n° 20151 | Fiche technique | 15044 caractères | 15044Temps de lecture estimé : 9 mn | 23/03/21 |
Résumé: Micheline se croyait veuve et s'était consolée avec un autre homme. Jusqu'au jour où le mari ressuscita. | ||||
Critères: fhh candaul grosseins voiture exhib nudisme entreseins cunnilingu pénétratio double sandwich fsodo humour -couplea3 | ||||
Auteur : Jacquou Envoi mini-message |
Quand Micheline ouvrit ce jour-là la porte de sa maison à l’appel d’une sonnerie, ce fut pour se trouver nez à nez avec un grand type barbu et queue de cheval qu’elle n’avait pas vu depuis huit ans et se révéla être son mari… dont elle était veuve. Elle se trouva mal et le grand barbu la rattrapa de justesse avant de la conduire sur le canapé de son salon et lui offrir un verre d’eau. Il faut comprendre Micheline. Huit ans plus tôt, on l’avait informée que Claudio, son époux, qui convoyait un voilier vers les Antilles, ne donnait plus signe de vie. Son bateau avait été retrouvé quille en l’air avec personne à l’intérieur. Un an plus tard, elle avait été considérée comme veuve, Claudio n’ayant jamais été retrouvé.
Pour Micheline, alors quadragénaire, le choc fut très rude, comme pour ses deux enfants, alors adolescents. Surtout le fait de n’avoir jamais retrouvé son mari. Mais la vie ne pouvait pas s’arrêter pour autant. Après six mois, son amie Françoise lui avait présenté Ramon, un quinqua divorcé de sa connaissance. Micheline ne se sentait pas une vocation de veuve éplorée ad vitam æternam. Il fallait revivre. Certes, avec Ramon, ce ne fut pas ce qu’on pouvait appeler le grand amour, mais c’était un compagnon précieux et elle put renouer grâce à lui avec l’activité sexuelle dont elle avait toujours été friande. Ramon lui avait fait connaître en outre le naturisme et chaque été des séjours dans des camps idoines. Il était soucieux de son corps, pratiquait le culturisme et à son contact, Micheline accepta mieux ses seins en obus et son fessier charnu.
Elle découvrit même l’échangisme suite à une rencontre avec un jeune couple déluré dans un camp naturiste, rencontre au cours de laquelle elle sut vraiment ce que baiser veut dire. Libertin convaincu, Ramon lui apprit à vaincre ses tabous, si bien que la plantureuse blonde aux cheveux très courts (et intégralement bronzée qu’elle était devenue à la cinquantaine) n’avait plus rien à voir avec l’ancienne épouse accablée par son veuvage. Illustration de ce nouvel état d’esprit sous l’influence de son compagnon : elle avait convaincu son amie Françoise de fêter son cinquantième anniversaire dans un club échangiste avec son mari, accompagnée par elle et Ramon. Expérience réussie, soit dit en passant, qui révolutionna la vie sexuelle du couple ami.
Voilà pourquoi l’irruption de Claudio dans sa nouvelle vie ne pouvait que secouer très fort Micheline. Quand elle reprit ses esprits, Claudio lui raconta son histoire. Après son chavirage suite à une tempête tropicale, il s’était retrouvé dans son canot pneumatique à dériver. Il avait été récupéré plus mort que vif par un bateau de pêche brésilien. Son patron l’avait hébergé le temps qu’il se remette et Claudio avait pris goût à la vie du pays, en particulier à sa gent féminine, il devait bien l’avouer. Il était devenu pêcheur à son tour et n’avait pas éprouvé, il s’en excusait, le besoin de donner de ses nouvelles tant il était heureux. Mais dernièrement, le mal du pays l’avait frappé, d’autant que le patron pêcheur était mort. Il avait rassemblé son pécule pour se payer son billet d’avion et voilà. Il était tout heureux de retrouver sa chère épouse qui, bon, avait un peu grossi depuis leur vie commune, mais avait la chair bien placée et se révélait toujours aussi séduisante. Bandante même, allez, disons-le.
Cette histoire romanesque ne convainquit guère les deux enfants du couple, devenus adultes. Pour eux, c’était clair, papa avait découché pendant huit ans, point barre. Il ne fallait pas compter sur eux pour pardonner, même s’ils préféraient le savoir encore en vie. Pour Micheline, l’affaire était plus complexe et son jugement plus nuancé. Certes, Claudio s’était comporté comme « un beau salaud » en laissant sa famille dans l’ignorance de sa situation et dans l’abîme du deuil. Mais d’une autre côté, elle pouvait difficilement nier qu’elle avait aussi profité de la situation assez rapidement. Compte tenu de son évolution vers le libertinage, comment reprocher à son « ex-ex » d’avoir fait des folies de son corps au Brésil ? Qu’il n’ait pas donné signe de vie lui avait aussi permis de connaître Ramon et son influence délicieusement amorale.
À propos de Ramon, quand celui-ci découvrit la réapparition inattendue de Claudio, il se retrouva dans une position inédite. Il pouvait difficilement le virer d’une maison que l’intéressé avait achetée en son temps et l’éloigner de son épouse légitime, même si le veuvage avait été prononcé. Mais il ne pouvait pas non plus faire sa valise, par égard pour sa compagne qui d’ailleurs ne le lui demandait pas. Bref, la seule solution était un ménage à trois, ce que comprit Claudio, peu en position revendicative vu son comportement passé. Le mari officiel (quoique) prit donc possession de la chambre d’amis, Ramon conservant le privilège du lit conjugal. Mais il fut entendu avec Micheline que les deux hommes échangeraient leur position un week-end sur deux, comme un couple divorcé pour les enfants.
Toutefois, à la longue, cette organisation se révéla intenable. Micheline n’avait pas la baise discrète et quand l’éloigné l’entendait gémir, s’exclamer et jouir, la frustration l’accablait et l’envie d’expulser le rival l’assaillait. Aussi Claudio et Ramon décidèrent-ils un jour de se parler. Puisque Micheline aimait tant le cul, pourquoi ne pas la baiser à deux ? Ainsi, personne ne serait frustré et surtout pas Micheline.
Celle-ci accueillit la proposition avec stupéfaction. Elle n’aurait jamais imaginé une telle entente. Mais à la réflexion, elle-même n’était pas perdante, bien au contraire. Deux hommes réunis pour la faire jouir, si cela leur plaisait, pourquoi pas. On pouvait toujours tenter l’expérience et on verrait à l’usage. Elle n’aurait sûrement pas accepté ça il y a quelques années, mais depuis, elle avait évolué, mais oui messieurs. Le soir même, deux hommes nus se retrouvèrent dans le lit d’une dame mûre tout aussi nue, curieuse de savoir comment ils allaient s’y prendre.
***********
Au début, les deux hommes se sentirent un peu couillons. Claudio considérait son ventre rond par rapport aux muscles de culturiste de Ramon et comparait le madrier qui lui servait de queue (et qui avait tant réjoui les Brésiliennes) avec la tige fine du rival. Par quoi et par qui commencer ? C’était moins simple que le duo, le trio. Micheline s’impatientait :
Claudio se lança en plongeant son museau entre les cuisses de la plantureuse blonde. Il savait qu’elle aimait se faire brouter le minou. Son séjour brésilien l’avait rendu expert et Micheline ne tarda pas à roucouler. Ramon observait en s’astiquant, jusqu’à ce que Micheline lui saisisse la queue et la porte à sa bouche. Cette fois, le trio commençait vraiment. Quand Micheline fut bien humide, Claudio s’avança entre ses cuisses et la pénétra en douceur. Son plantureux engin nécessitait des précautions pour être bien accepté et il avait toujours procédé ainsi avec son ex-épouse. Celle-ci avait renoué sans déplaisir avec l’organe mâle de son ex-époux dont elle avait gardé longtemps la nostalgie avant de se faire une raison. Quand Claudio fut totalement engagé, pas un souffle d’air ne pouvait passer dans le déduit de la récipiendaire et quand la cavalcade commença, un doux bruit de chairs frottées se manifesta, vite couvert par les soupirs féminins mêlés à ceux de la succion de la bite offerte à sa bouche. Micheline était désormais doublement baisée et cette séquence allait durer un bon moment.
Quant à ses deux serviteurs, ils ne tardèrent pas à trouver la bonne entente. Ils devisaient brièvement pour voir dans quelle position ils allaient la prendre, qui dans la bouche, qui dans la chatte, un coup par-devant, un coup par derrière, un coup au-dessus, l’essentiel étant que la dame fût toujours occupée.
Arriva cependant le moment où ce vicelard de Ramon proposa ce qu’il n’avait jamais pu obtenir de Micheline : une « double ». Celle-ci était dans un tel état d’excitation qu’elle était prête à tout accepter. Mais qui allait entrer dans son cul ? C’était quand même son cul et elle avait voix au chapitre. Elle jugea la bite de Claudio trop grosse, à sa grande déception. Les Brésiliennes n’avaient pas fait tant de manières. Mais on était en France. Ce fut donc Ramon qui eut la primeur de sodomiser Micheline pendant qu’elle s’empalait sur Claudio, croupe offerte.
Le résultat fut à la hauteur des espérances du trio. Les deux hommes furent parfaitement synchronisés et Micheline s’égosilla tout le temps de cette double pénétration anale-vaginale entre quinquagénaires. Ramon gicla le premier et Claudio profita de son endurance pour retourner Micheline, au cul libéré et lui asséner une volée de coups de son bâton de berger à défoncer le plumard. L’œil vitreux et la bave aux lèvres, Micheline connut un orgasme ravageur qui rétablit l’ancien Brésilien dans son orgueil d’époux légitime sous l’œil admiratif de son cocufieur, car il savait reconnaître les mérites d’un vrai baiseur. Micheline mit un peu de temps à se remettre de ses émotions et se contenta de ce bref commentaire :
**********
La période qui suivit fut sans conteste une des plus joyeuses de la vie de Micheline. À sa grande surprise, ses deux « maris » s’entendaient comme larrons en foire et elle était la grande gagnante. D’abord dans la vie quotidienne grâce à leur activité domestique (ils faisaient même la cuisine) et bien sûr, le sexe. Rien n’était programmé. Parfois, l’un des deux refusait la sollicitation quand l’autre lui proposait de sauter Micheline, ou ils s’entendaient pour lui faire connaître le bonheur, pas forcément au lit. Ils prisaient particulièrement les escapades en pleine nature. Claudio s’était même mis au naturisme où son engin avait provoqué un certain émoi chez les plagistes femmes. Micheline prenait alors un malin plaisir à l’enlacer en marchant sur le sable, histoire de signifier à la cantonade : « c’est à moi, ça ». Et Ramon s’en amusait. Pas étonnant qu’un petit attroupement se produisit le jour où le duo masculin entraîna Micheline dans les dunes pour une démonstration de trio. Parmi les voyeurs se trouvaient même certaines femmes, la main sur les seins ou entre les cuisses, fascinées par l’allégresse de Micheline, possédée par les deux bouts. Peut-être ce jour-là suscita-t-elle des vocations, allez savoir.
Et pourtant, pour une inexplicable raison, Claudio disparut. Il était censé régler son bateau avant une sortie collective qui constituait pour lui une petite source de revenus. Mais il ne revint pas. Des recherches furent organisées pour un naufrage éventuel, peu probable, car le temps était au beau. Micheline et Ramon durent se rendre à l’évidence : leur ami les avait quittés. Peut-être était-il retourné au Brésil. C’est en tout cas ce qu’ils préférèrent envisager, avec une éventualité de retour.
Si Micheline en fut affectée, Ramon déplora plus profondément encore la perte de son « poteau », comme il l’appelait en référence à la queue de Claudio. Le sexe ne l’intéressait plus beaucoup, malgré l’ardeur solliciteuse de Micheline. Il bandait mou. Le duo classique l’inspirait beaucoup moins que le trio. Micheline ne pouvait pas l’admettre, d’autant que cette longue séquence à trois avait considérablement augmenté son potentiel sexuel. Ses décolletés panoramiques, ses jupes à mi-cuisses, ses yeux pétillants et sa petite moue de femme bien baisée lui avaient valu l’intérêt accru des mâles évoluant dans son registre professionnel, à savoir une entreprise de transport dont elle était l’assistante de direction. Rien ne lui faisait plus plaisir que le regard concupiscent de quelques jeunes chauffeurs vers ses seins généreusement découverts. Plusieurs avaient tenté leur chance, mais sa réponse était toujours la même : « J’ai ce qu’il faut à la maison ».
Cette fois, le contexte était différent. Micheline était dans le besoin. Et quand un gars de trente ans, à la carrure d’athlète, lui proposa un jour de l’accompagner entre midi et deux dans son resto routier habituel, histoire de discuter un peu, elle ne refusa pas. Après le repas, où ils s’étaient échauffés mutuellement (Micheline en laissant bailler son corsage), ils se retrouvèrent dans la cabine du semi-remorque du dénommé Milan. C’était un vieux fantasme de l’assistante de direction : baiser dans un poids-lourd. Impossible avec Claudio et Ramon. Possible avec Milan, qui se révéla expert dans l’art du cunni. Micheline lui offrit son vieux fantasme à lui : une cravate de notaire entre ses seins plantureux. Particulièrement endurant, il la baisa pendant une heure. Malgré l’inconfort qui permettait cependant au jeune mâle de trouver de bons appuis pour creuser Micheline comme un marteau piqueur, celle-ci connut de multiples orgasmes, à faire trembler les vitres de la cabine, si bien qu’elle retourna au bureau très en retard et quasiment à quatre pattes tant il l’avait ramonée. Mais elle était désormais droguée à sa queue.
Ramon fut donc cocu. Il ne s’en formalisa pas et remercia Micheline de l’avoir informé. Il s’en formalisa d’autant moins qu’il proposa à sa compagne d’inviter le chauffeur à dîner afin qu’il lui fût présenté. Micheline comprit l’intention. Il voulait renouer avec le trio. Et de fait, tous les trois se retrouvèrent un soir au lit, nus autant qu’on peut l’être. Milan était presque aussi bien membré que Claudio. Il fallait juste qu’il laisse un peu de place à Ramon, ce que Micheline organisa. Et c’est ainsi que son compagnon retrouva sa virilité perdue. La seule différence fut qu’en raison des multiples voyages de Milan, les retrouvailles n’avaient lieu que le week-end. Mais comme Micheline avait maintenant cinquante-cinq ans, elle n’avait pas trop de cinq jours pour se remettre du viril traitement que lui offraient ses deux hommes en fin de semaine. Jusqu’au jour où on sonna à la porte. Et Claudio apparut.