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Temps de lecture estimé : 12 mn
07/06/21
Résumé:  La baronne de Saintonge entend marier sa fille, Flore, à un comte fortuné de 40 ans son aîné. Or celui-ci n’entend pas célébrer ses fiançailles sans avoir obtenu quelques assurances sur les dispositions de sa future femme.
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Auteur : Bamby2638            Envoi mini-message

Série : La baronne de Saintonge

Chapitre 01
Le dépucelage de Flore

Flore de Saintonge se leva bien avant l’aube, comme chaque matin, pour enfourcher Éclair, son pur-sang. Et comme chaque matin, elle était nue pour chevaucher dans la campagne. Elle montait à cru et chaque mouvement du cheval se répercutait délicieusement sur sa vulve. Ses seins, laiteux et lourds, se dandinaient allègrement. Elle n’aurait pu se soustraire aux deux orgasmes matinaux que sa longue chevauchée lui offrait. Elle rentrait souvent abasourdie par le plaisir et laissait volontiers la liberté de l’itinéraire à son fougueux destrier. Lorsqu’elle en descendait, elle ne manquait jamais de jeter un rapide coup d’œil sous l’animal et voyait, parfois, le membre puissant déployé. Cela lui provoquait toujours un vif émoi. Âgée de dix-huit ans, et pucelle, elle n’avait jamais vu un corps d’homme et nourrissait les plus vifs fantasmes.


Elle prenait soin d’entrer et de sortir du château par l’accès nord des écuries, très peu utilisé, mais frissonnait néanmoins, malgré l’heure, à l’idée d’avoir été aperçue. À 5 h 30, elle était de retour dans son lit… une demi-heure seulement avant le réveil des domestiques. La baronne de Saintonge, sa mère, veuve, la destinait à un comte de quarante ans son aîné, mais très fortuné. Et en 1760 on ne discutait pas les décisions de ses parents.


Flore de Saintonge, n’oubliera jamais cette soirée du 8 septembre qui célébra ses fiançailles avec le comte de Rochefort qui arriva en grande tenue d’apparat, porté par un carrosse cousu d’or. Flore qui guettait son arrivée derrière les carreaux de sa chambre, insouciante et à peine sortie de l’enfance, en fut émerveillée. Malgré ses protestations, elle fut habillée en tenue de cour, corps à baleines rigidifié par un busc et lacé dans le dos. Son opulente poitrine, bien qu’écrasée, débordait du vêtement. Le tout était dissimulé par une robe turquoise assortie à ses yeux. La baronne en accoutrant sa fille de la sorte voulait subjuguer le comte, car il était hors de question que les aises de sa fortune lui échappassent.


Flore ignorait tout de l’homme, hormis qu’il fut comte, et cela, durant quelques heures la charma. Comtesse, à dix-huit ans ! Sa mère, venue l’inspecter, lui fit encore de nombreuses recommandations, dont celle de se montrer soumise à son futur mari, comme toute femme, noble ou pas, doit l’être.



Flore se sentait excitée… Impatiente de rencontrer le comte auquel elle prêta les plus gracieuses physionomies. Puis arriva l’heure des présentations. Flore fut conduite par la gouvernante dans le salon des portraits où le comte l’attendait. Découvrant l’homme, grisonnant, édenté et voûté, elle faillit s’évanouir.



Flore, les yeux embués, osa répondre :



Au cours du repas, placée à la gauche du comte, elle dut supporter son haleine forte et ses regards lubriques posés sur sa poitrine. Parvenu au salon pour le dessert, le comte subitement saisit Flore par les hanches et la hissa sur la table de jeu. L’homme était gaillard. D’un geste savamment étudié, il lui écarta les cuisses. L’époque n’imposait pas encore la culotte aux femmes et il put se repaître de la vue de la jeune chatte à peine ombrée par la toison blonde. La baronne s’approcha et murmura :



L’homme se redressa :



Flore écoutait sa mère faire la réclame de sa virginité. Elle n’osait pas resserrer les jambes et le comte put encore, copieusement, se rincer l’œil. La baronne se mit à rire.



L’homme se mit à rire à son tour.



L’homme frotta sa longue barbe grise.



La baronne Saintonge regarda attentivement son hôte :



Le comte se mit à rire :



La baronne se retourna.



Lorsque Flore fut sortie, la baronne déposa son éventail sur le guéridon.



Ainsi la baronne dévêtit le comte et lorsqu’elle ôta les sous-vêtements en soie pourpre, elle poussa un cri d’admiration.



Le comte s’exclama :



La baronne commença à se dévêtir.



La baronne lentement fit coulisser le prépuce une nouvelle fois sur le gland avant de répondre :



La baronne enfourna la bite épaisse et offrit au comte une récréation qui le surprit.



Le comte se mit à gémir. Sa respiration s’accéléra.



La baronne se mit à pomper vigoureusement et le comte se répandit dans sa gorge. Elle sentit sa chatte bouillonner et regretta d’avoir soulagé le comte auquel l’âge allait imposer un long repos avant qu’il ne fût en état de poursuivre. Pourtant, pas plus de cinq minutes s’écoulèrent avant qu’elle ne sentît le comte empoigner sa maigre poitrine.



Le comte plaqua ses reins contre les fesses de la baronne.



Le comte flatta la croupe de la baronne.



Puis d’une voix plus forte :



Flore de Saintonge poussa la porte.



Le comte intervint :



Flore, que la vue de la verge du comte tenait en émoi, hésita.



Lorsque l’opulente poitrine de Flore jaillit, la bite du comte sursauta.



La baronne se pencha en avant :



Le baron s’approcha de Flore de Saintonge. Il passa la main entre ses cuisses.



Flore baissa les yeux. D’un geste désinvolte, le comte flatta ses grosses mamelles puis il revint vers la croupe de la baronne. Il recueillit un peu de liqueur pour lubrifier l’entrée. Elle se raidit lorsqu’elle sentit la queue du comte.



La baronne encouragea sa fille :



Flore de Saintonge n’avait pas besoin de ces encouragements. Elle s’activait vigoureusement sur son clitoris, mais ne perdait rien des assauts du comte qui emportait la baronne à composer ses gammes dans les aigus.



Soudain, la baronne poussa un hurlement.



Puis il déchargea dans un grognement.

Il libéra les fesses de la baronne de Saintonge, et arbora toujours une belle érection.



Le comte éclata de rire puis il demanda :



Elle se rhabilla, puis entrebâilla la porte.



Dix minutes plus tard, les domestiques s’affairaient à verser de l’eau chaude dans le vaste récipient ovale protégé par un drap.



Le comte glissa dans l’eau. Il ferma les yeux et sentit bientôt la pattemouille glisser sur ses épaules. Lorsqu’il souleva les paupières, il aperçut deux grosses mamelles qui gigotaient à hauteur de son visage. Il approcha la tête pour gober un téton. Flore, saisie par la surprise, s’arrêta de frictionner. Le comte téta un long moment, puis il s’écria.



Le comte se leva, la queue au garde-à-vous.



Flore de Saintonge ne répondit pas. Le comte lui saisit le menton.



Soudain, la baronne de Saintonge se leva. Elle chargea les mains de sa fille de mousse puis les approcha de la queue épaisse.



Flore de Saintonge nettoya consciencieusement le dard puissant tandis que sa mère l’abreuvait de conseils.



Elle guida un instant la main de sa fille qui trouva vite le rythme puis soudain elle appuya fermement sur la nuque de Flore pour la courber en avant.



Flore obéit, et sa mère, guidant sa tête, lui enseigna les bons gestes. Bientôt, le comte que le plaisir gagnait déclara :



Cette dernière ne répondit pas. Elle avança la main, et enfonça un doigt dans l’anus du comte qui s’écria :



Le comte ne pouvait détacher les yeux de la chatte luisante de Flore.



Il sauta hors du baquet et la baronne de Saintonge fit allonger sa fille sur le dos. Le comte s’allongea à son tour et lécha la vulve de la jeune femme. Sa langue s’agita sur le clitoris gonflé, et Flore s’enflamma. Tandis qu’il se délectait de la douceur de la chatte de sa future femme, la baronne se positionna derrière lui, et de sa langue pointue, lui titilla l’anus. Le comte sentit son ventre s’embraser et sa bite devint exsangue. La baronne, d’une main experte, apprécia et abandonnant un instant son ouvrage déclara :



Le comte ne répondit pas, mais il releva les jambes de Flore et, sans ménagement, enfonça son pieu d’acier. Flore poussa un petit cri qui rapidement se mua en des gémissements de plaisir. La baronne, soudain, fut saisie d’une envie irrésistible. Elle décrocha une bougie d’un chandelier et l’enfonça profondément dans l’anus du comte qui manifesta aussitôt son plaisir.

Une heure plus tard, assis devant une collation, le comte déclara :



Il se retourna vers la baronne.



Le comte s’adressa à Flore.



Flore baissa les yeux. Sa mère lui donna un coup de pied pour l’inciter à répondre. Elle murmura :



Le comte lui saisit le menton.



Flore s’exécuta :



Le comte soupira.



Il se leva, frotta sa barbe et déclara.



Flore attendit que le comte fût loin pour demander :



La baronne prit les mains de sa fille.



Flore s’écria :