n° 20204 | Fiche technique | 32206 caractères | 32206Temps de lecture estimé : 19 mn | 15/04/21 |
Résumé: Une rencontre inattendue entre un écrivain rêveur coquin et un producteur de cinéma porno ringard | ||||
Critères: fffh grp fagée gros(ses) grosseins poilu(e)s fête telnet cérébral revede voir exhib fetiche caresses nopéné nostalgie portrait -videox | ||||
Auteur : Antilope Envoi mini-message |
J’ai rencontré Patrick et Monique, un soir, chez des amis qui m’avaient invité à dîner. Il y avait plusieurs couples, et notamment celui-là qui dénotait un peu.
Les profils des invités étaient très différents. Il y avait des profs, des cadres, des directeurs…, et j’avoue que les discussions étaient plutôt agréables et enrichissantes.
Moi, on m’avait invité pour faire de l’esprit… comme d’habitude ! Je suis un petit écrivain un peu raté qui peine à décoller, mais mes interventions et mon humour sont très appréciés dans les soirées. C’est plutôt flatteur, me direz-vous ! Certes, mais malgré tous les contacts que cela peut créer, ça n’a jamais fait décoller ma réputation.
Bien sûr, j’ai bien eu des « Envoie-moi ton manuscrit, j’en parlerai à mon éditeur ! » ou des « mais, c’est magnifique ce que tu écris ! Fais-moi confiance, je vais envoyer ça à quelques connaissances, ils vont adorer… ».
Je n’ai jamais eu aucun retour.
Ce soir-là, j’allais faire une rencontre qui allait enfin apporter un peu de piment dans ma carrière.
Il faut que je vous dise que, de façon occasionnelle, j’écris aussi des romans érotiques. Je ne les ai jamais publiés, mais ça me sert d’échappatoire à ma petite vie bien rangée. Ça me permet aussi de donner une substance à ma vie sexuelle qui, elle, est carrément inexistante. Eh oui, je suis avant tout un rêveur !
Il faut dire que j’ai des goûts un peu spéciaux en matière de femmes. J’adore madame Tout-le-Monde ! Là où certains ciblent les clubbeuses dans les soirées, moi je m’assois à la terrasse d’un café et regarde les passantes dans la rue.
Là où certains cherchent le corps parfait, moi je cherche ces multitudes de petites imperfections si délicieuses sur le corps de toutes ces femmes qui nous entourent.
Évidemment, avec des goûts pareils, j’ai l’œil attiré par 95 % des femmes que je croise. Ça va de la femme de ménage de mon immeuble à la boulangère, en passant par la fille de l’accueil de la bibliothèque et aussi… mon ex-femme, qui a fini par partir parce qu’elle pensait que je préférais ses bourrelets à son esprit.
La nuit, je nourris des fantasmes sur les femmes que j’ai croisées dans la journée, et ces mêmes fantasmes viennent peupler mes récits érotiques, nourris par mon imagination débordante.
Bien sûr, les concrétisations sont très rares, et toujours décevantes. Car madame Tout-le-Monde est inaccessible, et quand elle l’est, elle paraît bien fade à côté de ces fantasmes que j’invente sur elle.
Mais revenons à la soirée. J’étais sorti fumer sur le balcon et ce couple était là, isolé.
Je les ai salués. Lui portait un costar blanc, une petite moustache à la brigade du tigre, des cheveux gominés et des chaussures en croco, il avait la cinquantaine. Elle, une mini-jupe en cuir, des bas résille et des talons hauts, elle était maquillée comme un sapin de Noël et ses cheveux étaient teints dans une couleur indéfinissable, elle avait la cinquantaine aussi. Mais que faisaient-ils là ? Qui les avait invités ?
J’ai entamé la discussion. Elle était un peu potiche et lui avait une gouaille pas possible, un accent parigot à couper au couteau et un enthousiasme qui m’a plu malgré l’apparent mauvais goût.
Je me suis présenté en tant qu’écrivain, sans dire que je n’avais rien publié depuis deux ans, lui s’est présenté en tant que producteur de cinéma, à la tête d’un grand studio à Montreuil.
Je me suis lancé. Je trouvais ce personnage sympathique et même attachant. Il représentait une époque révolue, même si quelques places parisiennes maintenaient une tradition qui lui permettait encore de vivre, mais pour combien de temps ?
En disant cela, j’ai réalisé que sa femme était juste à côté et qu’elle avait peut-être participé à ce genre de scène. La gaffe ! Elle m’a rassuré et m’a dit de ne pas m’inquiéter, que dans la vie, chacun faisait ses choix. J’ai trouvé ça courageux de sa part.
Elle a ensuite ajouté qu’elle était entièrement d’accord avec moi.
Ils se sont regardé tous les deux quelques secondes, puis son mari a repris :
Étonnant. Ce personnage d’une apparence super macho, en réalité, semblait donner beaucoup d’importance à l’avis de son épouse. J’ai continué.
Sa femme buvait mes paroles. Ils se sont encore regardés.
Sa femme en a rajouté une couche :
J’avais fait mouche !
Je n’avais pas du tout envie de participer à l’un de ses tournages, car ça ne correspondait pas du tout à l’idée que je me faisais de l’érotisme, mais j’ai décidé de passer le voir quand même.
Une semaine après, je suis passé au studio. En arrivant, j’ai été accueilli par une secrétaire qui ressemblait elle-même à une actrice de porno. Décidément, il fallait être polyvalent dans le métier ! Patrick est venu me chercher et m’a fait visiter quelques salles. Des tournages étaient en cours et on y voyait toujours la même chose : une scène de baise, avec des acteurs sans relief qui simulaient l’orgasme exagérément.
On s’est arrêté dans une buvette sordide où des acteurs et/ou actrices venaient prendre des cafés, parfois à moitié nu(e)s…
Je n’y croyais pas… Ce mec était en train de me proposer de rendre mes fantasmes réels !
S’en est suivi une longue discussion durant laquelle il m’a soutenu que les amateurs étaient ingérables, et que souvent ils se rétractaient à la vue du scénario. Je lui ai alors opposé que les actrices qu’il avait étaient loin du compte esthétiquement… qu’il pourrait fournir les mecs s’il voulait, mais que pour les femmes, je voulais des inconnues.
Il a fini par accepter. Je suis revenu le lendemain avec le texte de l’annonce :
Vous avez entre 18 et 60 ans.
Vos proches vous disent que vous êtes belle, mais vous n’y croyez pas…
Vous trouvez que vous avez des kilos en trop, du bide et des fesses…
Vous ne vous êtes pas épilée depuis des mois…
Vous ne faites pas de sport…
Vous ne pouvez cacher quelques bourrelets ni même une petite touche de cellulite…
Vous n’aimez pas vous maquiller…
Peu importe, car si vous êtes souriante et motivée, vous correspondez à notre profil idéal : celui de la majorité des femmes qui nous entourent… C’est ce que nous voulons !
Si vous souhaitez tenter une expérience dans le cinéma coquin, nous vous proposons une série de scénarios – softs – prévus exclusivement pour des femmes non actrices. Vous pourrez trouver votre place et vous mettre en valeur en fonction de vos tolérances et de vos capacités.
Vous pourrez choisir entre plusieurs degrés de scénarios, seule ou avec un ou une partenaire. La rémunération sera fonction de votre implication, mais elle sera gratifiante dans tous les cas.
Nous vous attendons – nombreuses – au studio de Montreuil, le 15 juin, à 9 h, pour un casting et une présentation détaillée de notre projet.
La réaction de mon nouveau patron a été mitigée…
Nous avons donc lancé l’opération. Le nombre de contacts par mail a montré que c’était un succès dans toutes les catégories.
Le jour J, je suis arrivé à 8 h au studio, Patrick n’était pas encore là. Par contre, une file d’attente s’était déjà formée devant la porte. Elles étaient là… Toutes ces femmes normales ! Je me suis arrêté à leur hauteur, j’ai pris quelques secondes pour les regarder et pour les saluer. Elles étaient toutes différentes, il y en avait des noires, des blanches, des grosses, des fines, des grandes, des petites, des jeunes, des plus âgées… Et sur le coup, je les ai toutes trouvées belles.
J’étais enthousiasmé par la tournure que prenaient les événements.
Patrick est arrivé à 9 h, en retard, beaucoup moins enthousiaste que moi.
Nous avons ouvert les portes et nous les avons toutes fait rentrer dans le premier hangar. Il y avait environ trois cents femmes au rendez-vous.
J’ai commencé la présélection. C’était facile, je me fiais simplement à mes goûts. Je sélectionnais uniquement les candidates qui me plaisaient physiquement, ou bien qui m’intriguaient…
Le problème est que mes goûts étaient un peu trop larges et que j’avais tendance à toutes les trouver belles. Nous avons donc dû faire trois présélections avant de nous retrouver avec un nombre réaliste, à savoir : cent.
Cette fois, c’était bon, nous avions tous les profils, tous les âges, toutes les formes… Nous allions toutes les rencontrer une par une.
Durant l’entretien individuel, nous leur demandions de se mettre en sous-vêtements, ce qui était largement suffisant. Il n’empêche que toutes ces femmes que je trouvais déjà belles habillées, ont révélé un océan de splendeurs lorsqu’elles se sont déshabillées.
Même Patrick, atterré au début du casting, se prenant la tête dans les mains, a peu à peu changé d’attitude en découvrant toute cette beauté ordinaire, très éloignée de celle de ses actrices habituelles, mais qui captait notre regard comme si on était des petits garçons découvrant leur mère nue pour la première fois.
Nous avons pris en photo chacune des candidates et leur avons fait compléter une fiche sur laquelle chacune devait préciser le degré de ce qu’elle accepterait de faire, sous la forme d’un numéro sur une échelle de 1 à 4.
À ma grande surprise, beaucoup ont accepté le niveau 4. Il faut dire que j’étais resté assez soft… J’avais plutôt mis en avant l’esthétique, le voyeurisme, et la mise en scène du corps de la femme. La pénétration ne faisait pas du tout partie des actes qu’on leur demandait de faire.
Il n’y avait plus qu’à pondre les histoires sur mesure…
Pour couronner le tout, certaines étaient venues en équipe et nous avaient dit leur volonté de tourner ensemble.
Nous avons eu ainsi un groupe de huit quinquagénaires célibataires, plus sublimes les unes que les autres, qui étaient visiblement venues pour se « payer » un acteur porno à plusieurs. J’allais les contenter, bien sûr, en leur livrant en « pâture » un des acteurs de Patrick, et le pauvre aurait fort à faire avec cette abondance de chairs délicieuses et molles.
Je me suis donc attelé à l’écriture des scénarios des films.
Aidée par les fiches qui contenaient les photos en sous-vêtements de toutes les actrices, l’inspiration coulait à flots.
Je mettais en situation chacune de ces femmes, seules, en couple, avec un homme, ou pas, à plusieurs, en fonction de ce qu’elle acceptait de faire et de sa morphologie. Je les habillais dans ma tête comme des poupées, je leur mettais des vêtements trop petits, trop lâches ou trop courts, que je leur faisais perdre un à un. L’une en faisant du bricolage, l’autre faisant du jardinage. Je faisais intervenir des éléments extérieurs : le vent, la pluie, la gravité… Je me transformais en petite souris pour les filmer sous leur bureau ou à travers le rayonnage d’un magasin. Je me cachais derrière le buisson où je les faisais faire pipi après les avoir fait attendre pendant des heures. Je les faisais jouer au volley-ball dans la piscine du studio après avoir desserré les nœuds de leur bikini. Je faisais tomber les bretelles de leurs robes. Je leur faisais faire du jogging avec un soutien-gorge trop petit. Je les faisais s’asseoir face à la caméra en mini-jupe ou leur faisais faire un pique-nique sur l’herbe en robe courte. Je les promenais en petite jupe volante par grand vent. Je les suivais discrètement sous la douche, dans l’ascenseur, ou dans les toilettes dans lesquelles je les faisais se livrer à toutes sortes de plaisirs solitaires…
De temps en temps, je glissais ici ou là quelques acteurs masculins à qui je donnais un rôle d’accessoire, de souffre-douleur, comme pour me venger de leur condition physique que j’enviais. Je les faisais étouffer sous des dizaines de fesses et de seins, ou bien leur donnais le rôle du voyeur qui ne peut rien toucher… celui qui fait la courte échelle parce que madame, en petite jupe, veut cueillir des cerises dans l’arbre et qu’elle a les fesses un peu lourdes…
Bref, d’un coup, tout devenait possible. J’avais la part belle du travail, pendant que Patrick s’occupait des contrats et des salaires, moi je jouais les apprentis sorciers… je me transformais en l’homme invisible.
Je suis revenu quelques jours après avec une cinquantaine de projets et une liste d’accessoires et de vêtements. Les tournages pouvaient commencer !
Le grand jour est enfin arrivé. Le premier scénario mettait en scène une femme noire, superbe, avec une poitrine gigantesque, dans une bibliothèque qui n’était autre que la salle d’archive du studio. Handicapée par la taille de ses seins mal maintenus par un soutien-gorge que j’avais prévu exprès trop petit, elle devait transporter des piles de dossiers dans ses bras pendant que les bretelles de sa robe et de son soutif ne feraient que tomber, car j’avais prévu de les desserrer et de les lester. Pour aggraver encore les choses, sa robe inadaptée était prévue pour remonter sans arrêt et elle devait grimper sur un escabeau pour accéder aux étagères. Ça promettait d’être d’une beauté incroyable.
Une fois sur place, j’ai eu peur ! j’ai été impressionné par cette femme imposante et fière avec laquelle j’avais joué sur le papier, mais maintenant elle était là, devant moi et en personne, elle attendait que je lui dise ce qu’elle devait faire. Il fallait garder la tête froide et être directif. L’objectif était de faire exploser les revenus du studio, il ne fallait donc pas tomber dans le ridicule ou dans le grotesque. J’ai vite repris mes esprits. L’actrice s’est révélée très professionnelle et rigoureuse, elle m’a même redonné confiance en m’encourageant de son humour et de son rire qui contaminait toute l’équipe de tournage.
Comme convenu, elle s’arrangeait pour rattraper ses vêtements, juste avant qu’ils ne tombent, ou juste après une fraction de nudité.
Prise après prise, je suis devenu de plus en plus concentré. Patrick observait de loin. La vidéo s’est construite sur la matinée.
Ce que j’avais imaginé comme un plaisir facile nécessitait en réalité beaucoup de travail qui ne me laissait pas beaucoup le temps de me délecter des énormes nichons de la belle actrice, car en réalité, tout le monde attendait de moi que je le guide.
C’était un vrai travail de réalisateur, et même si le sujet était plutôt léger, ça ne s’inventait pas.
De scénario en scénario, je progressais et apprenais le métier. J’étais de plus en plus à l’aise et les actrices étaient plutôt dévouées.
Il faut dire que malgré le cachet beaucoup moins important que celui des acteurs professionnels, elles étaient relativement bien payées. Tout le monde y gagnait, y compris Patrick qui commençait à se demander s’il devait continuer à supporter les frasques de ces anciennes actrices qui faisaient une montagne de la moindre contrariété.
Mes actrices, au contraire, étaient d’un professionnalisme presque banal et ne faisaient pas d’histoires.
Les premières vidéos se vendaient comme des petits pains et l’ambiance commençait à se détendre sérieusement, au point que les actrices ne se rhabillaient même plus entre les scènes et nous embrassaient comme des copains en arrivant aux tournages.
Pendant plusieurs mois, nous avons tourné, tourné, et encore tourné. Petit à petit, les actrices devenaient spécialisées dans leur domaine. Il y avait celles qui avaient l’air timides, celles qui étaient douées pour se dévoiler en public, celles qui étaient extraordinairement belles, mais à qui il fallait tout dire, celles qui n’étaient pas très belles, mais dont la sensualité crevait l’écran.
Ce qui distinguait le plus mes scénarios était qu’ils laissaient une grande place à des femmes atypiques qu’on n’aurait jamais vues normalement dans une vidéo érotique. Il y avait quelques actrices obèses dont le corps hors norme permettait des prises de vue uniques. Leurs mouvements lents et leur difficulté à faire certains gestes avaient quelque chose de fascinant. Leurs formes très particulières, filmées avec soin, exaltaient beaucoup d’érotisme.
Certaines actrices avaient des seins absolument gigantesques, et avec elles, je pouvais faire des choses incroyables. Je m’amusais à les mettre en scène dans toutes sortes d’activités physiques, après leur avoir imposé un soutien-gorge sous-dimensionné pour le volume de leur poitrine. Il m’arrivait aussi de les faire jouer les dominatrices dans des séquences où elles se servaient de leurs seins pour faire suffoquer leur victime… masculine évidemment.
Il y avait ces femmes avec des courbes hallucinantes, qui habituellement se cachent sous des vêtements amples, mais qui dès qu’elles enfilent une robe moulante se transforment en déesse. Certaines, complexées au début de l’aventure, s’étaient révélées en découvrant l’intérêt qu’elles suscitaient.
Il y avait aussi ces femmes de tous âges, dont le corps marqué par les grossesses et la cellulite semblait recouvert d’un matelas d’eau que le moindre mouvement faisait onduler comme la mer… J’aimais beaucoup celles-ci, car rien ne tenait sur leurs fesses et leurs seins impalpables. Avec elles, la nudité n’était jamais très loin… Lorsqu’elles étaient habillées judicieusement, quelques sautillements leur suffisaient pour paraître nues. Parfois, descendre un escalier ou courir quelques mètres suffisait à créer une réaction en chaîne ou leur corps, réveillé par les secousses, s’échappait de leurs vêtements par toutes les ouvertures…
Il y avait celles qui ne s’épilaient plus. Soit parce que je les y avais encouragées, soit par choix.
Ornées de leurs trésors poilus blottis sous leur bras et au creux de leurs cuisses, elles dégageaient un érotisme primaire et violent dans des gestes très simples comme celui de se recoiffer, ou de se promener en maillot de bain.
Une fois nues, elles nous envoyaient fièrement à la figure leurs trois touffes de poils comme une provocation, à nous, les mecs… Comme pour nous dire que les attributs féminins sont poilus eux aussi. J’adorais les habiller avec des robes de soirée distinguées, mais sans manches, et leur faire porter les mêmes culottes minuscules que ces femmes qui s’épilent intégralement, afin de voir ces petits morceaux de tissus disparaître dans leur forêt vierge.
Il y avait celles qui approchaient la soixantaine, mais dont le corps était très bien conservé, qui n’avaient peur de rien. Jouant de leur expérience en matière de séduction, elles se mettaient en scène toutes seules et je ne faisais que les suivre dans leurs délires. Grâce à leur esthétique unique, elles s’étaient fait une clientèle très fidèle, y compris parmi les plus jeunes.
Et enfin, il y avait celles qui, en toute circonstance, avaient envie de faire pipi et qu’on obligeait à se retenir pendant les tournages, pour exploiter leur faiblesse, car leur détresse et les gestes qu’elles faisaient pour se retenir étaient d’un érotisme fou. Celles-là, j’aimais les faire boire et leur faire porter des vêtements compliqués à retirer pour les tenir à l’écart de tout accès à des toilettes. J’aimais les faire se chatouiller, les faire rire, les enfermer dehors, jusqu’à ce que sous la pression de leur vessie trop petite, elles finissent par oublier toute pudeur et se soulagent devant la caméra dans une explosion d’éclaboussures. Elles se pissaient parfois dessus, inondant le jean moulant, dont j’avais pris soin de bloquer la fermeture éclair…
Bref, le projet était une réussite totale, et nos actrices, qui suivaient de près les retours sur chaque vidéo, avaient pris goût à ces commentaires discrets et élogieux qui les confortaient dans leur épanouissement.
Au bout de six mois, Patrick a organisé une soirée pour fêter le 100 000e abonné à notre nouveau site. Toutes les actrices étaient conviées et s’étaient mises sur leur trente-et-un. Cela me faisait extrêmement plaisir de pouvoir les rencontrer une seconde fois, dans un contexte plus détendu, et de pouvoir mieux les connaître.
Au gré des discussions, certaines m’ont remercié de leur avoir permis d’aimer leur corps, d’autres m’ont dit qu’elles appréciaient que je ne les touche jamais pendant les tournages. D’autres encore, surtout les plus mûres, m’ont fait des avances à peine dissimulées, et d’autres encore m’ont raconté leur vie… c’était très plaisant.
Au cours de cette soirée, j’ai pu constater la transformation de la femme de Patrick qui semblait avoir suivi les actrices dans leur côté naturel : une robe légère, plus de bas résille, cheveux lâchés, pas de soutien-gorge, et plus de maquillage. Je me souviens l’avoir alors trouvée très belle alors que ce n’était pas le cas lors de notre premier contact. Elle m’a souri comme pour me confirmer qu’elle se trouvait belle elle aussi.
C’est vers minuit que j’ai remarqué que les filles étaient de moins en moins nombreuses
En fait, à part quelques-unes, elles avaient totalement disparu.
Je prenais un verre avec Patrick ainsi qu’avec d’autres membres de l’équipe de tournage, et je me souviens leur avoir demandé où elles étaient toutes passées.
C’est à leurs sourires en coin que j’ai compris que quelque chose se tramait.
Patrick a confirmé en disant : « Ah ! mon gars, je crois qu’elles t’ont toutes préparé quelque chose de spécial ce soir ! »
Quelques instants plus tard, deux filles au physique spectaculaire sont venues me chercher…
J’ai regardé Patrick et les autres, qui m’ont confirmé que j’avais intérêt à suivre ces deux créatures de rêve. Je suis donc parti avec elles.
Escorté par mes deux gardes, tel un prisonnier qu’on emmène à l’échafaud, j’ai pris l’ascenseur et nous sommes sortis sur le palier du premier.
Là, mes gardes m’ont dit qu’il fallait me déshabiller avant de rentrer dans le studio.
J’avais peur. Je craignais la blague ridicule où j’entre dans une pièce où tout le monde m’attend à l’intérieur et allume la lumière en criant : SURPRISE ! Mais tout à coup, mon regard s’est arrêté sur une forme, dans l’ombre, comme un tas.
C’était un tas de vêtements. J’y reconnaissais les robes des actrices, mais aussi leurs soutifs et leurs culottes. Tout…, il y avait tout !
Quand je me suis retourné vers mes deux gardes, elles s’étaient mises nues et me souriaient : « Ne t’inquiète pas, on va entrer avec toi ! »
Alors je me suis déshabillé aussi, et nous sommes entrés dans le studio du premier étage.
Elles étaient toutes là… les cent actrices… toutes intégralement nues !
Mes deux gardes m’ont guidé jusqu’au centre de la pièce dont le sol était recouvert d’une épaisse moquette, et d’un coup, toutes les filles ont fondu sur moi comme une meute de loups.
J’ai fermé les yeux et mis les bras en croix comme si j’allais faire un saut de l’ange.
Je pouvais sentir leur odeur délicieuse à toutes.
J’ai été saisi avec délicatesse par des dizaines de mains qui m’ont allongé par terre.
J’ai eu tout juste le temps de crier : « Je vous aime Tou… » avant qu’un énorme sein moelleux et lourd ne s’étale sur mon visage en me coupant le sifflet…