n° 20201 | Fiche technique | 18956 caractères | 18956Temps de lecture estimé : 12 mn | 14/04/21 |
Résumé: Week-end entre amis. | ||||
Critères: fh extracon copains vacances revede exhib noculotte caresses intermast fellation cunnilingu anulingus fdanus fsodo init -lieuloisi | ||||
Auteur : Polo Polo (Adepte du carpe diem dans le respect de l'autre) |
C’était la dernière année avant la pandémie de Covid19.
Premier week-end des vacances scolaires, début juillet.
Week-end camping avec des amis et leurs enfants.
Pour être précis deux couples Laëtitia et Jérôme, Stéphanie et Sylvain, avec deux enfants chacun, et une amie mariée venue seule, Sandra avec ses deux enfants, son mari étant en déplacement professionnel et moi, Paul, célibataire depuis une décennie.
Le lieu : les plages normandes, juste à l’est des plages du débarquement.
Le vendredi après-midi, je suis arrivé le premier et ai confirmé les réservations pour tout le groupe et ai préparé un peu la logistique une fois ma tente montée.
Les amis arrivent les uns après les autres par cette belle et chaude journée de début d’été.
Les tenues décontractées sont de rigueur et je vois, je ne pense pas par hasard, que Laëtitia n’a vraiment pas de poitrine, juste deux boutons de sonnette, quand elle se plie devant moi, son débardeur bâillant largement et ouvrant la vue jusqu’à la ceinture de son short.
Je souris et me dis intérieurement que ce week-end va être charmant.
Installation du campement terminée, préparation de l’apéro et du dîner, affinage du programme des activités du week-end.
Après une nuit où le sommeil a été en mode intermittent, le temps de s’habituer à dormir sur une mini mousse et sans isolation phonique autre qu’une toile de tente, réveil embrumé et préparation du petit déjeuner.
Laëtitia et Jérôme sont allés chercher du pain frais et des viennoiseries. Super.
Au programme de la matinée, visite de la batterie de Merville, il faut faire honneur au soixante-quinzième anniversaire du débarquement et inculquer aux enfants quelques notions sur le devoir de mémoire pour les jeunes hommes qui se sont sacrifiés pour leur pays, quel que soit le pays.
Justement, la batterie de Merville a cet avantage d’avoir des collections allemandes et alliées.
Sandra et ses enfants ne me quittent pas. Elle est habillée d’un short kaki de circonstance assez court.
Comme elle a de belles jambes fines et bien fuselées, je profite parfois un peu du spectacle et, je l’avoue, je regarde son cul qui remplit parfaitement son short.
Ça n’est pas la première fois que je le constate, mais elle marche très proche de moi, même si j’essaie de garder une distance protocolaire correcte, parfois nos épaules et nos bras se touchent et elle ne s’écarte pas quand ça arrive.
Je n’y prête pas plus attention que ça vu que c’est quelque chose qui est déjà arrivé dans le passé.
Lors de la visite, nous nous retrouvons dans une salle son et lumière avec une reconstitution d’un combat de nuit. Lumière éteinte donc. Le public se place dans un coin de la pièce. Je me mets contre le mur, car je suis assez grand pour voir en étant en dernière ligne.
Sandra est devant moi, ses enfants devant elle. La lumière s’éteint, le spectacle commence.
Au bout de quelques minutes, je sens Sandra qui recule d’un demi-pas ce qui la fait appuyer ses fesses sur moi. Je recule un peu pour notre confort, mais je suis bloqué par le mur derrière moi.
Elle recule de nouveau et pas de doute, elle se frotte gentiment sur moi. Je commence à réagir et trouve la situation gênante. Du coup, je pose une main sur son flanc pour lui faire comprendre, mais elle s’amuse visiblement beaucoup de la situation.
Je sors le dernier de la salle pour essayer de retrouver une apparence neutre.
Lorsque nous visitons le C47, et notamment le poste de pilotage, Sandra est vraiment proche de moi sous prétexte d’exiguïté et d’envie de bien voir et je sens ses petits seins s’écraser sur mon dos.
Encore une fois je trouve la situation gênante, il y a des distances qu’il vaut mieux conserver entre amis. Mais je ne m’en offusque pas, je dois même m’avouer que ces effleurements ont été agréables.
L’après-midi, char à voile, la marée et le vent sont parfaits pour cette activité. Puis, pour la fin de l’après-midi, séance de plage prévue.
Je vais me baigner rapidement, pas trop longtemps parce que je dois surveiller les affaires de tout le monde, je me suis engagé à le faire.
Alors que j’ai fini de m’essuyer et que je m’oins de produit solaire, Sandra, très jolie il faut bien le dire dans son bikini, s’approche de moi, me donne son dos à la vue et me dit : « Tu veux bien me crémer le dos, mon Paul ? » Elle tourne la tête et me montre encore une fois un grand sourire et un regard pétillant. L’expression n’a pas été choisie au hasard, j’en suis sûr. Je réponds :
La réponse est claire et nette : « Non… »
Et me voilà à étaler du produit solaire sur le dos de Sandra, profitant visuellement de ses courbes gracieuses et de la douceur de sa peau.
Retour au camping pour le rituel du soir : apéro, dîner, plonge, pétanque.
Je décide de laisser mes amis discutailler pour profiter du coucher de soleil sur la plage.
Habitué à la solitude, ce moment va me faire du bien.
J’apprécie le spectacle de la plage au couchant en repensant à quelques moments agréables de cette journée.
Sans que je l’aie entendue arriver, Sandra s’assied à côté de moi sur le sable. Je tourne ma serviette pour son confort, chacun notre partie. Nous discutons de choses et d’autres, refaisons un peu le monde pour qu’il soit plus idéal. Je vois qu’elle a des frissons sur les bras et d’un seul coup elle se met à claquer des dents.
Comme j’avais emporté en prévision pour moi une veste de jogging au cas où j’aurais froid, je la lui propose. Elle accepte, je l’aide à l’enfiler et délicatement lui mets la capuche sur la tête en lui pressant gentiment sur les oreilles et lui frotte vigoureusement le dos et les bras pour la réchauffer.
Puis je la serre très fort dans mes bras, elle se laisse carrément faire, et lui fais un gros gros gros bisou sur la joue et un sur le front.
Nous rentrons au camping pour le coucher des enfants qui ont droit à un décalage pour cette première nuit de vacances.
Onze heures trente, je décide d’aller prendre une douche et de me brosser les dents pour la nuit.
Je me rends dans un des blocs sanitaires. Dans ce camping, ils sont mixtes.
Surprise : Sandra me rejoint et s’installe au lavabo à côté du mien pour se brosser les dents.
Je me rends à la cabine de douche et au moment de refermer la porte Sandra la bloque avec son pied.
Et elle répond :
Même mon dernier argument que les amis vont se demander ce que l’on fait ne la convainc pas.
Elle me pousse dans la cabine de douche et verrouille la porte.
Elle fait barrage vers la sortie et commence à se déshabiller. Je lui dis que je ne me douche pas en slip, et elle me répond qu’elle non plus !
Alors, je me déshabille, et une fois nus tous les deux j’appuie sur le bouton de la douche non sans admirer rapidement son joli corps, ses petits seins aux aréoles minuscules et aux tétons qui pointent.
Je constate également qu’elle est adepte du coup de crayon, un mince filet de poils prolongeant sa fente.
L’eau est rapidement chaude, nous nous savonnons chacun de notre côté dans une atmosphère un peu tendue tout de même. Je lui tourne le dos car je commence à bander sérieusement.
Je n’aurais pas dû. Elle vient se coller à moi et me savonne le torse et les flancs. Puis elle se recule et me savonne le dos et les fesses. Elle s’accroupit et me savonne les jambes. Heureusement je lui tourne le dos. En remontant, elle glisse une main entre mes jambes et vient me savonner les couilles et la bite dans des mouvements alternés où elle tire bien sur le prépuce pour bien me faire décalotter.
La tournure des évènements et leur rapidité me laissent sans voix et je ne peux pas résister à ces caresses fort agréables, je dois bien le reconnaître.
Elle me donne du dos et je retrouve avec plaisir la texture de la peau de son dos sous mes mains.
Après le dos je lui masse plus que je lui savonne le ventre, les bras et ses petits seins. Puis je me baisse et lui savonne les jambes. En remontant je lui savonne les fesses, les écarte, admire sa rondelle que je couvre de savon et ma main va explorer son pubis.
Elle se penche alors en avant et je lui lèche sa fente longuement, simulant une pénétration avec ma langue puis je lèche son anus ce qui la surprend. Mais elle accepte après un moment d’hésitation. « C’est la première fois, mais c’est bon ! », me dit-elle. Je varie, langue tournant autour de son étoile, langue à plat dessus, langue dardée pour la pénétrer.
Je me redresse alors, elle aussi et me colle à son dos la bite glissée entre ses jambes. Je passe une main devant et soulève ma bite pour la frotter contre sa fente.
Ma bite dépassant devant son pubis, elle se met alors à me branler. Une branlette au savon faite par une femme. C’est génial.
Nous avons chaud et nous savons que nous avons dérapé grave. Mais nous ne sommes pas prêts à nous arrêter.
Elle arrête de me branler, se tourne et s’accroupit, prend ma bite en main, me regarde dans les yeux en me disant « Je vais te sucer comme une reine ».
Elle me lèche la bite en longueur, sensation formidable puis l’embouche et joue avec sa langue autour de mon gland, sensation merveilleuse.
Après avoir failli me faire jouir en me suçant et en me branlant de concert, elle se redresse me donne de nouveau du dos.
Je frotte de nouveau ma bite raide sur sa fente trempée. Elle se cambre un peu et mon gland la pénètre avec facilité.
Nous baisons debout, je rentre, je sors, je rentre, je sors, je rentre et elle me dit :
Je glisse ma main droite sur son pubis, étends l’index et… le rentre dans sa chatte. Dingue.
Le savonnage, le léchage, l’excitation, l’envie, elle m’a reçu dans son anus avec une facilité qui la surprend elle-même pour une première visite, me dit-elle.
Et je bouge doucement sans chercher à entrer toute ma bite, il faut rester dans la facilité et la douceur.
Je lui caresse le clitoris d’une main et un sein de l’autre, elle semble bien apprécier et c’est à ce moment que la voix de sa plus jeune fille retentit à côté du bloc sanitaire.
Oh là là, comment on va s’en sortir ?
Nous ne bougeons plus et je débande rapidement. Ce qui fait que Sandra m’expulse avec une sensation qui lui donne un petit rire. Zut ! Sa fille va l’entendre.
Et c’est là que je me réveille en sueur.
Il est trois heures du matin. Envie d’uriner et fin d’un rêve bouillant.
Je me rends au bloc sanitaire.
En sortant des toilettes, Sandra est face à moi, les yeux pétillants.
Et elle essaie de me pousser dans la cabine des toilettes. Je lui dis « Non, pas les toilettes ». Je l’enlace et lui dis « Dans la cabine où il y a un lavabo si tu veux ». Ce qu’elle accepte.
Elle a mon jogging. Elle me dit « J’ai oublié de prendre un pyjama chaud. J’ai adoré le mettre directement sur ma peau. Regarde. Elle descend le zip et découvre ses petits seins qui me troublent.
Elle prend ma main et la pose sur sa poitrine, me guidant dans les mouvements.
Quel délice !
Et elle m’offre ses lèvres pour un premier baiser.
Nous nous retrouvons nus dans cette petite cabine et j’embrasse son corps partout de la tête aux pieds, de face et de dos.
Elle s’assied sur le plan de travail du lavabo et je m’agenouille devant elle, lui lèche la fente assidûment, lui suce le clitoris et la doigte, mon autre main caressant ses seins et pinçotant ses tétons qui pointent. Son ventre se crispe à plusieurs reprises de façon répétée, elle mord son poing pour ne pas extérioriser sa jouissance.
Elle descend alors de son perchoir, s’agenouille devant moi, prend ma bite en main, me branle gentiment et se met à me la lécher par en dessous. Puis elle passe sa langue autour de mon gland, bave dessus pour le lubrifier et m’embouche. Quelle délicieuse torture ! Elle suce super bien, me branlant et utilisant sa langue en même temps. Elle sent que c’est très fort pour moi, trop fort, elle ralentit et puis arrête et se redresse.
Elle s’accoude au plan de travail du lavabo et me montre son cul magnifique.
Je lui écarte les fesses et vais lécher sa fente. Puis je lèche son anus. Comme dans mon rêve, et elle me dit :
Alors je continue de lui bouffer le cul et je doigte sa chatte en même temps, la masturbant du mieux que je peux.
Mes doigts pleins de cyprine, je lui masse sa rondelle qui s’ouvre comme un petit «o» absolument charmant et appelant les attouchements.
Je lui rentre alors un doigt dans le cul et la branle doucement. Je la prends ensuite en pince, un doigt devant un doigt derrière. Et de mon autre main, je masturbe son clitoris.
Variation langue/doigts, elle jouit de nouveau.
Elle me demande alors de la pénétrer.
Je me redresse et la pose sur le plan de travail du lavabo. Nous nous embrassons à bouche que veux-tu et parfois je lèche et je suce ses seins. Ma bite frotte sur sa fente. Et à un moment je sens mon gland la pénétrer. Elle me serre fort dans ses bras et avance vers moi pour bien conclure cette pénétration.
C’est trop bon. Nous baisons assez fort.
Je lui demande si elle veut que je la sodomise.
Je sors de sa chatte, me remets à genoux devant elle et lève ses jambes pour que j’aie un bon accès à son étoile pour la lécher, baver dessus, lui doigter la chatte et le cul.
La sentant souple et prête, je me redresse et frotte ma bite dans son sillon fessier. C’est elle qui prend ma bite en main et la présente devant son petit trou.
J’avance doucement. Tout doucement. Elle aussi. Nous nous embrassons goulûment et je sens mon gland entrer progressivement dans son cul millimètre par millimètre.
Je lui demande si ça va. Réponse positive.
Je bouge un peu, elle bouge un peu.
Nous trouvons notre cadence. Elle me touche les couilles et se branle le clito.
Que c’est excitant ! Je suis dur comme rarement et elle mouille tellement que sa cyprine coule dans sa raie des fesses et vient lubrifier notre union. Mon sexe palpite, son anus aussi.
Elle me serre fort dans ses bras et m’embrasse en me mettant sa langue bien profond dans ma bouche.
J’ai des frissons tout du long de la colonne vertébrale et d’un seul coup, sans aucun contrôle, je jouis avec force dans son cul, de longs jets que je ressens comme étant extrêmement fournis en sperme et puissants.
Je débande progressivement et ça la fait rire quand elle contracte son anus autour de mon gland et qu’elle m’expulse.
Elle me dit :
Je ne peux m’empêcher de lui dire que pour moi aussi.
Réveil ! Le soleil est levé, les amis sont debout, le petit déjeuner se prépare.
Je sors de ma tente tout ébouriffé. J’ai rêvé ou quoi ? Je crois bien que oui, mais les sensations étaient tellement réelles que j’ai un doute. Et le sourire et les yeux brillants de Sandra ne dissipent pas ce doute.
Séance de bises aux amis et aux enfants.
Sandra a failli m’embrasser sur la bouche ! Non, il faut se tenir.
Nous avons été proche tout le reste du week-end avec quelques effleurements discrets, mais fort agréables.
Ce week-end nous a rapprochés, Sandra et moi, c’est certain.
Parfois elle me dévoile un peu de sa peau, un peu de ses courbes, elle vient m’effleurer discrètement ou me masse ostensiblement les épaules devant tout le monde en rigolant que je suis tendu et ça me rend dingue.
Deux fois lors de soirées entre amis et en présence de son mari Sandra m’a demandé si j’avais apprécié le week-end camping avec tous ces enfants et si j’étais prêt à recommencer. Avec les yeux brillants. Elle est un rien perverse, je crois.
Oui, bien sûr je suis prêt à recommencer, avec grand plaisir.
Mais la Covid19 nous en a empêchés pour le moment.