n° 20168 | Fiche technique | 15359 caractères | 15359Temps de lecture estimé : 10 mn | 31/03/21 |
Résumé: Une période de solitude. Un nouveau travail. Une rencontre avec quelque chose d'inconnu, d'effrayant d'invisible... | ||||
Critères: f groscul bizarre travail fsoumise contrainte cérébral revede noculotte fmast massage caresses délire fantastiqu -fantastiq | ||||
Auteur : Antilope Envoi mini-message |
J’avais accepté ce boulot à contrecœur. J’avais vraiment besoin de fric. Ce n’était pas vraiment pas fifou… mon boulot consistait à rester coincée une bonne partie de la journée dans un petit guichet au milieu du hall principal de l’aéroport et de renseigner les gens qui venaient poser des questions.
L’hôtesse précédente avait quitté son poste précipitamment et ils avaient besoin d’une remplaçante d’urgence pour désengorger les autres guichets de renseignement.
Il fallait parler anglais bien sûr, mais surtout il fallait bien présenter car ce guichet était une sorte de vitrine pour la principale compagnie aérienne.
Le guichet était tout petit. Il s’ouvrait sur le côté pour laisser entrer une personne et pas plus, et m’entourait complètement. Il montait jusqu’au-dessus du nombril et une fois fermé, on ne voyait dépasser que le haut de mon corps. Le tout était placé sur une marche : je serai comme une sorte de statue posée sur un piédestal.
Lors de l’entretien, on m’avait montré l’emplacement, et je me souviens que la première chose que je m’étais dite était que dans ce guichet, je pourrais être entièrement nue en dessous de la ceinture, personne ne s’en apercevrait.
Le lundi suivant, je suis arrivée pour prendre mon poste. Après une brève formation, j’ai pris place à l’intérieur de ma « boîte ».
J’avais mis une veste de tailleur en haut, et le pantalon qui allait avec en bas.
C’était encore plus petit que je ne m’imaginais. Je ne voyais même pas le bas de mon corps. Il m’était impossible de me baisser : si je faisais tomber mon stylo, il fallait ré-ouvrir la porte du guichet pour accéder au plancher.
Par malchance, je n’étais pas très fine, et j’avais même des fesses assez généreuses, qui faisaient que j’étais vraiment à l’étroit dans mon box, au point qu’il m’était difficile de passer la main pour aller chercher quelque chose dans ma poche par exemple.
Au bout de deux heures, ça se passait plutôt bien. J’arrivais à répondre assez facilement au gens qui avaient plutôt des questions basiques du genre « S’il vous plaît mademoiselle, où se trouve… ».
L’heure de ma pause arrivait. Il me restait cinq minutes à attendre. C’est là que je l’ai senti.
Je n’ai pas compris ce que c’était mais quelque chose s’est clairement frotté à ma cheville. Ce fut très furtif, et plutôt doux. Sur le coup, je n’ai pas pu éviter un cri. C’était tellement surprenant ! J’ai commencé à prendre peur et j’ai immédiatement ouvert le box pour voir ce qui se passait en dessous.
Comme je le pensais, il n’y avait rien, et la configuration du guichet ne permettait vraiment pas que quelque chose ou quelqu’un d’autre que moi puisse rentrer en même temps. L’n’y avait aucune ouverture d’aucune sorte
Est-ce que c’était mon imagination qui me jouait des tours ? En tout cas je n’étais pas prête de me mettre en jupe dans ce truc ! Ça non !
Je ne m’étais pas encore remise de ce qui venait de se passer, que mon chef a surgi de nulle part pour me faire remarquer d’une façon très lourde que ma pause n’était pas maintenant mais bien dans cinq minutes, et qu’il était très important pour lui que je respecte les horaires, que je n’étais pas sensée sortir de mon guichet à tout bout de champ et qu’il ne fallait pas que je reproduise les erreurs de la précédente hôtesse si je ne voulais pas être évincée du poste.
Il a ajouté qu’au cas où je ne l’avais pas remarqué, toutes les hôtesses étaient en jupes, et que je devais me conformer à cette règle.
J’étais sous le choc, et sur le coup, j’en ai oublié le frôlement de cheville qui paraissait dérisoire à côté de la violence de la réaction de mon chef. Je me disais que si c’était pour travailler dans cette ambiance-là, je n’allais peut-être pas rester longtemps.
Après ma pause, je suis retournée dans ma boîte pour finir l’après-midi et il n’y a pas eu d’autre incident. Je suis rentrée chez moi et j’ai passé la soirée seule, comme d’habitude. Cela faisait un certain temps que je n’avais pas de mec, et à part mon pommeau de douche, il n’y avait pas grand-chose qui me procurait du plaisir en ce moment.
Cette nuit-là, j’ai fait des rêves bizarres. J’étais sur une place, au milieu d’une foule qui m’ignorait totalement, et le bas de mon corps était entièrement nu, et ça ne m’inquiétait pas plus que ça de me balader la chatte et les fesses à l’air au milieu de tous ces gens.
Le lendemain, je suis retournée mécaniquement au boulot. J’avais mis une jupe longue en dessous des genoux. Mon chef, après m’avoir fait remarquer que je comprenais vite, mais que la jupe était un peu longue, m’a rappelé que la première pause était à 10 h et qu’il ne voulait pas voir la porte du guichet s’ouvrir avant.
… Je me souviens m’être demandée comment j’allais faire si j’avais envie de faire pipi avant 10 h.
Le travail a repris gentiment, les gens venaient, je répondais à leur questions. Tout se passait bien. À 10 h, ma vessie était pleine, il était vraiment temps que j’aille faire un tour aux toilettes. Puis j’ai repris le travail.
C’est juste après ma pause que je l’ai senti de nouveau sur le bas des mollets, à travers mes collants. J’étais en train de parler à quelqu’un quand c’est arrivé, et à nouveau je n’ai pas pu retenir un cri de surprise. Le client s’est même inquiété pour moi.
Après m’être débarrassée de lui, j’ai sondé le dessous du guichet avec mes pieds, mais je ne rencontrais aucun objet.
Un rapide coup d’œil au guichet de mon chef m’a confirmé qu’il me surveillait du regard et qu’il n’était pas question de sortir de ma boîte.
J’ai donc pris sur moi. La « chose » avait disparu. Ouf.
Le soir, je suis rentrée chez moi. Nouvelle soirée seule devant la télé.
J’ai réalisé avec horreur que je n’osais plus poser les pieds par terre devant mon canapé et mon lit. Ça n’allait pas du tout, il fallait que je me reprenne !
Cette nuit-là, j’ai encore fait des rêves étranges : je marchais dans les hautes herbes, qui m’arrivaient jusqu’à la taille. J’avais encore tout le bas du corps nu, et je me souviens que je prenais plaisir à sentir les herbes me caresser les jambes, les fesses, et frotter mon intimité.
Je me suis réveillée le matin la culotte complètement trempée, et c’est encore mon pommeau de douche qui m’a fait l’amour… Il fallait vraiment que je me trouve un mec !
Troisième journée de travail. Cette fois-ci, je n’ai pas attendu longtemps avant que la « chose » revienne. Dès mon premier client, je l’ai sentie me caresser le mollet. C’était là, et ça restait. Ça ressemblait beaucoup à une main. C’était très doux, mais bien sûr, j’étais terrorisée.
Je me souviens que mon client me rappelait à l’ordre mais j’étais incapable de lui répondre, glacée par la terreur.
Le client est parti, mais la main est restée et a continué à me caresser les mollets. J’étais paralysée, au bord de l’évanouissement.
Dans un éclair de lucidité, j’ai ouvert la porte et me suis ruée à l’extérieur.
J’ai regardé mes jambes puis à l’intérieur de la boîte. Rien ! bien sûr.
C’est clair ! Je devenais folle ! J’étais tellement en manque que je sentais des mains me caresser…
Mon chef n’a pas perdu de temps : il s’est précipité vers moi et m’a sommé de retourner au travail ! En criant :
J’étais presque en pleurs, j’ai bafouillé que j’avais senti quelque chose contre ma jambe et il m’a répondu que j’étais seule dans ce guichet et que ça n’était pas possible et que ça devait se passer dans ma tête… comme pour la précédente ! Et que « nous » étions toutes folles…
Sitôt de retour dans le box, la Main a recommencé à me caresser. J’étais dans un état second… j’essayais de répondre tant bien que mal à mes clients pendant qu’une main inconnue me caressait.
À midi, j’ai mangé avec une collègue. Je lui ai demandé ce qui s’était passé avec la fille que j’avais remplacée. Elle m’a répondu que la pauvre, en moins d’une semaine était devenue complètement parano, qu’elle ne supportait plus qu’on la touche et avait fini par devenir complètement folle avant de démissionner avec fracas.
Il était évident qu’il y avait quelque chose dans cette boîte et que ce n’était pas moi qui délirait.
L’après-midi, j’ai repris mon poste, la peur au ventre, mais avec la ferme intention de tirer cette affaire au clair.
La main est revenue presque aussitôt, mais cette fois sur mes genoux. Je ne savais pas quoi faire pour garder mon calme. Je me suis fait violence et je me suis dit que les intentions de cette main n’étaient peut-être pas hostiles… J’hésitais entre courir et ne plus jamais revenir dans cet endroit maudit, et rester pour tenter d’en savoir plus.
Une pensée pour mon compte en banque dans le rouge m’a convaincue qu’il fallait que je reste au moins jusqu’au soir avant de décider si je devais fuir ou pas.
Toute l’après-midi, j’ai subi en silence cette main qui me caressait. Je l’ai sentie remonter tout doucement le long de mes jambes. Au milieu de l’après-midi, elle avait pénétré sous ma jupe, et me caressait les cuisses à travers mon collant.
Curieusement, le fait de savoir que je ne devenais pas folle et que j’étais visiblement confrontée à une entité surnaturelle, puisque la précédente hôtesse avait subi la même chose, j’ai commencé à trouver ça supportable et mon stress a diminué peu à peu.
À la fin de l’après-midi, après avoir caressé longuement mes cuisses, la main s’est mise à me peloter les fesses tranquillement
J’étais malheureusement habituée à me faire peloter les fesses par des inconnus. Ayant des fesses plutôt imposantes et moelleuses, je me prenais souvent des mains dans les transports en communs, et je trouvais ça moins traumatisant que de me faire caresser les chevilles par quelque chose d’inconnu.
Tout en continuant de renseigner les gens, je laissais couler, et petit à petit, je m’habituais à cette main douce qui semblait apprécier mes grosses fesses. Ça commençait à m’exciter sérieusement, j’en ai oublié ma pause. Contre toute attente, le soir, j’avais décidé de revenir le lendemain.
J’ai encore fait des rêves érotiques toute la nuit. J’étais dans un lagon, sur une plage paradisiaque et déserte. J’avais de l’eau jusqu’à la taille, et pendant que je marchais, l’eau, autour de moi, grouillait de créatures transparentes qui me frôlaient, passaient entre mes jambes et me caressaient d’une façon plutôt osée. Leurs tentacules se glissaient dans ma raie des fesses, et se frayaient même un chemin dans mon vagin. En mettant les mains dans l’eau, je pouvais les toucher et sentir leurs tentacules entre mes doigts. Leurs intentions semblaient pacifiques…
Je me suis encore réveillée dans un état d’excitation intense, et beaucoup trop tard pour prendre une douche. J’ai eu juste le temps de m’habiller, et de filer au boulot.
Dans la précipitation, ou peut-être par acte manqué, je n’ai pas mis de collants sous ma jupe.
Arrivée juste à temps pour ne pas recevoir les foudres de mon chef, je me suis installée dans mon guichet, et là, je me suis surprise à attendre l’arrivée de cette main que je n’avais pas dans mon lit.
Ce n’est pas une main, mais deux mains qui ont attrapé mes fesses et se sont mises à me peloter de nouveau. Comme si elles célébraient la disparition de mon collant. Comme je m’y attendais, je n’ai pas été surprise.
Les mains se sont promenées sous ma jupe toute la matinée. C’était d’une douceur !… jamais un homme ne m’avait caressée comme ça.
D’ailleurs, était-ce un homme ? Une femme ? Un spectre ?
Je sentais les doigts glisser très doucement sur ma culotte, le long de ma fente. Mon clitoris était au garde à vous et à chaque fois qu’il se faisait frôler à travers le tissu fin, je sentais mes jambes se dérober sous moi.
À midi, ma culotte était tellement mouillée que je n’osais plus m’asseoir. Je suis allée manger un sandwich avec ma collègue. Elle s’est inquiétée de mon état :
&Ça va toi depuis hier ?
&Oui ! Pourquoi ?
&Ehbien tu paraissais très troublée…
&Oui, j’ai eu un petit passage à vide, mais aujourd’hui ça va beaucoup mieux
&Ah ! tant mieux ! je commençais à croire qu’il y avait une malédiction avec guichet…
&Non ! Rassure-toi ! tout va très bien maintenant !… il y a peut-être une malédiction, mais c’est une gentille malédiction !
Elle est restée un instant sans voix, l’air interrogateur, puis elle s’est mise à rire.
Après le repas, je suis allée aux toilettes, j’ai retiré ma culotte et je l’ai mise dans mon sac.
Puis je suis retourné dans ma boîte…
Ce qui s’est passé après midi, a dépassé tout ce que je pouvais imaginer.
J’ai écarté les jambes autant que je le pouvais à l’intérieur de mon guichet, et après quelques hésitations, les deux mains se sont attaquées à ma chatte. La première a commencé à me doigter. D’abord avec un doigt, puis deux, puis trois, puis quatre… J’étais tellement mouillée que ça rentrait tout seul. Et mon dieu que c’était fait avec douceur !…
En même temps, la seconde main s’occupait de torturer mon clitoris… avec la même douceur.
Ça ne pouvait être que des mains de femmes pour savoir exactement ce que je voulais et quand…
J’ai atteint l’orgasme en deux minutes, en pleine conversation avec une cliente qui a fini par abandonner lorsque j’ai cessé de répondre à ses questions, fermé les yeux et ouvert la bouche…
Ça a recommencé sept fois… à chaque fois, j’avais droit à une pause de quelques minutes puis ça repartait de plus belle…
J’ai fini la journée avec la chatte dans un tel état que des gouttes me coulaient le long des jambes. J’ai dû passer aux toilettes pour m’essuyer.
Le soir, je me suis couchée, épuisée, mais heureuse. Et je n’ai fait aucun rêve.
Le lendemain, je suis partie travailler avec une jupe courte.
Je n’ai plus jamais mis de culotte pour aller à l’aéroport…