n° 20230 | Fiche technique | 36840 caractères | 36840Temps de lecture estimé : 22 mn | 29/04/21 |
Résumé: J'aime les reconstitutions médiévales où il y a une liberté d'esprit que j'attribue aux déguisements. On est moins soi-même et donc plus libre. C'est cette insouciance particulière qui nous a amenés, Agathe et moi, à jouer avec nos identités et nos corps. | ||||
Critères: fh fête noculotte strip facial fellation 69 pénétratio jeu -jeux -lieuloisi | ||||
Auteur : Teledin Envoi mini-message |
J’aime les reconstitutions médiévales. Il y a dans ces événements une certaine liberté d’esprit que j’attribue aux déguisements. On y est un peu moins soi-même et donc, un peu plus libre. C’est cette insouciance particulière qui nous a amenés, Agathe et moi, à jouer avec nos identités et nos corps.
C’était en mai dans un petit village au sud-ouest de Paris. Ce dernier avait mis à la disposition des organisateurs un grand champ juste à son entrée. Je m’étais rendu à cette reconstitution suite à l’invitation de mon amie Éléonore qui faisait partie d’une troupe médiévale. Elle était cracheuse de feu et jongleuse et m’avait proposé le temps d’un week-end d’être son assistant. On devait se retrouver dès l’aube à Porte d’Italie pour faire le trajet avec une de ses collègues de troupe : Agathe. Au début, Agathe ne me fit pas bonne impression. Tassée à l’arrière de la voiture dans un jean et un pull informe, elle n’avait rien de remarquable. Quand je me penchai pour lui faire la bise, elle jouait avec une longue tresse blonde qui devait tomber au moins jusqu’à ses reins. Elle se révéla cependant au cours du trajet pleine d’énergie, intéressante et au rire facile. Agathe possédait un restaurant médiéval dans le cœur de Paris et était joueuse de harpe professionnelle. Elle jouait le plus souvent dans des mariages et dans des reconstitutions médiévales, mais elle avait à l’occasion joué à l’opéra de Paris.
Le trajet de quatre heures me parut étonnamment court tant nous étions plongés dans nos conversations… C’est donc pleins de bonne humeur que nous arrivâmes. Nous avions le reste de la matinée pour monter le camp et préparer les spectacles. J’appris que je partagerais avec Agathe et Éléonore une grande tente qui devait servir la journée à un décor de liseuse de bonne aventure. Assembler une tente médiévale de six mètres de long était autre chose que de monter une tente Décathlon. Pour ce faire, il nous fallut presque deux heures, et encore une de plus pour y installer tous les meubles et coussins. J’appris aussi que mon rôle d’assistant était au mieux symbolique et que je pourrais passer la majorité de la journée à flâner dans le camp. Je devais cependant porter à tout moment une tenue de bouffon ridicule au pantalon beaucoup trop moulant à mon goût. Éléonore, Agathe et les autres membres de la troupe ne se privèrent pas de me faire des compliments sur ma « mise en valeur », et je compris vite que ce costume n’était qu’un gentil bizutage.
Le temps de monter la tente et de nous préparer, le camp s’était peuplé d’une foule bigarrée entre les chevaliers en armure, les jeunes paysannes, et les princesses hautaines venant d’autres troupes médiévales. À 13 h, la foire ouvrit, et un flot de curieux et de touristes emplirent le champ. Mon spectacle serait le lendemain, alors je m’occupais en discutant à droite et à gauche, et en me faisant prendre en photo avec des visiteurs. J’improvisai même un spectacle de jonglage. J’en profitai aussi pour faire le tour des différentes échoppes et trouvai le stand d’un tailleur de pierre. Il vendait entre autres une superbe sculpture réunissant trois déesses grecques : Diane, Aphrodite et Athéna. Bien que très chère, elle faisait un cadeau parfait pour mon père dont l’anniversaire approchait, je décidai donc de l’acheter. Malheureusement, je n’avais pas d’écus sur moi. En effet, on ne pouvait utiliser dans le camp que cette monnaie, ce qui permettait de limiter les risques de vols. Une caisse à l’entrée du camp transformait les euros en « écus ». Le temps d’y faire l’aller-retour, la statue avait été vendue et je me retrouvai comme un con, avec 400 euros en écus. J’allais pouvoir en boire, de l’hypocras…
À la tombée de la nuit, j’assistai Éléonore pour son numéro de cracheuse de feu. Mon rôle était d’une importance capitale, je tenais pour elle sa bouteille d’alcool et une serviette… CAPITALE !
Pour son spectacle, elle portait des bottes et des brassières en fourrure, un justaucorps en cuir, un maquillage animal et une coiffure complexe. Elle avait l’air d’une chamane barbare, d’une chamane barbare sexy. Une chamane sexy qui jonglait avec des torches enflammées et crachait des nuages de feu. J’avais déjà vu ce spectacle spectaculaire, mais être avec elle sur la scène était autrement plus impressionnant. J’étais autant terrifié que fasciné.
Après le spectacle, je décidai de me balader loin du bruit en périphérie du camp, légèrement sonné et un peu euphorique… C’est à ce moment que je tombai sur Agathe qui dut vouloir s’isoler aussi.
Elle avait plusieurs fois changé de tenue dans la journée pour incarner plusieurs rôles : une paysanne, un ange jouant de la harpe, ou encore une châtelaine. Là, elle portait une longue robe rouge en satin très décolleté et fendu très haut. Cette tenue la mettait plus en valeur que les autres. Sa poitrine qui se révélait opulente semblait vouloir s’échapper de son décolleté, sa taille était marquée par une ceinture, et l’on distinguait une jambe couverte d’un bas en soie qui dépassait de sa jupe fendue. Ainsi habillée, elle irradiait la sensualité. Le foulard jaune entouré autour de son bras m’indiquait qu’elle jouait le rôle d’une fille de joie (c’est fou ce qu’on peut apprendre en fréquentant des mordus de reconstitution médiévale !) et expliquait cette tenue.
Un peu éméché (vous savez, l’hypocras), je m’approchai d’elle et lui demandai :
Avec un sourire et un clin d’œil, elle me répondit :
Elle se pencha alors vers moi et claqua une grosse bise sur ma joue. Je m’approchai alors encore et lui demandai :
Les yeux ronds et avec grand sourire, elle me répondit :
Je m’approchai d’elle et vis dans ses yeux autant de curiosité que d’appréhension. Je pris sa main et y déposai deux pièces, puis attendis de voir ce qu’elle allait en faire. Tout en me fixant, elle les fit glisser dans une poche de sa jupe. Une main posée au creux de son dos, je la plaquai contre moi, mais je ne l’embrassai pas. Je me penchai plutôt à son oreille et lui demandai :
Je vis son regard briller ! Elle se mordilla la lèvre, hésitante, et finit par me susurrer à l’oreille :
Fière d’elle et certaine d’avoir donné un prix exorbitant, elle me regarda droit dans les yeux avec un sourire moqueur. Je pris sa main et l’ouvris à plat devant moi (finalement, ces écus allaient servir à me faire un cadeau à moi et pas à mon père). Son sourire s’effaça et ses yeux brillèrent d’attention. Au fur et à mesure que j’y posais les pièces, sa respiration se faisait plus profonde… Je pouvais la voir compter dans sa tête. Quand j’atteignis la somme demandée, je l’empêchai de refermer la main et lui glissai à l’oreille :
Je lui relâchai alors la main et m’éloignai d’un pas. Elle hésita quelques secondes puis, sans quitter mon regard, fit glisser une à une les pièces dans sa bourse. Chaque pièce tintant contre les autres faisait accélérer mon cœur. Puis, empochant sa bourse, elle me dit avec un grand sourire :
À peine le temps que ses mots sortissent de sa bouche que je me jetais sur elle et que ma langue rencontrait la sienne. Je sentais sa poitrine opulente s’écraser sur la mienne et sa fesse sous ma main. Après une longue minute de ce baiser fougueux, je lui pris la main et l’entraînai vers notre tente. Nous nous y rendîmes en nous embrassant et en essayant d’être un minimum discret.
Pendant que je refermais le rabat de la tente, elle allumait une lampe. L’on se retrouva vite seul dans la pénombre et les sons du camp étouffés. Elle se tenait au centre de la tente, le souffle court et les yeux brillants. Elle attendait manifestement que je prenne l’initiative. Je ne fis rien quelques instants, laissant courir mon regard sur elle. Je remontai de sa jambe qui sortait de sa jupe fendue jusqu’à sa taille, puis le long de sa tresse qui reposait entre ses deux seins. Ils s’élevèrent et descendirent au rythme de sa respiration et gonflèrent son décolleté. Puis ses lèvres entrouvertes et ses yeux brillèrent d’excitation.
Je voulais en voir plus et je lui ordonnai :
Elle déboutonna sa robe et libéra sa ceinture pour l’envoyer sur un coussin, elle dégagea ses bras pour laisser tomber son vêtement sur ses hanches, et enfin, glissa ses mains sur ses hanches pour la faire choir au sol. Tout du long, ses yeux étaient restés accrochés aux miens, me défiant d’examiner son corps exposé. Je réussis à résister encore quelques secondes avant de succomber et de parcourir son corps. Ses seins étaient emprisonnés par un soutien-gorge en dentelle blanche transparente qui laissait apercevoir ses tétons. Elle portait aussi une culotte bleue en coton toute simple. Enfin, ses jambes étaient couvertes de bas en tissu maintenus par des rubans dans un style très médiéval. Quand mes yeux remontèrent à son visage, un sourire narquois m’accueillit, se moquant de mon échec manifeste à garder mes yeux rivés dans les siens. Elle semblait apprécier cette victoire sur ma volonté. Je lui ordonnai alors :
Sans pudeur, ses yeux rivés aux miens, elle libéra ses seins et me lança son soutien-gorge, puis se pencha pour enlever sa culotte qu’elle m’envoya d’un coup de pied agile. Pour être à son avantage, elle s’était présentée légèrement de côté, une jambe pliée et le buste cambré plaçant ses seins lourds et ronds encore plus en valeur… Même sa longue tresse qui se glissait entre eux les sublimait. Dans la pénombre et la chaleur de la tente, elle était éblouissante et tellement sensuelle, j’avais tant envie de me jeter sur elle pour la prendre, ici et maintenant, par terre… Mais je voulais plus encore continuer à jouer avec elle. Tout dans son attitude me montrait qu’elle savourait autant que moi ce jeu, cet abandon à mes ordres.
Après cet ordre, je m’approchai d’elle et, en faisant le tour, je laissai glisser le bout de mes doigts sur elle, montant le long de sa tresse et s’insinuant entre ses seins, pour courir jusqu’à ses lèvres et les pénétrer délicatement. Puis, ils redescendirent de sa nuque à la cambrure de son dos, puis à la naissance de ses fesses. Finissant leur exploration, les extrémités de mes doigts effleurèrent ses poils pubiens blonds avant de quitter son corps.
J’en pouvais plus d’elle et en reculant d’un pas, je lui ordonnai :
Je pensais qu’elle commencerait à enlever mes vêtements, qu’elle me pousserait vers les cousins pour m’y asseoir, ou encore mieux, qu’elle se jetterait à genoux vers ma braguette. J’avais vu son regard vers mon collant et mon érection qui le déformait au moment où avait retenti mon ordre, mais elle ne fit rien de cela. À la place, elle entreprit de tourner autour de moi. Après avoir gravité plus d’une fois autour de moi, laissant à son tour ses doigts glisser sur moi sans jamais s’approcher de mon sexe, elle finit par se coller dans mon dos. Je sentais son corps chaud et ses seins s’écrasaient contre mon dos. Alors qu’une de ses cuisses m’enlaçait, elle me susurra à l’oreille :
En m’enserrant toujours d’une cuisse et d’un bras sur le torse, elle engagea son autre main dans mon pantalon et en extirpa d’une main ferme ma queue. Elle en apprécia la taille, la texture et la sensibilité en faisant courir sa paume sur toute sa longueur, puis commença à me branler d’une main experte. Elle montait et descendait d’un mouvement sûr, rapide et maîtrisé. Tout en restant souple, son rythme augmenta régulièrement. En l’espace de moins d’une minute, j’étais déjà à deux doigts de jouir et la prévins. Elle me répondit d’une phrase simple et satisfaite :
Une seconde plus tard, je jouissais. Je n’avais jamais eu un orgasme aussi vite, et jamais encore avec une branlette… Il ne s’agissait jusque-là pour moi que d’un préliminaire maladroit pratiqué par certaines femmes avant de passer aux choses sérieuses. Chancelant, je me retournai vers elle et la regardai, les yeux ahuris. Je vis à ses yeux brillants et à son sourire en coin que ce n’était pas une nouveauté pour elle. Elle savait manifestement très bien ce qu’elle faisait. Putain, je ne saurais même pas expliquer comment elle avait fait !
Quelques minutes plus tard, nous étions de nouveau présentables et de retour dans la fête. Présentables en apparence, car je lui avais ordonné de ne remettre aucun de ses sous-vêtements. Ses seins se balançaient plus et de la savoir sans culotte faisait bouillir mon sang. Plus nous croisions de gens, plus je voyais le regard des hommes sur Agathe et plus l’idée de la posséder gonflait mon ego. Je me sentais être le roi du monde.
Nous rejoignîmes Éléonore dans le pavillon central, là où Agathe devait faire un spectacle de chants durant le dîner-spectacle. Nous passâmes l’heure suivante à travailler avec eux à la mise en place des tables, des couverts et de la draperie. Régulièrement, Agathe me frôlait et chaque fois ses mains se glissaient là où elles m’enflammaient. J’avais envie de la prendre dans un coin sombre, de sentir ses seins lourds dans mes mains, d’enrouler mes mains dans sa tresse en la baisant par-derrière, mais chaque fois, Éléonore ou une autre personne me demandait quelque chose ou exigeait la présence d’Agathe quelque part.
Très vite, le dîner fut lancé et nous courions tous un peu partout pour aider. J’étais derrière le pavillon quand Agathe revint après s’être changée pour son tour de chant. Elle avait troqué sa robe rouge et sensuelle pour une longue robe blanche au dos nu. Le tissu léger de cette dernière bougeait avec elle, se collait régulièrement à ses formes, et la mettait en valeur tout autant que la précédente. Elle m’indiqua d’un geste discret, mais explicite, qu’elle ne portait toujours aucun sous-vêtement, tel que je l’avais ordonné.
Ce signe m’enflamma tellement qu’à l’instant où nous fûmes seuls, je l’entraînai dans la première tente vide venue que je refermai derrière moi. Je me jetai alors sur elle qui m’accueillit avec autant d’enthousiasme. Nos lèvres étaient à peine unies que je dégageais ses seins pour les prendre à pleine main. Très vite, ma bouche se referma sur son téton droit alors que j’essayais de remonter sa robe. Sa respiration était profonde et ses mains m’encourageaient à lécher, sucer, mordiller et pétrir sa poitrine. Mon autre main réussit à remonter jusqu’à son sexe qu’elle trouva déjà humide d’excitation, et deux doigts la pénétrèrent.
Une main dans mes cheveux et l’autre cherchant à dégager mon sexe, elle gémissait de plaisir. N’en pouvant plus de vouloir la prendre, je me redressai et la retournai brusquement. Avant même que j’eusse terminé de remonter sa robe, elle se penchait déjà en avant pour que je la baise. Elle attrapa le poteau central de la tente, se mit sur la pointe des pieds et tendit ses fesses à la rencontre de mon sexe. L’attrapant par les hanches je la pénétrai d’un coup sec avec un profond râle de plaisir. Sans perdre un instant, je la pilonnai. Je voulais jouir d’elle, vite et fort. Je voulais attraper ses seins à pleine main, entortiller mes mains dans sa tresse pour la forcer à se cambrer, ou encore, claquer ses fesses. Mais je voulais avant tout la baiser. Mes mains restèrent donc rivées sur ses hanches et j’augmentai encore le rythme. Très rapidement, ses gémissements se firent plus sonores puis se transformèrent en un orgasme qui me fit jouir à mon tour.
Les jambes flageolantes, nous nous laissâmes tomber au sol pour reprendre notre respiration et nos esprits. C’était mon second orgasme de la soirée et dans aucun des deux cas ça n’avait duré plus que quelques minutes. Après un court silence, elle se releva et rajusta sa robe, faisant disparaître ses seins dont les tétons pointaient encore orgueilleusement. Elle rajusta aussi sa coiffure et quitta la tente non sans pour autant m’embrasser rapidement. J’attendis quelques minutes avant de me relever et de me rendre moi aussi plus présentable.
Je fis ensuite le tour du pavillon pour y entrer avec le reste des invités. Je me trouvai une place au fond et patientai. Le groupe devait accompagner tout le repas, alors qu’Agathe ne devait chanter qu’à partir du dessert. Le repas était bon et je mangeais avec appétit. J’évitais l’alcool, je voulais être en pleine forme pour le restant de la nuit.
Le dessert fut servi et elle monta sur scène. La musique attira tous les regards vers la scène et la présence d’Agathe termina de les y figer. Elle commença à chanter doucement a capella, puis le groupe de musique se joignit à elle. La lumière oscillante des lanternes qui éclairaient le pavillon faisait jouer les ombres sur sa robe et sa chevelure, la rendant tellement belle.
Jusqu’alors, je la trouvais sympa, drôle, intéressante, et terriblement excitante durant les dernières heures, mais pas encore belle. Une note aiguë me rappela son cri de jouissance et elle devint instantanément affolante. Je ne l’écoutais plus vraiment, mais l’imaginais nue, me chevauchant. La lumière d’un feu faisant jouer des ombres sur ses superbes seins qui montaient et descendaient en un mouvement amplifié de ses reins. Sa tête penchée en arrière et ses gémissements rauques remplissaient la pièce de sa jouissance…
Les applaudissements me ramenèrent au présent et je me rendis compte que je n’avais pas écouté les trois quarts de son spectacle. Je bandais tellement que j’en avais mal à la bite. La bosse ostensible qu’elle formait dans mon collant n’avait pas échappé à deux femmes proches. Leurs rires moqueurs me rendirent écarlate. J’essayai vainement de cacher mon érection en croisant les jambes, mais cela les fit ricaner de plus belle. Heureusement, elles se lassèrent vite et je réussis à reprendre un minimum de contenance.
Pour clore la soirée, tous les invités étaient amenés à sortir pour assister au spectacle final. Éléonore renouvela son numéro… mais cette fois de nuit. Avec l’obscurité, les explosions de flammes et de lumières étaient encore plus impressionnantes. De mon point de vue central d’assistant bouffon, je cherchai dans la foule Agathe, mais ne la trouvai pas. Après la fin du spectacle, j’aidai Éléonore et les autres à tout ranger. Je remarquai vite qu’Éléonore flirtait assez clairement avec un chevalier et me sentis assez rapidement en trop à côté d’elle. Une demi-heure plus tard, elle vint me voir avec un gros sac.
Elle ne fit pas du tout attention à ma question ni à son ton un brin désespéré puisqu’elle avait les yeux rivés à ceux de son chevalier. Elle me répondit distraitement :
Puis me faisant face, elle me précisa :
Et ajouta avec un clin d’œil :
Puis elle me fourra le sac dans les bras et partit rejoindre son chevalier avec un sourire éblouissant. De mon côté, je terminai de ranger quelques trucs et rentrai à ma tente. Je regagnais ma tente plus d’une heure après la fin du spectacle d’Éléonore. Agathe m’y attendait en lisant un livre à la lumière des flammes.
Elle avait fait un feu dans la partie centrale de la tente prévue à cet effet et il y faisait agréablement chaud. Elle s’était de nouveau changée et portait sa tenue du matin : un jean et un pull à capuche gris et informe. Elle m’invita à la rejoindre sur le lit de coussins et de couvertures où elle était allongée. Je m’étendis à ses côtés, et après avoir refermé et posé tranquillement son livre, elle m’embrassa doucement. Ce baiser était beaucoup moins fougueux que nos précédents, plus tendre, plus doux. Comme nos lèvres, nos corps se rapprochèrent. Je la pris dans mes bras et m’allongeai sur le dos, l’entraînant au-dessus de moi.
Tout en continuant à l’embrasser, je caressai son dos, puis ses fesses. Ses lèvres embrassèrent mon cou et ses mains déboutonnèrent ma veste. Elle se redressa sur mes genoux, ses cuisses de part et d’autre de mon bassin, et je sentis son sexe frotter sur le mien. Je me redressai pour l’aider à enlever ma veste et je me retrouvai torse nu. Elle me plaqua au sol d’une main, et tout en me caressant le torse, elle commença à faire onduler son bassin. Elle avait les yeux fermés et la bouche entrouverte. Concentrée sur ses mouvements et son plaisir elle n’était plus vraiment là. Mes mains accompagnèrent ses mouvements et glissèrent sur son corps, sur ses cuisses, sur ses fesses et sous son pull. Elles remontèrent dessous, jusqu’à empoigner ses seins. Elle pressa ses mains sur les miennes, les guidant pour caresser sa poitrine. Elle me montra comment les empoigner, les stimuler.
Ses mouvements de reins devinrent de plus en plus saccadés et elle commença à gémir doucement. D’elle-même, elle fit passer son pull au-dessus de sa tête et dégrafa son soutien-gorge avant de libérer ses seins qui retombèrent dans mes mains. Elle se pencha en avant et les offrit à mes lèvres. Je suçotais ses tétons durs, passant de l’un à l’autre, les stimulant du bout de ma langue. Quand j’en mordis un, elle poussa un cri de plaisir et se redressa. Cambrée, la tête rejetée en arrière, elle gémissait de plus en plus fort. Ses reins accélérèrent encore la cadence et mes mains sur les hanches les y aidèrent. Une main sur son sein gauche et une autre glissée dans son jean, elle approchait de la jouissance. Elle agrippa mes mains pour se stabiliser et après quelques derniers mouvements frénétiques de ses hanches elle jouit.
Toujours à califourchon sur moi, elle me sourit pleine de satisfaction. Je me redressai pour l’embrasser et la fis basculer sur le côté. J’embrassai doucement son cou, puis sa clavicule, puis la naissance de ses seins. Je goutai à nouveau à ses tétons qui durcirent de nouveau sous ma langue. Quand je les mordillais, Agathe répondait par des gémissements de plaisir. Ça lui faisait manifestement beaucoup d’effet et je sentis ses cuisses m’enserrer. Ses mains sur ma tête ou sur mes mains me guidaient, m’accompagnaient. Après quelques secondes de ce traitement, encouragé par ses mains, je poursuivis la descente. Bientôt, ma langue se glissa dans son nombril avant de reprendre sa route. J’embrassai doucement le haut de son jean puis, toujours plus bas, jusqu’à son entre-jambes. Je glissai mes bras sous ses cuisses qui encadrèrent alors mon visage, et embrassai son sexe à travers son jean. Mes mains remontèrent sur son torse et recouvrirent ses seins, je fis jouer ses tétons entre mes doigts. Ses deux mains ainsi que ses cuisses pressèrent mon visage sur son sexe dont je sentis l’odeur.
Je lâchai ses seins et son sexe pour lui arracher son jean. Décollant ses fesses du sol et m’aidant frénétiquement, elle se retrouva vite nue sous moi. Tout en elle m’invitait à plonger mon visage entre ses cuisses. Ses yeux brillaient, sa respiration était rapide, ses cuisses restaient écartées et ses mains parcouraient doucement son buste. Je pris mon temps et relevai une de ses jambes pour en embrasser l’arrière du genou. De là, je remontais doucement à coup de petits baisers. Je la sentis impatiente et vis son bassin se tendre vers moi. Plus je remontais vers son sexe et plus je la sentais impatiente. Quand je posai enfin mes lèvres sur son sexe nu, elle poussa un soupir de soulagement. Au début, elle ne faisait qu’accompagner mes lèvres du bassin, puis quand ma langue entra en jeu, elle se tendit et m’enserra de ses cuisses. Le bout de ma langue trouva rapidement son clitoris et une de ses mains s’agrippa violemment à mes cheveux, me poussant en elle.
J’accompagnai alors ma langue de deux doigts qui la pénétrèrent profondément. Dans un gémissement, elle m’ordonna :
Les mains alors rivées dans mes cheveux, elle accompagna chacun des mouvements de ma langue ou de mes doigts de « oui » sonores, en se cambrant, en gémissant de plaisir. Après encore quelques longues secondes, elle finit par attraper un coussin, et après s’être tendue une dernière fois comme un arc, elle y cria sa jouissance.
Je voulais la pénétrer là, tout de suite, mais je ne bandais toujours pas. Mes deux orgasmes de la soirée, la fatigue ou la nervosité jouaient sur mon érection qui restait bien modeste. J’avais envie de la prendre depuis un moment et le cunnilingus m’avait fait gagner du temps, mais je n’étais pas encore à la hauteur de mes ambitions. Elle s’en rendit compte et m’allongea à ses côtés. Elle se pencha sur moi pour mordiller le lobe de mon oreille et me susurra :
Je lui obéis et me relaxai complètement étendu sur le dos. Elle m’embrassa d’abord, et je sentis sa langue pénétrer mes lèvres. Ce fut un long et agréable baiser. Puis, je sentis ses lèvres se poser sur la ligne de ma mâchoire, puis dans mon cou ou elles restèrent un moment. Déjà, ses baisers commencèrent à m’embraser et je sentis mon sexe se dresser doucement. Elle passa ensuite à ma poitrine et stimula longuement mes tétons. Elle se consacra à eux jusqu’à ce qu’ils deviennent sensibles et réactifs… Plus qu’ils n’avaient jamais été. Sous ses lèvres, ses doigts et sa langue, ma respiration se transforma en gémissement de plaisir. Mon sexe maintenant dur se dressait fièrement. Je me saisis d’elle, mais elle m’en empêcha.
Et d’une main, elle me repoussa sur le dos. Après avoir stimulé une dernière fois de sa langue mon téton droit, elle continua à descendre par petits baisers jusqu’à mon nombril. Elle glissa alors entre mes cuisses et posa ses seins de part et d’autre de ma queue. Pendant qu’elle embrassait mon torse et mon ventre, elle serrait ses nichons autour de mon sexe et les y faisait coulisser de haut en bas. Je me rendis compte qu’à chaque aller-retour elle descendait un peu plus bas. Rapidement, mon pénis n’était plus entre ses seins, mais cette déception était compensée par le fait que ses lèvres en étaient très proches.
Elle saisit mon sexe d’une main pour le maintenir bien droit et en goûta la base. Ses lèvres remontèrent doucement le long de ma bite par petits baisers. Arriver en haut, elle en embrassa délicatement le bout et le stimula de sa langue. Sa main qui maintenait ma verge bien droite commença à coulisser de haut en bas. Elle avait immuablement cette même maîtrise que précédemment. Puis, en synchronisation avec la descente de sa main, elle fit pénétrer mon sexe dans ses lèvres serrées. Ses lèvres s’écartèrent doucement au passage de mon sexe et l’enserrèrent tout du long. Ses mains et ses lèvres montaient et descendaient le long de mon sexe avec un rythme lent et souple. Je sentis mon sexe grossir encore dans sa bouche et elle le relâcha. Toujours en accompagnant les mouvements de sa main, elle fit coulisser ses lèvres sur le côté de mon sexe, en lécha l’extrémité. Sa main, et parfois ses mains, serrait plus ou moins fortement et accélérait plus ou moins vite. Puis c’est tout ça à la fois qu’elle faisait tout en caressant le reste de mon corps. Je gémissais de plaisir de plus en plus fort et allais jouir.
À deux doigts d’exploser, je la repoussai violemment et essayai de me calmer en contrôlant ma respiration. Mon affolement l’amusa, mais je voyais qu’elle aussi avait envie de profiter de ses efforts. Je me redressai sur les genoux et la pris dans mes bras, l’embrassant sauvagement. Tout en dévorant sa gorge et ses seins, je me glissai dans son dos. Je me retrouvai à genoux derrière, lui mordant le cou, ma main gauche sur son nichon droit et les doigts de ma main droite dans son sexe. Ma bite, dure comme du bois, était plaquée entre nous, coincée le long de la raie de ses fesses. Elle gémit sous mes doigts et se laissa tomber en avant, se cambrant pour que je la prenne. Je plaçai doucement ma verge à l’entrée de sa chatte et la laissai s’empaler elle-même sur ma queue. J’attrapai ses hanches et commençai un va-et-vient ample et lent en elle.
Plus mes allers-retours s’opéraient facilement et plus je butais de façon sèche sur son cul. À chaque choc rude qui faisait claquer ses fesses, elle poussait un gémissement de plaisir. Après un dernier mouvement brusque, bien enfoncé en elle, je me penchai sur elle, fis glisser mes mains tout au long de son corps et empoignai ses seins à pleines mains. Je me laissai alors tomber en arrière, accroupi et tirant sur la poitrine, la redressant presque à la verticale. Elle ne coulissait plus le long de mon sexe d’avant en arrière, mais montait et redescendait dessus, cambrée comme un arc. Une de mes mains se hissa jusqu’à sa gorge et son menton pour attirer son visage à moi. Elle attrapa cette main et commença à en sucer les doigts tout en gémissant de plaisir. J’essayai de l’embrasser dans cette position instable et l’on s’écroula dans les coussins.
Impatient, je la repoussai sur le dos, m’installai entre ses cuisses et la pénétrai derechef. D’un mouvement brusque, je plaquai ses mains au-dessus de sa tête. Toujours bien enfoncé en elle, je l’embrassai à pleine bouche. Nos langues se mêlèrent, et après un coup de reins plus violent que les autres, elle me mordit la lèvre. Avec la douleur, je me redressai et croisai son regard. Ses yeux brillaient, me défiant de les faire se fermer de plaisir. Mes yeux rivés aux siens, mes mouvements se firent plus souples, plus lents, plus amples. À chaque fois, je me retirais presque complètement puis la pénétrais d’un mouvement robuste. À chaque fois, sa bouche entrouverte s’élargissait d’autant que je l’envahissais. Je maintins ce rythme puissant qu’elle commença à accompagner de tout son corps, se cambrant pour m’accueillir encore plus profondément. Elle gémissait de plus en plus fort, et laissant sa tête partir en arrière, elle ferma les yeux pour s’abandonner au plaisir. Elle ne gémissait plus, mais criait son plaisir. Je délaissai mon rythme lent pour un rythme vif et sec. Je la pilonnai de plus en plus rapidement et ses cris de plaisir devinrent de plus en plus saccadés.
Elle finit par jouir dans un grand rugissement et je me retirai avant de la rejoindre. J’avais un autre plan que d’éjaculer en elle. J’aspirais à assouvir un fantasme et elle ne pouvait pas me dire non. Ce pouvoir que j’avais sur elle me mettait un peu mal à l’aise, en gentil garçon que j’étais, mais il m’excitait et je voulais en abuser. Je lui laissai quelques instants pour remonter à la surface, et lui dis :
Je pensais la choquer, la déstabiliser, peut-être même la dégoûter… mais je la fis rire. Elle devait l’avoir vue venir depuis longtemps et mon ton faussement autoritaire ne la trompait pas. Dans sa tête, je devais plus ressembler au chat botté suppliant de Shrek qu’a un tyran à qui il faut obéir ou mourir. Elle me poussa sur les cousins et m’embrassa à pleine bouche. Puis, d’un mouvement souple, elle chevaucha mon visage et je me retrouvai avec son sexe sur la bouche. Je sentis sa main saisir mon sexe alors que je commençais à lécher et sucer ce qu’elle m’offrait. Suivant les mouvements de ma langue qui la pénétrait, elle descendait et montait le long de mon sexe. Si j’en voulais plus, il me fallait manifestement en donner plus. Je relevai le défi avec la ferme intention de la faire jouir en premier. Après avoir obtenu quelques gémissements de sa part, je sentis son poids changer sur moi. Puis ses lèvres s’ouvrirent et la chaleur de sa bouche descendit le long de ma queue. Elle me prenait enfin en bouche. Libéré de sa charge, j’agrippai ses cuisses et redoublai mes efforts. Elle fit de même et je perdis vite la bataille. Incapable de me concentrer, j’arrêtai de la lécher pour savourer mon plaisir.
Elle me suçait avec encore plus de maîtrise que la première fois. Elle sentit mon corps s’approcher de la limite et ralentit, voire s’arrêta. Elle alterna caresses et prises fermes, baisers doux et prises en bouche. Toujours aveuglé, je ne savais pas quand le prochain coup de langue titillerait le bout de mon sexe ni quand elle avalerait de nouveau ma queue. Elle me maintint comme ça sur le fil de l’orgasme pendant une éternité. Puis, d’un coup, je compris qu’elle avait décidé d’en finir… Elle engloutit ma queue jusqu’à la garde. Les lèvres serrées, elle coulissa rapidement et habilement le long de ma queue en en enserrant la base d’une main ferme. Cinq secondes plus tard, je jouissais. Je sentis mon sperme fuser à travers mon sexe pour exploser dans sa bouche en violentes giclées qui me laissèrent à moitié évanoui. Après la fin de mes spasmes orgasmiques, elle continua de me sucer et de me lécher pendant que mon sexe rétrécissait dans sa bouche. Quand elle fut satisfaite de son œuvre, elle libéra mon visage et s’allongea à côté de moi. Elle claqua un bisou retentissant sur la joue et dit avec un grand sourire :
Je l’embrassai et la pris dans mes bras. Nous restâmes un long moment allongés à discuter avant de nous endormir.
Quand je me réveillai le lendemain matin, elle était déjà sortie et je trouvai sur mes affaires une bourse lourde d’écus, un ruban jaune et un mot : « la nuit prochaine, c’est toi qui m’appartiendras. »