n° 20290 | Fiche technique | 47107 caractères | 47107Temps de lecture estimé : 26 mn | 31/05/21 |
Résumé: Encore trois autres souvenirs plutôt mignons, très gentillets et plutôt soft. | ||||
Critères: fh fhh 2couples hplusag frousses couplus jardin voiture voir exhib caresses fellation nopéné -libercoup | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
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Encore trois autres souvenirs plutôt mignons, très gentillets et plutôt soft.
Ne pas confondre auteur et narrateur…
Bonne lecture : )
Résumé de l’épisode précédent :
Voici venir quelques autres souvenirs liés à notre couple et surtout à Lola, ma chère petite femme, puisqu’il faut bien avouer qu’elle n’est pas très grande.
Voici venir quelques autres souvenirs liés à notre couple et surtout à Lola, ma chère petite femme, puisqu’il faut bien avouer qu’elle n’est pas très grande. En plus de l’avoir naître rousse, Dame Nature ne l’a pas oubliée du côté des courbes et des formes, et petit à petit, ma compagne a su en jouer, bien qu’au départ, ce n’était pas gagné. Comme j’ai les idées larges, tout comme mes épaules et mes mains, se sachant protégée et comprise, elle a su se mettre de plus en plus à son avantage, et parfois peut-être un peu trop…
Mais je ne vais pas me plaindre…
Autour de moi, il existe des hommes qui fantasment violemment sur le fait d’avoir dans leur vie une femme qui fasse le dixième, voire le vingtième, des exhibitions de la mienne. Hélas non, l’égalité n’est pas la même pour tout le monde… Certains parleront de chance. Moi, je dis qu’on peut donner de gros coups de pouce à la chance et au hasard. Aide-toi, le ciel t’aidera, dit-on…
C’est ainsi que j’ai fait appel à MAT, un trio de voyeurs qui ont pour mission de faciliter la vie aux gentilles exhibitionnistes. Leur intérêt ? Mater, bien sûr !
Aujourd’hui, c’est parti pour une petite exhib dans un parc proche de la ZAC qui est implantée pas loin de chez nous. Nous faisons attention à ne pas mêler les enfants à nos turpitudes, c’est pourquoi nous avons choisi un mardi en début d’après-midi, hors vacances scolaires.
Ma sexy Lola est revêtue actuellement d’une mini-jupe en jean, ainsi que d’un top transparent de couleur bleu marine. Pour cacher le haut (qui est hélas hors-la-loi dans les espaces publics), un petit gilet noir néanmoins entrouvert, juste comme il faut. À ses pieds, des chaussures à lanières, dotées de talons plats. Une tenue très estivale !
Pour celui qui sait bien regarder, il découvrira alors facilement les rondeurs de la poitrine de ma femme, offertes à sa vue. Une gentille récompense pour avoir su observer. Car si Lola est assez petite, sa poitrine pourtant de taille moyenne semble par contraste plus lourde et aussi plus avenante.
Nous avons laissé la voiture sur le grand parking de la ZAC. Nous avons fait quelques menues courses durant lesquelles quelques hommes ont remarqué que ma femme avait une tenue particulière. Idem sur le parking. Puis après avoir déposé nos achats dans le coffre de la voiture, main dans la main, nous sommes allés à pied vers le parc voisin. Chemin faisant, nous avons rencontré à nouveau deux hommes qui n’ont pas manqué de constater le très profond décolleté de ma femme. L’un d’eux a même mis un pouce en l’air, mais comme souvent, personne ne nous a abordés.
Nous arrivons bien vite dans le petit parc qui semble désert. Chaussures en main, ma femme aime marcher pieds nus sur l’herbe toute verte.
Peu après, nous arrivons dans le petit coin, dont j’avais souvenir, situé sous les arbres avec personne autour. Arrivée sur place, Lola enlève son gilet qu’elle étale au sol pour ensuite s’allonger dessus sur le dos, les bras en croix, la poitrine à présent bien visible à travers la transparence de son top.
Pour l’instant, allongée sur l’herbe, ma femme se repose, se laissant aller. Je m’accroupis à côté d’elle, elle me sourit, je pose ma main sur un de ses seins, que je caresse doucement. Je vois bien qu’elle apprécie d’être ainsi choyée…
Tout en la câlinant, je murmure :
À présent, je joue avec ses tétons qui pointent sous le tissu transparent, les titillant, les exacerbant afin qu’ils se dressent sous mon top. Lola se laisse faire, même si un peu plus loin, diverses personnes passent et repassent. Certains jettent un furtif coup d’œil dans notre direction, je crois même revoir les mêmes quidams qui repassent pour se rincer l’œil, mais personne pour venir nous faire un petit coucou. Je commence à en avoir l’habitude depuis le temps que ma femme fait des exhibitions. D’ailleurs, cela m’a été confirmé par différents surfeurs sur les forums spécialisés.
En tout cas, j’adore lutiner ma femme au-dehors, même si ce n’est pas discret. Je dirais même que c’est plus jouissif quand je sais qu’on peut m’envier. Pour résumer la situation de mon couple, en clair, j’expose ma femme pour que les autres puissent me jalouser. Ce n’est pas un sentiment très charitable, mais je n’ai pas souvenir que les différents livres religieux poussent à l’exhibition…
Fidèle à mes habitudes, je demande à mon tour :
Lola se tait, profitant de son demi-sommeil, tandis que je continue de la patiner, de jouer avec ses tétons bien durs sous le top translucide, un jeu que j’adore faire. D’ailleurs qu’est-ce que je n’adore pas faire à ma femme ? Bonne question !
Je sursaute, Lola aussi. Un homme à lunettes d’une bonne quarantaine d’années, en jean et chemise noire, est debout face à nous, une petite sacoche en bandoulière.
S’asseyant sur son gilet noir, Lola ne se couvre pas pour autant la poitrine, je crois comprendre qu’elle trouve l’homme à son goût. A-t-il vraiment la quarantaine ? Son visage semble l’indiquer, mais sa chevelure est toute blanche. Avec le sourire, il répond :
Toujours debout, il s’incline vers ma femme :
Curieusement, Lola rougit :
Elle sourit, se détendant visiblement :
Lola m’interroge furtivement du regard. Pour ma part, je n’y vois pas d’inconvénient. Elle répond aussitôt désignant l’herbe à côté d’elle :
Lola se met à rire doucement comme une collégienne. Elle a toujours été sensible aux compliments délivrés d’une façon assez directe, surtout s’il vienne d’un homme assez posé, mais directif. Henri s’assied posément face à ma femme afin de mieux la mater, c’est flagrant. Voici au moins un homme qui n’a pas honte de ses penchants.
Je reprends momentanément la main en demandant :
Ma femme répond à ma place :
Je suis étonné par cette révélation… ma femme, encore plus :
Sans hâte, Henri extirpe son smartphone de sa petite sacoche, puis il nous fait voir une photo sur laquelle il figure auprès d’une femme blonde. Il explique :
Réajustant ses lunettes, notre visiteur plaisante :
Lola grimace, ce qui ne l’empêche pas de vouloir en savoir plus :
Alléchée, mettant son buste en avant, ma femme demande aussitôt :
Lola hésite un peu avant de murmurer :
Ma femme lance précipitamment :
Henri se met à rire, et j’en fais de même. Lola finit par nous accompagner. Pour ma part, j’admire ses nénés qui se dandinent sous ses rires, un mignon spectacle, et comme moi, Henri n’en perd pas une seule miette, le contraire m’aurait étonné, surtout d’une personne qui semble avoir l’œil !
Un bras en arrière, le buste en biais, ce qui fait qu’un de ses seins semble tomber vers le sol tandis que l’autre nargue de sa pointe les deux voyeurs que nous sommes, une jambe posée au sol et l’autre bien campée, Lola discute très intéressée d’en apprendre encore plus sur plein de choses. Se rend-elle compte que notre visiteur possède à présent une vue imprenable sur son entre-jambes sans culotte ? En tout cas, Henri ne se gêne pas pour regarder entre ses cuisses tout en répondant à la soif de savoir de ma femme. Moi-même, j’ai quelques soucis pour rester zen devant une telle vision impudique.
Notre interlocuteur lâche malicieusement :
Cette image amuse ma femme :
Pour toute réponse, Henri se place à côté d’elle, sa main s’empare de son menton pour que ma femme le regarde bien droit. Elle frisonne. En même temps, il pose son autre main sur son genou dénudé. Puis lentement mais sûrement, cette main glisse vers l’intérieur des cuisses entrouvertes. Ma femme a les yeux luisants, ses seins se lèvent et s’affaissent de plus en plus vite. Elle a un petit sursaut quand Henri touche un endroit devenu très sensible.
Lola se pince les lèvres, tout en me regardant. Son expression est à la fois ravie et inquiète. Elle est en train de franchir une étape supplémentaire. Mon expression la rassure, elle renverse ta tête en arrière pour mieux profiter de la caresse insidieuse, ses cuisses à présent largement écartées.
Henri continue ses caresses insidieuses, Lola frémit de plus en plus, comme parcourue de courants électriques. Je vois bien à son regard qu’elle est assez surprise de ce qui lui arrive, mais bien vite, elle se laisse complètement aller. Encore quelques frémissements, quelques ondulations, quelques soupirs, puis elle jouit durant un long moment.
C’est beau une femme qui jouit, très beau…
Matthieu (le mari d’Angèle) a été traumatisé par l’épisode du bois. Alors qu’il était au paradis, le nez dans les seins de ma femme, ont débarqué trois individus qui ont brisé son doux rêve moelleux. Je reconnais que si j’avais su la tournure des événements, je n’aurais pas convié ces trois voyeurs, car moi aussi, j’étais bien entre les lolos (aux larges aréoles) de sa femme. Mais il fallait prévoir que, ce jour-là en pleine forêt, nous en arriverions à un commencement d’échange de nos femmes.
Je croyais bien faire en les invitant à jouer le public pur l’exhib de nos femmes. À ce propos, elles ont été ravies de faire connaissance avec eux et d’accéder ainsi à diverses facilités pour les prestations suivantes et à venir. Nous avons pu bénéficier des bons tuyaux du trio, mais nous n’avons pas pu refaire un « nez dans les nénés » avec nos femmes.
Si Matthieu est traumatisé par les seins de ma femme qui lui sont passés sous le nez, moi, je suis un peu intrigué par l’attitude de Lola envers Henri, et la facilité avec laquelle elle s’est laissé faire. Henri serait-il ce que certains appellent un mâle alpha ? Il faudra que je tire la situation au clair.
Ce matin, je m’entretiens par téléphone avec mon comparse :
Matthieu me rétorque de façon amusée :
Selon une de mes bonnes habitudes, je biaise ma réponse :
Un bref silence avant d’entendre :
Quelques jours plus tard, au matin, nous recevons Angèle et Matthieu chez nous. Une fois de plus, nos femmes sont sensiblement habillées de la même façon, c’est-à-dire une jupe et un chemisier. En rien en dessous, ce qui devient coutumier, mais très intéressant. Très vite, tous les quatre, nous allons faire un petit tour dans un vaste terrain vague voisin où nos femmes se sont amusées à révéler un peu de leurs appas faiblement dissimulés sous leur chemisier.
Nous avons ainsi croisé quelques promeneurs qui ont pu bénéficier d’une agréable vue. Souvent des joggeurs qui ne se sont néanmoins pas arrêtés. Mais Lola nous fait remarquer que certains d’entre eux avaient quand même une bosse dans le short, ce qui amuse beaucoup nos femmes de savoir qu’elles font de l’effet. D’ailleurs, Matthieu a quelques soucis, lui aussi…
Retour à la maison pour le repas, une plancha avec diverses viandes et légumes disponibles. Nous sommes installés autour de la table ronde selon le schéma classique « un homme, une femme, un homme, une femme », chaque femme ayant deux voisins, et chaque homme ayant deux voisines. Je ne me suis pas cassé le crâne pour l’assortiment que j’ai été cherché la veille au rayon traiteur. Bien sûr, j’ai mis au frais quelques bouteilles de champagne.
Quand j’apporte la première bouteille à table, ma femme s’exclame :
Après avoir bu une première coupe, Angèle confirme :
Nous, les hommes, nous nous restreignons, il nous faut rester sobres si nous désirons profiter de l’éventuelle suite. Une première bouteille se vide, puis c’est au tour de la deuxième de disparaître petit à petit dans le gosier de nos femmes. Il est flagrant qu’elles deviennent de plus en plus pompettes. Le procédé est un peu vil, mais efficace…
Puis c’est parti pour un long éclat de rire, suivi d’autres confidences du même cru. Une fois de plus, c’est Matthieu qui se lance à l’eau. Pour ma part, j’étais en train de cogiter à comment passer à la suite, mais mon homologue ne s’embarrasse pas de circonvolutions :
C’est ainsi que nous avons le plaisir d’avoir à table deux femmes montant leur poitrine. Je reconnais que ça n’aide pas trop à la concentration, mais que c’est très plaisant ! À un moment, Lola fait tomber un peu de sauce sur son sein. Aussitôt, Matthieu lui propose d’essuyer. C’est du bout de la langue qu’il le fait. Ce qui amuse beaucoup ma femme.
Un peu plus tard, Lola répond à une question de sa vis-à-vis :
Je trouve que Lola est assez enthousiaste envers Henri. Elle agit souvent ainsi face à la nouveauté. Mais je trouve qu’elle s’est livrée assez vite à cet inconnu, même si celui-ci a de la prestance.
Après le plat, nous décidons de faire une petite pause en quittant la table. Matthieu emmène ma femme assez chancelante sur le canapé, et moi, je guide Angèle un peu plus loin, vers le fauteuil situé près de la bibliothèque.
Je discute avec Angèle dont l’élocution n’est plus le point fort. Puis soudain, elle semble s’endormir, les yeux clos. Je lui adresse la parole une fois, deux fois. Pas de réponse. Mes yeux glissent de son visage, ses seins m’attirent irrésistiblement.
C’est très tentant… c’est trop tentant…
Du bout du doigt, je touche sa joue. Pas de réaction. Alors je touche le haut de son thorax, près des clavicules. Pas de réaction non plus. Je m’enhardis en la touchant entre ses seins. Aucune réaction. Autre essai en posant mon doigt au-dessus de son téton, sur l’aréole. Aucune réaction non plus. Dernier essai en soupesant carrément un sein pour en apprécier le moelleux. Réaction nulle.
Alors, délicatement, du bout de la langue, je commence à léchouiller un téton, celui-ci réagit fortement en durcissant un peu plus. Angèle se laisse faire, sa respiration se modifie, elle réagit exactement comme ma femme en pareil cas, je suis donc en terrain de connaissance, ce qui va me simplifier la tâche. De ce fait, je continue sur la lancée. Ma bouche avide capture son gros téton que je choie avec ma langue et mes lèvres. Ma partenaire soupire d’aise, puis murmure, comme perdue dans un rêve :
Surpris ces mots plutôt devinés qu’entendus, je regarde du coin de l’œil Angèle qui dort toujours. Pas de réaction, elle est vraiment en train de rêver. Alors je m’enhardis toujours plus, mon appétence devenant de plus en plus avide de goûter un autre corps. Comme la première fois, Angèle caresse distraitement mes cheveux, son sein captif dans ma bouche.
Je me laisse câliner avec délectation, tout en dégustant un téton bonbon. Oh oui, c’est un véritable plaisir que de lécher, sucer, téter les nichons d’Angèle. Merci le champagne !
Du coin de l’œil, je regarde où en est Matthieu avec ma femme. Il l’a carrément couchée sur le canapé et il est en train de la déguster avidement. Bien calée sur les coussins, les yeux fermés, ma femme se laisse faire. De temps à autre, un soupir s’échappe de ses lèvres. Je ne pensais pas qu’elle se laissait aller de la sorte. Est-ce dû au champagne ? Est-ce au désir ? Les deux ? Je suis mal placé pour protester puisque je suis en train de m’occuper d’Angèle. N’empêche qu’ayant pris le canapé Matthieu est plus futé que moi. Moi, je dois me contenter d’un fauteuil et c’est moins pratique.
C’est alors que j’avise la peau de mouton près de la table basse. Je me dis que ce ne serait pas une mauvaise idée d’y allonger Angèle pour mieux profiter d’elle, avec l’aide de quelques coussins pour agrémenter le tout.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Angèle n’oppose aucune résistance particulière, on dirait même qu’elle apprécie sa nouvelle position qui doit être finalement plus confortable, car je n’ai pas ménagé les coussins. Moi aussi, la nouvelle disposition m’avantage et j’en profite illico.
À nouveau, je déguste avec bonheur les deux seins tout doux d’Angèle. Je savoure ses gros tétons, je salive sur ses aréoles, je suis à la fois gourmet et gourmand de ma nouvelle partenaire de jeu.
Le petit problème est que quand on a sous la main une succulente pâtisserie, l’appétit vient en mangeant, et je suis en train de me demander jusqu’où oser aller.
Maintenant que je la vois de très près, je me dis qu’Angèle a une poitrine fort intéressante, aux larges aréoles et aux tétons érigés tels de petites tours. Une poitrine différente de celle de ma femme qui est plus ferme, un peu plus grosse aussi, mais je constate que la gravité offre des avantages fort appréciables, et je ne m’en prive pas. Comment dire ? Les seins d’Angèle ont un côté plus pendouillant, plus vulgaire, plus moelleux, mais ce n’est pas un mal. J’ai la curieuse impression d’avoir moins de remords à en profiter ignoblement.
Pour être franc, dans l’absolu, Angèle fait plus pute que Lola. Et puisque je suis un gros cochon (dixit ma femme), autant me vautrer dans la fange !
Devant cette poitrine si attractive, je ne résiste pas : je la couvre de caresses et de baisers. Je me laisse aller, j’ai trop envie de profiter de cette belle paire de loches ! Je m’étonne moi-même du vocabulaire utilisé !
C’est trop serré dans mon pantalon, ça fait mal ! Tant pis, je sors mon engin afin qu’il ait plus d’espace, car il est trop raide. Puis je continue de patiner Angèle qui se laisse toujours faire. Le sexe à l’air, j’en profite pour embrasser à nouveau ses seins, et profiter de ses tétons bien érigés, un pur plaisir. Alors que je léchouille le sein le plus éloigné, ma verge vient cogner contre l’autre masse moelleuse. C’est très agréable. Je me frotte carrément contre ce lourd lolo pendouillant, tout en continuant de faire jouer ma langue autour du téton.
C’est divinement bon !
Afin de reprendre mon souffle, je lève la tête, et c’est avec stupéfaction que je découvre qu’Angèle est en train de me regarder, les yeux grands ouverts, avec un certain sourire étrange sur les lèvres. Elle me lance à mi-voix :
Je tourne instinctivement la tête vers le canapé. Angèle me rassure :
Ah merde ! Je ne m’attendais pas à ce genre de coup fourré. Tel est pris qui croyait prendre. Maintenant, il va falloir gérer les conséquences. Mais j’attends un peu la suite pour savoir comment réagir, car il faut éviter de tirer des conclusions dans l’urgence.
La suite arrive très vite puisqu’Angèle me souffle à l’oreille :
Sans aucune gêne, elle agrippe ma verge à pleine main :
Décidément, les choses vont peut-être plus vite et plus loin que je ne l’aurais imaginé…
Depuis ce fameux jour du champagne, Angèle s’amuse avec moi. Elle murmure parfois à mon oreille des propositions très salaces, elle me met quelquefois la main aux fesses, ou carrément, elle me soupèse le paquet, sans que les autres ne s’en aperçoivent. Mais ça ne va pas plus loin. Du moins, pour l’instant.
Pour info, le reste de la journée du souvenir numéro 2 fut assez classique, si on excepte la nouvelle attitude d’Angèle. Ma femme fut d’attaque une bonne heure plus tard. Elle comprit assez vite que Matthieu s’était offert quelques privautés, mais ça n’est pas allé plus loin qu’une gentille remontrance pour avoir abusé d’une pauvre femme sans défense.
Aujourd’hui, pour changer, nous sommes chez Angèle et Matthieu. Ce n’est pas courant, car ils ont moins de facilités que nous pour recevoir. Notre hôtesse est vêtue d’une robe verte boutonnée de haut en bas, et quelque chose me dit qu’elle ne porte pas de soutien-gorge par-dessous, ses tétons sont assez apparents, sans oublier le ballottement de ses seins quand elle déambule. À la demande de Matthieu qui voulait voir ce que ça donne sur elle, ma femme s’est habillée de la même façon que pour le parc près de la ZAC (top bleu transparent et jupette en jean).
En la voyant ôter son gilet, celui-ci s’exclame :
Ma femme éclate de rire, Angèle sourit simplement. On dirait que ça ne la dérange pas plus que ça que son mari drague ouvertement ma femme sous ses yeux. Il est vrai qu’elle a envers moi les mains baladeuses depuis l’épisode du champagne. Un prêté pour un rendu, je suppose.
Nous discutons de tout et de rien. Matthieu passe son temps à loucher sur Lola. De son côté, Angèle déboutonne parfois un bouton en haut ou un bouton en bas. Actuellement, il ne reste plus que trois boutons au milieu, ce qui m’offre une belle vue sur son décolleté, mais aussi sur ses cuisses. Il me semble bien que mon hôtesse n’ait pas plus de petite culotte que mon épouse !
Ah ces femmes ! Rien que des dévergondées quand elles savent qu’elles peuvent se le permettre ! Enfin, pas toutes, il y a pas mal d’exceptions en y réfléchissant bien… En tout cas, moi, j’aime beaucoup les dévergondées…
Quelques minutes et quelques verres plus tard, un peu avant midi, Angèle s’approche de moi, posant sa main sur mon bras :
Tel un hippocampe en tutu en train de danser, Matthieu intervient :
Quelque chose me dit que c’est une combine pour que Matthieu reste avec Lola, et pour qu’Angèle soit avec moi. Peu importe. Je prends donc ma voiture, avec Angèle à mes côtés, qui ostensiblement croise ses jambes, les révélant entièrement. À peine est-on arrivé au bout de la rue que ma passagère me demande :
Quelques instants plus tard, ma verge est captive de la main gauche d’Angèle. Elle commence un doux et lent mouvement de va-et-vient.
Me tournant vers ma passagère, je lui adresse un petit sourire :
Tout en continuant de me branler, Angèle se confie :
Je me mets à rire :
Elle fait semblant de réfléchir, puis elle annonce :
Tout en poursuivant sa branlette, elle m’adresse un grand sourire :
En clair, c’est à moi de prendre l’initiative, mais je parie qu’elle n’est pas contre un gros encanaillement. Je fais quoi ? Je maintiens le statu quo ou je vais un peu plus en avant. C’est alors que me revient à l’esprit l’image de ma femme en train de jouir sous les doigts d’Henri, un homme qu’elle apprécie décidément beaucoup. Si Lola a droit à un jouet, pourquoi pas moi ? Du moment que je n’abuse trop.
Lançons une ligne, comme on dit chez les pêcheurs. Alors je demande :
Elle m’adresse un large sourire de connivence et s’exécute aussitôt, sans aucune hésitation. J’aurais cru qu’elle aurait protesté ou minaudé un peu. Même pas ! L’instant d’après, couchée près du volant, elle me fait une très belle fellation à laquelle j’ai du mal à résister.
Elle ôte ma colonne de chair de sa bouche :
Puis elle continue sa voluptueuse sucette. Je ralentis un peu, car je ne voudrais pas avoir un accident. Angèle est diablement efficace autour de ma verge, un talent que je ne lui connaissais pas. Je serre les dents, je sens que je ne vais pas résister longtemps.
L’instant d’après, je me laisse aller, je tapisse cette nouvelle bouche de mon sperme, et je constate avec satisfaction qu’Angèle m’obéit, ma semence disparaît dans sa gorge. Jouir tout en conduisant, ce n’est pas la meilleure chose à faire d’un point de vue sécurité ! Mais c’est diablement bon !
Quelques instants plus tard, elle se redresse, essayant sa bouche du revers de sa main :
Peu après, j’arrive sur la place du village. La boulangerie-pâtisserie est sur le côté. Je gare la voiture, puis je me réajuste comme je peux, je me sens franchement vidé, épuisé. Je soupire un bon coup avant de sortir. Angèle se moque de moi :
Angèle se reboutonne un peu avant de sortir de l’habitacle. Quelques minutes plus tard, nous revenons à la voiture avec la pâtisserie, déposée avec précaution sur la banquette arrière. Nous nous installons, mais je ne redémarre pas tout de suite. Je pose ma main sur sa cuisse :
Je caresse sa cuisse, repoussant le tissu :
En me concentrant, j’écris un SMS que j’envoie immédiatement à Angèle. Quand elle le consulte, elle s’exclame aussitôt :
Elle fronce des sourcils en regardant le texte envoyé. Puis elle lève le nez vers moi :
Très vite, elle m’envoie un SMS plus long que le mien. À mon tour, je le déchiffre pour en comprendre la teneur. Pour ma part, je ne me casse pas le crâne, j’ai fait un copier-coller dans mon petit éditeur de texte, et maintenant, je suis en train de virer les caractères parasites. Le message clair m’indique « Tu peux me la mettre quand tu veux », je ferai abstraction des fautes de frappe.
Je réponds à ma passagère avec un grand sourire :
Ajustant sa chevelure brune, elle me sourit. Je mets la voiture en marche. Quelques instants plus tard, la voiture sort du village. De temps à autre, je caresse le genou ou la cuisse de ma passagère. Puis à mi-chemin, j’arrête la voiture sur le bas-côté. Angèle s’en étonne :
Et sans lui demander son avis, je déboutonne le bas de sa robe, révélant d’abord ses cuisses, son pubis puis le bas de son ventre. Ma passagère se laisse faire, écartant ses jambes, ravie de cette initiative inattendue. Sans plus attendre, je plonge ma main vers son nid douillet aux grosses lèvres et je commence à taquiner son petit bouton qui s’avère être assez imposant. Un autre changement par rapport à Lola.
Tout en gémissant déjà, Angèle agrippe mon bras. Elle halète, elle se tord, elle enfonce ses ongles dans ma chair, il est flagrant que mes doigts lui font beaucoup de bien ! Les yeux mi-clos, les narines palpitantes, la bouche ouverte, elle m’émeut. Soudain, n’y tenant plus, je l’embrasse. Loin de me repousser, elle répond voracement à mon baiser. Peut-être suis-je en train de faire une connerie… de franchir une ligne rouge, mais c’est plus fort que moi, je veux connaître le goût de ses lèvres, avoir sa langue autour de la mienne.
Fugacement, sa bouche s’échappe de la mienne :
Puis elle m’embrasse à nouveau, férocement. Il ne lui faut pas bien longtemps pour jouir sous mes doigts qui farfouillent dans sa grotte détrempée. Une jouissance très démonstrative et puissante non simulée…
Elle soupire d’aise, affalée mollement sur son siège. Je lui dis :
Elle se met à rire, puis avec un sourire complice, elle me dit :
Et en effet, ce ne fut que le début. J’ignorais alors jusqu’où ça nous mènerait…