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n° 20297Fiche technique21186 caractères21186
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Temps de lecture estimé : 15 mn
04/06/21
Résumé:  J’ai été chargé par l’association de récupérer du matos entreposé chez Sylvaine.
Critères:  fh poilu(e)s sales odeurs fellation cunnilingu -occasion
Auteur : Foretdorient      Envoi mini-message
La tache

Je m’étais retrouvé ce soir-là chez Sylvaine parce que c’était chez elle que l’assoc entreposait son matos et que j’avais été désigné pour le récupérer.


« J’irai demain après le boulot », leur avais-je dit, un peu amer d’avoir été désigné pour cette tâche ingrate. Qui plus est, ils tiraient presque tous la tronche, il aurait fallu que j’y aille sur le champ, mais avec ce maudit couvre-feu, je risquais encore une fois de tomber sur la maréchaussée. Déjà que la semaine d’avant, on m’avait taxé de 135 balles… Foutus enfoirés du gouvernement, arnaqueurs, profiteurs, fascistes ! Je ne suis pas complotiste, ni même antivax, mais j’ai horreur qu’on me prive de liberté, surtout quand c’est sponsorisé par des toubibs endimanchés avec de grosses Rolex.


La Sylvaine en question était une petite brune, brute de fonderie, très baba cool. Je me souvenais qu’un soir, il y a quelques mois à l’assoc, j’avais discuté un peu avec elle. Il faut dire que j’étais vaguement bourré ce jour-là. « Yannick Jadot est un gros enculé », avais-je beuglé, « Il voudrait que le vaccin soit obligatoire pour tout le monde, quel gros naze ! » Je crois même que j’avais répété ça plusieurs fois… triste effet de l’alcool, probablement. « Plus jamais je ne voterai pour les verts, en tout cas tant que cet hurluberlu en fera partie… ». Sur ce, ladite Sylvaine avait essayé de me convaincre de n’en rien faire, elle était écolo dans l’âme, avec des convictions plus ou moins sectaires. Au bout d’un certain temps, je m’étais relevé, hagard, et l’avais laissée seule à ses délires, c’était le bon moment pour prendre la poudre d’escampette. Évidemment, je tenais plus du tire-au-flanc que du militant convaincu. Peut-être m’en avait-elle voulu ?




Me voici donc, quelques semaines plus tard, à toquer contre la porte vermoulue de sa petite fermette :



Mince, je n’ai pas fait tout ce trajet pour rien. J’insiste un peu, puis je fais le tour des baraquements, au cas où… Mais personne. Pourtant, il y a un Scooter rutilant neuf, garé en plein milieu de la cour, il jure un peu avec le décor ambiant. Je reviens vers l’entrée principale et, après un dernier appel un peu rageur, je me décide enfin à entrer. La porte n’est pas fermée, mais grince sur tous ses gonds.



Elle est peut-être de sortie, en balade dans les champs. C’est bien le genre à s’en aller de chez elle et à laisser tout ouvert. Dépité, je m’assois devant la grande table en bois. Une jatte contenant du gros rouge qui tache et quelques godets apparemment sales trônent au beau milieu de la table. Mais, comme il fait très soif, je saisis un verre et vais le rincer à l’évier, avant de me verser une bonne rasade. Ce vin plus bio que bio m’arrache le palais, j’ai presque envie de tout recracher.

En tout cas, je prends mes aises. Les aiguilles tournent lentement sur la grosse horloge comtoise qui sévit à l’autre bout de la pièce et je me laisse aller à mes rêveries.


Tic tac, tic tac, j’aperçois à peine le jeune homme fringant qui dévale l’escalier. Il passe devant moi en me gratifiant d’un petit geste et d’un sourire et quelques minutes plus tard, j'entends le bruit de sa machine qui pétarade en s’éloignant, ce qui finit par me sortir de ma torpeur. Je ne saurais trop dire à quoi ressemblait précisément ce type. En tout cas, il était jeune, très jeune, jeune et du genre insouciant. Blond très certainement ou alors châtain très clair, enfin… peu importe. Je lève les yeux vers la Comtoise, bientôt 19 h 30, j’ai somnolé tout ce temps, non pas que mon travail me fatigue, mais je frise la dépression. C'est là que je remarque Sylvaine qui descend lentement le long de l’escalier.



Manifestement, pas réellement inquiète que ce soit effectivement le cas.



Elle a les cheveux hirsutes et est vêtue très simplement d’une robe à carreaux bleus, sans soutien-gorge, car je vois ses tétons qui pointent ostensiblement sur le devant. Mais, ce n’est pas ce qui est le plus choquant. Ce qui attire inévitablement le regard, c'est une grande tache d’humidité juste au niveau de la chatte, comme si elle venait de se pisser dessus, mais plus vraisemblablement comme si un long filet de sperme s’écoulait de son entrecuisse. Je peine à détourner mon regard de cette incongruité, je suis perturbé, j’imagine déjà la scène, le petit jeune en train de fourailler sévèrement la quadragénaire et elle qui en redemande. Dire que pendant ce temps, je sirotais cette mauvaise bibine.

Un peu écœuré par le tableau, je demeure muet et ne sais quoi répondre, alors elle me relance :



J’acquiesce, un peu stone, puis je m’entends demander :



Je pense un instant « Et la patronne aussi, on peut s’en resservir ? ». Mais, je me calme rapidement. Elle n’était ni belle ni sexy… et encore moins mon type de femme. Seul le côté « grosse cochonne » m’émoustille un peu.


Je l’accompagne jusqu’à un bâtiment qui menace de s’effondrer, avec des poutres vermoulues qui semblent pourries jusqu’à la moelle.



J’obtempère passivement. On essaye de rentrer les paquets dans mon coffre, mais certains cartons semblent vraiment très gros et, manifestement, c'est impossible.



De mon côté, je ne suis plus vraiment en mesure de réfléchir, subjugué que je suis par cette tache qui me semble toute gluante et collée contre son pubis. « Le petit jeune a dû lui en mettre une sacrée dose », voilà ce que je pense à cet instant. Mais, en ce qui la concerne, cela n’a pas spécialement l’air de la gêner outre mesure. À croire qu’elle ne s’est même pas rendu compte de l’anomalie.

Elle revient un peu plus tard avec des petits cartons et l’on commence à transvaser les contenus avant de charger ma voiture.


Il est déjà tard et la nuit commence à tomber quand elle referme la porte de ma grange.



Putain, la galère, connerie d’association !



Comme j’hésite sur la conduite à tenir :



Avant le repas, elle ressort s’occuper de ses bêtes en me laissant en tête-à-tête avec un autre pichet de mauvais vin, mais je m’abstiens de trop en boire. Lorsqu'elle revient enfin, la tache a pratiquement disparu, elle s’est asséchée, ce n’est plus qu’une auréole diffuse.


Nous dégustons cet excellent pot-au-feu en face à face, comme un vieux couple ; quelques morceaux de poulets noyés dans un océan de légumes dont certains restent pour moi d’origine inconnue, mais ce plat un peu atypique est effectivement succulent. Nous ne sommes pas très causants, prétextant sans doute que nous avons la bouche pleine. Nous sommes tout aussi timides l’un comme l’autre, mais je crois que ça nous va comme ça, ces silences ne sont pas désagréables, quelques sourires complices entre deux bouchées, ça suffit bien.

À la fin du plat, je me lance enfin, j’ai envie d’en savoir un peu plus à son sujet :



Elle me dévoile sa sexualité en toute simplicité et sans aucune censure, j’en suis passablement gêné.



J’ai à peine le temps de répondre qu’un petit verre d’eau-de-vie est posé à la place de mon assiette qui, de son côté, rejoint négligemment l’évier déjà rempli de vaisselle sale.

Elle se sert également un godet :



Elle a une bonne descente, un verre, deux verres, trois verres… plus question pour moi de reprendre la route.



Sur ce, elle se lève et finit de débarrasser la table.



Devant mon air ahuri, elle ajoute avec une pointe de malice :



Nous voici tous les deux gravissant l’escalier, j’ai un peu mal au crâne, l’effet de l’alcool de fruits. Arrivé sur le palier, je lui demande :



Manifestement, ça la fait chier de devoir redescendre. Bien entendu, je n’ai pas ma brosse à dents avec moi. Cependant, je me serais bien rincé le gosier, car j’ai la bouche un peu pâteuse. Enfin tant pis, pas grave, restons-en là ! Heureusement que je suis allé pisser avant de monter, car il n’y a pas non plus de toilettes à l’étage.

Sa chambre, au papier peint sinistre et défraîchi, est un véritable capharnaüm, les vêtements traînent à même le sol et manifestement Sylvaine n’est pas une experte du ménage, car des moutons de poussière s’entassent dans tous les coins.



Effectivement, comme je l'avais deviné, elle est complètement nue dessous. Elle exhibe sans complexe une touffe brune très fournie dont les poils noirs débordent de son pubis. Et sous ses aisselles, la pilosité n’est pas en reste et n’a jamais dû rencontrer la lame d’un rasoir. Brut de décoffrage et 100 % naturelle, 100 % bio… Ce qui cadre bien avec son visage sans maquillage et ses cheveux tout fous.

Elle est déjà allongée sur le lit quand je commence enfin à me déshabiller, beaucoup plus laborieusement, il est vrai. Je pose mes habits où je peux, essayant d’éviter le sol poussiéreux, et une fois en boxer, je me dirige vers le lit pour me coucher.



À contrecœur, j’obtempère, mal à l’aise, d’autant plus qu’elle ne se gêne pas pour me mater. J’ai honte de ma queue, même si je sais qu’elle n’est pas spécialement modeste. Je ne suis pas spécialement libéré, gardant en moi les vieux complexes de mon enfance. Une fois nu, je viens vite me coucher à la place qui m’est attribuée et Sylvaine coupe vite la lumière, mettant ainsi fin à mon supplice.



Sur ce, elle se tourne de son côté tandis que je reste sagement du mien.

Je peine à trouver le sommeil, un mélange de migraine et d’excitation sexuelle diffuse. J’imagine sa chatte encore toute collante du sperme de son amant, je ne l’ai pas vue s’arrêter dans la salle de bain, elle a juste fait une halte aux toilettes pour pisser à grands jets avant de me laisser la place et m’a attendu patiemment derrière la porte avant que nous montions. J’imagine que, si ce n’est pas une accro du ménage, ce n’est pas non plus une addict de la toilette. D’ailleurs, allongé à côté d’elle, je hume des odeurs de sexe que j’imagine, mélange de sperme et de cyprine. Au lieu de me dégoûter, cette évocation ne fait que m’exciter un peu plus, mon sexe devient raide et, puisqu’elle est tournée, j’ose amorcer une petite branlette.


Ah putain, oui, j’ai envie d’elle ! Comment a-t-elle pu imaginer que dormir nu près d’elle en tenue d’Ève ne pourrait pas causer chez moi certaines envies ? Surtout qu’entre ses cuisses, elle n’a rien à envier à l’origine du Monde, cela semble même plus luxuriant et surtout plus étendu. Cette femme hyper naturelle, brute de décoffrage, exacerbe mon désir. Je m’en branle de plus belle, ne faisant même plus attention à ne pas faire de bruit.


Soudain, elle se retourne et éclate de rire, mettant fin à ma branlette sauvage :



L’instant d’après, elle saisit ma trique et l’astique avec délicatesse :



Quand elle revient vers moi, c'est pour m’emboucher sans plus attendre. Ma bite raidit encore entre ses lèvres expertes. Elle m’avale au plus profond en me palpant les couilles. Oh la vache, elle suce bien en plus… exactement ce qu’il faut pour faire monter la pression. Comme elle sent qu'elle fait déjà son petit effet et qu’elle veut me prolonger, elle revient lentement vers ma bouche pour me rouler une sacrée pelle qui en dit long sur son envie.



Je saisis les deux globes un peu mous, un peu tombants, et après quelques douces caresses, comprenant qu’elle a envie de plus, je les pétris et les malaxe tout en léchant deux tétons assez gros et proéminents.



Quelques instants plus tard :



Une vraie cinglée, mais devant son insistance, j'étire ses deux nichons mous en écrasant les bouts avec mes doigts, de toutes mes forces. Soudain, un râle guttural sort de ses entrailles, elle jouit d’une puissance insoupçonnée durant de longues secondes. Enfin, elle me repousse et saisit elle-même ses deux seins pour les malaxer à son tour sans précaution, ce qui a sans doute pour effet de prolonger sa jouissance. Enfin, elle libère son étreinte pour titiller lentement ses mamelons, laissant échapper un petit gémissement à chaque passage.



Soudain, l’envie déraisonnable de lui lécher la chatte me traverse l’esprit, elle doit encore être maculée du sperme de son jeune amant. Pourtant, me voici bientôt entre ses cuisses.



Pourtant j’insiste, j’écarte fermement ses cuisses et pose ma bouche sur sa vulve odorante. Là, je deviens comme fou :



Ma langue lèche sa vulve dans ses moindres recoins, je l’enfonce au plus profond d’elle et aspire ses effluves. Des traces de sperme sec sur ses cuisses et dans ses poils, je les lèche également, je voudrais tout avaler, j’en profite pour lui faire une toilette méticuleuse avec ma langue avant de revenir plus sagement sur un clito gros et proéminent, déjà gonflé d’envie. D’ailleurs, confirmant ma première impression, la voici qui me prend la tête et la plaque contre son pubis.



Je l’entends bientôt gémir à chaque coup de langue, manifestement, elle apprécie. Son bassin se tortille.



Ce ne sont plus des gémissements, mais carrément des cris qui remplissent la pièce. Elle accentue la pression sur ma tête pour que je continue. Bruits de succion obscènes. J’ose même, dans un moment de folie, mordiller son bouton, juste du bout des dents pour ne pas lui faire mal. La réaction ne se fait pas attendre, le même râle guttural que la première fois s’échappe de sa poitrine, qu’elle réitère ensuite à chaque coup de langue. Cette fois-ci, elle n’en peut plus, elle me repousse sans ménagement et termine elle-même sa jouissance en se frottant la chatte à pleine main comme une possédée.


Ce pourrait être le calme après la tempête, mais non, elle en a décidé autrement, la voici qui se jette à nouveau sur ma queue pour me pomper avec appétit. Il ne me faut que quelques secondes pour redevenir parfaitement raide. Si elle continuait ainsi, la jouissance viendrait très vite, d’autant plus que la forêt qui dépasse sous ses aisselles m’excite un max.



J’émets un « Tu as des préservatifs ? » qui pourrait casser l’ambiance. Personnellement, je suis venu sans, ne pensant pas que notre rencontre allait se terminer ainsi.



Me voici donc en train d’explorer l’origine de monde avec ma trique bien raide. Putain que cette chatte m’excite, elle est presque plus poilue que moi, même ses bras sont poilus, sans parler de ces touffes sous les aisselles. Je la pilonne ainsi un bon moment avant de la retourner et de la prendre à quatre pattes en claquant fermement son cul. Elle jouit une fois, deux fois, trois fois ! Bon Dieu qu’elle aime ça.

Alors, je lui propose :



Je m’allonge sur le lit et lui demande de venir s’embrocher sur ma queue dressée. Elle me lime de cette façon un long moment et jouit encore, semble-t-il. Ses va-et-vient experts qui, comme sa bouche auparavant, font lentement monter la pression en moi.

À la fin, je n’en peux pas, je sens que ça vient inexorablement. Je la préviens :



Alors, j'explose en elle en longs jets de semence en grognant comme une bête tandis qu’elle continue les va-et-vient pour me soutirer jusqu’à la dernière goutte.

Plus tard, elle se désembroche de mon vit et tournant sa chatte vers moi me montre un filet de jus qui s’écoule de son con, elle le récupère avec son doigt et l’étale sur sa toison pubienne. Puis glissant à nouveau sa main dans sa vulve elle en récupère encore un peu avant de porter ses doigts à sa bouche et de les lécher. Elle déguste ma semence.



Sur ce, elle se recouche et éteint à nouveau la lumière.



Me rappelant par la même occasion que je suis nettement plus vieux qu’elle.




Inutile de préciser qu’au petit matin, on a remis le couvert, qu’elle a eu à nouveau droit à un mordillage de tétons et moi à une bonne vieille fellation des familles ! Il n’y a que la sodomie que nous n’avons pas eu le temps d’expérimenter. Après avoir joui trois fois, une fois durant la nuit et deux autres au petit matin, j’étais passablement HS, mais ce n’est que partie remise.