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n° 20164Fiche technique57499 caractères57499
Temps de lecture estimé : 31 mn
29/03/21
corrigé 30/05/21
Résumé:  Comme presque tous les matins avant que nous nous levions, j'ai l'habitude d'aller me nicher contre le corps doux et chaud de ma femme.
Critères:  fh fhh couleurs candaul caresses intermast fellation pénétratio sandwich fsodo init -initiatiq
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message

Collection : Le Cercle (début des années 80)
Deux après-midis dans notre vie


Imaginez un monde sans Internet, sans smartphone, sans CD, sans DVD, sans centaine de chaînes de télé, sans ordinateur puissant.

Une époque pourtant pas si ancienne.

Retour aux années 80 avec un récit d’initiation fort classique, mais qui peut donner des idées…

Chaque histoire de cette collection sera indépendante des autres.

Bonne lecture :)






Un matin


Comme presque tous les matins avant que nous nous levions, j’ai l’habitude d’aller me nicher contre le corps doux et chaud de ma femme. J’adore le contact de sa peau contre la mienne, de pouvoir caresser son petit ventre rebondi sous la paume de ma main, de descendre pour câliner son pubis bombé pour ensuite remonter capturer un sein tout tendre et jouer avec sa pointe déjà un peu durcie.


Quand c’est un jour de semaine, ce moment est assez fugace, mais quand c’est le week-end ou mieux encore, les vacances, on va dire que ça dégénère souvent. Aujourd’hui, c’est samedi, donc je m’enhardis un peu plus que de coutume, Nadine (ma femme) se laissant voluptueusement faire.


Puis quelques instants plus tard, elle m’arrête dans mon élan, me proposant :



C’est rare que ce soit elle qui me propose des galipettes. En général, c’est moi qui prends l’initiative, puis elle dispose en disant oui ou non. Parfois, c’est à moi de deviner son envie, et au fur et à mesure des années, j’ai fini par comprendre et détecter la plupart de ses signaux secrets. Mais parfois, il m’arrive de me planter.


Tout en caressant son sein, je réponds :



Nadine se met à rire :



Avec un corps comme celui de ma femme, j’ai des difficultés à dire non quand elle me propose de la lutiner, et elle le sait très bien. Et quelque chose me dit que je vais trouver la matinée fort longue, même si nous devons aller faire des courses dans divers magasins, et que nous n’aurons pas le temps de nous ennuyer ! En ce début des années quatre-vingt, la société de consommation bat son plein, avec plein de magasins et autres chaînes, peu importe que le gouvernement soit de droite ou de gauche, comme actuellement.




Premier après-midi


Après le déjeuner, comme convenu, ma femme part s’allonger un peu dans notre lit. Je la laisse tranquille, elle préfère faire sa sieste au calme, sans gros obsédé dans les parages. De ce fait, j’en profite pour aller classer quelques BD, car la pile commence à devenir haute. Ça va faire au moins trois ou quatre mois que je n’ai pas fait de rangement dans la chambre du bout, celle dont les murs sont tapissés d’étagères pour ranger livres et bandes dessinées.


Classer mes ouvrages en retard me prend un certain temps. Ceci fini, je pars boire quelque chose dans la cuisine, puis je vais silencieusement jeter un furtif coup d’œil dans notre chambre. Ma douce dort toujours. Faisant demi-tour, je préfère la laisser tranquille.



Prestement, me glissant sous la couette, je me couche à côté d’elle. Je constate qu’elle est habillée d’une simple nuisette, ce qui m’émoustille. Aussitôt, nous nous faisons des petits bisous, une bonne façon de me mettre en train. Bien entendu, mes mains se baladent un peu partout. J’adore explorer ses courbes, même si je les connais par cœur !


Quelques minutes plus tard, Nadine se retourne sur le ventre, me présentant son dos et ses fesses. Bien sûr, je profite aussitôt de l’aubaine, surtout de son fessier bien en chair. Alors qu’un de mes doigts vient de s’égarer dans son sillon, celui-ci découvre quelque chose d’inattendu :



Sa réponse fuse, malicieuse :



Pour toute réponse, je pars embrasser puis mordiller ses deux belles fesses charnues. Elle rit.


Non, c’est vrai que ça ne déplairait pas que nous soyons deux hommes à pénétrer en même temps ma femme. Mais entre fantasmer et passer à l’acte, il y a un gouffre. De plus, de temps à autre, aidé par un gode ou un plug, j’assouvis partiellement cette lubie, et ça me convient très bien. En attendant, je continue à embrasser le beau cul offert et à y laisser mes empreintes dentaires, en bon cannibale que je suis.


Et puis bisouter des belles fesses bien séparées par un plug noir, tout en imaginant ce faux sexe bien ancré dans des profondeurs interdites, ça stimule la libido !


Ça stimule tellement la libido que je sens que je vais avoir quelques soucis avec mon self-control ! Il va falloir que je me calme un peu, sinon je vais éjaculer sur les draps dans peu de temps, ce qui serait idiot ! Je préfère nettement que mon sperme soit planté au plus profond de ma femme que gaspillé de la sorte. Éventuellement, répandu sur ses seins ou ses fesses.



Je demande à ma femme de se retourner sur le dos, afin que je puisse venir visiter son doux vagin. À peine est-elle allongée que je fonds sur elle pour venir m’ensevelir dans son antre. Elle s’exclame :



Avec un sourire perfide, elle me dit :



Excité par cet intrus que ma verge sent distinctement à travers la fine cloison qui sépare les deux antres, je me déchaîne, pistonnant férocement cette petite traînée qui s’amuse à simuler un trio. Tu veux de la bite, ma cochonne ? Tu vas en avoir, dussé-je me décrocher la queue !


Aujourd’hui, je n’ai pas envie de romantisme. Non, je veux du sexe, simplement du sexe.


Parfois des mots crus fusent dans ma tête pendant que je fais l’amour à ma femme, mais il est rare que ceux-ci franchissent mes lèvres. Nadine est moins complexée de ce côté. Le verbe baiser lui est coutumier ; perso, je préfère utiliser des circonvolutions.


Toujours est-il que cette simulation de trio me stimule ! J’ai une envie folle de remplir à fond cette dévergondée, de la faire déborder, de la faire jouir jusqu’à ce qu’elle crie grâce !


Mais je sens que c’est moi qui vais céder le premier, c’est trop bon de… de baiser sa femme de la sorte, et bien que je serre les dents à fond, le flot va bientôt nous submerger tous les deux, moi en sortie et elle en entrée.



Même si je souhaite rester muet, c’est impossible ! Quand j’éjacule, la tension est si forte qu’il faut que j’évacue tout de moi, y compris les cris primaux ! Je me vide, je me déverse, je ressemble à un barrage qui vient de céder sous la pression des eaux qu’il retenait captives !


Quand j’éjacule, je ne suis plus moi-même, je suis absent, je suis ailleurs, je touche au nirvana, à la vacuité presque absolue. La plupart des mystiques sont dans le faux : ce n’est pas en méditant comme un malade, en jeûnant comme un débile, en mortifiant son corps comme un taré qu’on atteint les plus hautes sphères. Non, une bonne jouissance vous emmène illico vers le septième ciel, le huitième, le neuvième et j’en passe. Et en moins de deux minutes pour les précoces. Pour ma part, je pense qu’il faut faire durer le plaisir.


Durer le plaisir, c’est bien mon intention ! Je veux faire trente-six fois l’amour à ma belle dévergondée, l’épuiser d’amour, la rendre aussi flasque qu’une baudruche dégonflée, lui faire crier grâce, et lui montrer que c’est moi qui possède la verge ultime, peu importe si un autre comparse ou des autres amants la besognent en même temps que moi.



Alors je me déchaîne, excité à mort par mon rival de plastique enfoncé dans son intimité interdite. Je redeviens bestial, animal, primaire possesseur de ma femelle.


Le temps n’existe plus, il est juste entrecoupé de nos cris saccadés, de nos corps en sueur, de nos tressaillements féroces. Aller jusqu’au bout, vers la grande lumière blanche cotonneuse, pour venir se fondre dans la petite mort…


La petite mort… à la fois si lointaine et si proche…


Et puis, plus rien que le vide…


Juste le vide…



**********



À moitié hébété, je reviens petit à petit à moi, en même temps que mon amante, me semble-t-il. Amorphe, je n’arrive plus à bouger. Soulever une paupière me semble aussi difficile que de soulever un tronc d’arbre jonché sur le sol. Alanguie et repue, Nadine soupire d’aise :



Grandiose réflexion qui n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd…




Intermède


Ce ne fut pas la dernière fois que ma femme s’offrit les joies d’un faux trio, aidé par divers accessoires en plastique ou en latex. Et comme elle y prenait beaucoup de plaisir, nous avons continué sur cette voie, et ce, de plus en plus fréquemment. Nous en sommes arrivés à environ une fois sur trois, ce qui est assez logique, puisqu’il s’agit de trio.


Je me laisse aller de plus en plus à mes dérapages à demi muets, dissociant la partie prononçable de la partie non avouable, je trouve que ça améliore mes performances, et Nadine apprécie beaucoup. Je sais que je peux me permettre quelques gros mots envers ma femme, mais je sais aussi qu’il ne faut pas que j’abuse. De ce fait, j’enrobe toujours mes mots crus d’adjectifs louangeurs. Exemples : adorable salope, mignonne pute, admirable cochonne et j’en passe. Bref, une sorte de match nul entre nom et adjectif.



Mais en moi-même, je suis moins… comment dire… diplomate. Ma femme est alors une foutue traînée qu’il convient de baiser à fond comme ce genre de femme le mérite. Parfois, ça m’inquiète, mais je me dis que c’est ma libido qui parle et non celui que je suis vraiment.



Ah ça, ça ressemble à un demi-aveu. Grâce à des questions judicieusement posées au bon moment, ce qui n’est pas toujours évident à caser, j’ai fini par savoir que ma femme fantasmait parfois sur les métis des îles, comme ceux des Antilles. Plus tard, j’apprends que ça ne se limite pas qu’aux métis, mais que les originaires du sud du Sahara ne la laissaient pas non plus indifférente. Les briques se mettent en place.



Elle oscille un peu la tête :



Me regardant droit dans les yeux, Nadine m’adresse un petit sourire charmeur :



Ma femme sourit d’un air entendu :



Ces derniers temps, j’éprouve un gros retour de flamme envers mon épouse, alternant sorties en amoureux et nuits torrides. Elle s’en étonne parfois un peu à demi-mot, mais elle se laisse faire, assez contente d’être l’objet de désir de son mari. Souvent, j’oublie que Nadine est ma femme, je la considère plutôt comme ma maîtresse.


D’où des têtes à têtes très ardents ! De plus, les programmes télé sont nuls ! Peut-être que ça s’améliorera avec cette nouvelle chaîne à péage qui devrait arriver sous peu. Mais entre un film, même récent, et une séance de sport en chambre, je choisis tout de suite la seconde option !




Un autre matin


Ce samedi, nous sommes actuellement en train de faire les courses dans un endroit désert de la grande surface, notre petit rituel de fin de semaine. Comparant deux boîtes de conserve, je demande soudainement à ma femme :



Avant de me répondre, ma moitié regarde furtivement autour d’elle :



Nadine me donne un petit coup de poing dans le bras :



Ayant choisi, je pose une des deux boîtes dans le caddie, disant placidement :



Soudain, elle redevient plus sérieuse :



Je pose ma main sur sa hanche :



Nous nous regardons quelques instants, puis je dépose un gros baiser sur son front. Remettant mes mains sur la barre du caddie, je reviens à la conversation d’avant :



Sa réponse fuse, évidente :



Lentement, je commence à pousser le chariot :



À ces mots, elle devient pensive :



Nous avançons de quelques pas, puis soudain, elle s’accroche à mon bras, me faisant sentir le moelleux de son sein :



Poussant toujours le caddie, je lui adresse un large sourire :



Puis sur ces bonnes paroles, nous continuons nos courses.




Second après-midi


Le samedi après-midi est très souvent consacré à des activités croustillantes, sorte de récompense de toutes les obligations du matin. Cette nette séparation de la journée me convient parfaitement, faire l’amour lors de la sieste a toujours été un gros plus. Sans oublier qu’on peut recommencer en soirée !


Il est incontestable que la chambre à coucher est un bon endroit, même si le salon n’est pas à dédaigner, ainsi que d’autres pièces de la maison, sauf peut-être les toilettes. Quoique, pour faire dans l’originalité, ce n’est pas triste… enfin bref, passons. C’est dans le lit conjugal que, durant cet après-midi, nous avons prévu de faire des galipettes. Agenouillée sur le lit, Nadine est uniquement vêtue d’une petite nuisette bleutée, fort translucide et fort courte, ce qui dévoile agréablement ses fesses et sa fente dès qu’elle se penche un peu. C’est admirablement calculé pour !


De plus, ses mignons seins tendent de façon excitante le léger tissu de la nuisette.


Comme je possède un esprit pratique, moi aussi je suis agenouillé sur le lit, mais juste derrière ma femme, plaqué contre son dos, ce qui me permet de faire trois choses en même temps : capturer et jouer avec ses seins, la bisouter dans le cou et enfin lui faire sentir dans le creux de ses reins que je ne suis pas insensible à ses charmes.


Elle minaude :



Après deux ou trois cris, elle repousse gentiment ma tête, me disant d’une voix câline :



À la grande stupéfaction de ma femme, délaissant momentanément ses seins, je claque deux fois dans mes mains. Puis, à l’immense ébahissement de celle-ci, un grand inconnu visiblement d’Afrique subsaharienne s’encadre tranquillement dans la porte.


Nadine est tellement abasourdie qu’elle ne dit rien, même si elle est quasiment nue devant un homme qu’elle ne connaît absolument pas. Recommençant à peloter impunément les seins de ma femme, je fais les présentations :



S’approchant un peu plus, Markus s’incline cérémonieusement devant ma femme :



Et en parfait gentleman, il lui baise la main. De mon côté, j’ai abandonné ses seins, et je me tiens à présent sur le côté, attentif à la suite. Toujours agenouillée au milieu du lit, sans cacher quoi que ce fût d’elle, ma femme est totalement indécise, perplexe, elle ne sait visiblement pas sur quel pied danser, elle ne s’attendait absolument pas à cette tournure des événements.


De sa voix grave, Markus prend la parole pour expliquer :



Intriguée, ma femme demande :



Notre invité se met à rire.



Me jetant un rapide coup d’œil, elle précise :



Ma femme rougit un peu :



Se détendant de plus en plus, Nadine plaisante :



Je m’approche de ma femme par la gauche, Markus en fait de même par la droite. Puis, ensemble, nous commençons à caresser Nadine puis à l’embrasser sur la joue, dans le cou, à mordiller ses oreilles. Petit à petit, nos caresses s’enhardissent, explorant son dos, son ventre, ses seins, puis bientôt ses fesses et son pubis. Fermant les yeux, légèrement tremblante, ma femme se laisse doublement adorer.


Les baisers s’attardent de plus en plus ses seins, ses tétons déjà durs. Puis c’est au tour de ses fesses, la nuisette n’offrant aucun barrage à notre double concupiscence. Les joues en feu, Nadine ose maintenant nous regarder s’occuper d’elle.


Depuis que Markus est presque nu (il a gardé son boxer), ma femme a des difficultés à détourner le regard. Il est vrai que notre invité est bien fait de sa personne. Moi, j’avais déjà vu des photos de lui obligeamment montrées par un contact, et comme on dit, il a ce qu’il faut là où il faut. Quelque part, j’aimerais bien avoir sa musculature. Ce type doit certainement s’entretenir chez lui ou dans une salle spécialisée.


Se penchant à son oreille, Markus propose de ma femme :



Markus s’agenouille sur le lit, offrant son corps aux futures caresses de ma femme :



Joignant le geste à la parole, Nadine pose ses mains sur les pectoraux de son vis-à-vis. Puis elle commence à balader ses doigts sur le torse imberbe. Il est flagrant qu’elle y prend plaisir. S’enhardissant, elle fait lentement le tour de Markus, faisant glisser ses mains sur les épaules, le dos, tout le haut du corps entre le nombril et le cou.


Ce petit manège dure de longs instants, Nadine prenant son temps, explorant chaque centimètre carré de peau, devenant de plus en plus sensuelle. Je la regarde faire, elle est fascinée par son nouveau joujou.


De temps à autre, elle jette un furtif coup d’œil dans ma direction. L’expression de mon visage doit la rassurer puisqu’à chaque fois, elle continue sa nouvelle activité. Je constate que ses mains s’égarent de plus en plus bas, mais qu’elle n’ose pas franchir une certaine limite.


Il n’y a pas que moi qui le constate, car, un sourire aux lèvres, Markus lui dit carrément :



Nadine se tourne vers moi :



Elle tergiverse quelques instants, puis se décide. S’accroupissant, ses mains glissent sur le tissu du boxer, cherchant à deviner les formes qu’il cache. Après s’être attardés devant, ses doigts viennent peloter un petit cul que je suppose bien ferme.



Markus s’en amuse :



Elle lève les yeux :



Ma femme rougit à nouveau, Markus continue sur sa lancée :



À nouveau, ma femme me jette un coup d’œil. À nouveau, elle comprend qu’elle peut y aller. Elle hésite néanmoins un peu, puis se décide. Elle glisse ses doigts entre la peau et le boxer qu’elle abaisse lentement.


Elle révèle alors une verge triomphante bien nervurée qui se dresse sous son nez. Je me fais peut-être des idées, mais on dirait presque qu’elle en salive d’avance ! En tout cas, ses yeux sont luisants. Sans oser toucher, elle contemple le spectacle que Markus lui offre.


Puis elle rompt le silence :



Markus se met à rire :



Fixant la chose, Nadine proteste un peu :



Ma femme esquisse un petit sourire. Je ne sais pas ce qu’il faut en déduire. Puis intriguée, Nadine regarde mieux :



En effet, le design de son sexe est différent du mien. De plus, mon partenaire de jeu possède un engin plus gros que le mien qui est dans la moyenne, mais curieusement, moins de testicules, comme si l’un compensait l’autre.


Nadine se tourne vers moi :



Encore un peu suspicieuse, elle insiste :



Notre invité confirme :



Rassurée, elle commence à caresser du bout des doigts la verge bien dure. Il ne lui faut pas longtemps pour l’empoigner et jouer avec. Puis elle ose donner un petit coup de langue sur le gland, puis un autre.


À présent, elle lèche consciencieusement la colonne de chair, l’explorant avec application. Ma femme n’a jamais été trop prude concernant la fellation, c’est une pratique qu’elle ne déteste pas. Nadine avait pris cette habitude avec mes prédécesseurs. La raison était surtout d’ordre pratique : c’était vite fait et aucun risque de mauvaise surprise neuf mois plus tard. Elle ne savait pas encore qu’elle était stérile.


Elle avait gardé cette habitude depuis que nous nous sommes rencontrés, c’est l’acte sexuel qu’elle pratiquait le plus, avec la masturbation. Pour ma part, elle était la première femme à faire si facilement des sucettes, et en plus, d’avaler ensuite, ce qui est très flatteur pour la libido ! Non, je ne l’ai pas épousée que pour cette caractéristique, Nadine possède bien d’autres qualités.


Je constate que ma femme déploie toute sa science sur Markus qui semble ravi. À un moment donné, il me regarde, ses yeux indiquent nettement son approbation. Nadine accélère ses lècheries et enfourne de plus en plus la vaste verge dans sa bouche. Je reconnais cette façon de faire. J’en touche un mot à notre invité :



Markus incline la tête vers la femme qui le suce avec assiduité :



Levant le nez vers mon invité, Nadine bouge légèrement la tête en signe d’acquiescement. Markus affiche alors un large sourire et quelques secondes plus tard, il explose dans la bouche de ma femme, inondant son palais de foutre. Le regard étonné de ma femme indique clairement qu’elle ne s’attendait pas à une telle quantité, ce qui ne l’empêche pas d’arriver à juguler tout le flot qui disparaît au fin fond de sa gorge.


Peu après, ma femme fignole la toilette de la verge qui mollit, Markus affichant un sourire béat. S’essuyant les lèvres du revers de sa main, Nadine lâche :



Puis nous recommençons nos caresses et nos câlineries. Nadine frémit de plus en plus sous nos mains et nos lèvres. Markus laisse aller ses doigts entre les lèvres intimes détrempées, ma femme respire de plus en plus fortement, tendue comme un arc, nos bouches plongées dans son cou, la dévorant de baisers.



Dans un grand sursaut, elle jouit sans retenue, se laissant aller à cette caresse insidieuse, vibrant de tous son corps, dans un feu d’artifice interne qui la submerge totalement. Puis elle nous repousse, la tension étant devenue trop forte !




Second après-midi – bis


Épuisée, Nadine gît sur le lit. Assis à ses pieds, nous les hommes, nous devisons en catimini :



Markus se penche vers moi :



Mon comparse me confie :



Soudain, une voix un peu fatiguée coupe notre conversation :



Markus confirme :



Flattée, Nadine s’assied, se glissant entre nous. J’en profite pour saisir son sein. Markus en fait de même. Ma femme se saisit sans complexe de nos verges. Tout en nous masturbant tous les deux, à l’image d’une certaine scène du film « Les valseuses », ma femme se laisse tripoter quelques instants puis avoue :



Puis, sans attendre une quelconque réponse, toujours en train de nous masturber avec application, elle se tourne vers moi :



Une fois de plus, elle insiste :



Elle se tourne vers Markus, puis elle lui demande carrément :



C’est Markus qui se tourne vers moi :



Ouvrant de grands yeux, Nadine intervient :



Markus répond avec un grand sourire :



Elle obéit, il s’agenouille entre ses jambes, son sexe bien pointé en avant, ce qui fait frémir ma femme :



Nadine rosit de plaisir. Markus m’avait bien dit qu’il préférait la fidélisation à trop sauter de couple en couple. Il m’avait expliqué que, parfois, la relation durait quelques mois, puis plus rien pour diverses raisons. Néanmoins, son carnet d’adresses possédait quelques couples réguliers depuis des années, qu’il rencontrait généralement une fois tous les mois ou tous les deux mois.


Ma femme s’étonne :



Avant que son futur amant n’ouvre la bouche, j’interviens :



M’entendant dire ça, Nadine rougit un peu, mais son sourire est plutôt vicieux :



Markus repositionne mieux l’oreiller sous les fesses de ma femme, afin que son entrée soit un peu plus haute et mieux présentée. Puis il frotte lentement sa longue verge sur les lèvres déjà luisantes de Nadine qui apprécie beaucoup. Longuement, il continue son action, sa colonne de chair de plus en plus enrobée sur les côtés par des lèvres charnues, comme si elle s’enfonçait petit à petit à l’horizontale. Souvent, Nadine ferme les yeux pour mieux savourer cette insidieuse caresse.



Enfin, ma femme ose exprimer son plaisir. Markus l’encourage :



Les yeux fermés, ma femme se laisse aller au plaisir d’une longue verge qui se frotte entre ses lèvres déjà humides et sur un clitoris fort sensible. Sa poitrine se soulève dans un rythme régulier, mettant en exergue ses seins aux tétons pointés et pointus. Il est évident qu’elle ne regrette pas la venue de cette troisième personne dans l’intimité de notre couple.


Soudain, tout en continuant sa caresse insidieuse, Markus m’interroge du regard, je comprends sa requête muette. Je lui fais signe que oui. Alors avec une transition sans accro, la verge noire s’enfonce à moitié dans l’antre détrempé de ma femme qui en ouvre les yeux de surprise, levant la tête vers nous. Assez interloquée, elle contemple un gros pieu de chair qui vient de pénétrer en elle sans heurt, avec facilité, malgré un calibre dépassant la moyenne.



Markus commence déjà un va-et-vient très doux. Nadine repose à nouveau sa tête sur l’oreiller, se laissant à nouveau aller, les yeux fermés, tandis que son nouvel amant explore son intimité de fort belle façon. Elle découvre la nouvelle sensation d’être pénétrée par un autre homme, et aussi celle de l’être par une verge plus conséquente.


Soudain, elle ouvre les yeux et me regarde. Je sens qu’elle souhaite me dire quelque chose, mais qu’elle n’ose pas le formuler. Je l’encourage :



Elle hésite puis se lance :



Elle se met à rougir. Je la presse de me dire la suite :



Son nouvel amant la rassure :



Avec un Markus décidé à déployer toute sa pratique en la matière, il ne faut pas bien longtemps pour que ma femme frémisse de la tête aux pieds, signe annonciateur d’une jouissante très forte qui ne va pas tarder à l’envahir. Ramonée avec efficacité, ma femme se pâme :



Markus ne répond rien, il se concentre pour mieux satisfaire Nadine et retarder en même temps le moment de son éjaculation. À le regarder faire, je constate que sa réputation n’est pas usurpée. Je comprends mieux les éloges dont on le submerge (je me suis renseigné auprès d’autres membres du Cercle). Je comprends aussi pourquoi certains couples de l’association ne mentionnent son prénom qu’avec parcimonie, pour mieux se le garder. Il est vrai que je ne sais presque rien de Markus, pas même son nom de famille. Et je ne suis même pas certain que Markus soit son vrai prénom.



Ma femme est en train de se laisser aller, elle chante presque son désir. Je crois que c’est la première fois qu’elle baise avec un autre homme depuis que nous sommes ensemble. Je comprends le côté excitant de la chose, surtout quand ça se passe sous les yeux du mari. Sauf erreur de ma part, c’est du candaulisme. Il faudra que j’aille vérifier le terme dans un dictionnaire ou une encyclopédie.



Dans le feu de l’action, ma femme vient de passer au tutoiement. Ce qui pousse son nouvel amant a lui demander d’une voix rauque :



Cette conversation hautement philosophique est vite interrompue par la jouissance soudaine de ma femme qui explose en mille petits cris. Aussitôt, Markus l’accompagne, se vidant en elle en de vastes coups de reins pour mieux s’enfoncer plus loin en elle.


Sous mes yeux écarquillés, je contemple ma femme en train de jouir comme une petite folle, secouée par les assauts d’une grosse verge qui la remplit d’un sperme qui n’est pas le mien. Voyant cela, sachant cela, je ressens un trouble profond qui est à deux doigts de me faire éjaculer moi aussi. C’est avec difficulté que je me retiens !




Second après-midi – ter


Je laisse les deux amants récupérer un peu. Puis quand ma femme réémerge, je la félicite :



Markus s’adresse à sa nouvelle amante :



Nadine se redresse un peu. Aussitôt, elle s’exclame :



Lançant mon bras vers elle, doigts écartés, j’interviens aussitôt :



Petit à petit, une mini-mare blanche s’étend sur le drap. Il faudra faire tourner la machine à laver. Nadine me sourit, une nouvelle expression sur son visage, un mélange de perversion et de satisfaction. Une nouvelle étape pour elle, franchie haut la main.


Pour nous remettre dans le bain, nous recommençons à caresser et à bisouter ma femme. À nouveau, celle-ci nous branle délicatement, tandis que nos mains et nos bouches s’activent sur elle. Sans complexe, elle offre ses lèvres à notre invité qui ne se prive pas de l’embrasser. Décidément, tout se passe très bien, Nadine est en train de devenir une vraie libertine, une femme qui sait accepter sans chichi les hommages d’un autre homme qui la désire.


Par deux fois, ma femme jouit sous nos doigts, son visage rayonnant de plaisir et de désir. J’adore la contempler ainsi, elle m’émeut, elle me transporte. C’est un immense bonheur de la voir ainsi transfigurée par la jouissance !


Nous la laissons se reposer. Personne ne dit quoi que ce fut, le temps paraît suspendu, comme si nous étions tous les trois des statues de marbre issues de la haute antiquité. Puis Markus s’anime à nouveau. Sous mes yeux étonnés, sans complexe, il badigeonne son sexe avec le sperme répandu sur le drap. Me regardant, il explique posément :



Puis il s’assied, son long mandrin bien raide. Le désignant, il ordonne à ma femme :



Nadine rougit, mais je vois bien que cet ordre la tente. Avant qu’elle ne m’adresse la parole pour savoir si elle peut ou non, je commande :



Elle hésite un peu, sans doute un peu apeurée par cette longue verge à faire disparaître entre ses fesses. Markus lui intime :



Elle se retourne, s’accroupissant pour présenter ses fesses à ce phallus triomphant. Elle marque un petit temps d’arrêt quand sa cuvette épouse le gland poisseux de sperme. C’est alors qu’elle me regarde droit dans les yeux, puis elle s’abaisse un peu ; elle pousse un petit cri quand le gland disparaît en elle.


Elle respire un grand coup, sans me lâcher du regard. Puis posément, elle s’accroupit plus encore, la longue tige s’enfonçant implacablement en elle. Elle se pince les lèvres, mais ne me lâche pas du regard. La moitié de la colonne de chair est enfouie en elle. Nadine continue son empalement, il est visible que ça lui fait un gros effet, ses yeux luisent, sa bouche s’ouvre comme pour mieux aspirer de l’air, mais elle ne me quitte pas du regard. C’est tellement érotique que je me retiens à grand-peine d’éjaculer !


Puis vient le moment où elle s’assied complètement sur Markus. Après une petite pause pour digérer cette énorme chose en elle, Nadine me demande d’un ton vicieux :



Elle se contente de sourire, puis elle se repositionne autrement. Ceci fini, elle lâche :



Bite en avant, j’arrive sur ma femme, il est temps de compléter le tableau. Nadine se couche un peu plus sur son nouvel amant tandis que je m’introduis très facilement en elle, aidé par le sperme de Markus. Je songe alors que ma femme est souillée devant et aussi par-derrière d’un foutre qui n’est pas le mien. Et ça me plaît beaucoup !


Alors que je finis de tout entrer en elle, Nadine s’exclame soudain :



Elle me regarde droit dans les yeux :



Je commence à la ramoner, Markus se synchronise avec moi. Bouche ouverte, tête rejetée en arrière, Nadine apprécie vivement cette double intrusion en elle. De mon côté, ma queue sent distinctement la grosse verge de Markus bien plantée dans son rectum à travers la fine paroi. Il est clair et net que la sensation est plus forte qu’avec un plug ou un gode, si réaliste soit-il.



Tout en faisant danser ma femme sur son pieu de chair rivé en elle, Markus s’empare de ses seins et commence à jouer avec eux. Nadine gémit un peu, puis elle lâche :



Jouant le jeu, son amant répond d’une voix altérée :



Pour lui expliquer à quel point elle nous excite, Markus et moi la besognons de plus belle, y mettant toute notre ardeur, notre passion ! Malmenée, Nadine tressaille, doublement empalée sur nos bites qui la ravagent impunément, férocement, avidement. Dans une odeur de sexe et de sueur, ma femme s’envole doucement vers le plus haut des cieux, son plaisir prêt à exploser, à déflagrer, à la submerger pour la transformer en un simple fétu sur un océan déchaîné.



Maintenant, je sais qu’il y aura d’autres après-midis du même acabit, voire plus…