n° 20306 | Fiche technique | 26072 caractères | 26072Temps de lecture estimé : 14 mn | 08/06/21 |
Résumé: Tout récit doit avoir une fin. Les histoires de cul comme les autres. | ||||
Critères: f fh frousses candaul collègues grossexe hotel travail cérébral pénétratio | ||||
Auteur : Jimmychou Envoi mini-message |
Je m’appelle Christine, femme brune et élégante de quarante-cinq ans, mariée depuis vingt à Pierre avec qui j’ai eu une fille, Cécile, désormais majeure. Assez grande, je pense encore être pas mal pour mon âge, malgré quelques petits bourrelets tenaces qui ont du mal à fondre bien que j’entretienne régulièrement ma condition physique dans le club de fitness de mon quartier.
Mes points forts, ce sont ma silhouette et mes formes très féminines qui font le bonheur de mon époux et sur lesquelles s’attardent régulièrement les regards des hommes de tous âges.
Je travaille en tant que commerciale dans une entreprise de literie et je prête évidemment un soin attentif à mon apparence. Je dois d’ailleurs reconnaître que j’ai dû, à de nombreuses occasions, y compris lors de ces dernières années, repousser avec diplomatie les sollicitations un peu trop insistantes de certains clients ou prospects. Mais, excepté une courte aventure, survenue l’année de mes quarante ans avec un jeune voisin auquel j’ai succombé quelques semaines avant qu’il déménage de l’immeuble où je réside, j’ai toujours fait en sorte de rester fidèle à Pierre.
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Toute l’équipe des ventes est aujourd’hui présente dans la grande salle de réunion de l’entreprise pour accueillir Richard Laroque, un ingénieur de trente-cinq ans qui va prendre la place d’Henri D., le responsable actuel du service commercial. En effet, dans moins de trois mois, ce dernier aura quitté la société pour profiter d’une retraite qu’il estime bien méritée.
Notre futur chef est grand et baraqué et semble très sûr de lui. Même si ses airs supérieurs et satisfaits me déplaisent fortement, je dois reconnaître qu’il déborde de virilité et qu’il semble posséder une autorité naturelle qui devrait lui permettre de gérer son équipe avec efficacité, et accessoirement, de séduire, avant même le départ de son prédécesseur, ma collègue Élodie. Cette trentenaire blonde et sexy a en effet investi en minaudant la place la plus proche du nouvel arrivant, et je serais fort étonnée si elle n’espérait pas ainsi se faire remarquer favorablement par son futur chef.
D’habitude, ce genre de séducteurs imbus de leur personne a le don de m’exaspérer, mais il va bien falloir que je prenne sur moi puisque je vais devoir lui rendre des comptes très prochainement.
Une fois qu’Henri a présenté les différents membres de l’équipe à son successeur, celui-ci nous délivre avec un certain brio son petit discours d’arrivée en nous faisant part, notamment, de sa satisfaction d’intégrer une société qu’il ne manque pas de décrire comme exemplaire et prometteuse. Une fois la couche de pommade bien étalée, Laroque nous présente vaguement sa stratégie avant de nous indiquer qu’il rencontrera individuellement, et dès que possible, ses futurs collaborateurs.
Ça m’arrange bien de ne pas être la première femme à avoir à faire à ce bellâtre. Je pourrai ainsi questionner préalablement ma collègue Gisèle et connaître son avis sur le bonhomme.
Gisèle a cinquante-trois ans. C’est une petite femme volontaire plutôt enrobée qui s’habille de manière classique. Je m’entends assez bien avec elle, comme d’ailleurs avec l’ensemble des commerciaux, à part Fabrice qui m’en veut toujours un peu de l’avoir rembarré sans ménagement alors qu’il avait essayé de me peloter lors d’un pot de fin d’année organisé dans les locaux de l’entreprise. Personnellement, j’ai oublié cette affaire depuis longtemps, consciente qu’un excès d’alcool peut entraîner des comportements inappropriés, mais il se trouve que Fabrice a la rancune tenace.
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Le lundi suivant, je propose donc à Gisèle de déjeuner avec moi pour recueillir ses impressions après son entretien avec le nouveau responsable.
Je rentre dans le vif du sujet dès que la serveuse a apporté les verres de chardonnay que nous avions commandé pour accompagner le repas.
L’air renfrogné de ma collègue n’augure rien de bon.
Je prends un air navré pour compatir.
Et pour remonter le moral de Gisèle, je lui offre d’office un second verre de vin.
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Lorsque je rentre dans le grand bureau occupé pendant tant d’années par Henri, je dois avouer que malgré mon expérience et ma maîtrise des négociations commerciales, je ne suis pas très rassurée.
Laroque ne se gêne pas pour me détailler des pieds à la tête avant de me saluer.
Je suis vêtue d’un tailleur beige constitué d’un pantalon et d’une veste sous laquelle je porte un petit top blanc légèrement décolleté. Je suis de plus chaussée de bottines à talons fins.
Attendant une invitation qui tarde à venir, je poireaute debout face à mon nouveau chef et comprends rapidement que cet enfoiré veut tout de suite marquer son territoire en me montrant qui commande. Malgré tout, je parviens à contenir l’irritation qui me gagne.
Cette entrée en matière me permet de me détendre un peu.
Son regard inquisiteur exacerbé par des yeux d’un violet profond me fait frissonner malgré moi.
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Ça fait plus de six semaines que le nouveau responsable commercial a pris son poste dans la société, et je ne peux pas dire que je raffole de sa personnalité et de ses méthodes.
Mais comme il évite de me solliciter à l’excès et sans raison, je ne me sens pas spécialement affectée par le changement en cours.
Ce qui n’est pas le cas de Gisèle et de Franck qui semblent particulièrement dans le collimateur de Richard.
Contrairement à Élodie qui, comme je l’avais pressenti lorsqu’il s’était présenté à l’équipe, n’a pas attendu bien longtemps avant de se retrouver dans son lit.
Dans quinze jours, je participerai en compagnie de mon chef à la foire commerciale de Saint-Étienne et monsieur a décidé que nous ferons le trajet dans sa voiture de fonction.
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Après six heures de voyage – pauses comprises – dans le SUV de Richard, je me sens toute rouillée et je n’ai qu’une hâte : rejoindre ma chambre et prendre une bonne douche dans la foulée.
Après nous avoir salués, la fille de l’accueil se connecte à son ordinateur. Puis elle se tourne vers nous avec un air gêné.
La fille fait une courte manipulation sur son terminal avant de confirmer.
La mimique de la jeune femme n’augure rien de bon.
Je dois me retenir pour ne pas engueuler la fille. Mais je suis sûre qu’elle n’y est pour rien et que c’est ce fumier de Laroque qui a tout combiné en faisant exprès de ne retenir qu’une seule chambre. Voyant que je suis à deux doigts de faire un scandale, la réceptionniste propose de demander à son responsable s’il est possible d’ajouter un lit d’appoint dans la chambre.
Je me demande ce qui me retient de lui balancer un coup d’escarpin dans les parties.
J’arrache quasiment la clef des mains de mon chef et attrape ma valise avant de me diriger d’un pas rageur vers l’ascenseur.
Quinze minutes plus tard, je me calme peu à peu en profitant du jet d’eau chaude bienfaisant de la douche. Une douce chaleur est en train de gagner l’intérieur de mes cuisses. J’ai l’impression que l’énervement dû à cette promiscuité fâcheuse avec Richard évolue doucement vers une délicieuse tension sexuelle. Je ferme alors les yeux pour me concentrer sur les caresses que mes longs doigts fins me prodiguent lentement.
Ma respiration se cale sur le rythme des ondes délicieuses qui embrasent mon bas-ventre, jusqu’à ce que mes muscles se tendent alors que je succombe au plaisir en poussant une plainte rauque et lascive.
Afin de me rendre au cocktail organisé par le principal revendeur de nos produits sur la région, j’enfile une robe portefeuille noire suffisamment courte pour découvrir mon genou. Son décolleté tentateur offre une vue imprenable sur le galbe de mes seins opulents. Comme à mon habitude, j’ai opté pour un luxueux ensemble de lingerie, désireuse d’offrir à mes rondeurs arrogantes un écrin apte à les sublimer.
Je sais bien qu’il ne s’agit là que d’orgueil mal placé, car je n’ai, bien sûr, nullement l’intention de faire profiter à qui que ce soit de ces gourmands atours.
Et c’est pour la même futile raison que je choisis de mettre joliment en valeur la courbe de mes mollets en les prolongeant par des escarpins vernis noirs à talons aiguilles de quatorze centimètres.
Si j’en juge par l’effet produit lorsque je pénètre dans le bar, arborant en sus de ma tenue un élégant chignon et un maquillage discret, je peux être satisfaite du résultat de mes préparatifs.
Marc Antoine, le directeur général de l’entreprise organisatrice vient m’accueillir avec un large sourire avant de me présenter à une partie du groupe réuni ce soir. Vingt minutes plus tard, Richard nous rejoint et c’est à mon tour de présenter mon nouveau responsable à l’assemblée. Alors que les premières bouteilles sont vidées depuis un bon moment, le personnel de service passe parmi les convives en proposant diverses collations et en remplissant inlassablement les verres qui se tendent.
Je profite évidemment de ce cocktail pour échanger avec les diverses relations que je croise au gré des salons professionnels de plus ou moins longue date. Et je ne manque pas de remarquer Richard en grande conversation avec une certaine Vanessa, jeune femme rousse fort maquillée et court vêtue, dont l’attache du porte-jarretelle ne saurait échapper à un œil averti. La fille a l’air de trouver mon chef irrésistible et force m’est de reconnaître que cet intrigant sait y faire pour séduire certaines femmes d’apparence peu farouche.
Après l’ultime distribution de petits fours sucrés, l’organisateur propose à l’assemblée de terminer la soirée dans un club situé en périphérie.
Richard suivi de la pétasse rousse vient à ma rencontre pour me demander si je suis partante pour participer à cette seconde partie de la fête. Je n’ai pas vraiment envie d’aller me coucher, mais je me demande aussi comment je vais pouvoir rentrer si Laroque me plante pour raccompagner sa copine Vanessa à son hôtel.
Finalement, je décide de rejoindre directement et à pied l’établissement hôtelier distant de cinq cents mètres pour retrouver la chambre réservée par la boîte.
Une fois sur place je profite de l’heure somme toute raisonnable pour appeler Pierre, mais j’évite de lui raconter que je suis obligée de faire chambre commune avec mon chef.
Comme j’ai pris l’habitude depuis l’époque où j’étais étudiante de me contenter, comme la sublime Marylin, de quelques gouttes de parfum comme parure nocturne, je n’ai guère le choix et dois m’enfoncer dans le grand lit, vêtue de ma seule vertu.
Si la situation me fait perdre la sérénité nécessaire à l’entame d’une bonne nuit de sommeil, elle a curieusement le don de m’émoustiller et je ne tarde pas à me caresser une nouvelle fois, espérant que cet exercice somme toute bienfaisant m’aidera à m’endormir.
À six heures quarante-cinq, un bruit d’écoulement d’eau me tire du sommeil. Il me faut quelque temps pour rassembler mes esprits et comprendre que mon co-turne doit se doucher. La lumière du jour naissant éclaire faiblement la pièce à travers les épais rideaux, et je parviens à distinguer les vêtements jetés en vrac sur le lit installé par la direction dans l’après-midi.
Soudain, le bruit d’eau cesse et j’entends Richard qui s’essuie. De nouveau, un robinet se met à couler, ce qui me laisse supposer que mon chef se rase.
Au bout de quelques minutes, la porte de la salle de bain s’ouvre et le responsable commercial de la boîte en sort dans le plus simple appareil.
Mes yeux se sont habitués à la semi-obscurité et je peux apercevoir aisément le système pileux luxuriant et les volumineux attributs sexuels du mâle nu. Le tuyau qui pend entre ses jambes me semble démesuré, et le choc de cette découverte me procure une sensation étrange. J’ignore si Richard s’est rendu compte que je n’ai rien loupé de son anatomie, mais il ne semble pas pressé de se rhabiller.
Je sens qu’une certaine moiteur est en train de gagner l’intérieur de mes cuisses. Finalement, l’homme se dirige vers sa valise d’où il extrait un caleçon qu’il enfile avant de passer une chemise propre et un pantalon de toile. Puis il chausse des mocassins en daim avant de quitter discrètement la chambre pour, je suppose, rejoindre la salle du petit déjeuner. Je décide alors de me lever à mon tour, mais l’image du membre viril majestueux me revient en mémoire et je n’ai d’autre option que de me masturber frénétiquement en imaginant qu’un individu ressemblant fortement à Richard me prend sauvagement sur le lit.
Enfin calmée, je me dirige à mon tour vers la douche, et vingt minutes plus tard je retrouve mon chef à la table qu’il occupe au restaurant.
Richard me fixe alors avec son regard perçant avant de continuer.
Je ne peux m’empêcher de rougir tout en essayant de m’en sortir par une pirouette.
Richard éclate de rire alors qu’une serveuse s’approche en apportant une théière pleine d’eau chaude.
Jean blanc, cache-cœur fuchsia, petite veste cintrée et bottines à talons, telle est la tenue que j’ai choisie pour ma première journée au stand. J’ai pas mal de rendez-vous planifiés avec divers prospects et clients et je n’aurai pas le temps de m’amuser.
Richard se montre plutôt charmant même si je trouve qu’il s’arrange parfois pour poser, sans véritable raison, ses mains sur mes épaules ou mes hanches. À un moment, alors que je me lève pour étirer mes membres, j’ai le temps de sentir son gros paquet effleurer mes fesses et je suis certaine qu’il l’a fait exprès.
Je devrais m’en offusquer, mais d’une part je ne vais pas faire d’esclandre en public, et d’autre part ce contact furtif provoque une légère lubrification de ma chatte.
Je ne comprends pas vraiment ce qui m’arrive, mais je ne me reconnais plus. Est-ce la découverte matinale de cet énorme appendice qui me met dans tous mes états ?
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Je ne dis rien, mais ma chatte parle pour moi. Une fois dans la voiture, Richard effleure à nouveau ma cuisse en enclenchant la vitesse, et je fais mine de ne pas m’en apercevoir.
Je ne réponds pas, mais laisse Richard me suivre. Il ouvre la porte et se décale sur le côté pour me laisser entrer.
Mon cœur bat la chamade et j’ai l’impression que ma chatte bouillonne littéralement. Alors que je me dirige vers mon lit, je sens deux mains puissantes se poser sur mes hanches.
Choquée, je me retourne pour gifler Richard, mais il bloque mon bras et me fixe avec son regard incroyable avant de plaquer ses lèvres contre les miennes.
Je tente de le repousser sans conviction, mais j’ai trop chaud au minou et cède bien vite avant d’ouvrir ma bouche et de permettre à nos langues de se mêler dans une sarabande déchaînée.
Richard doit avoir des dons de prestidigitateur, car moins de deux minutes plus tard, nous sommes entièrement nus, alors que je me suis juste contentée de baisser son caleçon pour faire jaillir son dard indécent gonflé par le désir. Étendue sur le grand lit, jambes écartées, je regarde, sidérée, le monstre tendu vers moi, attendant avec fébrilité qu’il vienne me remplir.
Je gémis de satisfaction lorsque le pieu démesuré s’enfonce doucement, écartelant mes chairs intimes tout en embrasant mon bassin. L’orgasme qui me submerge lorsque le gland turgescent percute ma matrice est juste fabuleux.
Tout ça pour ça ! J’entends déjà les grincheux et les déçus me reprocher que ce n’était pas la peine de nous narrer une banale histoire de relation extraconjugale dans le cadre professionnel pour nous offrir une fin aussi prévisible. Je vous ai entendu et ai donc décidé de proposer deux autres conclusions à ce récit. À vous de choisir celle qui vous siéra si toutefois elle existe.
Retrouvons-nous donc au moment où Richard demande à Christine la permission de récupérer un objet dans la chambre.
Je ressors à l’extérieur du bâtiment et je compose le numéro de Pierre.
Je relate alors à mon époux, plus attentif que jamais, les différentes péripéties liées à la réservation de la chambre sans lui cacher l’épisode matinal au cours duquel mon responsable s’est arrangé pour me dévoiler ses attributs d’étalon.
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Je me tourne vers mon chef après avoir saisi fermement la poignée de la porte qu’il s’apprête à pousser.
Puis je lui balance mon petit laïus d’une voix égale.
Richard éclate de rire :