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n° 20241Fiche technique20431 caractères20431
Temps de lecture estimé : 12 mn
05/05/21
Résumé:  Un artiste peintre a l'ambition de recréer le célèbre tableau de Manet "le déjeuner sur l'herbe" avec une femme mûre, d'abord réticente puis très convaincue.
Critères:  fh fplusag rousseurs grossexe poilu(e)s travail exhib fellation cunnilingu anulingus préservati pénétratio fsodo humour -occasion
Auteur : Jacquou      Envoi mini-message
L'artiste peintre et son modèle

Au cours d’une réunion de famille, Frédéric prit sa sœur Corinne à part :





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Quelques jours plus tard, Corinne prenait un thé avec son amie Mylène, prototype de la bourgeoise BCBG, les cheveux blond vénitien, la plastique impeccable travaillée dans les salles de gym, faisant dix ans de moins que ses cinquante ans en dépit de quelques rides difficilement escamotables. Au détour de la conversation, Corinne aborda le sujet du tableau :



L’argument laissa Mylène songeuse. L’idée de faire enrager certaines collègues moins avantagées physiquement lui plaisait assez. Et après tout, poser pourrait être assez intéressant. Elle ne pouvait pas nier son goût pour la peinture. C’était une fondue d’expos diverses.



C’est sur cette interrogation, mais aussi sur une ouverture que Corinne laissa son amie avant d’en rendre compte à son frère. Elle se fit l’intermédiaire pour un rendez-vous dès le lendemain à l’atelier du peintre.




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Mylène débarqua un peu contractée à l’atelier. Se déshabiller entièrement devant un inconnu, même avec des pinceaux, ne tombait pas sous le sens. Elle découvrit une espèce de faune sympathique et décontracté, tout à fait artiste, qui sut la faire rigoler et la mettre à l’aise. La proximité avec sa sœur fut l’objet de conversations préliminaires, histoire de mettre Mylène en confiance.



Il la fit mettre sur une espèce de piédestal, assise le coude droit sur le genou droit relevé, et le menton dans la main droite comme sur le tableau. Pas très confortable !



La position arrangeait bien le modèle qui ne souhaitait pas montrer son sexe. Mais quand elle se détendait, elle était bien obligée de révéler le triangle roussi de son pubis et le reste de son anatomie.



Néanmoins, il ne fut pas vraiment satisfait de ses premiers coups de pinceau. Pour correspondre au tableau de Manet, il fallait que le modèle affiche un air un peu provocant ou au moins malicieux. Or, le visage de Mylène marquait une certaine réserve, comme si elle subissait son travail. Le peintre le lui dit sans ambages :



Et il s’exécuta illico. Mylène découvrit un corps certes pas dans les canons de la beauté masculine avec son abondant système pileux et son petit ventre rond, mais terriblement sexué. En particulier entre les jambes. Elle fut fascinée par l’imposant costume trois-pièces que le peintre exhibait sous son chevalet, ce qui se traduisit par un regard sans doute éloquent puisque Frédéric lui lança le pinceau à la main :



Le léger ballottement de sa queue épaisse pendant qu’il peignait imprégna tellement l’esprit de Mylène qu’une fois rentrée chez elle, elle ne cessa d’y penser. Lorsque Corinne l’appela pour lui demander ses premières impressions, elle ne put lui cacher l’initiative de son frère :



Mylène protesta, arguant qu’il avait eu cette attitude « pour la mettre à l’aise » et que cela avait bien fonctionné, rien de plus. Corinne répondit par un petit rire et glissa :



Allusion à quelques frasques passées en commun. Mylène ne releva pas. Elle savait bien que son allure de petite bourgeoise dissimulait un appétit sexuel au moins égal à celui de son amie, même s’il était un peu en veilleuse depuis qu’elle était à nouveau en couple avec un homme il est vrai plus tout jeune. Et elle reconnut in petto que le peintre avait réveillé en elle une libido quelque peu endormie depuis plusieurs semaines, son compagnon ayant tendance à ne se mobiliser qu’un week-end sur deux, et encore. Sa bite ne supportait pas la comparaison avec celle de Frédéric. Elle en rêva d’ailleurs une bonne partie de la nuit.




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Les jours suivants, Mylène se conforma avec abnégation aux exigences du peintre, adoptant cette position un peu tordue qui lui faisait mal au dos. Lorsqu’il lui permettait de se détendre, elle se montrait moins pudique et s’étirait langoureusement, seins dressés et cuisses ouvertes, ne cherchant plus à dissimuler sa fente. Frédéric nota le changement et la félicita :



Il peignait avec frénésie, mais ne l’autorisait pas à regarder son travail, le dissimulant sous une toile après chaque séance. Elle ne pouvait donc savoir qu’il s’intéressait particulièrement, à la pigmentation de sa peau crémeuse constellée de taches de son à hauteur de la poitrine, et à bien reproduire ses seins larges et épanouis et ses cuisses fuselées de sportive. En revanche, elle constatait tout en posant que sa queue se relevait parfois sous le chevalet d’un mouvement spasmodique comme s’il était excité par son corps. Loin de s’en offusquer, elle en fut flattée, et même de plus en plus remuée.

Lors d’une de ces pauses, il banda franchement, le pénis à l’horizontale (et quel pénis !) et elle sentit couler le long de sa cuisse un filet de liquide qui n’était pas de l’urine. Elle s’attendait à ce qu’il la culbute à la fin de la séance et au fond d’elle-même, elle n’attendait que ça. Mais il la congédia d’une bise sur la joue pendant qu’elle se rhabillait et Mylène rentrait chez elle frustrée, le bas-ventre en tumulte, se demandant si son âge n’était pas au fond un handicap rédhibitoire.


Lorsque Corinne l’interrogea sur la suite de ses séances, elle lui fit part de son amertume :



Les événements allaient toutefois donner raison à Corinne. Concentré sur son œuvre, le peintre semblait fignoler quelques détails. Il avait même permis à Mylène d’abandonner sa position et de revêtir le léger peignoir qu’il lui réservait entre deux poses.



Mylène se prépara également une tasse, et tous deux la sirotèrent sur l’espèce de vieux canapé qui trônait dans l’atelier. Le peintre lui annonça qu’il avait pratiquement terminé et que les séances de pose touchaient à leur fin.



Mylène faillit en faire tomber sa tasse. Elle s’attendait à tout sauf à cette proposition triviale. Elle allait ouvrir la bouche, mais Frédéric ne lui en laissa pas le temps. Il lui colla la sienne dessus en ouvrant son peignoir, soupesant ses seins glorieux qu’il avait peints avec volupté. Puis il descendit vers son sexe dont il ne tarda pas à percevoir l’humidité.



Mylène balbutia quelques mots qui se voulaient de protestation, mais n’étaient qu’adhésion tant elle aspirait à être pénétrée. Il se mit à genoux devant le canapé, insinua son visage entre ses cuisses désormais totalement découvertes par le peignoir et entama un long cunnilingus qui la fit bouillir sur place. La vulve béante, impatiente et dégoulinante, témoignait d’une envie de pénis longtemps contenue. Il s’en aperçut, mais avec un rien de perversité, insista de la langue. Il voulait qu’elle l’implore et elle l’implora :



Tranquillement, savamment, vicieusement, il se coiffa d’un préservatif avec lenteur, observant avec délectation cette femelle juteuse à peau d’albâtre dont le ventre frémissait d’impatience. Il lui mit devant les yeux sa queue proéminente et la retira quand elle voulut la saisir pour se la mettre. Il fit durer ce petit jeu en rigolant, observant le visage contracté de désir de la quinquagénaire. Puis il la prit par les chevilles, les écarta, visa et l’enfila. Jusqu’à la garde, d’un coup sec.


Elle piailla un bon coup, submergée par l’envahissement massif qui comblait enfin l’insupportable vide. Deux sexes avides l’un de l’autre se mélangèrent avec ardeur avec clapotis aqueux et chocs de peaux. Fouillée, écartelée et chahutée sur le canapé, Mylène répondait de son cul du mieux qu’elle pouvait dans cette position, histoire de montrer à son amant qu’elle n’avait rien à envier aux jeunettes qui l’avaient précédée. Mais l’homme se régalait, de son visage tantôt extasié, tantôt douloureux, de ses seins houleux, de son abdomen mouvant, de ses pieds qui cherchaient à le verrouiller en elle, de ses jappements et de ses objurgations à ce qu’il dure.


Le canapé offrait de multiples possibilités. Un coup il l’allongea, lui mettant un pied sur le dossier et lui assénant de vigoureux coups de queue qu’elle accompagna en lui pétrissant les fesses, ce qu’il adorait. Un coup il la mit à genoux face au dossier pour la pénétrer en levrette, ses mains sur les hanches, puis lui lécher longuement l’anus ce qu’elle interpréta, à juste titre, comme un prélude à la sodomie. Elle n’y mit aucun obstacle, car l’essentiel pour elle était de toujours sentir sa queue en elle et il sut la préparer suffisamment pour que sa pénétration anale ne rencontre pas d’obstacle majeur. Son compagnon ne serait jamais venu à l’idée de l’enculer et elle vécut cet envahissement comme une preuve tangible de désir qui se traduisit par un puissant orgasme, le troisième depuis le début de leurs ébats. Il aimait son cul et le lui dit en le fouillant, retenant son sperme avec difficulté tant elle s’agitait de la croupe. Un coup pareil méritait de l’endurance.


Il se retira en même temps qu’il arrachait sa capote et lui offrit son gland à sucer. Il y avait beau temps qu’elle en rêvait, à force de l’avoir vu se balancer sous le chevalet. Elle l’engloutit avec voracité en lui pétrissant les couilles au point qu’il gémit de douleur. Puis elle prit les choses en main en le forçant à s’asseoir sur le canapé. Elle voulait « le baiser ». Positionnée sur lui, elle guida son pénis vers son antre et se mit à cavaler comme une folle, allongeant la pénétration en se relevant très haut et en se laissant tomber sèchement, ses nichons dans le nez du peintre qui s’en gavait. Elle perdit alors complètement les pédales et se mit à le bombarder d’onomatopées, d’interjections et de quelques mots crus étonnants dans cette bouche distinguée :



Et le peintre, au bout du bout, éjacula un sperme copieux et épais qui dégoulina sur son bas-ventre après avoir fusé dans le vagin surmené de Mylène.

Légèrement groggy sur le canapé, assis côte à côte, le couple reprit peu à peu ses esprits et après un tour dans les toilettes, Mylène s’entendit proposer de jeter un œil sur le tableau. Frédéric retira le tissu masquant et le modèle découvrit son image avec stupéfaction. C’était elle, assurément, dans ses moindres détails anatomiques, elle ne pouvait le nier. L’artiste avait le pinceau réaliste. Mais ce qui la frappa fut son regard. C’était celui du désir, pour ne pas dire de la luxure. Le peintre avait traduit son envie de bite. La sienne. Comment le public allait-il prendre ça ?



Mylène demeura songeuse. De toute façon, ce qui était fait était fait et elle n’allait pas demander au peintre d’effacer le tableau. Elle avait pris ses responsabilités et adviendrait ce qui adviendrait. Elle se débrouillerait pour que son compagnon ne le prenne pas trop mal. Et sinon, tant pis pour lui ! Elle était une femme libre.

Quelques jours plus tard, elle retrouva Corinne dans leur salon de thé habituel.



Corinne lui raconta alors qu’elle avait entraîné une jeune voisine divorcée prénommée Célia, en manque d’homme, dans une boîte de nuit et que leur escapade s’était terminée par des galipettes à quatre dans un monospace. Mais c’est une autre histoire.