n° 20261 | Fiche technique | 25788 caractères | 25788Temps de lecture estimé : 14 mn | 16/05/21 |
Résumé: Trois premiers souvenirs plutôt mignons, très gentillets et ultra-softs. | ||||
Critères: fh grp couple voir exhib fellation portrait -couple | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Une petite nichonneuse en balade Chapitre 01 / 05 | Épisode suivant |
Trois premiers souvenirs plutôt mignons, très gentillets et ultra-softs.
Ne pas confondre auteur et narrateur…
Bonne lecture :)
Voici venir quelques souvenirs liés à Lola, ma chère petite femme, puisqu’il faut bien avouer qu’elle n’est pas très grande. En plus de l’avoir fait naître rousse, Dame Nature ne l’a pas oubliée du côté des courbes et des formes, et petit à petit, ma compagne a su en jouer, bien qu’au départ, ce n’était pas gagné. Comme j’ai les idées larges, tout comme mes épaules et mes mains, se sachant protégée et comprise, elle a su se mettre de plus en plus à son avantage, et parfois peut-être un peu trop…
Mais je ne vais pas me plaindre…
Parfois, certaines personnes qui ont le sens de la plaisanterie un peu graveleuse rebaptisent ma chère épouse en lui donnant le surnom de Lolo. Ce qui n’est pas tout à fait faux, mais c’est à leurs risques et périls…
Je connais des hommes qui fantasment violemment sur le fait d’avoir dans leur vie une femme qui fasse le dixième, voire le vingtième des exhibitions de la mienne. Hélas non, l’égalité n’est pas la même pour tout le monde… Certains parleront de chance. Moi, je dis qu’on peut donner de gros coups de pouce à la chance et au hasard. Aide-toi, le ciel t’aidera, dit-on…
Je pense qu’un gros coup de pouce a été donné lors d’une fameuse soirée. Ma femme n’a jamais été trop prude, mais nous réservions nos petites cochonneries à la chambre à coucher, même si nous faisons souvent des extras dans d’autres lieux. Mais ça restait entre nous deux, uniquement.
Tout ceci commence lors d’un repas organisé chez nous avec deux autres couples, lorsque l’une des copines de ma femme la met au défi, après avoir lu un article vu sur un site web ou sur un blog. Je m’en souviens comme si c’était hier.
Murielle réfléchit un peu, puis elle lâche :
Valérie se mêle à la conversation, proposant :
Appréciant ce renfort inattendu, ma femme acquiesce aussitôt :
Acerbe, Murielle rétorque en s’adressant à Valérie :
Valérie marque une légère pause, puis enchaîne :
Bien entendu, nous (les trois hommes, les maris) avons suivi avec un intérêt non dissimulé cette étrange, mais captivante conversation ! Murielle la blonde, Valérie la brune, et Lola la rousse, toutes les trois en train de montrer leurs lolos lors d’une soirée, c’est un spectacle qu’il ne faudra surtout pas manquer ! Oh non !
Hélas pour nous, les hommes, les femmes sont tombées d’accord sur le fait qu’aucune photo et qu’aucune vidéo n’immortaliserait la scène enchanteresse de ces six seins dénudés livrés à la convoitise de nos yeux. Dommage… vraiment dommage.
Les jours suivants passent, majestueusement longs et lents…
Puis arrive la fameuse soirée chez Murielle, celle des lolos à l’air. Je reconnais que ma femme a fait fort avec sa tenue, spécialement commandée pour l’occasion sur le web. Avant de sortir, elle revêt un petit gilet noir afin de cacher au mieux son dernier achat. Je la comprends…
Avant de sortir, je me tourne vers elle et lui demande :
En route ! Il ne nous faut pas bien longtemps pour arriver chez Murielle. Ah oui, c’est vrai que pour indiquer un foyer, une habitation, on mentionne la plupart du temps le prénom de la femme et non celui de son mari, ni même celui du couple. Ainsi, nos soirées se passent chez Murielle ou chez Valérie, et parfois, chez Lola, comme si, nous les hommes, nous étions invisibles…
Quand nous mettons les pieds chez Murielle, tout le monde est déjà arrivé. Calmement, ma femme fait la bise à tout le monde, puis se reculant un peu, elle ôte lentement son gilet pour dévoiler sans complexe sa tenue du soir.
Comment expliquer sa « robe » ébène ? Je vais essayer…
Décrivons ça de haut en bas. Imaginez pour commencer une sorte de collier autour du cou auquel sont attachées par-devant trois lanières, une de chaque côté et une au centre, ce qui fait que Lola exhibe ses seins blancs et lourds bien en évidence, ses tétons étant cachés par des étoiles autocollantes noires.
Le tissu reprend ses droits sous ses seins, à l’image d’un serre-taille, et descend jusqu’à mi-cuisse. Le bas de la robe est fendu de chaque côté, ce qui permet fort bien de contempler de temps à autre le haut de ses jambes gainées de noir, ainsi qu’un peu de chair blanche. Plus bas, des chaussures à talons assortis de la même couleur. Derrière, un dos nu sur lequel flottent ses cheveux de feu.
À ce spectacle, Murielle et Valérie ouvrent de grands yeux. Leurs maris aussi, la langue sortie en prime. C’est Mumu qui réagit la première :
L’index tendu en avant, ma femme rétorque aussitôt :
Avant que Murielle ne proteste, Valérie se met à rire :
Grinçante, Murielle riposte :
Et elle le prouve aussitôt en faisant tomber les deux bretelles du haut de sa robe, révélant deux mignons seins qu’on pourrait croire être ceux d’une jeune fille. Devant l’aisance de Valérie à faire voir sa poitrine, Mumu en reste bouche bée. Goguenarde, la brune lui lance alors :
Murielle foudroie du regard les hommes présents dans la pièce :
Gouailleuse, Valérie se tourne vers les hommes :
Devançant tout le monde, j’affiche un large sourire :
Stressée par la tournure des événements, Murielle coupe notre conversation :
Une fois de plus, Valérie trouve une échappatoire :
En effet, quelques minutes plus tard, Murielle revient comme habillée d’une sorte de serre-taille qui cache quand même son pubis et son intimité, tout en révélant copieusement ses seins lourds et ses fesses avenantes. Lola qui s’y connaît plus que moi en matière de robe m’expliquera plus tard qu’il s’agit d’une robe asymétrique enroulée sous les seins, dont le rebord haut a été glissé sous le tissu.
Toujours est-il que durant toute la soirée, nos femmes resteront seins nus pour notre plus grand plaisir, et qu’elles ne seront visiblement plus gênées de l’être au bout de dix minutes. Quelque chose me dit que ça ouvre la porte à bien d’autres soirées amusantes !
Il n’est pas toujours évident pour les hommes de garder la tête froide et une bonne tenue de conversation quand on a sous les yeux trois paires de seins ayant chacun leur attractivité. Je ne suis pas trop fan des poitrines menues, mais je fais sans souci une notable exception pour celle de Valérie, surtout que ça lui va très bien.
Non, désolé de vous décevoir, mais cette soirée n’a pas dégénéré en orgie festive et débridée, ou autre scénario commun dans certains livres ou vidéos. Tout s’est déroulé normalement, mis à part un rinçage d’œil très copieux.
Quand arrive la fin de la soirée, sans complexe, Lola part s’asseoir dans la voiture, sans chercher à se couvrir la poitrine. À ma grande surprise et à ma grande satisfaction, elle reste ainsi seins à l’air durant tout le trajet.
Oui, quelque chose me dit que la porte est devenue largement ouverte !
On dit souvent que c’est le premier pas qui coûte et qu’ensuite tout glisse sur des rails ou comme sur un toboggan. Pour ma part, je constate que c’est vrai puisque ma douce et tendre femme a ensuite eu une attitude nettement décontractée en ce qui concerne son anatomie.
La soirée entre copines s’est reproduite diverses fois, et ce, pour la plus grande satisfaction des maris présents sur place. En même temps, ma femme a commencé à s’émanciper petit à petit, surtout lors de balades dans la nature…
Justement, en parlant de balade dans la nature, je vais évoquer un autre souvenir…
Pour les vacances d’été, nous sommes actuellement en Dordogne, nous nous baladons dans la verte campagne, sur une petite route peu fréquentée. Au-dessus de nous, le soleil ne ménage pas ses efforts, d’ailleurs Lola porte un grand chapeau de paille qui la protège, les coups de soleil pouvant faire des dégâts sur sa peau trop laiteuse. Quant à moi, je me contente d’une casquette à visière.
Comme souvent, ma femme est habillée très léger avec une robe sans bretelle blanche tachetée léopard. Je suppose qu’elle a au moins une petite culotte par-dessous, mais je n’en suis pas certain. En revanche, elle ne porte pas de soutien-gorge, c’est flagrant, ses épaules étant nues, et ses seins oscillant un peu trop sous le tissu.
Alors que nous sommes à trois-quatre kilomètres de notre lieu de villégiature, ma femme soupire abondamment :
À peine ces mots dits, elle jette un coup d’œil à droite, puis un autre à gauche, puis sans prévenir, elle abaisse sa robe bustier sous ses seins, révélant deux belles masses albâtres avec lesquelles j’adore jouer le plus souvent possible. Une rousse mutine aux cheveux de feu qui exhibe ses seins tout laiteux, ça me fait toujours un effet fou !
Une peu narquoise, Lola s’exclame de façon faussement innocente :
La promenade me semble nettement plus captivante, même si je connais par cœur le corps de ma femme. Pour mieux déambuler, Lola case le haut de sa robe sous ses seins, ceux étant à présent comme présentés en plateau. Pas vraiment à l’horizontale, mais ça fait son joli effet, d’autant que sa poitrine tangue agréablement sous chacun de ses pas.
Une belle vision champêtre…
La route n’est pas si déserte que ça, puisque nous croisons quelques cyclistes masculins, ainsi que deux tracteurs. Parfois nous avons droit à quelques sifflements admiratifs, parfois à des pouces levés. Bref, tout le monde est content, Lola en premier, plutôt fière de son exhibition. Néanmoins, il ne faudrait pas qu’elle attrape un coup de soleil sur ses seins trop blancs !
Elle n’a pas froid aux yeux et encore moins aux tétons qu’elle a mignons. Visiblement, cette exhib l’amuse un tantinet, et moi, ça m’excite énormément ! Ma libido monte en flèche, je trouve ma femme encore plus désirable, je sens que je ne vais pas résister très longtemps.
N’y tenant plus, je prends Lola par la main, puis je l’entraîne derrière un bosquet, à quelques pas de la route. Elle se met à rire :
Sans plus attendre, je l’embrasse, tout en n’oubliant pas de lui peloter copieusement les seins. Quelle volupté de jouer avec, de sentir leurs masses douces entre mes doigts ! Ça exacerbe encore plus mon désir. Nos bouches se séparent momentanément, ma femme murmure :
Elle pose son doigt sur mes lèvres :
Pour vérifier, je plonge ma main dans une de mes poches :
Je fais la grimace, j’aurais dû prévoir ! Amusée, Lola pose sa main sur le tissu tendu de mon short et commence à tâter ce qu’il y a par dessous :
Elle accentue sa caresse impudique :
Lola se met à sourire :
Peu après, mon vit est à l’air, bien raide, bien tendu. Agenouillée, devant moi, Lola fait glisser ses lèvres et sa langue sur mon gland écarlate. Puis elle s’occupe efficacement de ma colonne de chair frémissante, à grands coups de léchouilles, de suçons et de baisers appuyés. Son abondante salive dégouline petit à petit vers mes testicules, ce qui est à la fois excitant et obscène. Je serre les dents pour mieux me contenir.
Ma femme descend de plus en plus bas, puis elle s’attaque à mes bourses, ce qui me fait frémir encore plus ! Je sens que je vais vite craquer ! Non seulement ma femme est une petite exhibitionniste, une nichonneuse d’enfer, mais en plus, c’est une très bonne suceuse quand elle s’en donne la peine. Pour un peu, je la qualifierais de mignonne salope, mais dans le bon sens du terme !
Tandis qu’elle suçote impudiquement une de mes boules, je gémis :
Délaissant mes testicules gluants de salive, elle s’empare de mon vit pour l’absorber à moitié. C’est alors que j’ouvre en grand les écluses, afin d’inonder cette bouche si suave et chaude. Je me vide en elle, mon cerveau s’assèche, mes membres rétrécissent, je me sens comme aspirée par ma queue pour venir disparaître dans la gorge de ma femme !
La sensation est géante ! C’est génial de se faire sucer en pleine nature sous le soleil !
Puis, je sombre dans une demi-torpeur réparatrice…
Une fois de plus, il sera prouvé qu’il n’y a que le premier pas qui coûte le plus, puisque les autres jours de notre séjour, ma chère Lola s’amusera à se balader de nouveau, seins à l’air dans la verte campagne, pour la plus grande joie des touristes et des locaux, sans oublier votre serviteur…
Aujourd’hui, comme nous avons un premier rendez-vous avec un nouveau couple, Lola s’est habillée uniquement d’une jupette noire et d’un débardeur rouge vif, dont le décolleté en V n’était pas triste. J’ai bien écrit : uniquement. Moi-même qui la connais pourtant depuis bien longtemps, j’en ai des sueurs chaudes, ce qui la fait rire :
Elle m’adresse un grand sourire lumineux, plutôt fière d’elle-même. Puis nous partons en voiture à notre rendez-vous. Comme déjà évoqué, aujourd’hui, nous rencontrons un nouveau couple, un peu dans notre genre, c’est-à-dire dont la femme est aussi un peu exhib. En clair, nous allons voir s’il est possible d’envisager une mutualisation de nos moyens.
En effet, Lola est en train de passer doucement à la vitesse supérieure. Mais seule dans son coin, ça manque un peu d’émulation, d’où l’idée d’un autre couple complice. Nous ne pouvons pas compter sur Murielle ni sur Valérie. La première est restée assez prude en acte, quant à la seconde, ça ne l’intéresse pas plus que ça. De ce fait, il nous faut chercher une aide extérieure.
Merci Internet et ses sites spécialisés. Le temps des petites annonces dans un périodique gratuit est bien loin…
Nous avons prévu de nous rencontrer dans une petite brasserie située dans une grande clairière, le coin étant fréquenté par les amoureux de la nature et nettement moins par les chasseurs, ce qui est préférable dans pareil cas. Je connais un peu ce lieu, je sais que l’endroit sert de lieu de rencontre à une faune très éclectique. D’après un de mes amis, il est amusant de se mettre dans un coin et d’admirer le spectacle offert par les autres clients.
Quinze minutes plus tard, nous arrivons à bon port, l’autre couple nous attend déjà. Au moins, ils sont encore plus ponctuels que nous. Je constate avec plaisir qu’ils ressemblent à leurs photos. Il arrive qu’il y ait quelques surprises de ce côté-là. Nous nous saluons :
Angèle est un peu plus grande que Lola, une brune assez mince, avec un peu moins de poitrine si j’ai bien vu. Contrairement à ma femme, elle est habillée classique, n’ayant pas osé une tenue sexy. Son mari, un grand blond, semble visiblement apprécier l’actuelle tenue de ma femme, il louche carrément sur ses appas que son débardeur rouge ne cache pas vraiment.
Hélant le serveur, je passe commande pour tout le monde. Le jeune homme prend note, mais n’oublie pas de plonger de temps en temps son regard dans le décolleté prometteur de ma femme, d’autant qu’il la surplombe avec une belle vue en plongée.
Au début, nous parlons un peu de tout et de rien. C’est Angèle qui aiguille la conversation en disant à ma femme :
Joignant le geste à la parole, Angèle déboutonne quelques boutons à son chemisier. J’ai bientôt le plaisir de découvrir un mignon décolleté. De son côté, Matthieu est toujours subjugué par les masses assez devinables de ma femme, surtout que celles-ci oscillent facilement sous ses gestes. Et il n’y a pas que lui qui ait les yeux rivés sur la poitrine de Lola, d’autres hommes assis sur les tables voisines en font de même.
Le courant semble bien passer entre les deux femmes. À prime vue, Lola vient d’émuler Angèle. Elles sont déjà en train d’évoquer d’éventuels lieux d’exhib pour les jours et les semaines à venir. Je sens que nous avons bien fait de prendre rendez-vous à quatre.
Venant nous apporter les boissons, le jeune serveur s’attarde un peu à notre table, je le comprends parfaitement : si j’étais à sa place, j’en ferais de même. Une fois qu’il a tourné les talons, les femmes s’en amusent :
Lola pose carrément ses seins sur la table. Angèle se met à rire, Matthieu ouvre des yeux grands comme des soucoupes, accompagné dans son imitation du loup de Tex Avery par divers voisins de table. Ce qui m’amuse beaucoup.
Étrangement, dans les secondes qui suivent, le serveur vient nous demander diplomatiquement si tout va bien, alors qu’il vient juste de déposer nos verres, il y a peu de temps. Sans complexe, Lola lui demande s’il n’aurait pas une rondelle de citron pour accompagner son Coca Lite. À peine deux minutes plus tard, la rondelle flottait dans son verre.
Rien ne vaut une belle paire de lolos bien présentés pour être servis avec diligence…
Nos femmes échafaudent divers plans, elles regrettent presque de ne pas pouvoir faire quelque chose, là tout de suite, mais ce n’est que partie remise. Je sens que notre prochaine rencontre débouchera sur quelque chose de fort intéressant, les deux femmes s’accordant fort bien et se complétant. Bonne pioche !
L’avenir nous dira quoi…