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n° 20208Fiche technique15162 caractères15162
Temps de lecture estimé : 9 mn
17/04/21
Résumé:  Voilà, les "vacances" se sont terminées. voici le récit que Mathilde a publié sur son blog et que je lui emprunte avec sa permission.
Critères:  fhhh inconnu nympho vacances collection exhib fellation cunnilingu anulingus fsodo gangbang init -totalsexe
Auteur : JeffTrois      Envoi mini-message

Série : La fille qui attendait sur les escaliers...

Chapitre 08 / 08
Épilogue

Résumé :

En vacances à Venise, après le premier confinement, je découvre sur les marches de la gare une jeune beauté brune abandonnée, esseulée et bafouée par son petit copain qui lui a préféré un garçon. Dans un élan de générosité, je lui propose de partager mes vacances et décide de lui offrir des vacances inoubliables. Un peu hésitante, elle a accepté ma proposition. Enchantée par le cadre, elle a joué le jeu que je lui proposais. La première nuit a été torride en turpitudes, la suite me fait découvrir une vraie partenaire à la hauteur de mes espérances. Mathilde est ouverte à toutes mes propositions et semble les apprécier, voire y prendre un très grand plaisir.




Voilà, les « vacances » se sont terminées. J’ai proposé à Mathilde de nous associer dans mon travail de rédacteur de guides et blogs touristiques ce qui l’a enthousiasmé. Depuis, elle-même écrit un blog orienté vacances coquines… Nous continuons à parcourir le monde – enfin, quand le virus nous en laisse le loisir. Pour compléter ces vacances à Venise, voici le récit qu’elle a publié sur son blog et que je lui emprunte avec sa permission…


Récit par Mathilde et ses impressions sur les Glory Holes… Texte issu de son blog (Du piment dans vos vacances – Interdit aux -18 ans) par Mathilde, voyageuse et expérimentatrice libertine…





Les « glorieux trous » de Venise…


La Sérénissime a toujours été célèbre pour son libertinage. Depuis Casanova (1725-1798), certains voyageurs viennent y rechercher cette ambiance délétère, libertine, voire même débauchée.

Puisque vous lisez ces lignes, c’est que vous appartenez à l’une de ces catégories. Et si vous me laissez vos coordonnées en minimessage, je vous indiquerai l’adresse exacte de ce que j’ai découvert sur le Lido de Venise, et je vous adresserai un mot de recommandation pour vous y faire admettre.


Les soirées vénitiennes, surtout au moment du Carnaval, sont célèbres dans le monde entier pour leur anonymat. Chacun porte un costume extravagant et dissimule son visage et donc son identité derrière un masque de cuir. Mais est-ce une vraie dissimulation ? N’existe-t-il pas un autre moyen de s’envoyer l’air tout en conservant un anonymat total ? Car, comme dit le proverbe, à tout moment, les masques peuvent tomber !


Laissez-moi alors vous présenter le summum de l’anonymat en matière de relations sexuelles : les Glory Holes ou Trous Glorieux.


Ils auraient été « inventés » par les Ursulines pour protéger autant les filles que les « clients » à une époque lointaine où maladies, malformations physiques et tares couvraient de larges pans de la population, rejetant ceux qui en étaient affublés dans des zones où même l’amour physique leur était interdit, tant ils étaient repoussants, laids ou tarés.


Les Ursulines offraient aussi le gîte et le couvert à des jeunes femmes et filles qui, sans leur aide et protection, n’auraient pu survivre. Ce sont ces mêmes Ursulines qui eurent l’idée de demander à ces « pensionnaires » un coup de main pour soulager la misère sexuelle des « malades » qu’elles recevaient. Cependant, aucune de ces femmes n’aurait accepté coucher avec ces hommes, difformes et/ou malades. Sauf, qu’abrité derrière une mince cloison disposant d’un « trou » ad hoc, spécifiquement étudié, personne ne voit personne durant le rapport. Quel que ce soit le type de rapport pour une pipe, une branlette, un broute-minou ou pour tirer un coup, par-devant, par derrière, les Ursulines ont imaginé tous ces dispositifs… dès le XVIe siècle ! Celle qui reçoit ne voit jamais le visage du « donneur »… et le donneur ne voit pas non plus le visage de celle qui reçoit… La technique est imparable, l’anonymat garanti et le plaisir est au rendez-vous… Et il paraît même que certaines « bienfaitrices » usaient elles-mêmes de ce subterfuge pour leurs plus grands plaisirs.


Eh oui, chers amis lecteurs, j’ai eu la possibilité de tester, pour vous, mesdames, les Glory Holes… . Les « malades » admis à fréquenter l’établissement sont aujourd’hui atteints d’hyperactivité sexuelle. Ici, sous couvert de l’anonymat, ils peuvent donc laisser libre cours à leurs activités préférées, avoir des relations sexuelles, consenties, répétitives et anonymes…

Bien sûr, j’ai souhaité commencer par les plus classiques, les Glory Holes qui permettent de sucer et/ou branler un pénis.


Dans une cabine spacieuse, avec un tabouret, un paquet de mouchoirs ainsi que la possibilité de mettre un préservatif, moi toute habillée, j’ai attendu une dizaine de minutes avant de voir passer un premier sexe à travers du trou ad hoc… Une queue développée, propre et bien dure. J’ai pu la sucer d’un bout à l’autre, le gland, le frein. La hampe et en passant ma main, aller toucher des bourses velues, lourdes et volumineuses. J’ai pu, en toute tranquillité, avaler le bout de la queue que je suçais, loin dans ma bouche, la sentir se raidir encore et même, malgré trois coups portés par le propriétaire de ce magnifique engin qui m’avertissait ainsi qu’il allait jouir, continuer pour avaler son sperme et aller au bout de cette « prestation ».


Excitée par cette entrée en matière, j’ai quitté mes habits et c’est nue que je me suis introduite dans une cabine « broute-minou ». Allongée sur le dos, à hauteur de bouche des « consommateurs », sur une couchette matelassée, la paroi de la cabine offrait seulement mon sexe, largement écarté à la convoitise des langues, lèvres et bouches de quidam anonymes qui déambulaient et choisissaient en fonction de leurs envies, fantasmes et/ou besoins. Pour des raisons pratiques, deux lanières rembourrées liaient mes chevilles à la paroi extérieure, me permettant un certain confort.


Il ne m’a pas fallu attendre longtemps avant qu’une main vienne d’abord caresser mon sexe. Des doigts fouineurs ont écarté mes nymphes pour les fouiller. J’ai senti le bout du doigt m’explorer à la recherche de mon point G. Alors que la caresse enflammait cette zone hyper sensible, j’ai senti un souffle chaud s’approcher de ma chatte et une langue pointue et très humide venir léchouiller mon clitoris. Tandis que je montais dans mon plaisir, un autre doigt, qui devait appartenir à une autre personne est venu vriller mon petit trou, excitant avec volupté mes petits plis avant que la langue qui suçait mon clito ne descende vers mon anus pour me faire une feuille de rose qui m’a fait partir dans les étoiles.


Oui, j’ai poussé de longs hurlements de plaisir quand j’ai éjaculé – oui, vous lisez bien, j’ai éjaculé à l’apogée de ma jouissance – au point de tremper mon ou mes lécheurs et doigteurs. La sensation était inouïe. Être ainsi offerte, disponible sans que l’on puisse me voir et sans que je voie mes branleurs. Si j’avais été hésitante à sauter le pas du Glory Hole, si une grande appréhension m’avait serré le ventre durant le court laps de temps d’attente, transmettant une certaine forme d’anxiété aux premiers contacts des doigts avec ma peau et surtout lorsque devenus, fouineurs, ils ont commencé à écarter ma chatte, je n’avais certainement pas imaginé monter aussi haut et aller aussi loin dans ma jouissance. Rien que cela, franchement, cela valait le coup d’avoir eu quelques minutes d’angoisse et j’aurais regretté de n’avoir pas tenté cette expérience.


J’ai dû attendre le passage de deux autres « anonymes » qui, avec des techniques différentes, m’ont fait jouir l’un après l’autre. Et j’ai mis un long moment pour recouvrer l’usage de mes jambes et de mon bassin, tant mes jouissances avaient été fortes, puissantes et longues. Et puis, franchement, quatre jouissances à la suite ! Qui, parmi vous, fidèles lectrices, n’en a jamais rêvé ? Et même avec le meilleur de vos amants, vous n’arriverez jamais à ce genre de performance technique.


Mais, j’étais encore plus affamée de sexe qu’en entrant. Alors, j’ai changé de « secteur » pour entrer dans une nouvelle cabine. Là, le tronc couché sur une couchette toujours aussi moelleuse, je tendais mon cul à qui voulait me prendre, par-derrière, dans la chatte ou pour me sodomiser. Trempée d’excitation, mouillée de mes jouissances précédentes, je n’ai pas eu à attendre longtemps pour recevoir une première queue dans mon sexe. Toujours sans voir le spécimen qui était en train de me fourrer, je l’attendais avec une boule au ventre qu’on écarte ma chatte et qu’on vienne me limer.


Grosse bite ? Bite épaisse ? Petite bite ? Courte ? Longue ? Bon ou mauvais baiseur ? Est-ce que je pourrais jouir aussi ? Et mon clito, qui va s’en occuper ? Avec ou sans capote ? Dans la chatte ? Dans le cul ? Les deux, l’un après l’autre et dans quel ordre ?

Toutes ces questions tournaient en vrac dans ma tête, en attendant l’anonyme qui allait m’honorer. Et soudain, j’ai senti une main qui palpait mes fesses, mes cuisses, l’intérieur de mes cuisses, remontait sur mon entrejambe et se refermait en conque sur ma chatte, ouverte, encore ou déjà dégoulinante. Des doigts en écartaient les lèvres, fébrilement, poussaient jusqu’à mon clitoris ce qui me faisait trémousser du popotin pour montrer que j’étais prête, que je ne voulais alors qu’une chose… qu’on m’enfile enfin un bon gros dard jusqu’au plus profond… Qu’on me ramone la cramouille. (Heu… Pardon pour cette vulgarité, mais c’est vraiment ce que j’ai pensé à cet instant précis, alors je vous le livre tout à trac, ainsi ! )


Et voilà que la tête d’un nœud inconnu frottait sur mes lèvres, se lubrifiait à leur contact et deux mains saisissaient mes hanches et sans marquer la moindre halte, d’une seule poussée, d’un seul élan, la queue s’introduisait en moi, m’écartant fortement les lèvres, se frayant un chemin dans une zone enflée par les jouissances antérieures pour aller buter au fond de mon sexe, donnant une impulsion à mon col qui, sous le coup de boutoir, remontait et déclenchait l’un des premiers spasmes de jouissance. Puis le mouvement s’inversait et avant de complètement ressortir, il marquait un léger temps d’arrêt et reprenait son cheminement, plus vite, plus fort, presque encore plus profond. Puis une nouvelle manœuvre, un troisième, et une quatrième, et puis… voilà, j’ai perdu le compte des va-et-vient. Mes chairs intimes, lubrifiées à souhait, je sentais mon corps se détendre et mon sexe se contracter, mon plaisir sourdre, avec de plus en plus d’évidence, j’allais jouir !


Je ne me posais pas la question de savoir dans quelle catégorie de baiseur, mon anonyme était : des mauvais baiseurs ou des éjaculateurs précoces, ceux qui vous laissent en plan avant que vous ayez pris votre pied… Non, celui-ci, appartenait à la catégorie des « je prends mon temps… », des « je flemmarde… », des « j’aime tellement baiser que je prolonge mon plaisir »… Et si j’ai perdu la notion des allers-retours, je peux vous dire que j’avais aussi perdu celle du nombre de fois où j’ai atteint mon Nirvana perso. Cependant, il n’avait toujours pas lâché prise, toujours pas de sperme dans mon vagin… Je prenais ce qu’il était décidé à me donner, pour l’instant, du plaisir, rien que du plaisir.


Après une encore plus forte poussée de la bite dans ma chatte, mon premier inconnu est sorti de moi pour plonger directement dans mon cul et comme il venait de le faire avec mon minou, il en écartait l’anneau sans précipitation, mais avec détermination et s’introduisait en une seule et même pesée au fond de mes entrailles. Prise dans ma jouissance, cette sensation d’envahissement, d’écartement soudain donné à mon anus, a décuplé ma lubricité et tandis qu’il allait et venait, je lâchais un immense et puissant jet de plaisir qui lui donnait un signal d’accélération. Contre mon sexe, je sentais ses bourses claquer et entre mes fesses, son membre devenir dur comme du bois. Cela a duré une éternité, enfin c’est ce que j’ai ressenti, avant qu’il ne se laisse aller, s’immobilisant en m’agrippant les hanches. À travers toutes mes chairs, tous mes muscles j’ai senti les vibrations de sa verge qui giclait. Cela a déclenché en moi une véritable tempête d’extase et m’a amenée à un nouvel orgasme.


Aussi vite qu’il s’était introduit en moi, il a déguerpi. Je n’ai eu ni le temps de reprendre mes esprits, ni celui de calmer ma jouissance ni même de reprendre mon souffle qu’une nouvelle queue, raide comme la justice, longue et plus fine, venait occuper mon trou du cul. Encore ouvert, plein de sperme chaud mélangé à ma mouille, deux solides mains s’accrochaient à mes hanches et entamaient un tempo soutenu, me laissant pantoise, hors d’haleine et au bord de l’évanouissement tant le crescendo des jouissances était puissant.


Avant de crier grâce, j’ai reçu trois autres hommes dans mon sexe et mes fesses. Totalement vidée, les jambes en flanelles et flageolante, je suis ressortie de ces lieux en me promettant de revenir pour retrouver ces extraordinaires sensations, cette puissance dans la jouissance d’accouplements hors normes, avec des inconnus, sans pouvoir distinguer leurs visages.


C’est au piano-bar de l’établissement que j’ai rejoint mon homme qui m’attendait et ensemble nous sommes rentrés. Aujourd’hui je peux bien vous avouer que nous n’avons pas fait l’amour ce soir-là, car la moindre poussière se déposant sur mon corps me tétanisait de plaisir, et du plaisir j’en étais repue. Bien sûr, je culpabilisais grave, mais je sais que de son côté, durant le même temps, mon homme avait passé son temps de l’autre côté des cloisons, baisant à couilles rabattues… Peut-être m’a-t-il épinglée au passage ? Je ne le pense pas, j’aurais reconnu son sexe, enfin, je crois.


En tout cas, aussi bien l’un que l’autre, nous avons aimé notre expérience, du moins je l’espère, car j’ai hâte d’y retourner, avec lui.

Alors, peut-être à un de ces jours, à Venise, sur le Lido… nous croiserons-nous, anonymement, en tout cas. Moi je vous y attendrai le sexe prêt, le cul ouvert…

Alors, à très bientôt, j’espère.


Votre dévouée Mathilde, voyageuse et expérimentatrice libertine.



Fin