n° 20187 | Fiche technique | 55086 caractères | 55086Temps de lecture estimé : 30 mn | 08/04/21 corrigé 28/05/21 |
Résumé: Depuis que notre ami Gaétan nous a fait découvrir le Cercle, notre couple a pris une nouvelle direction. Isabelle se libère de plus en plus, elle redevient à nouveau une femme et non plus exclusivement une mère. | ||||
Critères: fh fhh fhhh hplusag candaul inconnu forêt jalousie dispute lingerie fellation cunnilingu préservati pénétratio -extraconj | ||||
Auteur : Patrik (Carpe Diem Diemque) Envoi mini-message |
Collection : Le Cercle (début des années 80) |
Imaginez un monde sans Internet, sans smartphone, sans CD, sans DVD, sans centaine de chaînes de télé, sans ordinateur puissant.
Une époque pourtant pas si ancienne.
Chaque histoire de cette collection sera indépendante des autres, avec quelques allusions
Un nouveau couple : Isabelle et Laurent. On peut faire bien des choses dans les bois…
Bonne lecture :)
Depuis que notre ami Gaétan nous a fait découvrir le Cercle, notre couple a pris une nouvelle direction. Isabelle se libère de plus en plus, elle redevient à nouveau une femme et non plus exclusivement une mère. Maintenant, nos trois enfants sont adolescents et ont moins besoin d’elle, et ça la frustre. Quant à moi, j’étais frustré d’avoir perdu mon amoureuse et d’être passé au second plan. Déjà qu’Isa n’était pas toujours facile à vivre, mais si on ajoute la frustration sexuelle, ça n’arrangeait pas les choses.
Mais grâce au Cercle, nos problèmes se résolvent et c’est tant mieux.
Néanmoins, j’ai été étonné de la facilité avec laquelle Isa a jeté son bonnet par-dessus les moulins. Gaétan nous avait proposé d’être spectateurs d’une prochaine séance très privée. Ma femme avait tergiversé durant deux mois, faisant un pas en avant, un pas sur le côté, un pas en arrière. Étrange spectacle d’une femme qui hésite alors que d’habitude, elle a un avis sur tout.
Lassé, j’ai décidé pour nous deux. Petit retour en arrière, il y a quatre mois maintenant.
À cette évocation, elle rougit :
Tapant du pied sur le carrelage, elle proteste :
Elle grimace, elle ne répond rien, elle sait que j’ai raison.
C’est ainsi que nous avons joué les spectateurs lors d’une soirée privée chez l’un des membres bien membré du Cercle. Et comme l’appétit vient en mangeant, Isabelle s’est vite prise au jeu, après avoir mollement protesté pour la forme. Toujours son souci des apparences. Elle est ressortie transfigurée de la soirée. Il faudra que je raconte cette métamorphose un jour, mais place au présent.
Ce samedi, j’ai décidé d’aller acheter à ma femme quelque chose de très sexy. J’ai repéré une boutique de lingerie nichée dans une rue pas trop passante en centre-ville. Même si je fréquente maintenant le Cercle, je n’ai pas trop envie qu’on me voie entre ou sortir de ce genre de boutique, les gens sont tellement médisants que la rumeur que j’ai une maîtresse circulerait bien vite. Et si j’essaye d’expliquer que c’est pour ma femme, on risque de ne pas me croire. Fichue ville de notables coincés du cul !
Elle n’a pas tort. Le magazine le Haut-Parleur est spécialisé dans les errata qu’il diffuse le mois suivant, car souvent il y a des coquilles ou des erreurs dans le schéma ou dans les caractéristiques des composants. Et attendre un mois, voire parfois deux pour avoir toutes les infos, c’est long.
Bon, la robe, nous l’avons, elle vient de Nathalie, une robe violette assez courte à gros boutons, munie d’une ceinture noire. Ah, Nathalie, c’est une sacrée, celle-là ! D’ailleurs ma femme s’instruit carrément avec elle depuis que nous avons fait sa connaissance lors de la première soirée privée du Cercle.
J’entre dans le magasin de lingerie, feignant d’être à l’aise. Mon regard est presque aussitôt attiré par un ensemble associant tanga (ou string, je ne sais pas bien faire la différence) et soutien-gorge. Comme toujours, le prix n’est pas mince, contrairement au tissu, mais il faut ce qu’il faut. La vendeuse de la boutique s’approche de moi pour me préciser un point de détail :
Je tends le soi-disant soutien-gorge devant mes yeux. En effet, rien pour venir couvrir les tétons. Intéressant. J’avais déjà entendu parler (et vu sur papier) ce genre d’article, mais je ne pensais pas en trouver ici dans cette ville. Il me revient à l’esprit qu’on raconte qu’il s’en passe des vertes et des pas mûres derrière certaines façades respectables, mais on dit bien des choses.
Satisfait de mon achat, je n’oublie pas d’aller quand même à la boutique d’électronique pour acheter mes composants. En rentrant, ma femme m’annonce :
Ma femme hoche la tête :
Léopold est un adhérent de longue date du Cercle. Il n’en est pas le fondateur, mais il fut de la deuxième génération, le Cercle plongeant ses racines vers la fin des Années Folles. Avec Clémentin, il est devenu en quelque sorte la mémoire vivante de l’association, ayant connu les premiers adhérents. Il a été l’organisateur de bien des festivités d’après-guerre. Néanmoins, il a ralenti ses activités, mais il n’a pas oublié de former ses divers successeurs.
Tout de suite, Isa a été attirée par Léopold. Même si celui-ci pourrait être son père, voire peut-être son grand-père, je dois avouer que Léopold présente très bien, un côté aristocratique à la Jean Rochefort, en plus, blanc de poil, puisque plus âgé. Pour un peu, on pourrait croire que Léopold est le père de l’acteur. Par la suite, j’ai pu constater l’inclination de ma femme pour les hommes très matures. À tel point que je me demande jusqu’où va sa gérontophilie…
Ma femme prend sa douche, je prépare le repas. Midi arrive vite, j’appelle tout le monde et une fois le repas expédié, je m’apprête à conduire les enfants. Entre-temps, je vais dans notre chambre, la robe violette est posée sur le lit. Je pose juste à côté mon achat du matin.
Quand je reviens, Isa a revêtu sa robe violette. Elle me dit tout de suite :
Puis, elle me fait un gros bisou sur la joue. Je suis content que ça lui plaise. Sinon, je l’aurais entendue chanter pendant un certain temps. J’essaye de l’enlacer, elle s’échappe en riant :
Dans la voiture, je constate que sa robe est si courte que parfois je pouvais voir la couleur de son tanga. Tandis que je me dirige vers le bois de notre rendez-vous, Isa est tout excitée. Quelle différence avec l’Isa d’il y a quatre mois !
Nous partons vers le bois du rendez-vous. À mi-chemin, j’aborde une portion de route très sinueuse, on ne compte plus les voitures qui se sont envoyées dans le décor, surtout le samedi soir. Il suffit que de ne pas jouer les fous du volant et de limiter sa vitesse. Cependant, en période de gel, j’évite ce tronçon, préférant faire un petit détour.
Quelques kilomètres plus loin, je me gare sur le petit parking qui jouxte le bois. Personne aux alentours, sauf la voiture vert pomme de Léopold, on ne peut pas la louper ! Quelle idée d’avoir choisi cette couleur si tape-à-l’œil, mais ça ne m’étonne pas trop, car Léopold est assez exubérant, malgré sa dégaine d’aristocrate. Fermant son manteau noir pour cacher sa tenue, Isa prend ma main et nous nous avançons sur l’un des chemins qui s’enfonce dans le bois.
Tandis que nous nous approchons du lieu de rendez-vous, ma femme me dit :
Elle glousse de plaisir. Elle se rapproche un peu plus de moi :
Assis sur une grosse souche, vêtu de noir, Léopold nous attend, un sac à ses pieds, ou plutôt à ses bottes. Il me donne l’impression d’être le seigneur du bois. Pour un peu, je chercherais le cheval sur lequel il est venu ! Le senior s’incline légèrement devant ma femme :
Joignant le geste à la parole, elle entrouvre son manteau. Léopold la contemple longuement avant de reprendre la parole :
Ravie de son petit effet, ma femme se contente de sourire. Je prends la parole :
Amusée, ma femme intervient :
Il se met à rire :
Isabelle ôte complètement son manteau qu’elle dépose dans mes bras, puis elle dit avec une lueur dans les yeux :
Avec un petit sourire, Léopold s’approche de ma femme. Du haut de sa grande taille, il la regarde de haut en bas. Isabelle frissonne. Puis il détache un à un les boutons de la robe. Il s’arrête au nombril, ayant dévoilé la poitrine :
Posément, Léopold capture les deux seins, en titille les tétons qui s’érigent. Puis de temps à autre, il les pince, alternant caresses légères et fines cruautés. On sent que cet homme a de l’expérience en la matière. Ma femme est carrément en train de fondre devant lui. Il lui demanderait de se jeter au canal qu’elle le ferait !
Il continue de jouer avec les seins et les tétons, massant les masses molles, les pressant, les léchant, les suçotant, alternant douceur et douleur. Isa se pâme presque. Admiratif, Léopold s’exclame :
Il sourit cyniquement :
Isabelle frissonne :
Il avait ceci d’un air calme et placide, tout en jouant avec ses tétons. Puis baissant la tête, il gobe un sein qui disparaît dans sa bouche. Poussant des petits gémissements, Isabelle apprécie cette torture sensuelle.
Comme les autres fois, je contemple un vétéran en train de jouer avec ma femme, tel un guitariste accompli qui extirpe des sons impossibles d’un instrument pourtant usuel, mon instrument à moi. Comment diable arrive-t-il si vite à ce genre de résultat ? Ça me rappelle Didier : donnez-lui un pinceau et n’importe quelle couleur ; en moins de cinq minutes, il vous réalise un portait ultra ressemblant en zébrant la toile. C’est presque de la magie !
Toujours est-il que de voir ma femme se pâmer ainsi petit à petit me fait bander !
Léopold décide de passer à la vitesse supérieure, il déboutonne complètement la robe qu’il me jette afin que je la garde. Il fait ensuite plusieurs fois le tour de ma femme pour mieux en contempler les paysages. Celle-ci reste bien droite pour mieux se faire admirer.
Léopold refait un autre tour de ma femme, caressant distraitement ses seins puis ses fesses. Puis il s’arrête derrière elle. Il extirpe son sexe de son pantalon. Je suis toujours étonné qu’un homme de son âge ait un tel engin et qu’il soit en plus parfaitement opérationnel !
Ayant écarté le tanga pour dégager l’entrefesse, impudiquement, il frotte sa verge dans le sillon, ses mains à nouveau sur les seins de ma femme. Béate, Isa se laisse faire. Me reviennent alors en mémoire ses grands discours d’antan sur le féminisme et l’oppression des hommes.
Je comprends que la verge s’incruste mieux dans le sillon fessier sur toute sa longueur. Je me demande si Léopold va pénétrer ou non ma femme et surtout par quelle porte il va décider d’entrer. Je suis à peu près certain qu’Isa n’y verra aucune objection.
C’est curieux, j’ai l’impression qu’on nous observe. J’ai beau regarder discrètement à droite ou à gauche, mais je ne vois rien. Il est vrai que la végétation est touffue et qu’il est facile de se cacher. Peut-être qu’il y a en effet un voyeur dans le coin. J’espère qu’ils ne seront pas plusieurs et qu’ils ne tenteront pas de violer ma femme !
Je repousse cette idée. N’empêche que je sens qu’on nous épie.
Entre-temps, ayant extirpé une couverture de son sac à dos qu’il vient de déposer sur le tronc d’arbre, Léopold fait asseoir ma femme dessus, lui demandant de bien écarter les jambes. Puis, sous les yeux ravis d’Isa, il commence un cunni, bien calé entre ses cuisses.
Il est flagrant que ma femme apprécie la langue de son aîné. Comme la dernière fois d’ailleurs, pardon, les dernières fois. Isabelle adore qu’on lui lèche le minou. Je la comprends, car pour ma part, j’adore qu’on me suce. Je suppose que cunnilinctus et fellation sont identiques quant au résultat.
Ma femme se débat sur place, se tortille, mais ne repousse pas pour autant la tête qui la torture. Elle serre les dents pour mieux se contenir, mais je sais qu’elle va bientôt lâcher.
Déjà ? La jouissance de ma femme explose, faisant vibrer son corps de la tête aux pieds. Tandis qu’elle pousse des tas de petits cris, Léopold continue sur sa lancée. Soudain, n’y tenant plus, Isabelle repousse sa tête. Il se laisse faire, donnant néanmoins quelques petits coups vicieux de langue pour entretenir l’excitation. J’adore contempler la jouissance de ma femme, même si je n’en suis pas à l’origine. Puis Léopold se relève, laissant ma femme avachie sur la serviette.
Un certain temps s’écoule, Isa réémerge lentement.
Moi, je reste persuadé qu’il y a quelqu’un dans les environs en train de nous épier. Mais je ne vois toujours rien. Peut-être que je me fais des idées. Léopold s’approche à nouveau de ma femme, verge bien en avant :
Sans se faire prier, elle avale aussitôt le long phallus, tout en massant les testicules pendouillants. Léopold soupire, s’extasie. On dirait que ma femme veut faire disparaître toute cette queue dans sa bouche. Elle va avoir du mal, car celle-ci n’est pas une mince affaire !
Tandis qu’elle s’escrime autour de la colonne de chair, je constate qu’il y a effectivement un voyeur qui contemple la scène. Il me fait un petit geste de la main, un pouce pointé vers le haut, signe qu’il apprécie ce qu’il voit. Mais ce n’est pas pour autant qu’il bouge de son emplacement.
Je me souviens alors que ce qu’on m’avait dit lors d’une soirée au Cercle. Il existe un code chez les vrais voyeurs, ils ne s’invitent pas au bal, sauf si on les convie, ils se contentent de regarder. Je pense que l’individu ici présent doit faire partie de cette catégorie.
Durant ce temps, Léopold s’est retiré de la bouche accueillante d’Isa, il est en train d’enfiler un préservatif. Il demande à ma femme de basculer un peu plus en arrière sur le tronc, jambes toujours écartées, puis sans préliminaire, il l’enfile avec aisance, faisant disparaître une bonne partie de sa longue queue dans une fente que je devine dégoulinante.
Un gémissement de plaisir, de satisfaction, d’attente comblée. Contrairement à ce qu’il se passait, il y a quelques mois, Isa accepte maintenant assez facilement d’autres verges, mais c’est la première fois qu’elle en accepte une en dehors des soirées. Mais comme il s’agit de celle de Léopold, je ne suis pas étonné. Je m’y attendais.
Tout en maniant son outil, Léopold demande :
Soudain, Léopold se redresse et fait un grand geste en direction du voyeur qui s’approche de nous aussitôt. Je hausse des sourcils : je n’étais pas le seul à avoir remarqué sa présence ? Puis, je fronce des sourcils : à moins que ce soit Léopold qui l’ait invité !
À la grande stupéfaction d’Isa toujours besognée par son senior, le nouveau venu se plante à ses côtés, un large sourire aux lèvres. Avec un naturel désarmant, Léopold explique :
Assez surprise, toujours en train d’être ramonée par Léopold qui lui agrippe fermement les hanches, Isabelle répond mécaniquement :
Un ange passe. Voyant que personne ne se décide à faire le second pas, Léopold reprend la main, désignant Isabelle et Gustave :
Assez abasourdie, ma femme répond :
Il se penche vers elle, tout en lui donnant de grands coups de mandrin, pour mieux la labourer :
Aussitôt, il se tourne vers moi :
Voulant en savoir plus, je demande :
Je réfléchis quelques instants. Comment justifier l’absence de ma femme auprès des enfants et de la famille ? On trouvera bien une solution. De plus, ça me fera parfois des mini-vacances de mon côté, car parfois Isa n’est pas facile à vivre. Je réponds calmement :
Toujours entreprise, ma femme émerge de sa surprise :
Elle hésite un court instant, puis approuve :
Ôtant son pantalon et son slip, Gustave déballe alors sans complexe son attirail :
Gustave ne l’a pas très longue, contrairement à son bon ami, mais il l’a fort épaisse. Je ne sais pas pourquoi, mais j’imagine aussitôt deux pots de yaourt empilés, du moins, pour le diamètre, mais un peu moins pour la longueur.
Détaillant mieux ce saucisson campagnard, Isa s’exclame :
Gustave vient se positionner à côté de la tête de ma femme. Un peu indécise, elle se lance. Elle donne quelques coups de langue, le nouvel arrivant est ravi de ce qui lui arrive, il en profite pour peloter les lolos offerts. Puis Isabelle enrobe le gland de ses lèvres, toujours entreprise par Léopold. Tandis que son aîné va-et-vient en elle, Isa entreprend une fellation complète sur Gustave, fruit des leçons de Nathalie.
Sous mes yeux, ma femme est en train de se faire baiser par deux hommes d’âge plutôt avancé, et visiblement, cette situation semble beaucoup lui convenir. Dommage que je n’aie pas d’appareil photo sur moi, ça aurait fait un beau souvenir. Le gros problème aurait été de faire développer la pellicule dans un endroit neutre.
Au bout d’un certain temps, Léopold propose à son vis-à-vis :
Retirant la verge qu’elle suçait, Isa s’adresse à Gustave :
En un rien de temps, les deux hommes échangent leur place. Après avoir enlevé son préservatif, Léopold retourne dans la bouche de ma femme, un endroit qui lui plaît bien. De son côté, Gustave a quelques soucis pour enfiler un préservatif pourtant assez conséquent. Puis fébrile, il s’installe entre les cuisses d’Isa, cherchant visiblement le bon angle d’attaque. Il fait une première tentative, se réajuste un peu avant de tenter la seconde. Cette fois-ci, ça semble être la bonne puisque la grosse verge s’enfonce petit à petit. Il est flagrant que ma femme sent passer un tel morceau, mais ça ne l’empêche pas de faire une belle fellation à son aîné.
Flottant à moitié sous la suave sucette prodiguée par ma femme, Léopold demande :
Gustave force un peu plus son avantage, pénétrant plus loin encore ma femme. Je la vois faire un mouvement involontaire, elle a dû le sentir passer, car le morceau est assez conséquent, même s’il n’est pas long. Néanmoins, je constate que ma femme s’habitue très vite à cette nouveauté, même si parfois, elle se pince les lèvres, ou soupire abondamment. Gustave s’en donne à cœur joie quand il constate que ma femme se laisse faire. De ce fait, il ne lui fait pas longtemps pour évacuer des semaines de frustration, voire des mois, peut-être des années.
Se sentant devenue une simple vide-couilles, Isabelle semble un peu frustrée, mais Léopold se fait un plaisir de remplacer un Gustave défaillant, après s’être encapuchonné à nouveau. Une fois de plus, il ne lui faut pas longtemps pour que ma femme se mette à gémir de plaisir puis à jouir sans retenue !
Puis c’est parti pour une séance durant laquelle Isabelle se fait pénétrer alternativement par les deux hommes, tandis qu’elle se fait un plaisir de les sucer pour les nettoyer et les raidir à nouveau. N’y tenant plus, je m’invite au bal. Je réussis à me vider deux fois dans sa bouche et aussi une fois dans sa chatte.
Décidément, ma femme se déchaîne et semble adorer se faire prendre par plusieurs hommes en même temps, même si pour l’instant, elle refuse son cul à des verges inconnues. Je constate aussi que Léopold a la cote, il est flagrant qu’Isa apprécie quand il s’occupe de lui. J’en viendrais à me poser des questions…
L’attrait de la nouveauté, je suppose…
Tandis que Gustave besogne ma femme avec un manifeste plaisir, ayant visiblement des réserves à tarir, Léopold et moi sommes en retrait afin de discuter un peu :
Il redevient plus sérieux :
Nous regardons Isa se faire toujours entreprendre par Gustave qui rattrape allégrement le temps perdu. Léopold devient songeur, puis il me confie à voix basse :
Léopold se met à rire :
D’un geste du menton, il me désigne le couple en train de folâtrer :
Si Isa sait que Léopold a des grosses attentes envers elle, Dieu sait comment elle risque de se comporter en attendant de découvrir ce qui va lui arriver. Je demande :
Puis il me tape sur l’épaule :
Il affiche un large sourire :
Ce qui fut dit est actuellement exécuté. Isa est positivement ravie d’accueillir en guise d’ultime hommage le sperme de trois hommes sur ses seins bien présentés en plateau par le redresse-seins. Tandis que je me vide, mélangeant mon sperme à celui des autres, je me dis que l’éducation de ma femme est en train de passer par un étrange chemin, surtout pour une femme dotée d’un caractère assez fort et qui aime souvent commander…
Ma femme aurait-elle des velléités de soumission ? Dans ce cas, n’aurais-je pas été à la hauteur durant toutes ces années ?
Dans la voiture, Isa n’arrête plus de parler. On dirait une petite fille qui vient de passer tout un après-midi avec des licornes ! N’empêche que la corne était placée bien bas ! Elle est intarissable, elle rêve tout haut, disant qu’elle a eu la révélation, telle Bernadette Soubirous. Je suppose néanmoins qu’elle n’a pas prévu de se retirer dans un couvent, mais elle serait bien capable dans l’exaltation du moment d’aller postuler dans un bordel clandestin pour personnes âgées !
Il faut que je me ressaisisse, que j’arrête ce délire stupide. Ma femme est simplement enthousiaste. Pourtant, elle a déjà assisté et participé à des soirées olé-olé. Mais ici, c’était en plein jour, dans un bois, avec un vrai inconnu dans une situation pas prévue initialement. Et visiblement, ça lui a beaucoup plu !
Soudain, quittant son long monologue, elle s’adresse à moi :
Isabelle s’étonne :
Puis Isabelle tapote ma cuisse de ma main :
Elle retire sa main :
La riposte fuse, teintée d’acide :
Je reste calme, ignorant la pointe de jalousie contenue dans cette réplique :
Elle fait carrément la tête, j’admire sa façon de passer du beau temps à la pluie sans réelle motivation. Froidement, elle me demande :
Isabelle se fait plus agressive :
Je soupire intérieurement. Ma femme pique parfois des crises de jalousie ou d’ego mal placé. En général, je laisse tomber, mais aujourd’hui, je ne sais pas bien pourquoi, je n’ai pas envie de fermer les yeux et les oreilles sur ses caprices. De ce fait, je m’entends lui répondre calmement, mais fermement :
Elle ne s’attendait pas à ce que je rétorque ce genre de propos, elle s’étonne :
Elle me regarde fixement :
Elle s’énerve :
Isa a un petit geste agacé :
Une minute, cinq minutes, ça va, mais là, je commence à saturer :
J’élève sensiblement la voix :
Elle répond d’une voix étranglée :
Soudain, je m’arrête sur le bas-côté en catastrophe. Sidérée, Isabelle me regarde :
La moutarde me monte au nez :
Devant ma réaction, Isabelle ne sait pas comment réagir. Elle se pose la question de la suite à donner. Elle sent confusément qu’elle a peut-être poussé le bouchon un peu loin, mais telle que je la connais, elle n’est pas prête à le reconnaître. Et comme elle veut toujours avoir raison, ça la pousse dans certaines extrémités :
Je m’en doutais un peu. Mais si elle croit que je vais m’aplatir, elle se fourre le doigt dans l’œil jusqu’au coude. Je démarre la voiture, mais je fais demi-tour, repartant dans l’autre sens. Elle s’exclame :
En réalité, je n’en sais rien. J’ignore où il habite, mais je décide de retourner vers le bois. Ensuite, j’improviserai. Ma passagère est incrédule :
Elle s’énerve :
Elle hurle presque :
J’explique posément, mais fermement :
Elle s’exclame :
Agressive, elle rétorque :
Elle me regarde avec des grands yeux :
Elle se pince les lèvres, puis elle répond plus doucement :
Nous approchons d’un rond-point. Je ralentis un peu.
Je le coupe aussitôt :
Presque sincère, elle demande :
Ça, c’est la goutte en trop. Je fais mon possible pour l’aider et voilà ma récompense ! Mes mains se crispent sur le volant, mes jointures blanchissent, ma voix mute :
Je la regarde, avec un sourire navré :
Je fais demi-tour au rond-point, retournant vers la maison. Isabelle exulte :
Je la défie du regard :
Rageuse, elle commence à me taper de ses petits poings :
Agressive, percutant mon bras et mon torse, elle continue de plus belle :
Cette réflexion concernant nos enfants fait ralentir la fréquence de ses coups. Je profite du fait qu’elle se taise pour continuer :
Je ralentis afin de mieux aborder cette partie assez dangereuse de la route.
Et sans attendre ma réponse, elle recommence à me taper dessus de plus belle. Et voilà, d’un rien du tout, nous en sommes arrivés à une tempête. Pour une fois que je n’ai pas voulu céder, ça tourne carrément au vinaigre, mais il est vrai que je commence à en avoir ras-le-bol que ça ne fonctionne en général que dans un seul sens. Tournant la tête vers elle, je lui crie :
TUUUT !! TUUUT !!
Surprise par ce double coup de klaxon, elle pivote la tête vers la route, écarquillant grands les yeux, la bouche ouverte dans un cri muet. Surgissant au détour d’un virage, un gros camion fonce vers nous dans l’autre sens, en plein beau milieu de la route, chevauchant allégrement la bande jaune centrale. Paniquée, Isabelle s’accroche férocement à mon bras, ce qui n’est pas la chose la plus intelligente à faire en pareil cas !
Serrant les dents, je freine tant bien que mal, essayant de viser l’espace entre le camion et le bord de la route. Mais en voulant éviter le ravin, je percute quand même latéralement le poids lourd.
Et puis après, plus rien…