Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 20180Fiche technique17161 caractères17161
Temps de lecture estimé : 10 mn
04/04/21
Résumé:  Un jeune homme se découvre un don exceptionnel pour le cunnilingus et devient particulièrement recherché par les amatrices du genre.
Critères:  fh fplusag couleurs frousses profélève poilu(e)s fépilée noculotte fellation cunnilingu anulingus pénétratio fsodo humour -humour
Auteur : Jacquou      Envoi mini-message
Aventures et mésaventures d'un serial lécheur





Il y a des gens qui courent vite, qui sautent haut et qui soulèvent des poids très lourds parce qu’ils ont reçu un don du ciel. Celui d’Alex était d’un autre ordre. Il était adroit de la langue. Et même très adroit. Non pour parler, mais pour lécher. Son agilité linguale était telle qu’il s’était forgé rapidement auprès de la gent féminine une réputation qui avait rendu jaloux ses congénères masculins. Avant d’entrer dans le détail de ses prouesses, il faut souligner qu’il avait participé à un championnat d’Europe de « pussy licking » à l’Eros Center de Darmstadt (Allemagne), version anglo-américaine du latin cunnilingus et que notre argot sanantoniesque désigne par le « hâal ». Il avait obtenu la médaille d’or en catégorie junior (18-20 ans). Quelques dames expérimentées lui avaient accordé ce trophée avec enthousiasme et vu en lui une sorte de Mbappé de la langue, destiné à être une star de l’exercice. Il avait aussitôt franchi un palier et s’était trouvé l’objet de sollicitations multiples dépassant à la fois son âge et son milieu social.


La première à l’expérimenter avait été sa prof d’anglais de terminale, madame B., à peine eut-il obtenu son bac à dix-huit ans passés, non sans s’y être repris à deux fois (on ne peut pas être doué partout). Cette pulpeuse quinquagénaire avait tendance à montrer ses cuisses à son bureau. Aux premières loges, Alex avait plusieurs fois aperçu son slip et nourri d’ardents fantasmes dont la prof rousse à peau ivoire était l’objet. Il avait réussi à trouver son domicile et mis au point un stratagème pour entrer chez elle. En résumé, il avait feint l’envie d’études d’anglais et pour ce faire, il voulait demander conseil. Comme on était en été, il avait trouvé madame B. en bikini au bord de sa piscine, ses chairs abondantes couvertes de crème solaire. Elle avait eu d’abord envie de le mettre dehors pour s’être ainsi imposé sans y avoir été invité, mais il l’avait tellement baratinée qu’elle lui avait offert un siège. Pas sotte, elle avait vite compris que cette venue était plus un prétexte qu’autre chose. Mais Alex étant joli garçon, madame B. s’était montrée plutôt flattée de cette insistance, ayant quelques doutes sur sa séduction à cause de son âge. Prof ou pas, une femme reste une femme.


Le mari étant absent l’après-midi, Alex revint le lendemain, puis le surlendemain, non sans avoir exposé au passage sa plastique impeccable au bord de la piscine. Madame B. ne pouvait que comparer avec celle de son mari, au bénéfice total de l’ex-élève. Bedon contre tablette de chocolat, il n’y avait pas photo. Le slip de son bikini s’humidifia et le quatrième jour, elle lui ouvrit le lit de sa chambre d’amis. Elle dévoila à Alex ses seins lourds et surtout un pubis roux foisonnant, non taillé. Sans transition, il y plongea le nez et sa bouche prit possession d’une vulve charnue et baveuse. Alors, il fit son show. Avec son génie propre, il trouva tout de suite sa zone sensible et madame B. se mit à se tordre en lui griffant la nuque, l’enserrant dans l’étau de ses cuisses charnues. Gémissante et roucoulante, très instable sur le lit, relevant parfois la tête pour le voir à l’œuvre, tant elle s’interrogeait sur cette magie, elle finit par implorer une pénétration pour éteindre son incendie. Alex n’était pas non plus maladroit de la bite, même si ce n’était pas son atout majeur, et madame B. lui imposa ses positions favorites au premier rang desquelles la levrette. Ses circonvolutions de croupe eurent raison de la résistance du pseudo étudiant en anglais, qui gicla d’abondance. Une liaison estivale naquit. Madame B. était devenue accro au « hâal » de son ancien élève.


Son enthousiasme lui fit commettre l’imprudence d’en parler à une collègue prof d’allemand, frau M., Munichoise d’origine, divorcée depuis peu et en manque. Blonde et athlétique, cette dernière reçut à son tour les faveurs du lécheur surdoué. En contrepartie, elle l’initia au plaisir subtil de l’anulingus, prélude à la sodomie dont Frau M. était assez friande. Et c’est ainsi que naquit sa réputation, les intéressées se révélant incapables de tenir leur… langue.




**********




Qu’on n’imagine pas pour autant qu’Alex n’honorait que les femmes mûres. Au cours du même été, il avait fait la connaissance d’une jeune Anglaise de type Birkin années 70, fausse maigre à petits seins, qui avait voulu expérimenter le « french lover ». En fait, elle découvrit surtout le « pussy licking » à la française et en fut subjuguée, à tel point que ses deux copines voulurent aussi essayer. Alex eut donc durant cet été post bac une activité linguistique intense, mais anti conventionnelle qui lui valut une reconnaissance outre-Manche inatteignable par le Brexit.


Le temps passa. Le jeune homme opta finalement pour Science-Po, ce qui le mit en présence de certaines personnalités locales dont il devint le factotum. Il renoua alors avec la maturité. Une sénatrice et une adjointe municipale aux finances, toutes deux amatrices de jeunes peaux, eurent affaire à la langue diabolique. Certaines de leurs expressions publiques en souffrirent, vu qu’elles venaient de se faire lécher un peu plus tôt sur un coin de bureau, porte fermée bien sûr, et qu’elles ne s’en étaient pas totalement remises. Le serial lécheur eut aussi à honorer, entre autres, une cheffe d’entreprise quadragénaire, une gendarmette de vingt-cinq ans, la vétérinaire à peine diplômée de son chien, et surtout la meilleure amie de sa mère, veuve depuis cinq ans, à laquelle ses prouesses étaient venues aux oreilles par on ne sait quel détour. Victime d’une convulsion sous l’effet de l’agitation de sa langue, elle lui avait fait vraiment peur et il s’était inquiété pour la première fois de son don particulier. Mais elle l’avait vite rassuré en lui disant :





**********




Il existait pourtant une catégorie de femmes que cet enthousiasme commençait à agacer sérieusement : les sociétaires de Lesbos. Cette incursion masculine dans leur domaine réservé du léchage de minou n’était pas loin d’un casus belli. Mais avant de déclarer la guerre, encore fallait-il savoir de quoi il retournait exactement. L’une d’elles, prénommée Denise, solide prof de français, collègue de madame B., n’eut aucun mal à séduire Alex, car il avait apprécié son enseignement. Après diverses approches dont nous vous épargnerons le détail, elle l’attira chez elle, sous prétexte de l’aider à un exposé de science Po.



La mise en condition était rapide. Mais l’avantage de la langue est qu’elle n’a pas besoin de bander pour être efficace. Denise fit glisser sa culotte et prit position sur son canapé, cuisses grandes couvertes, dévoilant un pubis imberbe.



Nos lecteurs amateurs de films pornos vintage auront peut-être reconnu une scène d’un fameux film des années 70, « Gorge profonde », expression rendue célèbre par l’informateur du Watergate. Mais ne nous égarons pas.


Nullement troublé par la désinvolture de la léchée, Alex se mit à l’ouvrage, seulement gêné par sa position à genoux devant le canapé. La cigarette était à moitié consumée qu’elle lâcha un premier petit cri, léger, contenu, mais un petit cri quand même. Il fut suivi d’une rétroversion répétée de son bassin puis la main de Denise se posa sur sa nuque. Renforçant son emprise sur un clitoris cette fois vraiment raidi, Alex déploya tout son savoir-faire. Denise en lâcha sa cigarette qui faillit mettre le feu au canapé. Elle la ramassa prestement pour l’écraser dans son cendrier et mit cette fois les deux mains sur la nuque du « hâaleur », cuisses serrées autour de ses oreilles, le bassin agité de soubresauts. Malgré l’étau des cuisses, Alex l’entendit distinctement crier et son mufle fut inondé de cyprine éjectée par une Denise en pleine extase.



Il fut néanmoins dispensé de pénétration, sa conversion n’allant pas jusque-là. Mais Denise fut tellement épatée qu’elle se confia à Raphaëlle, une relation occasionnelle de la gent gomorrhéenne, comme dirait Proust. Qui se montra évidemment sceptique. Et ne l’invita pas moins chez elle pour un « goûter », supercherie qui n’abusa guère notre serial lécheur.




**********




Raphaëlle était une littéraire. Après s’être installée à poil sur son lit, révélant un corps musclé d’adepte du fitness, et ouvert ses cuisses à 45°, elle prit un bouquin et se plongea dedans. Alex fut un temps déstabilisé. Après la cigarette, le livre.



Déshabillé, le lécheur se mit à plat ventre sur le lit et entreprit une chatte aussi glabre que celle de Denise. Décidément mal à l’aise, un peu décontenancé par l’attitude désinvolte de la léchée, il eut du mal à tenir son rythme et ressentit de l’impatience dans la maison d’en face. Mais le propre d’un champion est de trouver des ressources quand ça commence à aller mal. La langue pointue du cunniphile trouva une zone jusqu’alors inexplorée. Raphaëlle eut un sursaut. Alex insista. Le livre chut sur le drap et la léchée empoigna la tignasse du lécheur. Celui-ci crut qu’elle voulait le retirer. Il pressa le museau, s’empara du clito et un « ouiiiiii » fusa de la bouche de l’allongée. Vexé d’avoir été remis en question, Alex brouta, brouta et brouta encore à tel point que la broutée, sans le lâcher, se retourna et l’escalada, cavalant sur sa bouche comme une hétéro sur un sexe. Bavarde, crue même et de toute façon extasiée jusqu’à son explosion qui laissa le lécheur en érection, mais sans la possibilité d’une pipe d’assouvissement. La dame ne mangeait pas de ce pain-là.

Il reçut néanmoins un baiser sur la bouche en remerciement et un commentaire flatteur : « Il y a longtemps que je n’avais pas été aussi bien sucée, dommage que tu ne sois pas une femme ».


Sa réputation étant établie dans cette catégorie, Alex décida d’en rester là. Et tout lécheur qu’il était, il lui fallait expulser un trop-plein de sperme que ces dames avaient fait remonter de ses couilles. Il n’avait a priori que l’embarras du choix. Le hasard lui fit croiser la route de Marthe, la femme de ménage camerounaise de sa mère. Cette plantureuse quadragénaire, fessue et mamelue, lui adressa un sourire éclatant et une brève conversation de rue s’engagea. Marthe avait toujours eu Alex à la bonne. Non seulement parce qu’il lui avait accordé le respect, mais aussi une faveur très particulière. Un jour qu’il bossait sa socio à la table de sa chambre, elle était entrée pour passer l’aspirateur. Cela faisait un moment qu’elle lui tournait autour, qu’elle lui balançait ses gros nichons sous le nez, qu’elle lui faisait des mines. Elle était pourtant mariée, mais la conjugalité ne semblait pas être un obstacle à la satisfaction d’un appétit sexuel qu’Alex devina puissant. Posant l’aspirateur, elle affecta de s’intéresser à son travail et se pencha vers lui en exhibant son profond sillon mammaire.


C’était un appel et Alex le reçut comme tel, d’autant que sa mère était absente. Il lui mit la main au panier et ne rencontra… rien d’autre que sa vulve. Elle était nue sous sa robe ! Elle protesta en roucoulant et se laissa entraîner sur le lit voisin. Alex n’avait jamais baisé de femme noire. Il découvrit une chatte rose et béante qu’il honora de sa langue, provoquant moult soupirs et tremblements puis une injonction à aller beaucoup plus loin. Ce fut un coït tumultueux, exotique, complet, la dame exigeant même une sodomie, ce qui permit à Alex de se régaler de sa somptueuse croupe. Elle avait une souplesse de hanches incroyable et après avoir retiré la capote qu’elle lui avait posée elle-même avec délicatesse, après qu’il l’eut exhumée de son baise-en-ville (sic), il gicla sa semence sur ses reins, filaments blanchâtres sur sa peau d’ébène. Sensation inoubliable.


Mais ils en étaient restés là, Marthe craignant que cette relation ancillaire ne finisse par arriver aux oreilles de son employeuse.

Cette fois, dans la rue, il en allait différemment. Le lécheur avait envie de pénétrer après cet intermède lesbien. Avec cette intuition propre aux femmes sensuelles, Marthe le devina d’emblée. Elle n’était plus sur son terrain professionnel. Alex bandait en lui parlant et elle-même mouillait, n’ayant pas oublié leur torride accouplement. Ils se comprirent et elle lui proposa d’aller chez elle, son mari s’étant absenté pour l’après-midi :



N’ayant cependant pas le temps de se perdre en préliminaires, elle l’attira dans sa cuisine et s’assit sur sa table après avoir déboutonné sa robe, libéré ses seins et fait glisser son slip. Alex redécouvrit la chatte toute rose à l’odeur musquée qu’il avait tant aimée entre les cuisses plantureuses et largement écartées. Assis sur une chaise, il s’attabla comme pour un déjeuner. Il explora, fouilla, titilla, léchant d’abondance et levant parfois les yeux vers Marthe qui lui rendait un regard énamouré et reconnaissant. Jusqu’au moment où elle lâcha :



Alors, il se mit debout et répondit à sa demande en la lardant de coups de bite, les yeux sur son visage et sur ses gros seins agités. Marthe n’avait pas le sexe discret. Elle piaillait en prononçant parfois des mots dans sa langue maternelle qu’Alex ne comprenait pas, mais qui étaient à l’évidence la manifestation verbale de son plaisir. La cuisine s’emplit de ses vocalisations, de clapotements et de claquements de peaux, si bien que ni l’un ni l’autre n’entendirent la porte s’ouvrir. Le mari rentrait prématurément. Alex découvrit, stupéfait, une espèce de colosse, tout aussi stupéfait que lui, mais dont la réaction fut instantanée. Ignorant les cris de son épouse, il saisit par le bras le baiseur déculotté. C’était un ancien catcheur et s’il ne catchait plus depuis longtemps, il avait conservé ses bases. Il mit une telle volée à son cocufieur que celui-ci en sortit la figure en sang, deux dents cassées, une lèvre fendue et la langue coupée au bout. Il finit par s’échapper en claudiquant, partiellement reculotté, le corps moulu et la tête en feu. Il n’avait pas fait le poids, mais il avait surtout perdu, il ne le savait pas encore, l’agilité et la sensibilité de sa langue, même si la coupure finit par se cicatriser.


Il devint un lécheur ordinaire, simplement préliminaire, ce qui lui aliéna bon nombre de ses fidèles, mais permit à la maison d’en face de retrouver ses prérogatives. Marthe se fit pardonner de son imprudence en lui accordant dans sa chambre, un jour d’absence de la mère, une pipe royale, à l’africaine, autre manière de passer l’aspirateur.

Néanmoins, il rentra dans le rang. Mais comme il n’était quand même pas maladroit de la bite, il profita de l’expérience acquise pour satisfaire quelques dames mûres amatrices de corps jeunes et fringants et on sait qu’elles sont nombreuses.


Jusqu’au jour où il rencontra l’âme sœur en la personne d’une étudiante en science éco ignorante de ses frasques passées. Qu’il se garda évidemment de lui raconter.