n° 20116 | Fiche technique | 11367 caractères | 11367Temps de lecture estimé : 7 mn | 08/03/21 |
Résumé: Histoire réelle qui s'est déroulée au début des années 2000. Un des plus beaux moments que j'ai vécus dans une telle situation. Ça a été crescendo et je ne l'oublierai jamais. Bonne lecture. | ||||
Critères: fh couple magasin voir exhib confession -couple -voyeur | ||||
Auteur : Luciano69 (Histoire vécue que je me décide à partager pour le plaisir) Envoi mini-message |
C’était l’été, il faisait chaud. Nous étions en vacances, mon épouse s’accordait un peu plus de liberté quant à sa tenue. Ce jour-là, elle portait un haut blanc, un peu échancré et pour ma plus grande joie, pas de soutif…
Le décolleté était normal, sans plus, mais selon les positions de mon épouse, la vue pouvait être très agréable. Par habitude et par pudeur, elle cachait toujours son décolleté lorsqu’elle se penchait.
Mais ce jour-là, nous devions aller en grande surface et je me suis dit que ce serait peut-être différent, car je ne pouvais pas l’aider, souffrant d’un terrible lumbago. Je devais me contenter de pousser le chariot.
La liste de course était longue et il y avait du monde. Nous parcourions les rayons, mon épouse prenait les différents articles et les déposait dans le caddie. Plus ça allait, plus je remarquais que mon épouse, absorbée par les achats, prenait de moins en moins de précautions vis-à-vis de son décolleté, pour mon plus grand plaisir.
Le moment le plus fort fut l’instant où elle prit à deux mains un lot de boîtes pour les déposer dans le fond du caddie. Waoouuhhh ! Que ce fut beau ! Certes, furtivement, mais distinctement, ses deux seins libres qui se balançaient sous son top étaient bien en vue.
D’autant plus que ma femme était bronzée, mais, non adepte du topless, ses seins étaient bien blancs, donc très visibles. Quel régal !
Plus ça allait, plus mon épouse, malgré elle, offrait selon sa position une vue imprenable sur son décolleté.
Je commençais à avoir chaud, voire même très chaud. Ma femme me parlait, j’étais un peu ailleurs, je prétextais que j’avais mal. Ben voyons !
Je ne disais rien tant le spectacle était agréable à regarder. D’ailleurs je me rendis compte très vite que je n’étais pas le seul à vouloir en profiter.
Je remarquai la présence d’un homme qui nous suivait ; il prenait des articles dans les rayons, les remettait en place tout en essayant de glisser un œil dans le décolleté de mon épouse. J’étais très flatté. Je ne sais pas ce qui m’a pris : alors que cet homme était à proximité et bien placé, je demandai à femme de vérifier la date de consommation d’un article qu’elle avait déposé. Elle le fit, mais, pas de chance pour nous, elle mit la main devant sa poitrine pour se pencher dans le caddie. Déception ! Le monsieur continua ses achats et disparut.
J’étais déçu… je continuais à pousser le chariot qui se remplissait. Moins de vue imprenable, mais je ne me lassais pas pour autant de voir, au rythme de ses pas, le balancement de ses seins qui frottaient le tissus. Je souris, car je les vis pointer à travers l’étoffe. Surtout au passage des rayons réfrigérés… mais ça, c’était anatomique !
Fin des achats, passage en caisse, beaucoup de monde, et il commençait à faire chaud.
Ma femme me demanda si je préférais aller à la voiture pour me reposer, je déclinai cette proposition, vous vous doutez pourquoi… on ne sait jamais !
Enfin, c’est à nous. Ma femme se positionna devant le caddie que je poussais toujours, se tourna vers moi et commença à transférer les différents articles du chariot au tapis.
Bien m’en a pris de rester ! Je remarquais que mon épouse déposait les articles les uns après les autres sur le tapis et toujours avec les deux mains. Elle se penchait de plus en plus et ne pouvait plus masquer sa poitrine. Elle devait probablement penser à autre chose. Néanmoins, le spectacle devenait à nouveau très intéressant.
Je la regardais sans retenue, je penchais parfois la tête pour mieux voir, je pouvais quasiment distinguer la totalité de ses seins magnifiques et même parfois ses tétons. Je devrais même dire, « nous pouvions distinguer… ». Eh oui, il y avait du monde à nos côtés ainsi que derrière nous.
À un moment, elle releva sa tête, me vit tout près d’elle, et je ne pus m’empêcher de lui dire discrètement à l’oreille :
J’ai fait exprès de dire « nous »et non « moi »
Elle comprit immédiatement de quoi je voulais parler, rougit, regarda sa poitrine et sa seule réponse fut :
Il est vrai que je suis un passionné fou.
Ben voyons ! Je pensais très fort « pour les packs d’eau d’accord, mais une boîte de sardines à deux mains… » et du tac au tac, sans réfléchir, je lui répondis :
Encore « nous » plutôt que « moi ».
Zut ! Ça m’a échappé. J’ai dit tout haut ce que je pensais tout bas. Je craignais que ma femme assez pudique fasse un peu plus attention.
Et là, grosse surprise… sa réaction a été incroyable et totalement inattendue.
Elle mit encore plus de temps pour prendre les articles dans le caddie, se penchait plus et ne faisait plus grand-chose pour ne pas dire rien du tout, pour empêcher la vue de son décolleté. Je la soupçonne même d’avoir discrètement tiré sur son haut vers l’avant pour offrir une plus belle vue.
À présent, à chaque fois qu’elle prenait un article dans le chariot, ses seins entiers se présentaient fièrement sans pudeur. Immédiatement, j’ai vu ses aréoles qui se contractaient, ses mamelons qui se dressaient avec une certaine arrogance. Ça a été immédiat après mes dernières paroles.
Il est évident que mon épouse n’a pas été insensible à mes propos, il y avait une différence évidente dans son comportement.
C’est sûr qu’elle faisait exprès de rester penchée en avant avec un article dans la main en attendant l’avancement du tapis pour le déposer.
Hummmm, c’était divin !
Que c’était beau, que c’était bon… ma femme, mon épouse, la mère de mes enfants, si sérieuse, si sage habituellement, qui se dévoilait devant moi et des inconnus. Jusqu’à présent, j’avais toujours été le seul spectateur de ces moments privilégiés et uniquement en privé à la maison… Et aujourd’hui, dans un magasin, à trois mètres de moi, des gens à gauche, à droite et derrière, et ma petite femme qui, sans retenue, nous laissait voir ses seins, sa poitrine, ses nichons, ses plus beaux atouts, presque sans pudeur.
C’est vrai, elle n’a jamais relevé la tête, peut-être était-elle un peu honteuse de ce qu’elle ressentait.
J’étais fou, je savourais ce spectacle, mon sexe était tendu dans mon short qui se déformait tant l’excitation grandissait, je devais m’avancer plus près du caddie pour cacher cette érection. Je me délectais de cette vue exceptionnelle que ma chérie offrait.
Je n’osais pas croiser le regard d’autres personnes, mais je sentais qu’elle était observée. Tous les deux, nous étions dans un état second, tel un gamin qui a été pris en train de faire une bêtise.
Jusqu’au paiement, il y eut une atmosphère étrange, nous n’entendions plus le brouhaha habituel. Entre nous deux, pas un mot… que quelques regards complices.
Il faisait chaud, de plus en plus chaud, les yeux de mon épouse brillaient, ses pommettes étaient rougies, je pus même distinguer de la sueur sur ses tempes et même sur son sillon mammaire…
Parfois sans raison spécifique, elle restait debout immobile avec une légère cambrure en avant, le regard dans le vide. On distinguait très nettement ses tétons tendus qui marquaient le tissu.
C’était beau, c’était sexy, je n’en revenais pas du comportement de ma petite femme. Aucun doute, elle avait pris du plaisir à s’exhiber dans ces circonstances en public devant moi et d’autres personnes. Son état la trahissait sans pudeur…
Alors que nous nous dirigions toujours silencieusement vers la sortie, j’entendis doucement, mais clairement à mon oreille :
C’était le gars de toute à l’heure qui manifestement nous avait suivis jusqu’à la caisse. Je n’ai rien répondu tellement j’étais surpris de son audace, mais heureux de savoir que quelqu’un avait apprécié cette petite exhibition et osait me l’avouer. Je jubilais, j’étais fier…
Quel homme marié n’a pas eu le fantasme d’exhiber sa femme ? Aucun, on est tous pareil… et aujourd’hui, ça s’était fait et en plus malgré moi.
Toujours aucun échange verbal entre ma femme et moi. Ambiance toujours très particulière… les sacs furent rangés dans la voiture, nous nous assîmes à notre place et juste avant de démarrer, je pris la main de mon épouse, la regardai avec insistance. Je la sentais ailleurs, différente. Ses yeux brillaient… elle me dit :
Ce fut un long baiser, comme un soulagement, une libération pour elle. Sa langue tournait dans tous les sens dans ma bouche. Sa respiration s’accélérait, elle avait chaud. Elle prit ma tête d’une main et la serra fort pour accentuer le baiser. Je la sentais goulue et très très, très amoureuse. Je frôlais ses seins de ma main, ils étaient encore dressés… J’imagine dans quel état devait être son sexe, son minou, son puits d’amour. Probablement inondés de plaisir !
À notre plus grand regret, il a fallu arrêter, car il y avait des familles avec enfants tout autour de nous. Elle commença à me dire :
Je l’interrompis en mettant mon index sur sa bouche.
J’ai démarré la voiture et tout au long du trajet, ma petite femme a posé sa main sur la mienne qui tenait le levier de vitesse. Quand je la regardais, ses yeux brillaient toujours, elle se contentait de me faire des petits sourires. Je pense qu’elle se remémorait ces instants où manifestement, elle s’était laissé aller à son désir et au mien. D’ailleurs, parfois, je sentais sa main serrer la mienne, ses yeux étaient fermés et un sourire se dessinait sur ses lèvres. À quoi pensait-elle ?
De retour à la location de vacances, il y a eu le repas avec les enfants. Ça nous a permis de retrouver nos esprits.
Mais, plus tard et même à chaque fois que nous avons à nouveau évoqué cet épisode très croustillant, nous en avons bien profité.
Ça vous a plu ? Dites-le-nous…