Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 20163Fiche technique11210 caractères11210
Temps de lecture estimé : 7 mn
29/03/21
Résumé:  Quand Charlotte est venue me voir à Hong Kong, j'ai voulu lui montrer l'incroyable vue depuis l'ascenseur de verre de la tour où je travaillais. Ce n'est finalement pas la ville que nous avons découverte ensemble, mais plutôt nos corps et notre plaisir.
Critères:  fh ascenseur intermast fellation pénétratio -rencontre
Auteur : Teledin      Envoi mini-message
En ascenseur




Cela faisait six mois que je travaillais à Hong-Kong. J’occupais un bureau dans une des plus grandes tours de la ville et une vue imprenable sur la baie. Malgré un métier très agréable, je m’ennuyais beaucoup dans cette ville où je ne connaissais personne. Je m’occupais entre heures supplémentaires, salle de sport et visite touristique.


C’est pour cela que j’étais ravi d’apprendre que ma vieille amie Charlotte allait venir à Hong-Kong pour quelques jours. Ça faisait bien deux ans qu’on ne s’était pas vus, mais on correspondait souvent via internet. Je lui avais donc spontanément proposé de dormir chez moi durant son séjour. Sa visite allait briser la monotonie de ma petite vie. Nous nous sommes rapidement organisés, et nous prîmes rendez-vous à mon bureau après sa première journée pour rentrer ensemble.


C’est vers 19 h que l’accueil me signala son arrivée, je fermai rapidement mes dossiers et mon ordinateur pour la rejoindre. En sortant de l’ascenseur, je fus frappé par la différence entre la fille que j’avais en mémoire (un peu hippie, mal coiffée et mal fagotée) et cette femme. Dans un tailleur gris très classique, elle m’attendait, élégante et sévère. Mais, quand elle me vit, son visage s’éclaira d’un grand sourire qui lui dévora la moitié du visage et je retrouvai aussitôt ma vieille amie !


Nous avons rapidement abandonné l’immeuble pour aller dîner. Durant le trajet, j’eus vite l’impression de ne l’avoir quittée qu’hier, tant la conversation se faisait toute seule. Pendant qu’elle me donnait des nouvelles de nos connaissances communes, je la détaillais. J’espérais que ses goûts alimentaires n’avaient pas autant changé que son physique, sinon j’allais droit dans le mur avec mon menu végétarien ! Bien plus sévère que dans mes souvenirs, sa tenue rehaussait agréablement ses formes et lui conférait un charme indéniable tout en restant très professionnelle.


Ses cheveux autrefois longs et auburn étaient maintenant brun foncé et en carré plongeant. Cette nouvelle coiffure ainsi que son léger maquillage mettaient en valeur sa superbe bouche qu’elle avait soulignée d’un rouge à lèvres écarlate. Ce rouge écarlate renvoyait à la singularité de ses chaussures, des stilettos à couleur identique et aux talons vertigineux. Avec elles, ses jambes n’en finissaient plus et elle était même un peu plus grande que moi. Cette excentricité me révélait qu’au fond elle n’avait pas tellement changé.


Elle fut d’ailleurs ravie et touchée par mon choix de restaurant ! Le dîner passa en coup de vent entre bons souvenirs, anecdotes personnelles, petits plats étonnamment savoureux et cocktails alcoolisés, trop alcoolisés. J’appris au détour de la conversation qu’elle était célibataire et je retombai rapidement dans d’anciens fantasmes. Elle ne tarda d’ailleurs pas durant le dessert de m’offrir de quoi enrichir ma fantasmagorie pour les années à venir.


Elle avait commencé à manger sa glace aux haricots rouges d’une façon extrêmement sensuelle et apparemment fortuite. Elle se rendit compte de mon regard fasciné et par jeu me prodigua le spectacle de la bouchée de glace la plus sexuellement explicite que j’ai jamais vue ! Puis elle se moqua en riant des hommes et de leur obsession pour les fellations, redevenant la vieille copine. Puis elle changea de sujet et partit sur l’histoire d’une de ses amies pâtissière à Orléans, alors que moi je ne l’écoutais plus, obnubilé par ses lèvres…


Au cours du repas, elle m’avait révélé une certaine fascination par tous les gratte-ciel géants de la ville. Je lui avais donc proposé de lui montrer la vue qu’on avait sur la ville du dernier étage de ma tour. En sortant du restaurant nous prîmes donc la direction de ma tour. Le gardien de nuit me connaissait bien puisque mon travail (faire le lien entre une filiale asiatique et la maison mère européenne) me faisait souvent travailler tard le soir nous laissa passer.


On prit l’ascenseur en verre qui montait jusqu’au dernier étage de l’immeuble et qui offrait un superbe spectacle. Durant la longue montée, nous discutâmes un peu, mais rapidement elle s’absorba dans la vue qui s’offrait à elle au fur et à mesure. Arrivé au dernier étage, je la retins à l’intérieur de l’ascenseur et lui expliquai qu’une fois les lumières éteintes ce serait d’ici qu’on aurait la meilleure vue. Quand les lumières s’éteignirent, on put contempler toute la baie.


Je commençai à lui indiquer les différents immeubles célèbres comme la tour de la banque de Chine et l’immeuble du centre international du commerce (le plus haut de la ville). Pour mieux lui indiquer du doigt une jonque dans la baie, je me collai derrière elle, en profitant pour poser une main sur ses hanches. Pour mieux la guider, évidemment. Comme elle ne réagissait pas, je suis resté dans cette position. Nous restâmes quelque temps silencieux tous les deux dans la pénombre, éclairés seulement par les lumières de la ville.


L’apparition d’un bateau de croisière me donna une excuse pour sortir de ce silence et me penchant je le lui indiquai. Elle ne le regardait absolument pas, c’était moi qu’elle dévorait du regard puis elle se tourna vers moi et m’embrassa. D’abord doucement comme si elle craignait un rejet, puis plus intensément à mesure que je lui rendais son baiser. Je la pris dans mes bras et notre baiser devient passionné, fébrile. Je la plaquai contre la vitre et nos langues se croisèrent rapidement. Ses mains glissèrent sous ma veste pour m’attirer contre elle. Sa jambe droite, remontée sur ma cuisse, m’enserrait pendant que ma main la remontait pour se glisser sous sa jupe et y agripper sa fesse, plaquant son bassin contre le mien. Ma deuxième paume rejoignit la première sur ses fesses recouvertes d’un shorty et je la soulevai du sol. Elle m’enlaça la taille de ses cuisses plaquant mon sexe contre le sien. Je dévorais son cou tandis que ses mains et ses cuisses me pressaient contre elle.


Je la déposai au sol et mes lèvres toujours rivées sur les siennes, je lui enlevai son chemisier tandis qu’elle me retirait ma chemise. Puis elle enleva son soutien-gorge rouge vif et mes lèvres accompagnées de mes mains fébriles se jetèrent sur ses seins offerts. Je lui découvris des seins lourds en forme de poire, aux aréoles très claires et dont les mamelons durs pointaient vers le ciel.


Pendant ce temps, ses mains s’activaient sur mon pantalon, détachant rapidement la ceinture et les boutons avant de s’y glisser pour atteindre mon sexe qu’elle prit fermement en main. Elle le dégagea et commença à me branler doucement. Nos lèvres s’étaient de nouveau rejointes et tandis qu’elle me mordait une lèvre, ma main droite suivant son exemple avait quitté sa poitrine pour se glisser entre ses cuisses et y caresser son sexe. J’écartai un peu sa culotte et la pénétrai d’un doigt, lui tirant un premier gémissement.


Nous nous caressâmes ainsi mutuellement quelques secondes puis je la retournai face à la vitre. Mes mains firent glisser sa jupe et sa culotte le long de ses cuisses puis les lui retirèrent complètement. Elle ne portait plus que ses bas, ses chaussures ayant volé depuis longtemps. Plaqué dans son dos, ma main droite glissa de son ventre à son sexe pendant que ma main gauche remontait sur sa poitrine, la serrait fort. Libérés de sa culotte, mes doigts purent s’enfoncer plus profondément et mes va-et-vient commencèrent à la faire gémir.


Elle tira ma main de sa poitrine pour la porter à ses lèvres afin d’en sucer langoureusement les doigts. Son autre main rejoignit la mienne entre ses cuisses pour me guider. À nous deux, il ne fallut que quelque instant pour la faire jouir. Appuyée sur la vitre, elle prit quelques longues et profondes respirations avant de se retourner vers moi et de m’embrasser à pleine bouche ses mains à nouveau en mouvement sur mon corps. Elle tomba alors à genoux et ses lèvres rejoignirent sa main qui s’activait déjà sur ma queue. Elle l’avala goulûment et accompagna le mouvement du va-et-vient de sa main avec sa bouche.


La pression monta très vite pour moi et à mon extrême limite je la relevai brutalement l’arrachant à mon sexe. Je voulais la voir jouir encore une fois. Je l’embrassai de nouveau à pleine bouche et laissai mes lèvres glisser sur son cou jusqu’à ses seins et poursuivis mon chemin sur son corps jusqu’à son sexe. À genoux devant elle, la tête entre ses cuisses, le travail combiné de ma bouche et de mes doigts lui arrachèrent des gémissements de plaisir. Une de ses paumes écrasa une de mes mains sur son sein tandis que l’autre, glissée dans mes cheveux, incita ma langue à la pénétrer plus profondément. À nouveau proche de la jouissance, elle me tira les cheveux en arrière et m’ordonna de la prendre.


Je me redressai et la retournai contre la vitre. Appuyé sur celle-ci, elle se cambra le plus possible et je la pénétrai. Tout doucement, j’enfonçai mon sexe en elle, le contraste entre mes doigts fins et ma queue épaisse lui fit tout de suite pousser un gémissement rauque de plaisir. Tandis que je m’enfonçai lentement en elle, j’observai le reflet de son visage dans la vitre de l’ascenseur. Elle avait les yeux fermés et se mordait les lèvres.


À chacun de mes va-et-vient, je me retirai presque entièrement avant de la repénétrer un peu plus profondément. Rapidement, je pus m’y enfoncer jusqu’à la garde sans qu’elle éprouve rien d’autre qu’une profonde satisfaction. Mes mains glissaient sur son corps et empoignèrent ses seins qui se balançaient en un mouvement amplifié de nos hanches. Ma main droite se glissa entre ses cuisses et, tandis que mes mouvements de reins se faisaient progressivement plus rapides, je caressai son sexe, stimulant son clitoris et lui arrachant des gémissements de plaisir.


Mes mouvements s’accélérèrent et ses fesses claquaient à chaque fois que je les percutais. Mes mains se rivèrent sur sa taille et je la pilonnai le plus rapidement et le plus puissamment possible. Tandis que nous approchions inexorablement de l’orgasme, ses gémissements se transformèrent en râles puis littéralement en cris de jouissance. Enfin, d’un dernier mouvement ample, je m’enfonçai en elle de toute ma longueur et y explosai. Les yeux fermés, les mains agrippées à ses hanches, je sentis mon sperme fuser et je jouis intensément.


Nous passâmes un moment assis dans le noir, dans les bras l’un de l’autre à regarder la ville et à parler doucement. Nous n’avons finalement fait aucune des visites que j’avais prévues cette semaine-là. À vrai dire, nous ne sommes pas tellement sortis de ma chambre durant tout notre temps libre.