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n° 20131Fiche technique19987 caractères19987
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Temps de lecture estimé : 14 mn
14/03/21
corrigé 30/05/21
Résumé:  Un conte, d'apparence médiévale, mettant en scène un Comte, avec des références à d'autres contes, et en alexandrins pour faire bon compte...
Critères:  #humour #historique #conte fh grossexe forêt campagne amour pénétratio donjon
Auteur : Roy Suffer  (Vieil épicurien)            Envoi mini-message

Concours : Faites l'humour et pas la guerre
Nièce et Daguerre

Concours Faites l’humour et pas la guerre, texte classé 2ème. Plus de détails dans le forum.

Dans le cadre du concours, ce texte est publié tel qu’il a été proposé, sans aucune correction.


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Enguerrand le guerrier qui guerroyait naguère

chevauchait en armure un puissant destrier,

toujours accompagné d’un fidèle écuyer,

le dénommé Daguerre, un homme de cette terre.

En guerriers aguerris, guettant dans la garrigue,

tout le long du torrent et même sur les digues

les guet-apens tendus par quelques gueux tordus

détroussant les manants, recherchant des écus.



L’équipage arriva dans un hameau sordide

où Daguerre naquit dans une chaumière fétide.

Le Comte décida de mettre pied à terre

pour s’y désaltérer de chopines de bière.

Ils buvaient attablés lorsque par la croisée

Enguerrand aperçut quelque belle arpenter

la venelle, comme un ange droit issu de ses rêves.



le pauvre désormais gisant six pieds sous terre.

Ce lépreux chevalier rapporta de croisade

l’horrible maladie dont la chair se dégrade.



au regard aviné et désormais en sueur.



C’est bien cette robe rose à rubans rubiconds ?



Je dois me répéter : que voulez-vous en faire ?



Elle n’a pas la peau terne ni la fesse triviale !

Son minois est divin, sa taille sans égale

sa cuisse de bergère, son séant athlétique.

Je m’en sens le pétreux soudain apoplectique !

Mais comment donc se nomme cette belle Margot ?



Ho-là, jouvencelle, viens céans te prosterner,

à ton bon protecteur je veux te présenter.

Monseigneur, Oboidor c’est ainsi qu’on la nomme

car toujours dans le bois elle cueille de jaunes pommes.



Par ma foi étonnée, l’envers vaut bien l’endroit.

Chante-nous quelque chose que j’entende ta voix,

car si ton ramage se rapporte à ton corsage

tu serais le phœnix des hôtes de cet endroit.

Aubergiste une chope, j’ai soif, je suis en nage !


La belle s’exécuta rosissant du minois ;



Enguerrand et Daguerre,

tous deux partent en guerre,

chevauchant de concert.

Dans leurs cottes de maille

pourfendant la racaille.

Tremblez nos ennemis

car la fête est finie.

À grands coups de rapières

ils troueront vos viscères

et à grands coups d’écus

vous mettront sur le cul.


À ces mots le guerrier ne se sent plus de joie,

ouvre un large sourire laissant tomber pantois :



vérifier de mes mains comme tu es amène.


Ce qui fut dit fut fait et le soudard pressé

enfourcha promptement son fidèle destrier,

hissant la belle en croupe assise en amazone.

Il n’en revenait pas de la voir si friponne.

Ceint d’un bras potelé car elle se cramponnait,

la rousse chevelure dans son heaume s’insinuait.

Avide qu’il était de se laisser corrompre,

le cœur d’Enguerrand palpitait à tout rompre,

couvrant dans ses oreilles le claquement des sabots

du puissant canasson lancé à plein galop.

Aussitôt arrivé dans l’austère forteresse,

et ne prenant point garde aux douleurs de ses fesses,

le brave hissa la belle jusqu’en haut du donjon.


Dans cette chambre sombre éclairée par des torches,

les rubiconds rubans finirent dans ses poches.

La rose robe vola autant que les jupons,

Oboidor apparut dans le simple appareil

d’une beauté qu’on vient d’arracher au soleil.

De sa vie d’homme d’armes il n’avait contemplé

aussi superbe femme, ni aussi bien tournée.

La folie s’empara de son esprit surpris,

et le bougre palpa les fesses rebondies,

les tétons arrogants, et les cuissots charnus

sa paluche descendant jusques aux pieds menus.

Ne pouvant retenir son désir excité,

le Comte quitta ses hardes et poussa Oboidor

sur sa couche en satin décoré de fils d’or.



juste le chatouillis d’un fil de quenouille…



Relevant le museau pour comprendre ce mystère,

Oboidor éclata d’un rire du tonnerre.

Même les doubles vitraux placés contre le froid,

sous le rire trop intense volèrent en éclats.

Elle descendit les marches en criant à l’encan :



a un vit tout petit,

Monseigneur Enguerrand

a un pipi d’enfant !


Une ire irrépressible du Comte s’empara,

et du haut de sa tour sans détour il hurla :



Qui lui prête une oreille décédera sur le champ !



Puis la mélancolie frappa le fier guerrier

qui trouva réconfort près de son écuyer.



par le terrible sort qu’on m’infligea naguère.

Mon père avait jeté, quand ma mère était grosse,

une vieille sorcière dans un cul de basse-fosse.

La terrible harpie au pouvoir véritable

jeta sur notre vie un sort épouvantable :

par le feu de l’enfer dont elle eut connaissance

elle nous priva d’un coup de toute descendance.

Me voici donc avec tout au fond de mon froc

un engin pas plus gros qu’une frêle breloque,

et moi Comte Enguerrand devenu la risée

de tous les habitants de ma belle contrée.

Je n’ai plus d’autre issue, ainsi déshonoré,

qu’à mes jours mettre fin en étant trucidé.

Aide-moi cher Daguerre et saisis mon épée,

transperce-moi le cœur à jamais dévasté.



en vous perçant le cœur supprimer l’infamie.

Certain magicien dont je sais l’existence

ferait sans doute mieux que le fer d’une lance.

Allons quérir ce mage aux frontières du comté

car Uscul il s’appelle et réside en forêt.


Aussitôt ils montèrent leurs montures fringantes

galopant de concert jusqu’à la nuit tombante.

Aux lueurs d’une lanterne dans la forêt très sombre

ensemble ils progressèrent jusqu’à découvrir l’ombre

d’une cabane miteuse auréolée de brume

gris-bleutée et blafarde aux rayons de la lune.



Nous venons pour te voir et non pour faire la guerre.



arrive en pleine nuit déranger un vieux mage ?



d’un congrès de sorcières et j’ai dû abuser

de venin de vipère et de sperme d’orvet.



pour soigner le mal-être d’un pénis atrophié.



Ho-ho-ho ! Ha-ha-ha ! T’es pas gâté mon gars !

Suffit, Uscul, comment veux-tu que je t’em…pale ?

Encore un mot de trop et tu goûtes au métal !



que je puisse penser à soigner vos tourments.


Le vieil homme prononça quelques incantations,

et raviva le feu en mettant du charbon.

Puis au troisième ciboire de bave de crapaud

il déclara navré en hochant du chapeau :



de supprimer l’effet d’un sort de magie noire.

Mais je sais qu’un gaillard portant le nom d’Effesse

dispose d’un secret pour guérir votre Altesse.

Il vit près des marais et de chasse et de pêche,

il ne faut pas vous fier à son aspect revêche.


Les guerriers dépités reprirent leurs montures

et leur galop pressé errant dans la nature.

Enfin au loin ils virent une étrange masure

flottant sur une gabarre sans voile et sans mâture.

Un curieux personnage apparut à sa porte

mi-homme mi-nabot, vêtu d’une simple cotte.



Le Comte raconta l’objet de son tourment,

jurant que s’il riait il le tuerait céans.

Mais le gnome ne rit point, se gratta le derrière,

brandissant un remède dont il était très fier.

Il s’agissait d’un tube coupé dans un roseau,

il fallait en user un peu comme un pipeau

étendu dénudé dans la boue d’une lagune,

au pays des marais un soir de pleine lune.

Aussitôt le soudard voulut prendre l’objet,

mais le nabot très vif d’un geste le rangeait.



d’une caisse remplie d’or il faut me l’acheter.



Je crois l’appeau d’Effesse bien trop coûteux pour moi.



qui sauvera ton honneur, ou retourne en enfer.



sers-toi dans mes cassettes et mes tiroirs aussi,

rapporte-nous céans le gros de ma fortune

car ce soir, il est vrai, est jour de pleine lune.

Cependant petit homme pour une telle dépense

je veux que désormais ballotte sous ma panse

le plus gros appendice de toute la région,

je dirais même plus : de toute la création.


Juste à la nuit tombée l’écuyer s’en revint

transportant avec lui un somptueux butin.

Il alla au marais et posa ses effets

puis dans la boue infâme s’étendit sans regret.

À ses lèvres il porta le tube de roseau

et de tous ses poumons il souffla dans l’appeau.

« Coua ! Coua ! » fit simplement le frêle engin de bois

et le soudard pensa : « il s’est foutu de moi ! »

Mais lors, comme un écho mille fois répété

les grenouilles alentour parurent alertées.

« Coa ! Coa ! Coa ! » faisaient-elles en semblant s’approcher,

si bien que dans le tube il reprit de souffler.

Les batraciens agiles sautaient comme fascinés,

sur son corps immobile certains vinrent se jucher.

Une rainette verte à la peau irisée

sauta sur son pénis dans sa toison frisée.

Plus Enguerrand soufflait dans son petit pipeau,

plus la grenouille vibrait en gonflant son jabot.

Les caresses répétées du joli batracien

firent penser au Comte qu’il perdait son latin :

allait-il bander pour une petite grenouille

dont les pattes palmées lui tripotaient les couilles ?

Le pénis minuscule devint apoplectique,

la grenouille s’enfila pour un coït épique

agitant son vagin de façon frénétique.

Cette situation pouvait sembler comique,

mais pourtant le bonhomme y prenait du plaisir.

Se pinçant pour le croire, il poussait des soupirs,

tandis que la bestiole semblait soudain plus lourde.

Chaque seconde elle enflait, comme un œuf, une gourde.



elle risque d’éclater et va finir en peuf !


Plus la bête trémoussait, plus son poids était grand

et son corps s’allongeait aussi avec le temps.

Tant l’étreinte avançait, tant sa peau était douce,

il lui sentait des mains, des doigts et même un pouce.

De longs cheveux soudain lui couvrirent le visage,

dont il vit la blondeur à la lune sans nuages.

C’est une fille sublime qui sur lui remplaçait

la petite rainette, tendrement l’enlaçait,

Ils roulèrent dans la boue comme des forcenés

et baisèrent jusqu’au jour à en être épuisés.


Daguerre s’inquiétait et rechercha son maître,

le trouvant endormi tout seul sous un hêtre.

Il n’en revenait pas de voir entre ses cuisses

un service trois pièces, des couilles et un pénis

comme ceux d’un taureau couvrant une génisse.

Une petite rainette sauta dans l’eau propice.

Le guerrier se lava dans la mare la plus proche

astiquant médusé sa bite et ses balloches.



retrouver Oboidor et ses méchants propos,

que je lui cloue le bec à grands coups de ma queue

et lui prenne ses fleurs, oui j’ai bien dit les deux.



Las, pendant tout le temps qu’utilisa le Comte

pour trouver le moyen de supprimer sa honte,

un événement majeur terrassa Oboidor

qui désormais repose sur une couche et dort.

Une vile sorcière du nom de Carabosse,

de la belle Oboidor a voulu se venger.

L’enchanteresse usait de son miroir magique

pour savoir qui était la plus belle, la plus chic.

Or il advint qu’un jour Saint-Gaubin sans détour

lui annonça soudain qu’elle n’était plus à jour,

que la belle Oboidor, la jeune jouvencelle,

paraissait à la fois et plus jeune et plus belle.

Carabosse piqua la colère de l’année,

s’en prit à son miroir à jamais détesté

elle le pulvérisa d’un coup sur le plancher.

Jugeant la jeune-fille sans la moindre équité,

au sommeil éternel la voilà condamnée :

sous les traits d’une vieille elle allait la tromper.


La gentille Oboidor allait très fréquemment

porter quelques douceurs à sa grande maman.

Elle était courageuse et osait traverser

tout un coin de forêt avec son p’tit panier

rempli de chevillettes, de bobinettes tirées,

sachant que sa grand-mère aimait bien bricoler.

Cueillant de fleur en fleur elle chantait à tue-tête

un air de troubadour qui parlait de quéquette.


Quand elle croisa la vieille appuyée sur sa crosse,

nul n’aurait pu penser que c’était Carabosse.



vivant dans la forêt avec ses sept amants,

les nabots de la mine de charbon et d’argent.



car j’aimerais avoir ribambelle d’enfants.



tu verras qu’elle est bonne, elle vient de mon pommier.



mais qu’arrive-t-il soudain, je me sens comme une loque…


La vilaine Carabosse fila discrètement

laissant sur place sa crosse et son vieux vêtement.

On trouva Oboidor dans les bras de Morphée,

on transporta son corps un peu comme un trophée.

Sur une couche propre on exposa son corps

avec beaucoup de fleurs tout autour pour décor.


Enguerrand vint guéri et le cœur enflammé

et trouva sur ce lit gisant sa bien-aimée.

Il hurla contre tous, les mages et sorciers,

prompts à jeter le mal, pas à le réparer.

Sur un appeau d’Effesse il ne pouvait compter

puisqu’il n’avait plus rien lui ayant tout donné.

Se tournant vers Daguerre il confia son idée :



eut raison de mon sexe autrefois se moquer.

Mon gros pénis est fort et ta nièce exposée,

je m’en vais de ce pas lui bourrer le cornet.



je servais un guerrier et non point un satyre.



et il ne s’agit point de culbuter un mort !



votre belle Oboidor demeure encore pucelle.



elle ne sentira point son hymen éclater.



sur ce moi je m’en vais et salue votre Altesse.


Malgré son écuyer, ses tergiversations,

il n’avait point de cesse à son excitation.

Il grimpa sur le lit tenant en étendard

la hampe de son vit, de son énorme dard.

Écartant bien les cuisses, dégageant le cornet,

il fourra son phallus dans le minou inerte.

Mais hélas Oboidor silencieuse dort encore.

Alors il s’activa et étreignit ce corps.


Le phallus gigantesque repoussa ses entrailles

qui remontèrent soudain jusque dans son poitrail.

Le cornet clapotait, la belle eut un hoquet,

et le Comte étonné prit la pomme en pleine poire.

Oboidor a toussé, faut-il reprendre espoir ?

Enguerrand sans y croire y mit tout le paquet,

la bourrant vivement en pressant ses tétons,

aérant ses soufflets par un baiser profond.

Les paupières d’Oboidor papillonnèrent un peu

puis aspirant de l’air elle ouvrit grands ses yeux.



et pousser votre gland au-delà de ma rate ?



pour vous de votre pomme qui vous bouchait la glotte,

pour moi du déshonneur flottant dans ma culotte.

Maintenant tout va mieux profitons du bonheur.


Il fit tant et si bien que des heures plus tard

attirés par les cris de la belle en fanfare,

accourent les voisins pour voir ce qui se passe.

Ils n’en croient pas leurs yeux, ce qu’ils voient les terrasse.

Tenant entre ses mains le visage d’Enguerrand,

La belle Oboidor geint et dit tout son tourment :



Voilà des heures déjà que vous me déglinguez

sur le dos, en levrette, et même sur le côté.

J’avoue, je le regrette, mais je suis éreintée.



et que tu sentes bien l’amour que je te porte.



être prise de la sorte je n’ai jamais rêvé.

Je vois même en plein jour les étoiles du ciel

et ma chatte barbote comme un vieux pot de miel.



une de ces chansonnettes qui amusent les gueux ?



sur un vit qui me plaît et sait me rendre folle.

Il me faudrait trouver une formule magique

afin de qualifier votre queue fantastique.

Que diriez-vous peut-être, si ce n’est trop technique,

d’ « Enguerrand l’enfanteur et sa braguette magique » !


De partout accouraient des femmes hystériques

elles étaient prêtes à tout pour cette queue mythique :

coït ou sodomie et même fellation,

pourvu qu’on ai l’ivresse, qu’importe la façon.


À ce moment du conte on peut imaginer

que la fin est heureuse et l’histoire pliée,

qu’ils vécurent heureux avec beaucoup d’enfants.

Ce serait sans compter sur un rebondissement.

Lorsque le nouveau-né sortit de sa maman,

il était un peu gris, avait le nez trop grand,

et quand à ses oreilles elles étaient gigantesques.

Il avait tout d’une bête et plus rien d’un humain.


Enguerrand n’eut de choix que vivement protester,

le service après-vente urgemment activer,

courant jusqu’au marais pour y trouver Effesse,

mais le bougre enrichi avait tourné les fesses.

Il dut le rechercher des jours, des mois entiers

avant que sur la côte puisse le débusquer.



d’avoir du monde entier le plus bel instrument ?



mais bien peu efficace concernant les enfants.

Les miens sont d’une race que je ne connais guère,

ne sont à mon image, encore moins à leur mère.

Explique-toi maraud ou je te mets aux fers !



tu as été servi du mieux que j’ai pu faire.

En franchissant les Alpes pour aller sur Vittel,

les montures d’Hannibal m’ont servi de modèle.

Mais si petits enfants sont petits éléphants

c’est qu’il y eut problème avec le sous-traitant.

Tu as dû par mégarde connaître une apprentie

qui rata le réglage de tes couilles, de ton vit.

Retourne au marigot et use celui-ci

Lassion apparaîtra, une de mes amies.


Enguerrand repartit à moitié rassuré,

s’installa sous le hêtre et se mit à souffler.

Cependant d’un trouvère il n’avait le métier.

Il fit des « Coui », des « Couin », des « Couo » et même des « Coué »,

attirant des canards et des bêtes de toute sorte

dont il n’avait que faire, le diable les emporte.

Quand enfin sortit « Coua ! » du morceau de roseau,

il se dit « cette fois j’ai gagné le gros lot ».

Et gros lot il est vrai car Lassion apparut,

insolemment pulpeuse, impudiquement nue..



N’es-tu point très content avec ton nouveau vit ?



pour service après-vente, matériel garanti.

Car usant de mon membre pour avoir des enfants

je n’ai pu donner jour qu’à petits éléphants…



qui oublia sa tâche fascinée par ton vit.

Il s’agit d’un réglage que je vais effectuer.

Je dois sucer ta queue et tes bourses palper.


La fée Lassion œuvra au bonheur d’Enguerrand,

lécha, pompa, suça sans y mettre les dents,

manipulant les bourses entre ses doigts habiles

très délicatement pour en changer la bile.

Le Comte est à la fête et bande sans faiblir

offrant à la gourmette son jus et ses soupirs.



c’est une liqueur parfaite qui jaillit de ton pieu,

parfum de marronnier et douceur de nectar,

de ce jus mon ami ne naîtra plus Babar.


Enguerrand s’en alla totalement rassuré.

Il baisa à tout va, faisant des tas d’enfants

sans tromper Oboidor qui offrait son amant

comme une récompense à ses dames préférées.

Le Comté augmenta sa population

grâce à l’appeau d’Effesse et à la Fée Lassion.