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n° 20113Fiche technique14684 caractères14684
Temps de lecture estimé : 9 mn
07/03/21
Résumé:  Brève rencontre d'un couple illégitime avec un routier, sur une aire de parking.
Critères:  fh fhh fagée extracon candaul inconnu parking voir noculotte fellation pénétratio fsodo -extraconj
Auteur : MauriceBernard      Envoi mini-message
Un dernier coup pour la route





Pas facile de se retrouver pour des amants mariés, chacun de leur côté, aussi, toutes les occasions sont bonnes à saisir, telles que ce rendez-vous en fin d’après-midi printanier. Mon adorable maîtresse et moi nous nous sommes donc retrouvés pour faire une courte escapade, au hasard de nos envies ; rien que d’être ensemble nous fait vibrer à l’unisson, quels que soient les circonstances et le lieu. Patricia, mince cinquantenaire distinguée et mignonne, a juste enfilé une blouse légère sans manche et une jupe droite en toile, puis glissé ses jolis pieds dans des mules de cuir blond, à petits talons. Dessous ? Un symbolique string et le petit soutien-gorge assorti, dont ses seins menus n’ont pas vraiment besoin, mais elle tient beaucoup à toujours porter de beaux sous-vêtements un peu sexy.


Par cette journée déjà chaude, juste légèrement habillée, elle peut monter ainsi dans ma voiture après m’avoir retrouvé à la fin de sa journée de travail. Un rapide, mais sensuel baiser suffit à nous réunir comme si nous nous ne quittions jamais et c’est parti pour l’aventure !


Nous empruntons l’autoroute pour sortir de la ville plus rapidement et nous laissons jouer le hasard, sans but précis. Le seul fait d’être ensemble nous suffit parfois pour profiter de ces trop rares instants de complicité totale. Tout en conduisant prudemment, j’admire ses cuisses découvertes par la courte jupe qui a remonté lorsqu’elle s’est assise : les muscles bien moulés et sa peau un peu luisante et déjà bronzée, elles attirent ma main droite qui va les caresser lentement, du bout des doigts. Je les laisse passer entre les deux jambes qui s’écartent en accompagnant le mouvement et Patricia, dans un petit grognement de plaisir, glisse vers le bord de son siège.


Alors que sa jupe ne cache plus rien de son ventre et, décidément pressée d’aller plus loin dans l’excitation, ma complice dégage elle-même sa chatte en tirant son string sur le côté. La tête posée en arrière sur le haut de son siège, Patricia ouvre complètement ses cuisses et, avant même que ma main n’ait atteint son sexe gonflé d’impatience, elle dessine de lents parcours de ses doigts fins, autour de son clito. Rapidement, son souffle devient plus marqué et de petits coups de son ventre vers sa main en action, montrent qu’elle retenait ses envies depuis quelque temps déjà.


Alors que notre véhicule dépasse très lentement un camion, ma coquine part dans une brève, mais violente jouissance, offrant au routier qui l’admire au passage, une vision des plus érotiques.


Temporairement satisfaite, elle me sourit doucement en refermant ses cuisses et me dépose un tendre baiser sur l’oreille avec un « hummm ». J’avais trop envie depuis que je savais qu’on allait se retrouver ! Puis elle laisse sa tête posée sur mon épaule et agace ma queue tendue dans mon pantalon, du bout de ses ongles faits.



Ce faisant, elle masse plus fermement la bosse que forme mon sexe en me proposant de sa petite voix faussement pudique, de garer la voiture sur la prochaine aire de l’autoroute. Un coup d’œil dans le rétroviseur m’indique que le camion que nous avons doublé n’est pas très loin de nous et je tente alors l’aventure en réglant notre vitesse sur la sienne. Pendant quelques kilomètres, nous roulons ainsi de conserve alors que j’explique à ma chérie, la situation. Manifestement, le routier a bien profité du spectacle et le fait que nous restions devant lui à quelques centaines de mètres, doit lui avoir mis la puce à l’oreille. Pour nous en assurer, j’allume le clignotant bien avant la prochaine sortie de l’autoroute en direction d’une aire de stationnement et je constate qu’il en fait autant. Message reçu !


Je quitte donc la route et me dirige vers le parking des voitures, alors que le camion bifurque vers celui des routiers. Hormis les classiques aménagements de ce genre d’endroit, l’aire comporte heureusement, un assez grand bosquet, au-delà de la zone des tables de pique-nique, où nous avons déjà fait quelques poses coquines. Patricia n’hésite donc pas à remettre un peu d’ordre dans sa tenue avant de descendre de la voiture et se dirige vers les arbres, lentement, en m’attendant. Je me régale, comme toujours, de son allure de femme distinguée, mais aussi terriblement excitante ; comme si tout était possible avec elle dès lors qu’elle se laisse aller à ses envies profondes…et que l’on a su l’y inciter.


Arrivés sous l’ombre légère du bosquet, nous nous serrons l’un contre l’autre et entamons un échange sulfureux de caresses et de baisers, à tel point que, rapidement, la jupette de ma douce est remontée sous ses fesses et que mes doigts farfouillent sa chatte déjà chaude et mouillée. Comme elle aime, elle tend son ventre contre le mien pour faciliter l’intrusion dans son sexe et suce ma langue en attendant de le faire sur ma queue qu’elle sort adroitement de ma braguette. Déjà, sa douce et fine main glisse sur la peau de mon sexe et elle s’amuse à effleurer le tour de mon gland pour qu’il soit bien gonflé, avant de se pencher dessus et le titiller à petits coups de sa langue agile. Mes mains parcourent son dos juste recouvert de sa fine blouse, puis descendent vers ses fesses dont mes doigts atteignent la raie et la massent. Lorsque mon index s’infiltre dans son petit trou pour simuler la sodomie qu’elle apprécie tant, sa bouche avale alors d’un coup ma bite et elle se met à la pomper avec vigueur, mais aussi langoureusement qu’elle sait faire. Là, sous les arbres, dans l’ombre de ce petit bois, pas très éloigné de la zone des parkings, nous nous laissons aller à l’envie qui nous taraude quand, à peu de distance le long du chemin d’accès, je devine une silhouette.


Je devine rapidement qu’il s’agit du chauffeur du camion que nous avons provoqué et qui nous a certainement vus partir à l’aventure. Alors que Patricia suce adroitement ma verge tendue en me caressant les couilles de ses doigts légers, l’homme, la quarantaine énergique, s’approche à pas lents en massant son sexe par-dessus son pantalon. Je préviens quand même ma douce complice qui ne s’en émeut pas, évidemment :



Elle a évidemment très envie que nous vivions une de ces nombreuses aventures que nous partageons depuis quelques années, soit ensemble, soit qu’elle soit seule et m’en raconte le détail après coup. Je fais donc signe au routier qu’il peut s’avancer encore, ce qu’il fait sans hésitation jusqu’à se trouver tout près de ma suceuse.



Il a bien compris nos intentions, mais s’amuse à faire comme si…mais pas longtemps, car ma coquine l’invite à se placer devant elle, alors qu’elle m’offre son adorable petit cul, que la jupe relevée a découvert. Mes mains parcourent ses fesses dont la peau douce m’excite tellement et je glisse lentement son minuscule string afin qu’elle soit plus à l’aise pour la suite… Grâce à la légèreté de sa blouse, je parviens sans mal à lui retirer aussi son soutien-gorge, de telle sorte que la voici nue sous ses vêtements d’été. Pendant ces quelques instants, la belle s’est attaquée à l’ouverture du pantalon de notre compagnon et en a extrait un membre fort bien proportionné dont elle apprécie le poids et la raideur avec ses deux mains. Déjà, le gland s’est dégagé du prépuce et elle en titille l’entrée à petits coups de langue ; joueuse comme elle l’est, elle admire l’effet produit avant de lécher lentement tout le sexe du haut en bas, tout en regardant l’homme de ses beaux yeux bleus rieurs. Les deux couilles serrées doucement au creux d’une main, elle engloutit ensuite la bite raide et entame une fellation dont les effets sont redoutables !


Un jour, dans un sauna, un type n’a pas su se retenir plus de quelques dizaines de secondes avant de gicler en l’air, sans pouvoir s’en empêcher…

Devant ce spectacle envoûtant, mon propre sexe s’est tendu vers le cul de ma douce et, après avoir lentement étalé sa mouille avec mon gland, j’introduis celui-ci dans sa chatte alors qu’elle se cambre pour faciliter le mouvement. Elle suçant, moi la baisant, nous partons dans une sarabande telle que nous l’apprécions jusqu’à ce que des bruits dans le sous-bois nous alertent. C’est une petite famille qui cherche un coin tranquille pour installer les mômes à l’ombre, en cette chaude fin d’après-midi.


Dans la précipitation, le routier et moi-même dissimulons nos sexes alors que Patricia déroule rapidement sa petite jupe. Néanmoins, nos envies non satisfaites, nous cherchons le moyen de poursuivre nos jeux, mais décidément, en plein jour, il est délicat de s’y livrer sans risque. Le chauffeur se risque alors à proposer : « Il n’y a pas beaucoup de place dans la cabine de mon camion, mais si madame veut m’y accompagner, ce serait mieux que rien, non ?



Du bout de sa langue, elle scelle son accord sur la bouche de son amant du jour et celui-ci l’entraîne, un bras passé autour de ses épaules. Ils se dirigent alors vers le parking des camions et ma douce m’adresse un petit signe de connivence en souriant, sûre de passer un excellent moment. Pour ma part, je choisis de rejoindre l’espace où sont installées quelques tables vides, et je m’assieds près de celle qui jouxte la zone boisée, un peu à l’ombre. De là, j’aperçois encore le couple de mes baiseurs qui s’est approché d’un camion stationné pas très loin et j’admire l’allure de ma douce, quand, la jupe relevée pour lui permettre le geste, elle grimpe dans la cabine que le routier vient de lui ouvrir. Puis le claquement de la porte met fin à la scène et l’attente commence…


Pendant de longues minutes, je reste assis à la table en imaginant ce qui se passe à quelques mètres de moi et ma queue reste tendue dans mon pantalon, impatiente de pouvoir profiter de la suite, car il y en aura forcément une ! Effectivement, une petite demi-heure plus tard, la porte du camion s’ouvre à nouveau et ma douce en descend précautionneusement, un beau sourire éclairant son visage. D’un pas léger elle me rejoint en ajustant, pour la forme, ses fins vêtements un peu froissés. D’un petit baiser, elle rétablit le contact avec moi et s’assied à mes côtés.



Et, d’un mouvement souple, elle s’assoit face à moi, à califourchon sur mes cuisses, non sans avoir sorti ma queue, au passage. Puis, en m’embrassant, la langue frétillante dans ma bouche, elle se saisit de ma verge dressée et s’empale dessus aisément, tellement sa chatte est ouverte et gluante de son plaisir. Elle poursuit alors son récit, insistant sur les détails les plus chauds, notamment, quand le type l’a mise à quatre pattes sur la couchette et lui a introduit le sexe au fond de son petit cul. Tout en me parlant, les yeux dans les yeux, elle bouge lentement d’avant en arrière de telle sorte que son ventre me pompe la queue et l’avale complètement. Je tente, avec difficultés, de retenir ma jouissance et je cogne au fond de son vagin pour l’amener aussi à exploser en même temps que moi. Mais la coquine ne l’entend pas de la sorte, et, vérifiant que nous sommes toujours seuls dans le coin, elle entame un jeu diabolique. Comme si son sexe était une main, elle le contracte à petits coups sur ma queue et m’explique que c’est ainsi qu’elle « finit » le gars.



Impossible de résister plus longtemps, ni à ses mots, ni à son massage sexuel et, les mains crispées sur ses douces petites fesses, j’envoie plusieurs jets de sperme brûlant au fond de son ventre alors qu’elle mordille mon épaule en gémissant de plaisir.