n° 20232 | Fiche technique | 10668 caractères | 10668Temps de lecture estimé : 7 mn | 30/04/21 |
Résumé: Une encontre après plusieurs années de dialogues virtuels... | ||||
Critères: f h hotel voir exhib lingerie odeurs fmast hmast nopéné init -mast | ||||
Auteur : Kalou |
Tout commence par un dialogue banal sur un tchat comme il peut y en avoir des milliers par jour, avec bien souvent aucune suite après le premier échange. Mais cette fois-ci, la mayonnaise prend entre nous deux et le dialogue est intéressant, changeant de la plupart des tchatteuses qui ne savent répondre que par oui, non, OK, et donc, sans intérêt. Bien entendu, la discussion prend vite une direction un peu coquine tout en restant courtoise, ce qui me plaît n’étant pas du tout attiré par les dialogues vulgaires. De plus, elle s’exprime très bien, faisant des phrases sans langage SMS et sans faute d’orthographe, chose à laquelle je suis sensible. Bref, le genre de discussion qui m’attire.
Elle, c’est Marion, la quarantaine affirmée, remariée, heureuse et travaillant dans les ressources humaines. Quant à moi, j’ai dépassé la cinquantaine, marié, mais mon couple n’en est plus vraiment un et ressemble plus à une cohabitation.
Au fil des discussions, nous apprenons à nous connaître et nous parlons aussi bien de choses sérieuses que de choses plus légères. Nous nous dévoilons petit à petit et nos dials deviennent de plus en plus chauds, partant souvent sur des scénarios très coquins, voire même cochons, entraînant des deux côtés des orgasmes intenses. Marion est comblée sexuellement par son mari, mais elle aime ses échanges particuliers avec ce presque inconnu qu’elle aime appeler son vicieux ou son cochon. De mon côté, sa silhouette et ses tenues très féminines et sexy m’excitent au plus haut point. Il faut dire qu’elle a un cul de rêve. Et ses longues jambes, en bas avec porte-jarretelles et string, sans oublier parfois les cuissardes, me font bander très fort.
De mon côté, bien entendu, je fantasme sur un hypothétique rendez-vous, mais ce n’est pas du tout sa recherche, même si son côté salope, qu’elle a pu développer entre ses deux mariages avec de nombreux amants, lui donne des envies très cochonnes. Mais étant amoureuse, elle ne veut surtout pas mettre son couple en danger, ce que je comprends parfaitement.
Néanmoins, j’ai pu lui faire part d’un de mes fantasmes qui serait de la rencontrer et de prendre du plaisir face à face sans se toucher. Le seul contact entre nous serait mon sperme qui s’étalerait en grandes giclées sur ses bas noirs. Il faut préciser qu’elle raffole des bas, ou des collants. D’ailleurs, elle m’a fait parvenir, par colis discret au bureau, deux paires de bas ainsi que deux de ses culottes usagées, prouvant là aussi son côté de belle salope bourgeoise comme j’aime l’appeler. Un de ses trips préférés est de me voir me masturber, son bas sur ma queue, et me vider dans ses bas ou sur ses strings… sans oublier quelques dédicaces sur certaines de ses photos.
Cette relation spécifique et peu ordinaire dure depuis plusieurs années et nous explorons, au travers de scénarios les plus cochons, nos fantasmes, même les plus inavouables. Et tout cela dans un respect mutuel qui nous convient à tous les deux. D’ailleurs, nous nous vouvoyons toujours ce qui donne un aspect encore plus particulier à nos échanges.
Et puis un jour, elle m’écrit :
Vous savez, je vais bientôt aller pour raison professionnelle dans votre ville. Comme nous nous connaissons suffisamment, et que j’ai confiance en vous, j’ai repensé à votre fantasme et j’ai décidé d’y donner suite. Après tout, il n’y aura pas tromperie puisque nous ne nous toucherons à aucun moment. Et je pense que je peux avoir votre parole d’homme que vous vous y tiendrez. Je tiens aussi à mener les débats à ma convenance.
Je n’en reviens pas de sa proposition, et bien entendu je lui confirme que je respecterai scrupuleusement le contrat et qu’à aucun moment je ne la toucherai.
Après toutes ces années d’échange, je vais enfin pouvoir rencontrer celle qui m’a donné mes meilleurs orgasmes virtuels. Je suis comme un ado avant un premier rendez-vous.
Après avoir convenu du jour et de l’heure en fonction de nos emplois du temps professionnels respectifs, elle me communique au dernier moment le nom de son hôtel et le numéro de sa chambre.
Je la rejoins, très excité par ce rendez-vous original, et je la trouve dans une tenue qu’elle m’avait montrée et qui me plaît énormément. Grande, élancée, elle avait mis un top moulant, une mini-jupe noire, des bas et des cuissardes, ce qui lui donne une allure très BCBG sexy, sans être vulgaire.
Et là, dès la porte refermée, sans même me dire bonjour, elle me lance :
Je suis un peu estomaqué par ce ton direct, que je connais pourtant bien, et je commence à me déshabiller en la regardant. Elle va s’asseoir sur un fauteuil et aussitôt je remarque qu’elle porte des bas noirs avec un porte-jarretelles dont les lanières dépassent le bas de la mini-jupe.
Je me retrouve vite nu devant elle, mon sexe encore au repos, peut-être surpris par ce démarrage rapide, ce qui la fait sourire.
Elle croise alors ses jambes ayant pour effet de faire remonter sa mini et dévoiler encore plus le haut des bas et le porte-jarretelles. Je reconnais aussitôt ce porte-jarretelles que je lui avais envoyé avec un string et des bas par colis discret, quelques mois auparavant.
Et me voilà debout à poil en train de me masturber devant cette superbe femme qui regarde ma queue qui ne tarde pas à présenter une belle érection.
Je connais son langage cru dans les moments coquins et je ne suis pas surpris outre mesure, mais l’entendre et la voir en direct prononcer ces mots, assise dans un fauteuil, me trouble encore plus.
Elle croise ses jambes tout en me regardant et je peux apercevoir son string sous sa mini. Elle passe alors une main derrière son fauteuil et ramasse un bas qu’elle me jette.
Bien entendu que je sais, je connais ses envies, et sans dire un mot, comme elle l’a demandé, je couvre ma queue avec son bas.
J’obéis et je dois avouer que cela m’excite, ma queue bandant comme jamais.
Je suis à moins de 50 cm d’elle et elle mate la queue que je branle dans son bas.
Je la vois se trémousser, et des deux mains, elle remonte encore un peu sa mini pour retirer son string qu’elle me jette au visage, dévoilant subrepticement sa petite chatte à mon regard.
Je saisis le petit bout de tissu et je le porte à mon nez pour sentir son odeur de salope.
Excité comme jamais, je lèche son string bien humide où, quelques secondes avant, sa chatte venait de couler. Sentir ainsi son odeur intime et lécher sa cyprine me rend fou et je dois me calmer pour ne pas jouir de suite comme un puceau.
Elle rabaisse sa jupe, camouflant ainsi sa chatte à mon regard, puis ouvre légèrement le zip de sa mini pour glisser sa main entre ses cuisses et se caresser.
Je m’exécute et le bout du bas se retrouve bientôt trempé par les gouttes perlant de mon gland, ce qu’elle ne manque pas de remarquer :
Je la vois se trémousser sur son fauteuil, laissant échapper quelques gémissements, et la connaissant un peu, je sais que son orgasme monte déjà.
J’obéis et voici ma queue à quelques centimètres de sa bouche. Cette salope de Marion passe sa langue sur ses lèvres en me regardant dans les yeux.
Je m’exécute, excité comme jamais, ma queue prête à exploser. Ses yeux sont rivés sur mon sexe et sa main s’active entre ses cuisses.
N’en pouvant plus et obéissant à ses ordres, je saisis ma queue et me branle à fond pour jouir en visant ses bas, sa mini, ses cuissardes, avec de belles giclées bien épaisses qui coulent sur ses fringues noires au moment où elle jouit dans un râle profond, en étant prise de spasmes.
Respectant ses désirs, je me rhabille et pars aussitôt après ce moment qui restera gravé à jamais dans ma mémoire. Je me demande encore parfois si je n’ai pas rêvé…