n° 20231 | Fiche technique | 9807 caractères | 9807 1616 Temps de lecture estimé : 7 mn |
30/04/21 |
Résumé: En l'absence de leurs maris, trois villageoises, répondant à un concours, vont satisfaire le Souverain dans son château. | ||||
Critères: #conte #fellation fffh grosseins entreseins fellation nopéné jeu | ||||
Auteur : Gem Envoi mini-message |
Il était une fois… quelque part dans le Comté du Languedoc, un petit village entouré de ces terres agricoles et dominé d’un château. Son souverain, un chef de guerre habitué à être sur le terrain et très absent ordinairement, était en convalescence dans sa forteresse.
Sa vilaine blessure – résultat d’une flèche ennemie à l’épaule – n’était pourtant plus qu’un mauvais souvenir. Or, ce souverain avait une particularité sexuelle : il pouvait avoir trois érections consécutives et était très demandeur.
Il eut alors l’idée, pour soulager sa préférée et ses amantes, d’organiser un tournoi de mises en bouche (terme du Moyen Âge désignant un concours de fellations), et décida que ce dernier se déroulerait une fois par semaine. Il pensait ainsi, soulager tout le monde, à commencer par lui-même (ben voyons !). Il comptait donc surtout soulager ses propres Dames ainsi que les villageoises qui devaient être en manque, leurs maris étant partis aider les chevaliers à quelques batailles pour plusieurs mois. Pour avoir bonne conscience (re ben voyons !), auprès des siens et de ses guerriers, il avait établi une seule règle : pas de fornication.
Il chargea son homme de confiance d’aller recueillir sur parchemin les arguments des villageoises qui répondraient à cette annonce :
Mon Seigneur attend vos propositions juteuses pour lui donner du plaisir jusqu’à l’extase. Il n’y aura pas de coït. Vous vous chargerez uniquement, avec talent et de la plus belle manière qui soit, de faire pleurer d’amour sa bistouquette (terme du Moyen Âge = jouir).
Les trois plus séduisantes déclarations seront choisies.
Les villageoises à qui elles appartiennent seront conduites ensemble, le jour de Vénus (terme du Moyen Âge = vendredi), au château et seront récompensées si Mon Seigneur est satisfait de leurs prouesses.
Les gagnantes ne pourront participer aux autres tournois.
Le jour de Vénus, une charrette vint chercher les trois heureuses élues, sous l’œil jaloux des autres villageoises.
Monseigneur demanda à sa préférée et à ses servantes de s’occuper d’elles dès leur arrivée, à savoir, commencer par un bon bain.
Complètement dévêtues, elles rejoignirent ensuite la chambre du souverain qui les attendait, assis sur le rebord du lit, lui aussi entièrement nu et déjà en forme.
Sa préférée devait participer en tant que spectatrice à droite de la couche, ainsi que son homme de confiance, à gauche, pour lire les parchemins. Après chaque lecture, la villageoise qui avait proposé sa manière de donner plaisir au Seigneur devait s’exécuter avant que l’autre prenne sa place.
Son bras droit avait rédigé les textes des parchemins, en ce qu’il croyait être un bon français. Cet homme passionné croyait en l’avenir de nouveaux mots, comme s’il lisait ça dans une boule de cristal. C’était inné chez lui, et il y croyait… Il éduquait d’ailleurs « Son seigneur » à cette nouvelle langue, si l’on pouvait se permettre de dire ça en cette circonstance. Il avait donc remplacé au maximum les mots qui sortaient des belles bouches pulpeuses des villageoises, comme grelots, bourses, pieu, gourdin, foutre, etc.
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Parchemin I
Mon Bon Seigneur.
Si j’avais la chance d’être une des élues d’un soir, voilà, ce que j’aurais envie de vous faire.
Je masserais de mes doigts fins et délicats de femme, dans un premier temps, votre chibre. Je lui donnerais toute sa virilité et sa dureté attendues.
Ensuite, mes mains se feraient même panier pour accueillir vos bourses, que masserais avec beaucoup de délicatesse afin de faire monter toute votre chaleur sexuelle.
Quand je sentirais tous vos désirs d’homme transmis par votre queue au bord de la rupture, j’approcherais mon visage de votre bas-ventre. Mes cheveux vous transmettraient en même temps des papillons sous votre nombril par leurs caresses soyeuses.
C’est ma langue qui, en premier, goûterait votre hampe veinée par de lents allers-retours. Mes mains mesureraient votre excitation par vos testicules caressés. Et selon vos gestes pouvant, peut-être, écarter vos cuisses, selon vos gémissements, mes doigts pourraient descendre bien encore plus bas, guidés par vos envies.
À ma langue succéderaient mes lèvres, puis ma bouche. Mon Seigneur, je suis très goulue, je ne pourrais résister à votre offrande pleine de toute votre virilité, et mon avidité de recevoir en ma bouche cette colonne de chair que vous m’offrirez ne fera qu’amplifier ma gourmandise.
Sachez, Mon Seigneur, que je peux avaler très profondément.
En vous sentant venir, c’est vers votre gland que mes lèvres et ma langue glisseraient. J’aime en effet sentir la semence chaude éclabousser mon palais et couler jusqu’à ma gorge.
Ma bouche se ferait une nouvelle fois gourmande en descendant profondément sur votre queue. Vous verrez, ce moment serait inoubliable, Mon Seigneur. Je laisserais ensuite échapper toute votre jouissance blanchâtre le long de votre chibre. Votre ventre se contracterait de plaisir. Votre liqueur inonderait vos poils pubiens.
Je quitterais à regret votre virilité de chair pour pouvoir passer ma langue partout où vos traînées blanches auraient laissé des empreintes sur vous.
Mon Seigneur, j’avalerais ensuite au plus profond de moi-même votre semence. Le plus intime de vous.
Parchemin II
La deuxième paysanne du village avait ces mots pour le souverain :
Mon Seigneur, votre homme de confiance est venu recueillir mes mots sur un sujet, il est vrai, qui m’a mise en ébullition. À la question : N’ayant droit à aucune pénétration, comment donnerais-je du plaisir à mon souverain jusqu’à la jouissance ? Voilà ce que je vous réponds :
Mon Seigneur, depuis mon plus jeune âge, je suis dotée d’une poitrine généreuse. Je sais que les hommes aiment ça, leurs yeux ne peuvent décoller de mon décolleté. Dès ma maturité, j’en jouais en omettant même de mettre le dernier bouton. Mes seins compressés dans mes vêtements de paysanne ont toujours l’air de vouloir s’en échapper. À chaque respiration, ils se gonflent exagérément. Et je vois bien qu’au champ, quand nos hommes, jeunes ou vieux, y sont, l’effet est immédiat.
Si je suis élue en ce jour de Vénus, au soir, une fois nue, c’est à cet endroit de ma personne que je mettrais votre chibre. Vous avez bien de l’huile parfumée dans vos salons pour vos Dames. Je m’en badigeonnerais la poitrine, et plus précisément entre mes deux gros globes. Vous verrez, mon Seigneur, vous y serez bien, à glisser et coulisser votre sexe. Oh, vous n’aurez rien à faire… qu’à vous laisser faire.
C’est moi, par mes mains et par mes mouvements, qui compresserais mes seins pour que votre membre soit bien au chaud de mes rondeurs mammaires. Ma bouche, sucera votre gland rouge d’excitation, il le sera, je vous le promets, à chaque va-et-vient. Et quand, vous éjaculerez, je recueillerais toute votre semence entre mes lèvres et sur ma langue pour ensuite la déverser sur mes gros lolos.
Et vous aimerez, après, me voir porter mes seins luisants de vous à ma bouche. Je lécherais alors jusqu’à la dernière goutte la jouissance que vous y aurez déposée.
Parchemin III
La troisième fit écrire ceci :
Si j’ai l’honneur, Mon Seigneur, d’être choisie, vous vous en souviendrez longuement. J’ai un don particulier. Ma langue est magique au bon dire de mon mari. Paraît-il qu’il n’y a pas mon pareil pour embrasser, pour parcourir un corps masculin ? Mais comme nous n’avons le droit qu’à cette partie de vous, c’est-à-dire votre sexe, j’y mettrais tout mon talent pour vous envoyer à un orgasme des plus intenses.
Oh, bien sûr, je me servirais aussi de mes doigts comme d’une pincette à la base de votre chibre. Je régulerais votre excitation en serrant plus ou moins fortement le pied de votre membre que l’on dit généreux.
Oh, bien sûr, je vous emboucherais, de temps en temps, pour goûter à la douceur de votre peau veinée et à la dureté de votre queue.
Mais c’est bien ma langue qui vous monterait au plaisir suprême. Je vous titillerais votre frein, je lécherais votre doux gland. Les caresses de ma langue seraient variées et vous feraient réagir, Mon Seigneur. Elles seraient plus ou moins appuyées. Je n’y mettrais que la pointe, avec des mouvements rapides et précis, ou la totalité de sa surface en balayant plus lentement le sommet de votre verge.
Au moment où vous vous y attendriez le moins, je ferais une plongée buccale bien profonde. J’ai la capacité à le faire.
Puis je reviendrais jouer avec ma langue. C’est bien elle, et uniquement elle qui vous ferait jouir.
En sentant le moment venu, en vous sentant venir. Mes doigts donneraient une dernière pression sur la base de votre virilité, à la naissance de vos bourses, avant de se relâcher et de libérer votre jus qui monterait comme un jet le long de votre colonne de chair.
Ma langue recueillerait la majorité de votre semence. Mes papilles en dégusteraient toute sa saveur.
Je finirais par un léchage de toute votre queue.
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Une fois repus sexuellement, Mon Seigneur, visiblement satisfait de ses villageoises, prit la parole.
Les trois villageoises regagnèrent d’un pas accéléré la salle pour s’habiller, en riant et excitées comme des jeunes filles de leurs cadeaux.
Et c’est comme ça qu’un nouveau jeu s’établit dans le comté du Languedoc.
Okayyyyyy (à lire à la manière de Jacquouille) !