n° 20199 | Fiche technique | 12206 caractères | 12206Temps de lecture estimé : 8 mn | 13/04/21 |
Résumé: Dans mes rêves, ce qui se passe est intime. Pourtant en voici les détails... | ||||
Critères: hhh couleurs extracon inconnu grossexe hsoumis hdomine revede caresses fellation hsodo -totalsexe -gay | ||||
Auteur : Orion4 |
Dans mes rêves, ce qui se passe est intime. C’est indicible. Pourtant en voici les détails :
Ces rêves me concernent. V., my love, V., my life.
V. Est présente, parfois.
Cette fois, elle ne l’est pas. Des hommes sont là, près de moi. Ils sont beaux. Ils sont forts. J’aime les hommes forts, imposants. Ce ne sont des hommes alpha que dans mon plus profond fantasme. Je veux dire que leurs petits défauts me plaisent. Je ne connais pas ces hommes, juste leurs noms.
Ils ne connaissent que mes désirs.
Sexuels.
Oui, je vais entrer dans les détails. Je sens que vous aussi, vous ressentez des papillons dans la poitrine. Vous aussi vous ondulez le bassin au fur et à mesure de la lecture de ces bâtons et de ces signes chauds.
La source crue de mon excitation à moi, c’est leurs proéminentes verges nerveuses, droites et dénudées ou lourdes et délicatement sombres.
C’est bien sûr, l’anticipation du moment sourd et intemporel, lors duquel, sans passé ni futur, je lécherai, je passerai ma langue sur ces bites salivées, marquées par ma bave, humectées par mes soins.
Mais l’heure n’y est pas, l’heure, au moment où mes pensées s’évadent à ces succions, cette heure est à la rencontre. La rencontre des corps. Ils ont un corps, ils sentent le mien. Ils sont chauds. Invraisemblablement chauds et proches. Je sens leur expiration. Je sens l’haleine de mon partenaire d’en face, N.
Noli est un jeune homme effronté. Pas bavard, mais ferme. C’est le premier à s’être dénudé du haut. Il voulait sans doute me montrer ses abdos. Me tenter par la fermeté de ses épaules et la douceur de son torse. Il est piquant. Son regard est narquois. Il se délecte de mon attitude passive. Je suis un peu impressionné, j’avoue. J’en frémis. Il le sent, sa main me caresse le visage et son pouce ne tarde pas à me presser les lèvres. Ce jeune homme semble impatient de venir à bout de moi. Il semble aussi vouloir que je sois sa proie. En silence. Alors je suce son doigt.
Aureto, dans mon dos, est plus âgé, plus mature, plus sec. Il aime prendre, et notamment prendre son temps. Il m’embrasse dans le cou. Il me plaque avec une douceur fiévreuse contre ses hanches. Et vous savez ce que je sens. Vous le savez maintenant autant que moi. Cet obstacle gonflé qui presse contre mes fesses. Hmm !
Roves [robèss] est à ma droite. Il n’est ni pressé, ni lent. Il observe la scène doucement en aspirant sa clope. Qu’est-ce qu’il est attractif ce mec ! Une main sur son entrecuisse, l’autre à son indus’. Son visage est calme et fermé. On ne sait pas ce qu’il pense ni ce qu’il prévoit. C’est d’un suspense érotique brûlant.
Et puis il se lève.
Noli m’avait ordonné, sans mot, juste de son regard plissé, de lui déboucler sa ceinture. Aureto s’était éloigné pour allumer une cigarette et entamer un déshabillage qu’il me laisserait, je l’espérais, mener à terme.
Et Roves s’approche comme un chef de meute.
Sans les frissons paralysants que Nol et Auré avaient profondément allumés, je me serais jeté comme une bête sur cet homme sulfureusement sexy.
Mais l’heure de la multi-succion approchait, me disais-je. Le moment où j’allais m’abandonner à ces trois pures colonnes de sensualité.
Je sentais juste que je chavirais : c’est à ce moment-là que Roves a effleuré ma peau. On parle souvent d’un choc ou d’une onde électrique. Je pense qu’il y a du vrai.
Ce fut brusque. Ça ressemblait à une explosion ou peut-être plus à une implosion des sens ; des frissons, une forte impression de vide sous mes quatre pattes et une puissante chaleur au niveau du bas-ventre.
C’était fou, c’était atomique et ça venait, à point nommé, encourager la fellation goulue que je donnais à Noli, mon jeune cavalier harponneur.
Roves me caresse maintenant la nuque. Ça me fait fondre ! Ça me fait vibrer !
Je ne sais ni si ni comment il sait que ma nuque est accro aux caresses. Et je me rappelle que Rov’est le produit de mon imagination bien montée. Alors je comprends. Et ça m’excite énormément.
Il descend maintenant sa main sur mon sein droit tout en encourageant, de propos grivois, les mouvements de ma mâchoire le long de la belle queue de Noli.
Grivois, mais pas salaces. La nuance me plaît.
La voix de Rov’est grave, suave. Il me dit qu’il est mon roi et que je suis son reine. Les amis des animaux y verront peut-être une métaphore du père Noël. Mais moi, dans ma sainte naïveté, j’aime sa manière de faire exister ma féminité.
La complicité de mes amants, leurs échanges graveleux, respectueux et dominants me m…
Tiens, Auré est de retour.
Toujours derrière moi.
Je me dis qu’il sera le premier…
Il me caresse les fesses et faufile sa main entre mes jambes pour dégrafer mon jean. En frôlant mon sexe évidemment. Adroit.
D’ailleurs – en parlant de sexe – Noli a une verge fabuleuse. Il a compris que passer ses doigts boisés dans mes cheveux m’excitait. Il caresse le contour de mes oreilles, délicatement, de chaque main, pendant que moi, j’abonde de salive sur ma double décimètre pointue. Ma main droite garde la base. Tire la peau. Comme ça, j’ai son gland, comme ça je lèche son frein – ma langue sous un frein et je pèche mignon.
Mes fesses ont froid.
Normal, Auré leur retire leur dernière pièce de coton. Je me déporte un peu pour observer ce qui se trame, ce qui promet de se passer vers mes reins, ce qui s’annonce quoi,’voyez ce que je veux dire.
Pas le temps !
Rov’me vole un baiser.
Cet homme mat à la peau luisante, je voudrais me le servir en dessert. Enfin, disons plutôt, je voudrais qu’il se serve de moi en dessert pour être plus juste. Et ça, je sais qu’il le sait. D’ailleurs c’est peut-être pour ça qu’il est patient : je ne perds rien pour l’attendre.
Enfin entre temps, mes ami.e.s, il me faut digérer l’entrée. Et le plat est épicé.
Contre ma volonté, sans dépit de sa part, j’avais lâché ma pine. J’étais maintenant soumis à la seule volonté de mon ange ténébreux, celui-là même qui m’emplissait la bouche de chaleur et de surprises. Il fallait voir la circonférence de ses biceps. Et pourtant j’ai de grandes mains, dit-on. Il m’avait pris la tête, sans jeu de mots, si ce n’est qu’entre ses caresses sensuelles qui parcouraient maintenant mon ventre, et les lèvres denses et charnues qui s’occupaient de ma bouche, j’étais un peu sonné.
Surtout que je sentais Aureto qui s’enduisait de vaseline, enfin de gel, là… bref tout ça. Ouah, c’est froid ! Mais hmmm !
Auré me presse d’ouvrir la voie. Ses deux mains sur mes fesses, il les tient généreusement ouvertes. Je ferme les yeux. Il a maintenant ses mains sur mes hanches. Un dernier baiser de mon prince charmant et sa voix calme qui suggère à mon voisin que j’ai toujours une furieuse envie de sucer. Salaud !
Auré est doux. Il est chaud aussi. Il me caresse le dos, les hanches. Il tente une prise des poignées « d’amour ». Lui non plus n’est pas bavard même s’il aime me traiter parfois de petite salope. De sa voix à lui, de son ton amusé, de sa manière de manier… hmm !… les mots, je le prends commmhhôy !… une douceur, un compliment. Il me pénètre plus profond maintenant.
Put### c’est bon !
Noli est avare de tendresse, lui, quand le moment des préliminaires est terminé. Avec lui, je me sens… hmm… soumis avec une sorte de culpabilité honteuse. Il est quand même beaucoup plus jeune que moi, la vingtaine tout juste. Mais il est beau comme un dieu. Et il a… mmh… une de ces bites…
Bref j’ai retrouvé ma pine ! Lol !
Le sexe d’Auré, derrière moi, c’est un ballon de rugby.
Faut-il que j’en… mmhoof… dise plus ? !
C’est le modèlemmh… parfait pour ouvrir la voie… aah !
Ohffff… mmhh !
Là, oui je suis complètement ouvert. Il m’embroche comme une soupape. Son engin de sport ne laisse rien passer autour, vu le diamMmhètre… de son truc. Oohfff put### c’est bon ! Wah, il me fout le feu put### ! Il me bourre, là c’est… wahmmh ca glisse sur 18cm dans mon cul ! Avec ce genre de détails, vous savez tout ! Ahah nan, mais honnmmh… ahh honnêtement se faire limer sa petite mmhmmrondelle par une verge pareille, vous tombez ammmoureux.sE direct !
Nol’s’agite. Mon petit chéri veut son tour de caresses. Il n’aime pas trop attendre. Il s’est hmmm… montré tendre pourtant, bien qu’à force un peu maladroit. (…oh oui !) Il n’a pas faibli. J’aime sa… mmooh… sa queue, la place qu’elle prend dans ma bouche. Je ne le suce plus maintenant, je le pompe. J’essaye de rester concentré. Je le regarde dans les yeux pendant (…oh !) pendant que je lèche sa queue sur toute sa longueur, le cul bien relevé en évidence. J’ai moitié honte, mais je suis bien trop excité pour m’y attarder. Là je pompe. J’insère ma langue là où elle passe. Mon cavalier est presque mûr. Il m’accompagne de légers sursauts des hanches.
Roves s’approche. Il est nu. Envoûtant. Son sexe est lourd. Il pointe… hmm… vers la terre. Tout est Terre chez lui. Pendant que j’étais soigneusement en train de procurer une bonne pipe à mon cavalier, pendant que mon autre amant me pénétrait les muqueuses, Rov’s’était déshabillé doucement, avait pris, me disait-il, quelques photos de son téléphone (c’était une blague) et avait surtout déballé son cadeau qu’il comptait m’installer en pleine action. D’autant que Noli était mûr, bien mûr même et qu’Auré ne calculait que mon petit cul et sa grosse queue.
Ce qu’il s’est passé là est incroyable.
Arrivé à mon niveau, Rob m’a caressé les cheveux. Vous savez quel… offhh !… quel effet ça me fait maintenant. Doucement d’une main, il pressait ma nuque, de l’autre il tâtait mon sein. J’étais nu, je ne me souve(hmm)nais même pas comment et à quel moment. Je l’ai entendu embrasser mon jeune amant et murmurer des choses à mon bourreau (bourreur). J’ai senti Auré se plaquer dans mon dos. Noli geindre. Roves presser ma nuque.
Et puis une forte douleur sur le téton droit puis le gauche. Une forte pression derrière ma tête et une puissante dose au fond de ma gorge. Je l’ai senti venir, mais c’était tellement irréel et impensable…
…que j’ai tout avalé ! Toute cette visqueuse sauce salée. J’ai pas eu trop le choix en même temps. Enculé d’un côté, malmené des tétons de l’autre, une dose de sperme, ça ne se refuse pas. Encore moins dans le récit cru d’un fantasme.
J’ai quand même gentiment failli m’étouffer. J’ai regardé mes seins, j’avais deux espèces de piercings magnétiques au bout des tétons.
Mais je percevais – dans ce que je pouvais toujours percevoir – des encouragements et de la gratification. Alors j’étais bien, même les tétons « percés », même la bouche toute visqueuse.
Auré n’en était pas à son coup d’essai. D’ailleurs lui n’en était qu’au début de sa croisière.
Je suis tout collant. Noli me baise le front. Il veut s’allumer un joint. Il me félicite. Il est fier de moi, me dit-il en me tendant mon tee-shirt pour m’essuyer. Ce petit merdeux est quand même un sacré coup. Auré, gentleman, me propose une pause caresses. J’accepte. D’autant que Rov’est au garde-à-vous. Faut que je l’apprête un peu avant qu’ils échangent leur place tous les deux.
Mais ça, c’est dans la suite. Et il faut que je la vive avant de l’écrire…