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n° 20207Fiche technique22040 caractères22040
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Temps de lecture estimé : 12 mn
16/04/21
corrigé 23/05/21
Résumé:  Quand mon grand-père maternel constata qu'en Asie les choses tournaient de plus en plus mal, il décida d'aller voir ailleurs s'il y était.
Critères:  grp couleurs asie caresses cunnilingu pénétratio fsodo partouze gangbang -libercoup
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message

Collection : Le Cercle (début des années 80)
Sexotisme


Imaginez un monde sans Internet, sans smartphone, sans CD, sans DVD, sans centaine de chaînes de télé, sans ordinateur puissant.

Une époque pourtant pas si ancienne.

Chaque histoire de cette collection sera indépendante des autres, avec quelques allusions

Un nouveau couple : Mella et Xavier. On peut faire bien des choses dans les bois……


Bonne lecture :)







Exotique


Quand mon grand-père maternel constata qu’en Asie les choses tournaient de plus en plus mal, il décida d’aller voir ailleurs s’il y était. Afin de ne pas partir seul, il décida d’épouser son interprète et aussi maîtresse à l’ambassade, afin que ma grand-mère puisse quitter avec lui la contrée. C’est en Indochine que la famille commença à s’agrandir.


Ma mère tient visiblement du côté de mon père. Pour ma part, les gènes ont sauté une génération, et je ressemble beaucoup à ma grand-mère maternelle, mis à part quelques détails. Ce qui fait que je suis exotique comme le disent si bien mon mari et aussi les membres du Cercle qui ont repris l’expression. Je ne m’en formalise pas, car je sais que ce n’est pas dit méchamment, c’est même très admiratif dans la bouche de Xavier, mon mari.



Depuis que j’ai compris comment mener les hommes par le bout du nez (pour ne pas dire par le bout de la queue), je n’ai jamais été très sage, et plus, je ne fais pas mon âge. À tel point que mes anciens petits amis avaient parfois des problèmes avec les autorités quand ils sortaient avec moi. C’est tout juste si je ne devais pas me balader avec ma carte d’identité en sautoir autour du cou ! Bien qu’ayant dépassé la trentaine et frôlant la quarantaine, j’arrive encore à passer pour une étudiante, ce qui souvent est pratique.


Même que ma grande fille râle que je paraisse plus jeune qu’elle, ça la dégoûte !



Pauvre chouchoute ! Je reconnais que je le fais un peu exprès ! J’ai la chance de faire jeunette, j’en profite. Du coup, lors de certaines séances au Cercle, avec les habits adéquats et un petit maquillage, je peux assouvir les désirs inavouables de certains amateurs de lolitas !


Et ça m’amuse beaucoup !




Doublement exotique


Ce soir, Danaé et moi avons décidé de nous éclater. Quelques jours avant, nous avions demandé aux organisateurs de la soirée d’ajouter quelques mâles en plus. Ceux-ci n’ont eu aucune difficulté à exaucer notre vœu, surtout quand nous avons expliqué ce que nous comptions ensuite faire. Malgré un âge fort avancé, Clémentin est toujours présent, veillant à ce que tout se passe au mieux, c’est quasiment un honneur qu’il soit là parmi nous. Pour tout dire, Clémentin est la mémoire vivante du Cercle qu’il connaît depuis plus d’un demi-siècle, quasiment trois-quarts. C’est lui qui a coopté Léopold, c’est dire !


Danaé est souvent ma copine de jeu. À l’image de la mère de Persée (cf. La mythologie grecque, ça vous fera des révisions ou des découvertes), elle ne déteste pas la pluie d’or qu’elle préfère sous forme de sperme. Elle est très dévergondée et tout aussi exotique, venant du Levantin.


Tandis que nous sommes en train de nous préparer dans une petite pièce, Danaé me demande :



Ah celle-là ! Toujours aussi vorace quand il s’agit de bonshommes ! Je me demande combien d’hommes ont eu le plaisir de la connaître bibliquement ! Au moins un nombre à trois chiffres ! Peut-être plus, qui sait… Je rétorque en plaisantant :



Ajustant son porte-jarretelles, elle se met à rire :



Puis elle redevient plus sérieuse :



Ajustant ma tenue, je fais la grimace :



Puis elle secoue la tête, elle soupèse ses seins, puis elle me lance :



Nous entrons dans la grande salle. Au premier coup d’œil circulaire, je constate qu’il y a effectivement au moins dix hommes, peut-être douze. La plupart d’entre eux sont déjà verge à l’air, certains en train de s’astiquer.



Aussitôt, nous sommes entourées par plein de mâles en rut, bourdonnant comme des mouches autour d’un pot de miel ouvert. La mine gourmande, ma voisine s’en amuse :



Il faut dire que nos tenues ont de quoi exciter la libido masculine. Danaé est carrément vêtue en pute, avec, de bas en haut, talons aiguilles, bas, porte-jarretelles, serre-taille et enfin redresse-seins, le tout en noir. Quant à moi, je suis habillée en écolière de manga, bas blancs, fin chemisier tout aussi blanc et jupette plissée bleue très courte, sans oublier mes couettes et un serre-tête.


Je lui adresse un large sourire :



Entourée de toutes parts, je commence à soupeser quelques verges bien tendues.



L’homme que je tiens actuellement en main me répond avec un large sourire :



Un autre homme aux cheveux clairs s’inquiète :



Clémentin intervient :



L’homme blond se tourne vers Danaé :



Ma voisine de jeu sourit :



C’est ainsi que commence la première partie de la soirée, avec diverses agaceries, flatteries, branlettes, sucettes et autres divertissements qui deviennent de plus en plus débauchés et licencieux. Nous glissons lentement, mais assurément dans le stupre et la débauche !




Doublement sexotique


Ça va faire déjà une heure que nous sommes entreprises par tous ces hommes. Danaé et moi profitons joyeusement des bonnes et dures dispositions de tous ces inconnus avides de nos corps. J’adore être la proie de tous ces désirs masculins !


Ça me fait songer que je n’ai toujours pas vu mon mari, lui qui adore pourtant se mélanger aux autres hommes et profiter éhontément de mon petit corps !


Sur le côté, Danaé est en train de se faire prendre en levrette par un homme plutôt fluet qui la besogne comme si sa vie en dépendait, ce qui plaît beaucoup à ma copine de jeu. De mon côté, je suis carrément assise sur une belle colonne de chair bien rivée en moi, tandis que diverses mains et bouches continuent leurs diverses explorations sur mon corps quasiment dénudé. Et j’adore ça !


Un peu essoufflée, Danaé me lance :



Bien agrippé à ses hanches, donnant de grands coups de reins, le fluet est toujours en train de ramoner ma Danaé qui apprécie ses hommages un peu rudes. Pour ma part, j’ondule voluptueusement sur le gode de chair, ma peau toujours caressée et adorée.


Soudain, j’entends une voix connue :



Je sens alors une verge plutôt bien fournie se poser sur mes lèvres. Je lève les yeux pour découvrir que ce pieu de chair appartient à mon mari. Docile, j’ouvre la bouche et je laisse entrer sa belle bite que je connais si bien, puis je m’en donne à cœur joie, exerçant toute ma science en matière de léchouille et de suçouille. Peu après, j’ai l’immense satisfaction de boire goulûment son sperme, ce qui donne aussitôt des idées aux autres hommes.


Puis les choses s’emballent, montant de deux crans ou plus. Exponentiellement, dirait mon mari qui adore ramener sa science matheuse, même durant le sexe !


De son côté, Danaé s’offre un sacré festival du feu au cul en se laissant tripatouiller sans limite et répit par tous ces mâles avides de se vider sur elle et en elle. Moi-même, j’ai parfois du mal à suivre le rythme, et pourtant, je ne suis pas mauvaise pour ce genre de jeu !


Toujours empalée, je suis aspirée alors dans un tourbillon de luxure. Des bites caressent mon corps, mes hanches, mes seins, mon ventre et mon visage. Une à une, elles explorent ma bouche pour que je les accueille comme il se doit. Parfois, j’entends un râle, suivi d’un éclaboussement tiède sur mon corps, souvent sur mes seins, toujours dans ma bouche.


Du coin de l’œil, je constate que Danaé n’est pas oubliée, tant s’en faut. Elle aussi est entourée par l’avidité et la concupiscence des hommes présents ce soir, alternant entre les deux poupées qui leur sont offertes.


Je suis ballottée par ces mains, par ces verges. Devenu mou, l’homme qui était en moi se retire, il est vite remplacé par un autre, tandis que je me retrouve allongée sur le dos, totalement offerte et ouverte. À moitié consciente, je sens l’odeur forte de ces verges qui câlinent inlassablement mon corps, mon visage, qui s’attardent dans mes mains ou ma bouche, le temps qu’elles giclent. À peine ma chatte est libre qu’une autre queue prend le relais, s’enfonçant en moi, me farfouillant.


Soudain, j’entends la voix de Danaé dire :



Aussitôt, je sens puis je vois sa tête qui vient s’encastrer entre mes cuisses, et elle commence à me faire une bonne léchouille à l’orée de ma chatte. Petite salope, va ! Mais je ne déteste pas ce genre d’hommage de la part d’une femme. Une bite en bouche, d’autres sur mon corps, je me laisse aller. C’est si bon, je me laisse faire avec ravissement. Quelques murmures bruissent :



Ravie de la tournure des événements, je flotte dans un doux état de béatitude, sous une langue qui virevolte dans mon intimité ruisselante…




Multiplement sexotique


Repue, j’ai bien joui sous la langue de Danaé. Un certain nombre d’hommes sont épuisés, asséchés, mais pas tous, certains résistent vaillamment. À quatre pattes, sa position préférée, affichant un sourire béat, Danaé se fait à nouveau entreprendre à la chaîne par les survivants. Elle déguste de la queue au kilomètre et elle adore ça. Je reconnais bien là une grande salope décomplexée !


C’est mon mari qui relance la machine, en me faisant m’allonger sur le côté gauche, ma jambe droite pliée à angle droit. Vu la position demandée, j’ai une petite idée de la suite. Docile, je m’exécute. Après quelques caresses, Xavier dit :



Aussitôt, il soulève ma fesse droite pour mieux dégager l’accès. Tout de suite, des hommes se rapprochent pour mieux voir. Sans complexe, avec son autre main, mon homme badigeonne son sexe de lubrifiant, puis il pointe sa verge vers mon petit trou, sur lequel il vient poser son gland.


Je m’en doutais, Monsieur a ses petites lubies.


Puis d’un coup de reins approprié, il s’enfonce en moi sans trop de difficulté. Il faut dire que Xavier a souvent l’habitude de passer par là, et que depuis tout ce temps, je suis devenue moins étroite. Tout en continuant son inexorable progression en moi, il s’exclame :



Je me contente de sourire. Xavier est un obsédé de mon corps, de mes manies, et plein de choses en moi. Je n’ai jamais trop compris l’adoration qu’il a envers moi, mais je ne m’en plains absolument pas. Ce n’est pas pour autant qu’il se comporte en toutou, d’ailleurs, je ne le tolérerai pas. Cet homme m’adore, c’est certain, mais il sait rester lui-même, sans s’avilir.


Moi aussi, je l’aime, à ma façon. Nous sommes un couple libéré, mais je pense que, s’il fallait le faire, je serais capable de faire une croix sur les autres hommes. Une soirée comme aujourd’hui, c’est du bonus dans notre vie de couple, sans plus. Je sais qu’il en est de même pour lui.


Xavier est en train de me limer, et il y va joyeusement. De me voir être enculée réveille les queues flasques des autres hommes. Je sens que la soirée n’est pas encore finie, même si elle touche à sa fin, ça va être littéralement un « fesse-tival » dans peu de temps.



Ça, c’est mon homme qui est en train de jouir en moi, de se déverser, de me mettre plein de sperme dans un endroit pas prévu pour la reproduction de l’espèce ! Si ça l’amuse de se vider ainsi, moi, ça me va, d’autant que depuis le début de la soirée, j’ai bien profité et j’ai joui bien des fois.


Je le nargue gentiment :



Puis il s’affale sur le côté, épuisé, vidé, donnant implicitement le signal de la suite aux autres hommes avides d’explorer mon petit cul. Je me dis que je peux bien leur accorder cette fantaisie, j’en profiterai pour me masturber en même temps !



Un premier homme tente sa chance, je la lui accorde. C’est avec avidité qu’il plonge dans mon petit trou d’où ressort déjà le sperme de mon mari, ce qui facilite grandement les choses. Je glisse ma main entre mes cuisses, bien décidée à m’offrir beaucoup de plaisir !


Puis je perds petit à petit le fil des événements…


Je ne sais plus combien d’hommes ont joui dans mon cul, j’ai perdu le compte. Mais je sais que certains ont essayé de s’introduire dans mon petit trou, mais qu’ils ont joui avant, trop excités, maculant mes fesses et mes cuisses de leur semence gluante. D’autres n’étaient pas assez durs pour réussir à s’enfoncer…


Alors ils se frottent sur mes cuisses, sur mon ventre, sur mes seins comme des caniches.


Toujours des bites, encore des bites, des tas de bites petites, grandes, grosses, fines, sur moi, en moi, ainsi que des lèvres et des mains. La totalité de mon corps alangui n’est plus que sperme, sueur et souillure ! Une très bonne façon de finir la soirée !




Retour à la maison


Xavier est en train de conduire, je me sens trop lasse pour tenir le volant. Je n’aspire qu’à une seule chose : mon lit douillet pour y faire un gros dodo réparateur. Les kilomètres défilent, tandis que je lutte pour ne pas sombrer complètement dans la torpeur. Soudain, mon mari me demande :



Mon conducteur soupire :



Xavier se met à rire :



Je pose ma main sur sa cuisse :



Je me tourne un peu plus vers lui :



Rassuré, Xavier soupire un bon coup :



La vie est nettement plus agréable quand on vit avec la bonne personne.