Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 20192Fiche technique12936 caractères12936
Temps de lecture estimé : 8 mn
10/04/21
Résumé:  Une jeune femme a une annonce à faire à son compagnon.
Critères:  fh couple amour voir lingerie caresses fellation cunnilingu pénétratio -amouroman
Auteur : BVT      Envoi mini-message
L'annonce





Matthieu vient de terminer sa journée dans son petit atelier de menuiserie. Avant de rentrer chez lui retrouver sa belle, il prend une bonne douche pour laisser la poussière sur son lieu de travail et mettre une tenue propre pour être présentable.


Il n’a que trente ans, et pourtant il est son propre patron depuis dix ans. Il est amoureux du bois sous toutes ses formes. Aussi bien en arbres qu’en planches. Il a eu l’occasion d’acheter une grande parcelle de bois dont personne ne voulait, car il s’agissait de bois peu recherché, car non conforme aux standards de l’industrie moderne. Pourtant, elle renferme des noyers, merisiers, châtaigniers et autres, qui ont fait mouche aux yeux de Matthieu. Quand il a fait une offre d’achat au propriétaire bien plus basse que le prix demandé, il avait peu d’espoir et pourtant sa proposition a été acceptée à condition que personne ne soit autorisé à chasser dans ce bois.


Matthieu a transformé la vieille grange en atelier dans lequel il produit des pièces de bois exceptionnelles qu’il vend à bon prix. Il a très rapidement très bien gagné sa vie et de ses bénéfices, il s’est construit une maison sympa de l’autre côté de la cour en face de son atelier.




**********




Il y a cinq ans, un agriculteur et ami, son voisin de propriété lui a proposé un troc entre un chemin au bord du bois de Matthieu contre un peu de terre en prolongement du même bois. Ce lopin de terre était trop petit pour les machines modernes, mais pas pour le matériel ancien que Matthieu avait retrouvé dans sa grange. L’affaire fut conclue, mais Matthieu, qui ne voulait pas voir partir en fumée les arbres qui borduraient son chemin, a exigé que ceux-ci soient arrachés proprement et mis dans des grands bacs pour les faire vivre façon bonsaï. C’est grâce à ces arbres qu’il a fait la rencontre de sa belle Lucia.


En effet, quelques mois après l’exposition de ses pots dans sa cour, une jeune femme de vingt et un ans est venue lui demander de la prendre en stage. Elle faisait des études en biologie et elle devait faire un stage pour valider son master. Elle souhaitait faire une étude sur les mycorhizes (les mycorhizes sont le résultat de l’association symbiotique entre champignons et racines des plantes) et faire une comparaison entre ce qui se passe dans les bois et dans les pots. Ils se sont donc mis d’accord et Lucia est venue s’installer dans le mobil-home que Matthieu avait utilisé au début sur son terrain. Il l’avait toujours gardé pour héberger les copains. Elle a eu son master avec brio et poursuivit son travail en master II, toujours en effectuant ses stages chez Matthieu. C’est durant cette période qu’ils se sont rapprochés, au début pour de simples parties de jambes en l’air, mais rapidement, l’amour les a rattrapés. Lucia a fini par s’installer définitivement dans la maison et le mobil-home a retrouvé sa fonction de chambre d’amis.


Durant ses études, Lucia a trouvé un moyen révolutionnaire pour produire des mycorhizes qu’elle a développé dans une petite serre. Fort naturellement, une fois diplômée, elle a créé sa propre petite entreprise. Grâce à un contrat avec une célèbre entreprise horticole, ils ont acheté le terrain de l’autre côté de la route pour y installer une grande serre et un laboratoire pour ses productions et ses expériences.




**********




Une fois bien propre, Matthieu traverse la cour et regarde vers les serres de sa compagne. Aujourd’hui cela fait trois ans que son entreprise est ouverte et tout va pour le mieux. Il est en admiration pour son travail. Il ne comprend pas tout ce qu’elle fait mais, à chacun son domaine. Lui de son côté n’a pas à se plaindre non plus. Ils ne gagnent pas des fortunes, mais ils sont indépendants et libres de faire ce qu’ils veulent. C’est la tête pleine de ces pensées, qu’il rentre chez eux pieds nus. La maison est tout en bois, alors ils ont pris l’habitude de laisser leurs chaussures sur le perron. L’ensemble est très bien isolé et il y fait toujours très bon. De l’entrée où il laisse son blouson, il peut ressentir la chaleur de la cheminée venant du salon.


En entrant dans la grande pièce de vie, il a le bonheur de trouver Lucia de dos dans une de ses chemises de bûcheron. Elle adore, quand elle rentre, se mettre à son aise dans ces chemises d’homme, un peu trop longues et un peu trop amples, mais qu’elle affectionne énormément. Elle est de dos devant une baie vitrée donnant sur le bois. Elle l’a entendu arriver c’est certain, mais elle ne bouge pas. Matthieu en profite pour l’admirer une nouvelle fois. Elle est plus petite que lui, plus maigre aussi, mais avec un corps musclé. Elle aime faire du sport et son corps lui rend bien. Ses cheveux courts avec des reflets roux naturels sont en harmonie avec sa peau blanchâtre. Elle finit par se retourner et avance vers lui, mais s’arrête au centre de la pièce. Elle le regarde, son visage affiche un sourire coquin, la chemise tombe au sol. Après quelques secondes de silence, Matthieu bafouille quelques mots.



Elle ne porte que les sous-vêtements qu’elle vient d’acheter. Une culotte tanga tout en dentelle noire et un soutien-gorge bustier, sans bretelles, rouge. Il s’agit d’une bande de dentelle de cinq centimètres de haut qui fait le tour du corps de la femme juste en dessous des seins à laquelle sont accrochés deux paniers qui soutiennent les seins et cachent les aréoles, mais tout juste. Elle est resplendissante. La scientifique a très peu l’habitude de se mettre en valeur, mais ce soir, elle avait envie de plaire à son homme encore plus.



Mais elle tourne quand même, trop contente de son effet, et de faire admirer ses fesses magnifiquement mises en valeur par le voilage. Elle n’hésite pas à cambrer un peu des reins pour accentuer l’effet. Elle ne lui laissera que quelques secondes pour profiter du spectacle avant d’aller s’asseoir dans le canapé central une jambe repliée sous le genou de l’autre jambe restée au sol les bras grands ouverts sur le dossier qui n’est pas très haut.


Matthieu fait le tour pour se retrouver derrière elle. Comme elle bascule la tête en arrière, il a une vue plongeante sur sa poitrine. Il ne peut résister à tendre une main vers le visage de sa compagne. Du visage, il descend sur la gorge, puis sur le haut de la poitrine. Lucia a des petits seins, bonnets A, mais ils sont fermes et bien remplis avec des aréoles légèrement foncées et des tétons très durs. La main du travailleur fait des allées et venues sur la chair blanche avant d’attraper une des deux masses dures, la faisant sortir de sa corbeille. Il ne peut s’empêcher de constater que ce sein est encore plus ferme que d’habitude et que le téton est extrêmement tendu. Il cajole longuement l’ensemble avant de s’attaquer à l’autre tout aussi attirant. Après de longues minutes de tendresse, il a envie de passer à un niveau supérieur. En se penchant, il vient poser ses lèvres sur la bouche féminine et plonge sa main baladeuse entre les cuisses sur la dentelle. Elle profite de la situation pour lui enlever sa chemise qu’elle fait passer par-dessus sa tête rapidement avant de reposer la main de son homme entre ses cuisses.


Matthieu reprend ses baisers, les langues se mélangent. Les doigts de l’homme peuvent constater que sa femme est très excitée. Le voilage est chaud et humide. Les mouvements des doigts ne font rien pour améliorer la situation, bien au contraire. Quand Matthieu glisse une main sous la culotte et l’autre sur les seins, Lucia ne peut plus continuer ses embrassades, sa respiration s’accélère, des premiers gémissements résonnent. Tout ça ne fait qu’encourager le caresseur donc les doigts pincent un téton d’un côté et malaxent un clitoris de l’autre. Bien entendu, la jouissance arrive bruyamment. Il sait qu’il doit lui laisser un peu d’air le temps qu’elle redescende de son plaisir, alors il se redresse et lui caresse délicatement les épaules. Enfin, elle rouvre les yeux qui sont toujours aussi provocants.


Projetant ses mains derrière sa tête, elle décroche la ceinture et ouvre le pantalon de son homme. En tirant sur l’élastique du caleçon, elle permet à un sexe gorgé de sang de prendre enfin l’air. Elle glisse une de ses mains dans les vêtements au contact des bourses et l’autre attrape le gland qu’elle masturbe lentement. Le traitement est tellement efficace que Matthieu est obligé de l’arrêter sous peine de lui laver les cheveux avec un savon un peu spécial.


Il profite du répit pour enlever ses vêtements, faire le tour et venir s’asseoir sur la table de salon juste devant elle. À peine est-il en place, qu’elle vient poser ses pieds sur la table de chaque côté de l’homme, écartant ainsi ses cuisses exposant une grande auréole maculant la culotte trempée. Une fois de plus, Matthieu est en admiration devant le corps de sa compagne, il l’admire, il a envie d’y goûter. Il la voit porter ses mains de chaque côté de la culotte sur les hanches. Elle décroche des petites agrafes comme celles des soutiens-gorges presque invisibles. Elle peut ainsi dévoiler son intimité au regard amoureux de son homme. Il ne peut plus se retenir, une fois à genoux, les bras sous les cuisses bien ouvertes, les mains sous les fesses, il plonge dévorer le sexe qui s’offre à lui.


Avec la plus grande attention, il la fait jouir violemment en plongeant sa langue au plus profond d’elle. Elle lui accroche les cheveux pour le guider. Quand il s’est attaqué au clitoris, elle passe de la jouissance à l’orgasme violent. À ce stade, elle bloque son lécheur pour profiter du plaisir qu’il lui a offert. Mais, il n’est pas d’accord, il se sort de l’étau de chair, écarte au maximum les cuisses, avance pour planter son sexe dans celui de sa femme. Surprise, mais ravie, elle crie de nouveau son plaisir à chaque coup de reins. Mais elle trouve la cadence trop lente alors pour lui imprimer son rythme, elle crochète ses jambes dans le dos de son baiseur.


Il profite d’avoir les mains libérées pour malaxer la poitrine qui ballotte. Elle lui attrape le visage à deux mains pour l’embrasser goulûment. Les mouvements des bassins s’accélèrent et une fois de plus, elle jouit fortement se crispant sur lui. Cette fois-ci, il la laisse revenir à elle, mais juste un peu. Quand il sent qu’elle reprend son souffle et se détend, il se dégage une nouvelle fois, la guide doucement afin de la mettre à quatre pattes sur le canapé et replonge instantanément en elle agripper aux hanches admirant son orifice sombre s’ouvrir et se fermer en cadence. Il n’en peut plus, le déferlement est grandiose. Il l’inonde totalement dans de grands gémissements partagés.


Le calme revient lentement et progressivement, mais ils sont toujours soudés l’un à l’autre. Amoureusement, Matthieu prend le petit corps de sa femme dans ses grands bras musclés et l’emporte dans leur salle de bain, directement sous la douche alors qu’elle a toujours son soutien-gorge qui ne couvre plus rien. Il la lave tendrement comme il aime le faire, elle va lui rendre la pareille. Une fois propre et sec, il va dans le salon récupérer les affaires, mais elle le rejoint nue.



Elle s’approche de lui passant ses bras autour de son cou et se lavant contre son torse toujours nu.