n° 20263 | Fiche technique | 25412 caractères | 25412 4009 Temps de lecture estimé : 14 mn |
17/05/21 |
Résumé: Juste avant que ne débute la soirée, Léopold gère l'ordre du jour, faisant un récapitulatif des dernières semaines. Pour la plus grande satisfaction de tous, il ne lui faut que quelques minutes pour faire le tour. | ||||
Critères: fhh couleurs fellation cunnilingu 69 sandwich -libercoup | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Collection : Le Cercle (début des années 80) |
Imaginez un monde sans Internet, sans smartphone, sans CD, sans DVD, sans centaine de chaînes de télé, sans ordinateur puissant.
Une époque pourtant pas si ancienne.
Chaque histoire de cette collection sera indépendante des autres, avec quelques allusions
Bonne lecture :)
Clémentin, le très grand vénérable.
Léopold, le grand vénérable, disciple de Clémentin, encore en pleine forme malgré les années.
Markus, le chéri de ces dames.
Noémie, très gentille, mais assez poire, trouve du réconfort dans le Cercle.
Nadine, débutante enthousiaste surtout de Markus, et Nathan, grand amateur des trios HHF.
Isabelle, plutôt gérontophile, et Laurent qui s’intéresse à Noémie, l’opposée de sa femme.
Mella qui paraît plus jeune que sa fille aînée bientôt majeure, Xavier, fou fondu de sa petite femme.
Danaé, copine de vice de Mella, et Gaétan, coopteur d’Isa et Laurent.
Arrêtons ici la liste… De toute façon, dans ce récit, le nombre de personnes évoquées sera restreint, puisque focalisé sur un seul couple (Nadine et Nathan).
Arrêtons ici la liste… De toute façon, dans ce récit, le nombre de personnes évoquées sera restreint, puisque focalisé sur un seul couple (Nadine et Nathan).
Juste avant que ne débute la soirée, Léopold gère l’ordre du jour, faisant un récapitulatif des dernières semaines. Pour la plus grande satisfaction de tous, il ne lui faut que quelques minutes pour faire le tour, sans chercher à faire des discours sans fin. Quand il en a fini, Mella lui demande :
Mella hoche la tête :
Sa grande copine Danaé enfonce le clou :
Celui-ci se défend mollement :
Esquissant un sourire, Léopold acquiesce :
Puis il change de sujet :
Léopold liste les différentes sorties possibles, les écrivant sur un paperboard. Tout le monde se met d’accord sur le futur calendrier des événements. Me manifestant pour la première fois, je propose :
Léopold dit alors :
Se tournant vers le paperboard, Léopold consulte le calendrier :
Toutes les mains se lèvent. L’organisateur sourit :
Puis il se tourne vers moins, me demandant :
Adresse qu’il écrit sur le paperboard. Nadine se penche vers moi :
À ces mots, elle rougit :
L’ordre du jour continue encore quelques minutes, puis arrive le moment tant attendu de la soirée par les diverses personnes qui se regroupent. Collée contre moi, Nadine demande :
Ressentant une intuition, je tourne la tête :
Je tends le bras par-dessus ma tête pour indiquer notre présence :
D’un pas allègre et souple, un quasi-clone de Markus s’approche de nous. Ma femme ouvre grands ses beaux yeux sombres, elle est assez stupéfaite de la ressemblance entre les deux cousins. Il est certain qu’elle ne sera pas dépaysée !
Après avoir fait la bise à ma femme, et m’avoir serré la main, le nouveau venu se présente à Nadine, la principale concernée par ce changement de partenaire :
Mon épouse concède :
Nadine rougit. Pour ma part, je souris. Adama semble un peu plus massif que son cousin, ce qui n’est pas un mal. Un beau spécimen de mâle ébène. Je me demande quel engin cache son pantalon, je le saurai assez vite, ma femme aussi…
Adama semble être plus directif que son cousin :
Nadine rougit encore un peu plus. Venant du fond de la salle, toute en ondulations, Danaé se rapproche de nous :
Puis elle s’éloigne, ondulant du bassin de façon très évocatrice. Assez rêveur, Adama contemple la scène, puis s’arrachant à cette vision prometteuse, il se tourne à nouveau vers Nadine, un grand sourire gourmand sur les lèvres :
Puis lui saisissant le bras, il l’entraîne dans un coin de la pièce où nous attend une large table sur laquelle est posé un matelas. Le tout est calculé stratégiquement pour faciliter certaines pratiques et positions. Adama teste la souplesse du matelas :
Visiblement, le remplaçant aime mener la danse, je vais voir jusqu’où. Sereinement, Adama attire ma femme contre lui, puis tout en l’embrassant dans le cou, il balade ses mains un peu partout sur les courbes du corps féminin offert. Je constate que Nadine apprécie énormément cette entrée en matière. Pour ma part, je constate que le remplaçant possède une certaine expérience, vu la façon dont il patine ma femme, avec ses nombreuses caresses. J’ai la curieuse impression qu’il n’y a pas un geste de trop…
Puis il s’empare de ses lèvres, Nadine se laisse faire, subjuguée. Cette nouvelle phase dure un long moment, ma femme est de plus en plus émoustillée, en témoignent ses mains qui se promènent un peu partout sur le corps ébène. Puis soudain, Adama desserre son étreinte, laissant ma femme reprendre un peu ses esprits.
Posément, Adama s’assied sur le rebord, ôtant tranquillement son pantalon et son slip. Peu après, il révèle un engin bien calibré, qui me semble plus gros que celui de son cousin. Puis il s’allonge partiellement sur le dos. Désignant ensuite sa colonne de chair, il exige :
Je trouve qu’il y va fort, même si je lui avais confié qu’il faut parfois un peu « forcer » ma femme. Avec une légère hésitation, ma femme s’empare de la colonne de chair et commence une fellation de premier choix. Elle y va de bon cœur, indiquant ainsi qu’elle est plutôt satisfaite du changement. Elle s’applique, choyant comme il se doit la colonne de chair plutôt conséquente. Comme le dirait mon boucher, c’est un beau morceau. Adama se laisse faire quelques instants puis ordonne :
Délaissant la verge qu’elle a en bouche, ma femme s’inquiète :
Elle fait mine de le sucer à nouveau, Adama repousse gentiment sa tête :
Obéissante, elle grimpe sur lui, se présentant au mieux, et quelques secondes plus tard, ils entament un splendide 69. Je trouve que Nadine a facilement pris le train en marche. Il est vrai aussi qu’une soirée au Cercle ne signifie pas faire du tricot ou jouer aux dominos. Voyant son popotin onduler sous mes yeux, je décide de me faire plaisir et m’occuper de ma coquine de femme.
Ma langue agile agace à fond son petit trou qui s’évase doucement. Pour mieux y accéder, j’écarte ses fesses de mes mains afin de mieux dégager l’entrée. Parfois, ma langue délaisse l’orée de son puits sombre pour laisser la place à un doigt qui en titille le seuil. Toujours en pratiquant l’alternance langue et doigt, son œillet s’élargit petit à petit.
Durant ce temps, ma femme s’active autour du pieu de chair de son nouveau jouet, avec bien des bruits salaces de succion ! Elle est vraiment en train de le déguster ! Depuis l’arrivée de Markus dans notre vie, Nadine est devenue beaucoup plus libérée, ou, plus vulgairement, une belle salope… Je suis quand même un peu étonné qu’elle ait accepté si facilement le cousin et ses exigences, mais je ne vais pas me plaindre !
Je me demandais si ma femme me permettrait d’élargir le cercle, il semble bien que oui. Ce qui présage bien des futures séances intéressantes.
Afin de faciliter la suite des événements, je plonge mon index dans sa chatte, Adama me laissant momentanément le passage. Je farfouille un peu, puis je me dirige à nouveau vers son entrée interdite. Sans effort, mon doigt s’enfonce dans son rectum. Il est vrai que ma femme commence à avoir l’habitude qu’on passe par la petite porte.
Nadine vibre autour de mon doigt, je sens nettement ses contractions. Une première phalange passe, puis une autre. Comme d’habitude, je passe les étapes calmement, mais sûrement. Comme de coutume, le doigt disparaît entièrement. Ma femme remue du popotin, suçant toujours Adama avec ferveur, celui-ci léchant, dégustant, buvant sa chatte détrempée.
Elle soupire de plaisir, son corps n’est plus qu’une immense ondulation. Mon doigt farfouille ses entrailles. Les mouvements rythmiques de ses sphincters m’indiquent qu’elle est en train de jouir sous la langue agile d’Adama, aidée par mon index inquisiteur.
De son côté, Adama n’en peut plus, il lâche ses jets de sperme dans la bouche de ma femme, si j’en crois les quelques bruits de déglutition que j’entends. Tant en avalant, elle jouit en de longues vibrations. Belle synchronisation !
Quelque temps plus tard, elle se dégage, la bouche pleine de sperme qui suinte jusqu’à son menton et nous regarde tous les deux de ses yeux sombres. Un mouvement de sa gorge indique clairement qu’elle vient d’avaler un dernier oubli, puis elle passe sa langue sur ses lèvres pour enlever l’écoulement. Avec un sourire assez pervers, elle annonce distinctement :
Le sexe luisant en berne, Adama la félicite :
Il se met à rire :
À cette proposition, Nadine écarquille les yeux :
Ma femme fait la moue :
Puis il s’allonge à nouveau sur le matelas, sa verge bien pointée vers le plafond, invitant du geste ma femme à venir s’empaler dessus. Devant la taille de l’engin, Nadine hésite, ce qui est compréhensif. Posant ses mains sur les hanches de sa partenaire, Adama guide ma femme. La longue tige disparaît partiellement en elle. Elle gémit sourdement :
La verge est ensevelie à moitié dans la vulve de Nadine qui respire à grands coups, sa poitrine se levant et s’abaissant au rythme de son souffle assez syncopé. Ma femme rejette sa tête en arrière, le nez tendu vers le plafond.
La lente descente continue, irrémédiablement, implacablement. Je suis étonné que ça se passe si bien… comme une lettre à la poste. Sans doute que Nadine mouille de façon copieuse pour absorber ce mandrin qui l’écartèle.
Basculant la tête vers Adama, ma femme regarde de façon intriguée son partenaire couché sous elle. Celui-ci lui répond placidement :
Puis son amant commence un lent mouvement de pistonnage qui semble faire plaisir à Nadine, puisque déjà s’échappent de sa bouche quelques soupirs de satisfaction. Ses mains toujours sur les hanches de ma femme, Adama s’exclame :
Puis le pistonnage s’amplifie, ma femme tressaille sans effort sur ce pal qui s’enfouit au plus profond de son corps. Je décide alors de m’inviter au bal avant que ce ne soit plus possible. Je fais signe à Adama que je souhaite investir l’autre porte.
Enduisant mon gland de lubrifiant, je pointe ensuite mon dard vers l’entrée sombre nichée entre les fesses accortes de mon épouse. En un rien de temps, mon bout turgescent disparaît sans effort. Puis je fais coulisser le reste de ma tige pour aller me mettre bien au chaud. Une fois de plus, à travers la mince cloison, je sens l’autre sexe bien calé au fond de ma femme. J’adore cette sensation !
Peu après, Adama et moi la pistonnons en parfaite harmonie tandis qu’elle s’oublie :
Qu’elle répète telle une longue mélopée. Excités, nous nous lâchons, la pistonnant de plus belle, agrippant ses formes et ses volumes ! Adama s’exclame tout haut :
Le vocabulaire de ma femme n’est pas très étendu, mais son abandon à nos queues, ses ondulations parlent nettement mieux qu’elle. Puis soudain, sa jouissance explose, rivée sur nos deux queues qui la farfouillent sans relâche, sans répit !
J’adore quand ma petite pute de femme se laisse aller de la sorte, exultant sous l’action conjuguée de deux hommes. À mon tour, je me laisse aller et mon sperme remplit les profondeurs dans lesquelles il est enfoui. Plongé dans une brume cotonneuse, je crois comprendre que mon partenaire de jeu se laisse aller lui aussi. Oui, ma Nadine est bien remplie, devant comme derrière, de foutre !
Après un petit repos bien mérité, nous recommençons un peu plus tard, mais en inversant les rôles, Adama prenant ma place et moi la sienne. Ma femme grimace un peu en voyant la tige qui s’apprête à forcer sa rondelle, mais comme pour devant, ça se passe nettement mieux que prévu. Il ne faut pas longtemps pour que la longue verge sombre disparaisse complètement. Je me demande même où cette chose a pu se caser dans ma femme ! Adama s’est quand même copieusement enduit de lubrifiant pour faciliter la chose. Peu importe que je baise ma femme par-devant ou par derrière, le nec plus ultra est qu’elle le soit doublement, en sandwich.
Une fois de plus, Nadine se laisse aller verbalement, un crantage au-dessus :
Son vocabulaire n’est toujours pas très étendu, mais il est flagrant qu’elle apprécie ! Nous nous activons de plus belle en elle, trop contents de baiser une femme si permissive et docile. Je suis étonné de la tendance qu’a ma femme à balancer facilement des gros mots, elle ne m’a pas appris comme ça, mais c’est excitant d’entendre ce genre de chose sortir de ses lèvres.
Doublement entreprise, elle déflagre, jouissant comme une petite folle, nos deux queues en elle en train de la baratter sans répit. Tandis qu’elle crie son plaisir, nous continuons de la pistonner sans relâche, bien décidés à exploser à nouveau en elle. Dans ce genre de moment, j’adore penser que ma douce femme est la dernière des salopes !
Cette pensée inconvenante me fait éjaculer de tout mon saoul, telle une digue qui se fissure ! Dommage que ma résistance soit à bout, j’aurais aimé la défoncer de la sorte encore longtemps, lui faire sentir ma verge partout en elle, vicieusement, sadiquement…
Avachie sur le ventre, fesses à l’air, suant le sexe et le sperme, Nadine soupire abondamment :
Puis elle sombre dans un demi-sommeil réparateur. Accoudé sur le matelas, je contemple ma femme partie dans le monde des songes. Que de chemin parcouru depuis quelques semaines ! Ce soir, ma femme a accepté de s’envoyer en l’air avec un nouvel homme. Bon, il ressemble fortement à son amant quasi attitré, mais c’est un pas supplémentaire dans la bonne direction.
Adama se penche vers moi, murmurant :
Avec souplesse, il se lève :
Puis il s’éloigne d’un pas souple vers le fond de la pièce. Quant à moi, je réfléchis à ce qu’il vient de me dire. Ma femme, faire le trottoir ? Je n’en demande pas tant ! Mais qui peut dire de quoi sera fait l’avenir ?
À l’autre bout de la pièce, Adama est actuellement en train de faire coucou à sa façon auprès de Danaé qui est visiblement ravie. Décidément, cet homme possède une belle vitalité ! Pour un peu, je l’envierais… Mais mon dada à moi n’est pas d’aller baiser toutes les femmes, mais que tous les hommes aillent baiser ma femme. Chacun son truc et ses petites joies.
Se reposant de ses émotions, ma femme est toujours allongée sur le ventre, cul à l’air. Soudain, elle ouvre les yeux, et me sourit. Profitant de l’occasion, je claque gentiment ses fesses :
La façon interloquée dont elle me regarde m’amuse beaucoup, mais il est indéniable que ses yeux pétillent énormément…