n° 20302 | Fiche technique | 11578 caractères | 11578Temps de lecture estimé : 7 mn | 06/06/21 |
Résumé: Constance, son mari et son amant... | ||||
Critères: fh fhh extracon cocus fsoumise voir noculotte -candaul | ||||
Auteur : Azteca (Un mec, comme tant d’autres...) |
J’ai mal dormi, mais la fatigue a eu raison de moi et j’ai fini par m’endormir. Pas longtemps, car j’ai été tiré de mon sommeil par des bruits dans le salon… pas n’importe quels bruits… les halètements d’un homme qui baise, les gémissements d’une femme, de ma femme, qui va jouir, encore…
Ils n’en auront jamais assez. Je pensais pourtant que, la veille, Constance avait eu son compte d’orgasmes et que nous avions déversé suffisamment de salive et de sperme en elle pour la rassasier. Mais non, il semble bien que le sommeil a réveillé son appétit. À moins que ce ne soit André qui en veuille encore.
Pourtant, hier, il s’est bien dépensé, lui aussi…
Hier soir, en cette fin d’été, Constance et moi, avons reçu dans notre petite maison de Saint-Brieuc, d’anciens collègues de Vannes, André, célibataire, et Ninon, que son mec venait de quitter. Le repas s’était déroulé dans une ambiance amicale, chacun évoquant différentes anecdotes, et l’alcool avait coulé, réchauffant les esprits et les corps. Après le repas, nous étions passés au salon où les libations avaient continué, pendant que nous refaisions le monde. Jusqu’au moment où André lança une proposition, à priori saugrenue :
Dans notre brume alcoolisée, je ne m’étais pas rendu compte de ce que cela signifiait, ni jusqu’où nous pouvions être amenés à aller. Je savais que Constance avait un amant, plus ou moins régulier, mais je n’avais jamais imaginé « la chose ». Comme personne n’opposa de franche opposition, le jeu se mit en place. La saison, l’alcool et notre insouciance firent qu’aucun de nous quatre, au fil du jeu, ne refusa de retirer, l’un après l’autre, le peu de vêtements que nous avions conservés après le repas. Bref, peu de temps plus tard, nous nous sommes retrouvés tous les quatre nus.
J’avais regardé Ninon qui, bien que trentenaire, avait un corps d’adolescente, pas très grande, avec de petits seins et de petites fesses. Je l’avais, machinalement, en esthète (?), comparée à Constance, mon épouse, plus grande, au fessier ferme, musclé, et aux seins pleins, très légèrement tombants, à l’aréole large, arrogante.
Une belle femme et une jolie femme.
Et André avait posé une autre question à Constance :
Je savais bien que Constance avait dû avoir un, ou plusieurs amants, sans me l’avouer franchement, mais je fus surpris de la voir accepter l’invitation, si facilement, comme si elle l’attendait, sans hésitation. Elle se leva, les seins ballants, libres, alluma le lecteur, introduisit un CD et, aussi nue que si elle sortait du puits, elle se blottit dans les bras d’André, tout aussi nu qu’elle. Pour la première fois, je voyais mon épouse dans les bras d’un autre homme (je savais la chose probable, mais ne l’avais jamais vue…). Pour garder une contenance (?), j’invitai Ninon à danser et la pris dans ses bras. Naïvement, je conservais une distance qui m’évitait de toucher de ma poitrine ses mignons nichons et son ventre, rasé de près (que je ne perdais pas de vue), pendant que je lui parlais, pour tenter de la détourner de l’autre couple.
Quand les yeux de Ninon se hasardèrent au-dessus de mes épaules, je n’en compris pas immédiatement le pourquoi, mais quand je me retournai, je me retrouvai en face de l’autre couple de danseurs. André, de dos, serrait Constance contre lui et, de sa main gauche, lui caressait un sein, laiteux, sans vergogne, sans hâte, en homme sûr de lui, pendant que ma femme collait son ventre contre le ventre du mâle, et que ses mains lui caressaient la nuque avec douceur. Ensuite, les deux danseurs rapprochèrent leurs visages, leurs bouches se rejoignirent pour un baiser intense, pendant que la main d’André lâchait le sein de Constance pour descendre jusqu’à son pubis, s’attarder entre ses poils puis chercher le clitoris, le trouver, le titiller, provoquant une crispation des fesses de Constance contre le mâle qui la lutinait.
J’étais comme électrocuté.
Certes, je savais bien que Constance avait eu quelques amants (« Il faut bien passer le temps… »), mais j’avais préféré ne rien voir. Et là, pour la première fois, je voyais que l’adultère de mon épouse n’était plus abstrait, mais au contraire, terriblement concret. Ce n’était pas un film, mais un spectacle vivant, terriblement (terriblement !) érotique, dont j’étais le spectateur : mon épouse se donnait, sans aucune pudeur, les seins nus, le ventre nu, à un homme dont les mains prenaient possession de son corps, la caressaient, la pénétraient, impudemment, la faisaient frissonner de plaisir. Puis, la tête posée sur l’épaule de son mâle, les yeux fermés de ma femme s’étaient ouverts pour m’adresser un regard, même pas de défi, mais trouble, cruellement indifférent à tout ce qui n’était pas le plaisir que lui donnait son amant.
Ce spectacle me bouleversa. Sa femme me trompait ouvertement, sans aucun remords, sans aucune réticence, et je ne me rebellais pas. Avec stupeur, je me rendis compte que mon corps réagissait, mais pas comme je le pensais : mon érection me contrariait : voir ma femme nue entre les bras d’un homme nu me faisait bander, et sacrément !
Revenant sur terre, je pris conscience que moi aussi, j’étais également nu et que je tenais, moi aussi, une femme nue dans les bras. Ma main droite descendit vers les petites fesses de Ninon, les caressèrent, puis remontèrent entourer un mignon petit nichon, pendant que de ma main gauche, je pressai le mince corps de sa danseuse contre mon ventre. Ninon leva son visage vers le sien, me tendit ses lèvres, dont je m’emparai maladroitement. Elle appuya son ventre contre mon sexe et entreprit un lent mouvement de son bassin, pour le caresser. Je commençais à comprendre les charmes de l’amour libre… Mais quand je vis passer sa femme, les yeux baissés, les seins pointés, et qui, le tenant par le sexe, menait vers notre chambre conjugale un André au sexe confiant et tendu vers sa future maîtresse, j’eus l’impression de recevoir un coup de poignard.
J’amenai Ninon vers le canapé. Nous étions allongés sur le canapé et Ninon avait pris mon sexe dans sa main. Je lui caressai les seins avec douceur mais elle se raidit :
J’entrai dans ma chambre. Sur le lit conjugal, André et Constance, nus, enlacés, s’embrassaient. Les mains de l’homme avaient repris possession des seins et du sexe de Constance tandis qu’elle lui caressait la queue doucement, comme pour ne pas la briser. Je réclamai mon lit, et ma femme. Les adultères cédèrent.
André sortit se coucher sur le convertible du salon, tandis que Constance me rejoignait dans le lit conjugal, celui-là même qui avait failli accueillir l’indécent adultère. Ragaillardi, je me rapprochai de Constance et glissai mon doigt dans son con, que je trouvai bien humide (tu parles…), mais elle repoussa ma main, me disant qu’elle n’avait pas trop envie de faire l’amour avec moi, par égards pour André qui lui avait signifié son désir et qui était dans la pièce voisine. Contrarié, je lui suggérai d’aller rejoindre André, tout en étant convaincu qu’elle n’en ferait rien, puisqu’elle avait quitté ses mains, et ses caresses, pour dormir à côté de moi.
À ma grande surprise, Constance accepta, se leva, se couvrit à la va-vite d’un peignoir et, sans même prendre la peine de le fermer, elle s’en alla rejoindre André dans le salon.
André, trop excité pour pouvoir s’endormir, s’attendait, sans illusions, à entendre sa presque maîtresse et son mari faire l’amour, et il fut agréablement surpris de voir débouler Constance, le peignoir ouvert sur son corps nu, se pencher vers lui pour lui offrir ses lèvres, ses seins, son sexe. Sans poser de questions inutiles, il lui retira son vêtement, l’attira à côté de lui, et reprit le cours interrompu de ses caresses.
Moi, seul dans mon lit, j’étais en proie à une tempête de sentiments divers. La jalousie, certes, mais aussi le désir exigent, impérieux et pervers qui, maintenant, me faisait lentement rebander. Je devais, impérativement, faire quelque chose !
Retourner voir Ninon et lui proposer de baiser ? Ce serait sûrement non !
Comme un somnambule, je me levai et entrai dans le salon. Je vis Constance, sur le dos, les jambes ouvertes, et André qui l’embrassait tout en lui caressant les seins et le sexe. Je m’assis sur une chaise, que j’abandonnai vite pour m’asseoir sur le bord du canapé du péché et regardai le couple enlacé. Mon sexe s’animait, prenait vie… Puis André descendit sa tête vers le ventre de Constance et enfonça sa bouche dans son pubis. Constance gémissait, les yeux hagards, tournés vers moi, son mari. Comme un zombi, je me mis à caresser les seins de ma femme, tendrement, amoureusement, comme si c’était moi qui la faisais jouir.
Quand André retira sa bouche du ventre de Constance pour s’allonger sur elle, son sexe trouva aisément l’accès au ventre ouvert, pleurant de désir, qui l’attendait. Un ferme mouvement de ses fesses me montra que ça y était, mon épouse chérie était prise, pénétrée par un autre que moi, et moi, au lieu de m’en indigner, je bandais et participais à son plaisir en la pelotant avidement, pendant que son amant allait et venait dans son sexe, dans le sexe de mon épouse chérie, de plus en plus rapidement, de plus en plus fort.
Quand, au terme d’une course effrénée dans le ventre de sa maîtresse, André bascula sur le côté, le sexe tout luisant de leurs plaisirs mêlés, d’un geste sans équivoque, il m’invita à prendre sa suite dans le ventre de Constance, plein de son sperme. Et moi, imbécile, j’enconnais ma femme, ravie de cette nouvelle entrée dans son ventre.
Puis, quand j’eus joui, André, à son tour, honora le sexe de Constance, sans lui laisser de répit. À mon tour, ragaillardi, je le suppléai et, quand j’eus, moi aussi, inondé la chatte de ma femme avec mon foutre, André réinvestit le sexe de sa maîtresse, pour en jouir encore.
Quand l’un de nous éjaculait en elle et se retirait, l’autre, de nouveau prêt, cessait de la caresser pour s’enfoncer à son tour en elle. Constance gémit, cria, jouit jusqu’à plus soif, son sexe dégorgea dans les draps le plaisir de ses baiseurs. Après cinq ou six assauts de son amant et de son mari, peut-être repue et rassasiée, elle finit par s’endormir.
Vidé, harassé, écœuré par tant de baise, je partis dormir dans mon lit, laissant les deux amants dans leurs draps pleins de foutre.
Et ce matin, ils recommençaient.
Allais-je, à nouveau, me joindre à eux ?
Je me tâtai… mais pas trop longtemps !