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n° 20206Fiche technique20051 caractères20051
Temps de lecture estimé : 12 mn
16/04/21
Résumé:  Un septuagénaire fait une proposition inattendue à sa femme de service camerounaise, qui l'exécutera avec zèle. Mais pas tout à fait celle qu'on pourrait imaginer...
Critères:  fh fhh hagé candaul copains grossexe groscul soubrette voir exhib photofilm hmast fellation cunnilingu 69 pénétratio double sandwich fsodo humour -couplea3
Auteur : Jacquou      Envoi mini-message
Une femme de service... particulier

Bien calé dans son fauteuil, monsieur Muller regardait évoluer Marthe, son chiffon à la main, en train de dépoussiérer ses meubles. Veuf depuis cinq ans, approchant les quatre-vingts ans, il avait embauché depuis deux mois cette alerte quinquagénaire native du Cameroun pour son ménage, son repassage et d’autres menues activités. Elle lui rendait visite deux heures deux fois par semaine, et c’était toujours un grand bonheur pour lui de la voir rompre sa solitude.


Ses services allaient bien au-delà des tâches ménagères, en ce sens qu’elle lui offrait le spectacle d’une femme enjouée, pulpeuse, toujours en mouvement. Son sourire éclatant, ses seins lourds, ses cuisses faites pour s’ouvrir et ses fesses charnues le régalaient mieux que n’aurait fait n’importe quel film ou vidéo.


Marthe en était parfaitement consciente. Elle accentuait parfois la cambrure de ses reins, redressait le buste et ne se formalisait pas si la main baladeuse de son client s’égarait sur sa croupe. De toute façon, elle savait qu’elle ne risquait rien : monsieur Muller avait perdu sa virilité depuis un certain temps. En revanche, son esprit coquin fonctionnait bien et comme elle n’était pas pudibonde, cela ne la dérangeait en rien. Elle avait connu des clients plus dérangeants et lui était charmant, attentionné, pas chien sur les étrennes et autres petits cadeaux. Et surtout, il n’était pas raciste.


Un jour pourtant, il réussit à la surprendre. Alors qu’elle était en train d’essuyer une partie de la vaisselle dans la cuisine et lui, assis à table en train de siroter un café, il lui déclara :



Marthe resta le torchon en l’air. Alors ça, elle ne s’y attendait pas. Elle aurait été moins surprise s’il lui avait proposé de lui tailler une pipe.





*****




Le septuagénaire attendit avec fébrilité la décision de son employée de service. Elle arriva, comme d’habitude le sourire aux lèvres, un bandana dans les cheveux, et enfila son tablier avant de passer l’aspirateur.



Et Marthe empoigna l’aspirateur, offrant aux yeux de son client sa cambrure prometteuse, qu’il avait hâte de voir nue.




*******




C’était un samedi après-midi. On sonna à la porte et monsieur Muller vit débarquer une créature quasiment inconnue. Marthe n’était plus la femme de ménage qu’il avait l’habitude de voir, mais une espèce de vamp au décolleté somptueux, à la jupe ras des fesses, maquillée et pomponnée, flanquée d’un grand type au crâne rasé en débardeur et bermuda, aussi noir qu’elle. Marthe rigola franchement à la mine de son client :



Monsieur Muller les conduisit au salon. Deux enveloppes les attendaient, une pour elle, une pour le dénommé Gaétan. Marthe mit prestement la sienne dans son sac et dit :



L’information n’eut pas l’air de déranger beaucoup le couple. Le maître des lieux comprit qu’en fait ils avaient hâte de passer à l’action et la boisson (sans alcool) fut vite éclusée. Il s’installa dans un fauteuil face au canapé et regarda ses hôtes commencer à se bécoter et se peloter. Le septuagénaire eut vite l’impression qu’il s’était fait oublier. Ou plutôt, que Marthe et Gaétan avaient trop envie de baiser ensemble pour se préoccuper de lui.


Le léger boléro de la Camerounaise fut le premier vêtement à atteindre le sol, révélant un soutien-gorge rouge contenant difficilement deux spectaculaires melons. Puis ce fut la jupette dévoilant deux cuisses charnues et un string également rouge. Pendant que Marthe faisait valser ses escarpins, le jeune homme ôtait son tee-shirt, dévoilant un torse sculptural qu’elle se mit à caresser d’un doigt avec des gloussements admiratifs. Il lui dégrafa lui-même son soutif, faisant jaillir deux globes aux aréoles violacées et aux pointes érigées. Elle tira sur son bermuda et une tige priapique émergea, arrachant un cri d’admiration à la quinquagénaire, qui plongea illico le museau dessus et entreprit une fellation passionnée pendant que son nouveau partenaire lui pétrissait les seins.


De son fauteuil, monsieur Muller ne perdait pas une miette du spectacle, alternant vision simple et vidéo ou photos, le pantalon déboutonné révélant une demi-érection. Bien pâle en comparaison du braquemart monumental honoré par Marthe.


Puis celle-ci se releva, tira sur son string qui voltigea dans la pièce et elle monta sur le canapé, collant debout sa vulve sur le mufle de Gaétan. Monsieur Muller ne vit plus le visage du jeune homme, mais une paire de fesses frivole et agitée, empoignée par deux mains masculines. Tête rejetée en arrière, Marthe couinait, gloussait, et tout à coup, crac, avec une incroyable précision, elle se laissa tomber sur le dard et se mit à remuer frénétiquement son gros derrière.


« Et voilà, ils baisent », se dit monsieur Muller, qui commençait à se dire qu’il en avait pour son argent.

Le clapotis de deux sexes joints envahit la pièce, bientôt couvert par les onomatopées de Marthe dont le cul fascinait monsieur Muller. Mais elle voulut lui montrer une autre facette de sa personnalité. Elle se retourna et s’empala à nouveau, révélant cette fois son visage irradié par le plaisir et ses seins ballottant au rythme de son pal.



Marthe changea à nouveau de position, car elle commençait à avoir mal aux cuisses. Elle se mit à quatre pattes dans la longueur du canapé et le voyeur put cette fois mater l’activité du fabuleux pénis du jeune Camerounais, légèrement blanchi par le liquide vaginal de Marthe, en même temps que l’agitation des deux outres entre les bras de la récipiendaire. Laquelle jetait parfois un regard pétillant au septuagénaire, comme pour le prendre à témoin de son plaisir.


Elle avait un temps attrapé les couilles de son jeune amant qui en avait gémi et s’était retiré précipitamment en se comprimant la queue. Une goutte de sperme perla au bout de son gland. Monsieur Muller apprécia qu’il ait pu se retenir.

Le couple fit une courte pause, se servit à boire en se bécotant à nouveau avant que Marthe ne déclare :





*******




Ondulante, sensuelle en diable dans son opulente nudité, suivie par l’athlétique Camerounais précédé de sa queue tendue, Marthe gagna la pièce où elle avait l’habitude de travailler. Sans façon, elle s’assit sur la table de la cuisine, les fesses au bord, bien ouverte, découvrant sa chatte toute rose que les puissantes poussées du jeune mâle avaient rendue béante. Mais c’est d’abord à son employeur qu’elle s’adressa :



Le septuagénaire fut surpris de la demande, mais s’exécuta. Quand il revint dans la cuisine, Gaétan était assis sur une chaise et attablé, sauf que le repas était la chatte de Marthe. Elle prit une cigarette dans le paquet et se la mit en bouche, monsieur Muller l’alluma avec galanterie, comme si elle était habillée dans son salon et non à poil sur la table de la cuisine.


Pendant que le jeune homme lapait avec conviction de toute la largeur de sa langue, Marthe, les cuisses ouvertes et une main posée en arrière sur la table, tirait voluptueusement sur sa cigarette, les yeux tantôt vers le plafond, tantôt sur la tête de son lécheur, tout en papotant avec monsieur Muller comme si le dénommé Gaétan ne faisait que lui masser les pieds.



Marthe s’interrompit brutalement, lâcha sa cigarette dans le cendrier, se coucha sur la table et saisit à pleines mains la nuque du « cunnilingueur » en couinant. De large, la langue était devenue pointue, fouilleuse et avait atteint visiblement un point sensible de l’intimité de la Camerounaise qui se tordit comme un ver de terre, en proie à un orgasme fulgurant. Monsieur Muller en fut saisi et enregistra un gros plan de cette langue agressive. Les seins et le ventre palpitant, Marthe se redressa et implora :



Le jeune homme se releva de sa chaise et, après avoir tapoté son pénis sur la chatte trempée, s’enfonça résolument en elle. Les mains en appui derrière elle, Marthe tentait de lui renvoyer la balle, mais Gaétan avait saisi ses chevilles et ouvert un compas à 45° l’obligeant à subir son joug. La tête tantôt rejetée en arrière, tantôt fixée sur la pénétration, Marthe fusait vers un nouvel orgasme tandis que monsieur Muller, positionné derrière le jeune mâle, enregistrait le ballottement de ses grosses couilles et l’activité de son fessier en même temps que de son pénis. Il se déplaça néanmoins quand Marthe explosa afin de fixer son visage tordu de plaisir. Gaétan se retira en gémissant, comprimant une nouvelle fois sa queue d’où du sperme s’était échappé, mais en quantité heureusement réduite. Les ébats pouvaient continuer.


Alors que Marthe sortait peu à peu de son extase et se préparait à gagner la chambre d’amis, on sonna à la porte. Monsieur Muller avait bien l’intention de ne pas répondre, mais on insista.



Monsieur Muller se reboutonna, ouvrit et découvrit un homme noir, légèrement grisonnant, petit, râblé, qu’il n’avait jamais vu.



Le septuagénaire, totalement décontenancé, ne savait quelle contenance prendre. Le mari venait-il faire un scandale ? Ou bien était-il vraiment animé des meilleures intentions ? Dans son dos, Marthe apparut, simplement vêtue d’une serviette de bain nouée autour de ses seins.



Monsieur Muller, craignant l’incident, trancha dans le vif. Il accepta l’intrusion du mari, mais posa ses conditions : il devrait laisser la suite du contrat se poursuivre, sinon, adieu les 500 euros. Le mari accepta et après quelques échanges dans la langue maternelle du trio, que monsieur Muller ne comprit pas, mais qu’il perçut comme un peu sèche, Marthe et Gaétan retournèrent dans la chambre d’amis suivis par le mari, et monsieur Muller, un peu inquiet de la tournure des événements.


Il proposa une chaise au visiteur à proximité du lit où le couple nu se préparait à la dernière phase du contrat. Le septuagénaire comprit qu’il devait prendre l’initiative et imposa :



Aussitôt demandé aussitôt fait. Marthe se positionna sur Gaétan allongé dont le visage disparut entre les cuisses dodues tandis que la quinquagénaire tétait et suçotait le gland du jeune homme comme elle l’aurait fait d’un esquimau au chocolat. À l’instar de monsieur Muller, le mari avait déboutonné son pantalon, sa queue à lui dépassait largement l’ouverture et concurrençait en volume celle du jeune homme. Le septuagénaire en conclut qu’il était venu chez lui en candauliste, pour voir son épouse se faire baiser par un autre, et c’était une évolution inattendue dans le contrat de départ.


Au demeurant, le couple ne sembla pas s’en formaliser et poursuivit son 69 devant ses deux « spectateurs ». Puis Marthe se déplaça et vint s’empaler sur le dard tendu de Gaétan, face à son mari, sans la moindre réticence. Monsieur Muller n’était pas au bout de ses surprises puisque, tout en virevoltant des hanches, Marthe interpella son mari en ces termes :



L’affaire prit dès lors une autre tournure. C’est un trio que monsieur Muller commença à enregistrer. Et même, ô miracle, une double pénétration anale vaginale puisque Marthe, s’étant retournée pour continuer à chevaucher Gaétan, offrait son petit trou à son mari qui, désormais entièrement nu, ne tarda pas à répondre à la demande. L’autre miracle fut que monsieur Muller se mit à bander. Oh, certes, pas une bandaison à la mesure des deux Camerounais, il ne tirait pas, si on ose dire, dans la même catégorie, mais enfin, c’était quand même une petite raideur sympathique. L’activité soutenue du trio, alimentée par les piaillements de Marthe, faillit même le faire éjaculer. Il ressentit juste une sorte de petite brûlure à la vision des deux barres chocolatées s’enfonçant en synchronisation parfaite dans les tréfonds de son employée de service, laquelle était agitée de tremblements faisant craindre une syncope. Ses deux partenaires éjaculèrent quasi en même temps, laissant sur les serviettes prudemment posées par Marthe sur le lit d’épaisses coulées de liquide séminal qui remplirent la pièce d’une odeur sui generis. Soupirs, gémissements et grognements conclurent ce coït à trois que monsieur Muller, un peu flageolant, jugea parfaitement conforme à son investissement. Il ne lui restait plus qu’à offrir sa douche et à proposer à boire avant que chacun ne s’en retourne dans ses foyers.




*******




Deux jours plus tard, Marthe se présenta comme d’habitude chez monsieur Muller avec son bandana et son petit sac pour remplir ses obligations professionnelles. Toujours avec son sourire aux lèvres, mais comme si rien ne s’était passé le samedi précédent. Tout au plus fit-elle une allusion à la table de la cuisine pendant qu’elle essuyait la vaisselle :



Elle poursuivit sa tâche comme à l’accoutumée et monsieur Muller se demanda si cette pulpeuse femelle était bien celle qui s’était fait sodomiser par son mari tout en chevauchant son amant quelques jours plus tôt, si c’était bien elle qui avait hurlé de plaisir sur le lit de sa chambre d’amis, si c’était bien elle qui avait empoché ses 500 euros pour se montrer nue dans la passion du sexe. N’aurait-il donc vécu cette scène que dans son imagination ? Elle le laissa durant ses deux heures dans cette incertitude, avec toujours le même enjouement, toujours la même joie de vivre, toujours ce petit accent si particulier aux Africains francophones qui le ravissait. Oui, il devait avoir rêvé, mais c’était un beau rêve.

Quand elle se rhabilla après son travail, sur le seuil de la porte, elle lui lança avec un clin d’œil :