de l’endroit où on appuyait, cela changeait la force de la vibration, mais aussi la fréquence.

J’ai commencé à jouer avec, d’abord doucement, puis j’ai augmenté la cadence.

Elle réagissait beaucoup, mais moins qu’avec le vibro qui se trouvait sur son clitoris. Celui-là était beaucoup plus doux.


Il était possible d’enregistrer une séquence avec le doigt et de la jouer en boucle automatiquement. J’en ai fait une et je l’ai laissée tourner.

Valérie arrivait assez bien à gérer, mais de temps en temps, elle avait une réaction assez vive avec de légers spasmes ou des sursauts qu’elle essayait de cacher. Elle avait la voix qui déraillait un peu et était souvent obligée de s’interrompre au milieu d’une phrase.


Tout en laissant tourner son vibro, nous avons commencé à nous raconter quelques souvenirs cochons. Le thème était que Valérie regrettait nos ébats d’antan et qu’elle trouvait qu’avec l’âge, je commençais à me ramollir.



Au fur et à mesure que le temps passait, elle commençait à réagir de plus en plus au vibro et j’ai mis en route le deuxième. Avec les deux qui tournaient en même temps, elle avait beaucoup de mal à se maîtriser. J’ai découvert que le vibreur du clito pouvait aussi être intermittent, et là elle ne pouvait plus se contrôler du tout. Elle dépensait toute son énergie pour ne pas soupirer tout fort au milieu du resto, mais parfois elle n’y arrivait pas. Les gens sur les tables voisines commençaient à se retourner. J’ai arrêté le clito pour ne pas causer d’incident…

Elle a repris un peu ses esprits, mais restait très perturbée par le vibro du vagin qui était toujours en route.

La serveuse est arrivée… je ne m’étais pas rendu compte qu’elle était aussi canon ! Valérie était rouge et avait encore du mal à se maîtriser lorsque je montais dans les tours. Son visage, très expressif, traduisait chaque sensation qu’elle ressentait.

Bien sûr, en présence de la serveuse, j’ai mis le paquet !


Valérie qui était en train d’essayer de lui montrer quelque chose sur la carte avait du mal à s’exprimer correctement. Ses phrases étaient entrecoupées de silence et de petits soupirs et elle fermait les yeux par moments tout en se dandinant sur sa chaise…

N’y arrivant plus, elle s’est grillée, me regardant d’un air sévère et me jetant un «… mais arrèèèteuuu !… », ce qui m’a encouragé à lever mon pouce encore un peu plus haut, ce qui lui a cloué le bec définitivement.


La serveuse était très amusée de la situation



C’est alors que j’ai eu cette idée lumineuse :



Valérie m’a regardé d’un air paniqué en faisant non de la tête, mais j’ai sorti la petite télécommande et je l’ai tendue à la serveuse qui regardait ma femme avec envie.



Elle s’est tournée vers Valérie d’un air émerveillé :



J’ai répondu :



La serveuse est partie avec la télécommande, et quelques secondes plus tard, Valerie se tortillait sur sa chaise les yeux fermés et la bouche ouverte alors que moi, je ne faisais rien.



J’ai rallumé l’appli sur mon téléphone. Au bout de quelques minutes, elle était complètement partie. Elle alternait les éclats de rire, les silences crispés en retenant sa respiration, les soupirs de plus en plus bruyants et les expressions d’agonie sur son visage.

Régulièrement, la serveuse venait nous narguer avec la télécommande puis repartait avec en augmentant la puissance.


Nous avons continué tous les deux à torturer ma pauvre femme

Valérie a eu plusieurs orgasmes à la suite. Les deux premiers ont été silencieux, mais au troisième, elle a laissé échapper un cri bref assez fort qui n’est pas passé inaperçu. Il y a même eu un petit silence dans la salle comme si on avait donné un coup de sifflet puis les gens se sont remis à parler.



J’ai ressorti la petite clef de ma poche, Valérie a soulevé son chemisier jusqu’au nombril, et là, je n’en ai pas cru mes yeux.

Elle avait fait passer un petit câble à travers le trou de la ceinture et la boucle et avait serré ensemble les deux passants du jean et la boutonnière. Le câble passait même dans la tirette de la fermeture éclair de telle façon qu’il était impossible de déboutonner le jean, de défaire la ceinture, et même de descendre la fermeture éclair. Un petit cadenas verrouillait le câble et c’est moi qui avais la clef !


Ma pauvre femme était complètement enfermée dans son jean, il lui était impossible de le retirer et elle ne pouvait même pas passer la main à l’intérieur. En plus, avec elle, étaient enfermés deux vibromasseurs que je pouvais contrôler à volonté, et bien sûr, elle ne pouvait pas les retirer non plus. Plusieurs fois, par le passé, elle avait eu cette attitude de s’abandonner complètement à moi, par exemple en me laissant l’attacher au lit et j’appréciais beaucoup ces petits moments où elle se transformait en jouet pour moi. Je l’avais toujours respectée et elle me le rendait bien. Mais là, il y a avait quelque chose de plus : nous étions en public ! Et j’avoue que ça pimentait énormément le jeu.


Lorsqu’en plus, j’ai réalisé que j’avais le pouvoir de l’empêcher d’aller faire pipi, mon cœur s’est mis à battre et j’ai bandé encore plus qu’avant.



C’est clair ! je l’adore celui-là ! Bon, je vais payer, je récupère la télécommande, et on y va !



J’adorais regarder Valérie pisser, je trouvais passionnant d’observer à quel point la nature avait défavorisé les femmes en la matière. En effet, celles-ci cumulaient les handicaps : en plus de pouvoir se retenir moins longtemps qu’un homme, elles devaient se déshabiller le bas pour se soulager, et en l’absence de toilettes, elles devaient se mettre dans une posture pour le moins inconfortable et instable. Pour couronner le tout, la forme de leur sexe, ne permettait pas de contrôler quoi que ce soit, et ce geste simple que nous, hommes, pouvions faire de façon nette et rapide contre un arbre en dirigeant le jet loin de nos pieds, était pour les femmes une corvée dont elles sortaient avec des éclaboussures sur les fesses, les cuisses, les chaussures, le pantalon, sans parler les poils de foufoune complètement trempés sur lesquels elles remettaient leur culotte en catastrophe alors que ça gouttait encore. Si on ajoute la peur de montrer ses fesses, les files d’attente interminables des toilettes des femmes bondées et les fois où le jet part tellement de travers qu’il atterrit sur les vêtements, on comprend que le spectacle peut être un ravissement pour un voyeur comme moi.

Valérie l’avait bien compris et elle ne ratait pas une occasion pour me laisser la regarder, faire pipi, consciemment ou non.


Mais ce qui m’excitait plus que tout, c’était de la voir avec une envie désespérée, dans une situation où elle ne pouvait pas se soulager. C’était là que son corps se livrait à une danse d’une grâce inouïe qui la faisait se courber, se plier en deux, se cambrer et croiser les jambes… et son visage traduisait toutes sortes d’expressions qui ajoutaient encore à l’érotisme torride de la scène : un mélange de gêne, d’embarras, de concentration, de douleur ou de plaisir… qui pouvait parfois faire penser au visage de l’orgasme.

C’est dans ces moments, où elle était à ma merci, qu’un petit diable me chuchotait à l’oreille d’aggraver les choses en la faisant boire ou en la chatouillant.

Ce jour-là, j’avais deux armes supplémentaires dont je savais que les vibrations avaient un effet non négligeable sur sa faculté à se retenir de faire pipi.


J’avais bien l’intention de profiter au maximum de mes cadeaux et donc de la laisser enfermée dans son jean tout en la torturant jusqu’à ce qu’elle soit à la limite de faire pipi dans sa culotte. Toute la difficulté serait de savoir s’arrêter à temps.


La promenade dans les rues après le restaurant m’a comblé. Pour que je profite du spectacle, Valérie marchait quelques mètres devant moi, et moi, derrière elle, en plus de mater ses fesses majestueuses, je pilotais à distance les vibrations de son vagin et de son clito.

Je prenais un malin plaisir à les déclencher alors qu’elle était entourée de passants, ou alors qu’elle s’était arrêtée pour réprimer les ardeurs de sa vessie. Elle était à ma merci, et sa seule arme était de me lancer discrètement des regards sévères ou bien suppliants.


Le moindre agissement de ma part sur les ondes que je lui envoyais provoquait chez elle un sursaut, un changement de position, un croisement de jambe… parfois, cela l’obligeait à s’arrêter, à s’appuyer contre une façade en se cachant le visage. Lorsque nous étions seuls, je montais les vibrations jusqu’à un point où elle n’arrivait plus à se maîtriser et se mettait même à se caresser. J’ai même réussi à la faire jouir trois fois avant qu’elle me supplie de déverrouiller son jean et d’arrêter de jouer, car elle devait absolument faire pipi.


J’avais eu mon compte d’émotions, mais on arrivait maintenant à l’apothéose, au bouquet final.

Je l’ai libérée à l’aide de la précieuse petite clef et elle s’est réfugiée immédiatement sous un porche, a baissé son jean et sa culotte et s’est accroupie bien dans mon champ de vision.

Avant même d’avoir trouvé une position stable, Valérie a expulsé un jet impressionnant aspergeant tout en dessous d’elle y compris elle-même. La minute qui a suivi a été une longue lutte perdue d’avance pour ne pas s’asperger, durant laquelle elle a dû s’interrompre pour changer de position plusieurs fois. En pissant, elle produisait un sifflement aigu si fort, qu’il était impossible de rester discret.

Lorsque le jet s’est terminé en une pluie de gouttes, elle s’est secoué les fesses et a éclaté de rire et a dit :



Elle s’est rhabillée et une petite tache de pipi est apparue entre ses jambes. Ça traversait même le jean.

Nous sommes retournés vers le restaurant pour passer prendre la serveuse qui nous attendait. Puis nous avons pris un taxi tous les trois pour la maison.


La nuit qui a suivi, je l’ai passée allongée sur le dos pendant que ma femme empalée sur mon sexe et Zoé assise sur ma bouche, s’embrassaient en se caressant. Ma femme me partageait encore avec une autre pour mon plus grand bonheur.


Après cette incroyable expérience, nous sommes retournés régulièrement dans ce restaurant, et à chaque fois, Valérie se préparait comme la première fois et je l’aidai à placer les deux vibromasseurs dans son jean puis-je verrouillai moi-même son jean avec le câble et le cadenas après avoir serré la ceinture. Zoé, qui avait quitté son poste de serveuse nous rejoignait et tous ensemble, on rejouait la même soirée que la première fois et bien sûr la même nuit. La seule différence était que Zoé avait les mêmes vibromasseurs, et s’enfermait dans son jean de la même façon. Nous échangions les télécommandes sans trop savoir à qui elles étaient, et pour ma part je gardais le meilleur dans mes poches : les deux petites clefs qui faisaient que ces deux créatures de rêve m’étaient totalement dévouées toute la soirée.