n° 20244 | Fiche technique | 13259 caractères | 13259Temps de lecture estimé : 8 mn | 07/05/21 |
Résumé: Ma découverte avec un homme plus âgé. | ||||
Critères: fh hplusag jeunes extracon revede noculotte caresses préservati pénétratio -initiatiq | ||||
Auteur : Lorene Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Ma première fois Chapitre 01 / 02 | Fin provisoire |
Pourquoi venir raconter mon histoire ? Tout simplement parce que l’homme qui a fait de moi une femme s’est éteint récemment. Et là, tout me revient en mémoire… Qu’elle fut belle cette année 1987 !
Je passe le bac. Beaucoup de révisions, je ne veux pas me louper ni décevoir mes parents. Je mets donc de côté ma vie sentimentale qui n’a jamais été extraordinaire jusque-là. Quelques copains, des mains baladeuses, mais rien de plus. Il faut dire que je ne leur laisse pas beaucoup de temps : entre les études, les révisions et le sport (je fais du triathlon), les journées sont trop courtes.
Pourtant, à bientôt dix-huit ans, je devrais sortir plus, je devrais profiter de la vie.
Bon, voilà, le bac est en poche avec mention bien, mes parents sont fous de joie, moi aussi, mais le plus dur commence. Je suis reçue en fac de sports et je dois quitter le cocon familial pour rejoindre la ville à une centaine de kilomètres, cela ne m’est jamais arrivé.
Il me faut donc trouver un appartement, idéalement proche de la fac. Pas d’internet à l’époque, les recherches s’avèrent difficiles jusqu’à ce que l’on trouve un joli petit F2 dans une résidence calme d’une dizaine d’appartements.
Le jour de la visite, nous sommes reçus par la propriétaire. L’appart possède une belle entrée, une cuisine équipée, une belle pièce à vivre et une chambre. Je vais être bien. Le loyer n’est pas très cher, je suis ravie, mes parents aussi. Les papiers sont signés le jour même. Quel beau cadeau à l’approche de ma majorité !
Mon emménagement est prévu mi-août, un mois avant la rentrée, mais je vais avoir besoin de m’habituer à cette nouvelle vie, de découvrir cette nouvelle ville et mon nouvel environnement.
Tout se passe bien ! Je ne vous cache que des larmes ont été versées quand il y a fallu quitter mes parents, mais c’est la vie…
Pas de chance pour moi, la première journée se passe sous la pluie, je reste donc dans mon nouveau chez-moi pour faire un peu de rangement et voir comment bien aménager mon espace. Je m’installe sur le canapé, allume la télé et tombe sur le câble sur une série inconnue. Je m’endors à moitié devant et je me réveille en sursaut en entendant des gémissements, le couple à l’écran est en train de prendre du bon temps. Je ne sais pas si c’est ma nouvelle liberté, mais mes sens se sont réveillés, je me mets alors à me caresser, d’abord mes petits seins… ouah ! Ensuite, je descends directement vers ma grotte où mes doigts ne mettent pas longtemps à trouver mon petit clitoris, et là… l’extase ! Le plaisir est arrivé, vite, très vite, intense. Quel pied… ! Je sens que je vais aimer ma nouvelle vie.
Je me mets à la recherche d’une piscine, j’ai besoin de me dépenser et – pourquoi pas – de faire des rencontres… Je ne vais pas rester seule dans mon coin.
J’aime aller à la piscine de bonne heure avant la cohue en cette fin de vacances, je peux aligner les longueurs sans être gênée. Par contre, le revers de la médaille, il n’y a pas beaucoup de personnes de mon âge. Dommage… !
En rentrant, c’est généralement un peu de ménage, un repas vite avalé, une petite séance de masturbation et une bonne ballade pour découvrir ma nouvelle ville.
Mes logeurs sont vraiment sympas… Toujours un petit mot gentil lorsque l’on se croise. Même si je ne suis pas dupe, je me sens observée, épiée, déshabillée par Dany le propriétaire.
J’essaie de ne pas y faire attention, parce qu’en plus d’être marié et âgé (il est plus âgé que mes parents) il ne m’attire pas du tout physiquement. Je me dois quand même d’être honnête, cela me fait malgré tout quelque chose et ça alimente mes fantasmes pour mes masturbations quotidiennes.
On approche à grands pas de septembre. La rentrée et cette immersion me font le plus grand bien… ainsi qu’à mes parents. Je viens de gagner en maturité, reste à réussir mes études STAPS.
Après un week-end passé chez mes parents, me voilà ce lundi de retour dans mon antre, et là, désolation. À peine, ai-je posé mon sac et ouvert les volets que je m’aperçois d’une énorme mare d’eau devant l’évier de la cuisine. C’est la panique générale, j’essaie de rassembler mes idées et me souviens des conseils de mon père : « Si tu vois une fuite, tu viens là, regarde. Il y a l’arrivée d’eau, tu tournes la manette dans ce sens et l’eau arrêtera de couler. »
Voilà qui est fait, je me mets à éponger, éponger et éponger. Finalement, plus de peur que de mal ! Je ne vois aucun dégât, gros « ouf » de soulagement. Cette sérénité n’est que provisoire, si je remets en route l’eau, ça va à nouveau fuir.
Pas moyen de joindre de mon père qui est au travail ! Une seule solution, bon, ce n’est pas celle qui m’enchante le plus, mais je vais aller prévenir le propriétaire et voir s’il peut tenter de réparer cette fuite. Un peu stressée, je monte jusqu’à leur appartement, je sonne, et Dany me répond. En lui expliquant le problème, il me rassure vite en me disant qu’il prend ses outils et descend tout de suite.
En moins de deux minutes, Dany arrive.
Le silence… pas un mot. Dany est allongé en dessous de l’évier pour tenter de changer le joint qui a lâché. Et là, il se passe une chose que je n’avais pas imaginée. Le rouge me monte aux joues, mon cœur s’accélère et je ressens des picotements plein le bas-ventre.
Cette chose, cette bosse énorme déforme son short : mon propriétaire est en érection ! Je n’avais jamais vu ça malgré les cassettes coquines bien cachées par mes parents que j’avais débusquées.
Le joint réparé, il se relève, mais je reste le regard figé sur cette bosse énorme. Dany s’aperçoit de mon trouble et il y a un moment de gêne… Un de ces moments où les secondes paraissent des heures. Plus je fixe et plus j’ai l’impression que cela prend de l’ampleur. Il pose sa clé à molette sur la table, me regarde, pas vicieusement, avec beaucoup d’envie, puis me tend ses deux mains.
Que faire ? Mince, j’ai peur ! Il ne me faudrait pas grand-chose pour aller plus loin.
Je lui tends aussi mes deux mains et là, je comprends… Je vais coucher, pour la première fois je vais faire l’amour, pas avec l’homme de mes fantasmes, mais je vais le faire.
Il m’attire à lui, je fonds complètement, j’ai envie. Ses lèvres s’approchent des miennes, on se cherche avec plein de petits bisous, c’est bon. Puis, je sens sa langue qui force le passage et je lui cède. Je n’ai jamais connu cette sensation, nos langues se mêlent, nos langues s’emmêlent et j’aime ça.
Ses mains restées sur mes hanches ont vite fait de bouger, je les sens descendre, passer en dessous de ma jupette. Des frissons parcourent mon corps, je ne veux pas que ça s’arrête. Je me déconnecte complètement de la réalité, passe mes mains dans ses cheveux, et nous continuons notre ballet de langues. Il embrasse comme un dieu, nos salives se mélangent, ses mains appuient sur mes fesses, je me colle à lui et malgré son bon embonpoint, je le sens tout dur. Nos corps se frottent et là, je me tétanise. Une sensation toute nouvelle, je suis en train de jouir pour la première fois avec un homme, c’est le pied, c’est fort, très fort.
Je le regarde droit dans les yeux et je serre les dents, et je continue de trembler. Il m’adresse un sourire qui me fait craquer. Je cherche à nouveau ses lèvres, je cherche à nouveau sa langue, j’ai le meilleur professeur.
Il me retourne, se colle à mes fesses, je ressens tout son désir. Il balaie mes cheveux et, par petite touche, se met à m’embrasser dans le cou. C’est merveilleux ! Ses mains ne restent pas inactives, elles passent en dessous de mon tee-shirt, en un tour de main mon soutien-gorge est défait. Ses grosses mains s’attaquent à ma poitrine, il joue avec les tétons, il les tire, les titille. Mes seins de sportive ne sont pas gros, mais très sensibles, il le sent, il le sait.
Je sens toujours ses mouvements contre mes fesses, son sexe toujours tendu. Je me lance, ma main droite jusqu’alors restée le long de mon corps se pose sur son sexe, c’est tout nouveau pour moi, je ressens une tension extrême au travers de son short et je l’entends gémir. Moi, la petite de 18 ans, je suis en train de donner du plaisir à cet homme de 57 ans.
Mon tee-shirt rejoint mon soutien-gorge, je suis à moitié nue et j’aime ça. Il y a une demi-heure, cela était impensable, mais maintenant, je n’ai pas envie de revenir en arrière. Je veux qu’il fasse de moi une vraie femme, je n’ai plus peur, je le veux.
À nouveau, nous nous embrassons, passionnément, le moment fatidique arrive. Il se recule un peu :
J’essaie d’ouvrir la bouche, mais aucun son n’en sort, puis enfin, je parviens à ânonner un oui incompréhensible. Je me reprends.
Je vois son visage qui s’illumine, il mesure de suite sa responsabilité et me promet d’être le plus doux, le plus tendre possible.
Il me prend la main et m’emmène dans ma chambre. Il s’assoit tranquillement sur le lit et m’attire à lui, je reste debout, juste devant lui. Ma jupette et ma petite culotte sont retirées sans que je sache vraiment comment il s’y est pris. Me voilà complètement nue devant lui, une main sur mes fesses et l’autre s’aventurant à la recherche de mon bouton d’amour qu’il ne tarde pas à trouver. Je me sens toute dégoulinante.
Comme promis, ses gestes sont d’une douceur infinie. Après m’avoir arraché de nombreux petits cris, il entreprend de se mettre nu. Je ne vais pas me le cacher, ce n’est pas l’apollon de mes rêves, mais il y a quelque chose d’indéfinissable qui m’attire, peut-être sa lance qui pointe le ciel.
Dany s’allonge sur le lit non sans prendre un préservatif dans la poche de son short (sur le coup, cela ne m’a pas paru drôle, mais j’ai appris par la suite qu’il avait préparé son coup et qu’il avait envie de moi depuis la première fois qu’il m’avait vue).
Le voir mettre le préservatif sur son sexe a quelque chose de véritablement sexy.
J’enjambe son corps et me retrouve sur lui. Je le sens, il entre en moi doucement, tout doucement, millimètre par millimètre.
Les va-et-vient ne sont pas encore entamés que je jouis déjà. Je le sens bien en moi, j’ai l’impression d’être écartelée. Il entame enfin de très doux aller-retour, et à chaque mouvement je ressens des sensations différentes… Je prends un pied infernal. Je me penche sur lui, je cherche sa bouche, je veux sa langue, je veux sa salive, je deviens folle.
Après dix minutes de ce traitement, il s’écrie :
Au travers du plastique de son préservatif, une drôle de chaleur apparaît… il prend son pied. De sentir cette chaleur et de voir son visage se déformer, je jouis avec lui. Pour moi, c’est ma cinquième ou sixième jouissance.
Je me laisse tomber sur lui comme un poids mort. Le silence s’installe dans la chambre, il me caresse les cheveux. Je n’ai pas envie de bouger, je veux rester comme ça le plus longtemps possible. Malheureusement, la nature reprend ses droits et son sexe perdant de la vigueur s’apprête à complètement sortir de mon antre. Nous prenons donc la décision, à mon plus grand regret, de bouger.
Direction, salle de bains, nous y allons main dans la main, il nous faudra cinq bonnes minutes pour y arriver. Nos bouches n’arrivent pas à se décoller, ses mains restent collées à mes seins.
Après une petite toilette de circonstance, je dois me remettre à préparer mes révisions et il doit retourner chez lui. Après son départ, je suis dans une certaine béatitude et ne me suis jamais sentie aussi bien. Je suis devenue une femme de la plus belle des manières, et surtout, avec le meilleur des partenaires que j’aurais pu avoir.
Je ne suis plus vierge. Ce n’est que la première fois, mais je sais qu’il y en aura encore beaucoup d’autres.
À suivre…