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n° 20322Fiche technique12924 caractères12924
Temps de lecture estimé : 8 mn
16/06/21
Résumé:  Je suis embauché dans une grande famille pour faire du soutien scolaire, mais le premier rendez-vous prend une tournure inattendue.
Critères:  fh fplusag inconnu vacances fdomine fellation cunnilingu pénétratio fsodo -bourge
Auteur : Cactus      Envoi mini-message

Série : La Maison

Chapitre 01
Comment j'ai rencontré Sandrine

Le récit qui suit est tiré d’une aventure qui s’est passée il y a quelques années, dans une maison de vacances. On m’avait alors embauché pour donner des cours de soutien à une adolescente. J’étais moi-même assez jeune, mais ce n’est pas la jeune fille que j’ai remarquée en premier…




Ce qui m’a le plus frappé lors de ma première visite dans la Maison (nous l’appellerons la Maison pour préserver l’anonymat des participants), c’est la grandeur de l’entrée. Mon appartement devait pouvoir entrer entièrement dans les mensurations de la pièce. C’était richement décoré, un peu kitsch à mon goût, mais ce n’était pas moche. Ce qui l’était, en revanche, c’était le tableau de « maître » accroché derrière l’escalier principal, qui représentait une scène de chasse des plus affreuses.


Une dame charmante, d’origine étrangère, probablement italienne, m’accueillit.



Elle m’emmena alors dans une succession de plusieurs pièces (un salon, puis ce qui devait être un bureau…) avant d’accéder à la terrasse de l’autre côté du bâtiment. C’était la première fois que je voyais Madame, j’en conclus qu’elle allait mener l’entretien sans sa fille, visiblement absente.


Elle était d’une grâce épatante. Lunette de soleil, chapeau et léger voile sur ses yeux, dans une robe d’un rouge intense que je n’avais jusqu’alors jamais vu. Un porte-cigarette portait ce que j’imaginais être une vogue ou l’une de ses autres cigarettes longues qu’apprécie une certaine catégorie de femmes. Son ton était autoritaire, mais contenait une certaine douceur, comme si elle était indulgente après que j’ai fait une bêtise.



Il l’était. La vue panoramique sur une forêt dense du sud de la France, avec ses pins et leur odeur caractéristique, me coupait le souffle.



Était-ce par jeu qu’elle choisissait des mots aussi connotés ?


Elle reprit :



Fleur ? Défloration ? Je ne savais pas si mon esprit divaguait ou si elle me glissait des mots volontairement sexuels dans une conversation banale.



Ah oui, les amis ! J’avais en effet travaillé chez certains de leurs amis. Leur fille avait 19 ans, et échouait lamentablement à la Fac. Je devais la « redresser », ce que j’ai fait, d’une certaine manière. Elle en a appris des choses, ça c’est sûr, mais pas assez de mathématiques, ce pour quoi j’étais payé… J’imagine que je pourrais vous raconter cette histoire un peu plus tard.



Il est quand même futé le garçon. Je m’étais débrouillé pour qu’une amie qui me devait un service trouve un moyen pour qu’elle obtienne sa première année.



À la seconde où j’ai prononcé cette phrase, j’ai su que j’aurai mieux fait de m’abstenir, mais c’était sorti. Sérieux quoi… « J’aime approfondir les théorèmes » ! Sa réaction cependant m’intrigua : un petit rire, entre un ricanement et un soupir de bien-être. Je sentais monter une tension, imperceptiblement, comme si une chimie agissait sans que nous ne puissions rien y faire.



Un verre. Carrément ! J’aurai bien pris une mousse, mais je me suis dit que dans cette maison, cela ne se faisait sans doute pas. Lorsqu’elle m’a demandé ce que je voulais, sans même d’ailleurs qu’elle ait attendu ma réponse, je lui ai répondu : comme vous.


Et d’un coup, tout s’enchaîne. La vitesse des événements m’oblige à vous les décrire au présent.


Elle revient, je remarque que Sandrine n’a plus son chapeau, je peux profiter pleinement de la vue de ses longs cheveux d’un brun ébène. Elle me dit que j’ai l’air troublé. Je balbutie que la vue m’inspire.



Elle utilise mon prénom. Ok, relax.



Non, ça ne m’ennuie pas, ce qui grossit dans mon short m’ennuie un peu plus. Elle s’approche du canapé et se colle littéralement à moi. Je sens ses bras contre les miens, je sens qu’elle appuie.


Elle prend son verre :



Elle se penche pour poser son verre, dans un geste lent, et langoureux. Elle retire ses lunettes et j’aperçois pour la première fois ses yeux d’un magnifique vert émeraude. Elle me regarde fixement.

Les secondes semblent être des minutes. Je ne sais pas ce qui de la gène ou de l’excitation transparaît le plus. Enfin, elle pose sa main sur mon sexe.



Elle serre en même temps son emprise sur mon membre maintenant bien gonflé.



Elle dit ça en même temps qu’elle enlève mon tee-shirt et admire mon buste. À l’époque, j’étais plutôt bien gaulé. Et tandis que je réponds par l’affirmative, elle se met à me sucer les tétons goulûment. D’abord le droit, puis le gauche, elle passe sa langue, m’embrasse, me mordille, et c’est divin. Je lui attrape les cheveux et dirige doucement sa tête vers la mienne. Je veux l’embrasser. Elle ne veut pas. Elle dégage mes bras et me les bloque tendrement derrière la tête. Et elle m’embrasse. C’est elle qui est à la manœuvre. Sa langue rentre et me lèche tous les recoins de la bouche, parfois elle la touche, parfois elle caresse mes lèvres. J’ai l’impression de me faire baiser la bouche et c’est bon. Alors qu’elle me dégage enfin les bras, je fais tomber les deux bretelles de sa jupe et découvre une poitrine à l’air libre, des seins rebondis et fermes que je commence à travailler. Je fais le tour de ses petits tétons avec ma langue et j’embrasse le globe de ses seins. Je commence à mordiller ses tétons et entends un râle puissant. « Plus fort ! Putain, plus fort ». Je mords plus fort, n’ayant jamais connu de copine qui aimait ça, j’ai du mal à jauger la limite. Je la dépasse, me semble-t-il, puisqu’elle me retire la tête en me tirant les cheveux. On se regarde. On respire fort, intensément.



On en est là alors, finies les mondanités ! Elle m’allonge sur le canapé puis défait mon short. Avec la barre que j’ai, ce n’est pas facile de le retirer, mais elle fait ça comme une pro. Alors que je m’attends à ce qu’elle démarre immédiatement son pompage, elle n’en fait rien. Elle tient ma bite, la regarde et se met à humer fortement mon membre. « J’aime l’odeur de ta bite » me lance-t-elle, puis elle commence sa fellation. Elle remonte doucement de la base de mes couilles jusqu’à mon gland, en alternant avec sa langue le chemin qu’elle parcoure. Parfois, elle prend mon gland entier dans sa bouche et me suce jusqu’à la base. Elle me regarde ensuite avec de la bave partout sur sa bouche, comme une bonne salope. Je commence à comprendre ce qu’elle est derrière ses airs de petite BCBG. Je lui attrape ces beaux cheveux et guide la fellation à mon rythme ! Elle a de l’endurance la Madame, plus je vais vite, et plus elle halète, et plus elle gémit. L’endurance, j’en ai aussi, mais pas quand on est sûr de la pipe cinq étoiles. Alors je l’arrête, je regarde son visage souillé encore une fois et me mets à l’embrasser, elle sent ma bite, j’aime ça.



Elle s’exécute docilement, et je découvre l’entièreté de son corps nu. C’est glorieux. Moi aussi, avant de commencer, je respire sa chatte comme un animal. Ça sent bon, ça sent l’excitation, ça sent la mouille. Je commence alors à doucement lui lécher le clitoris, mais elle me fait comprendre qu’il faut vite accélérer le tempo. À son tour, elle me tire les cheveux et me guide dans les dédales de son plaisir. Je comprends qu’elle aime qu’on y aille franco et lui introduis deux doigts dans la chatte qui rentrent immédiatement. À son soupir, je sens que ça lui plaît. Je coordonne alors mes mouvements de langue et de doigts pour son plaisir, elle aime ça. Mais je n’ai pas envie qu’elle jouisse déjà, pas comme ça. Alors je me retire, on se regarde, tous les deux debout, et elle m’attrape les doigts qui l’ont pénétrée pour les sucer. C’est terriblement excitant. Je l’invite à se poser sur la table, le cul tourné vers moi.



Je la pénètre et ressens cette légère pression du vagin sur mon membre. Les allers et retours dans sa chatte sont puissants, et elle semble apprécier également.



Je remarquais que son vocabulaire était moins fourni lors du coït que lors de l’entretien. Très vite, cependant, je tâte sa rondelle avec des doigts humides. Je crache sur son cul et commence à masser son anus. Alors, avec la main qui ne lui sert pas, je la vois écarter une de ses fesses pour m’indiquer que c’est ok aussi par là. J’enfonce alors doucement un doigt, phalange par phalange, puis le deuxième, qui rentre plus facilement. Je me mets à me branler à travers sa paroi vaginale, tout en lui doigtant le cul.


Je sors mon membre de sa vulve, et commence à l’insérer tranquillement dans son petit trou. J’adore ce passage un peu délicat d’un membre dans un cul. C’est un petit voyage en lui-même, et lorsqu’on arrive au bout, on sait qu’on peut y aller. Et c’est ce que je fais.



La profusion de mots et la sodomie qui dure un peu me font monter la sauce. Elle se caresse le clito et je sens qu’elle est au bord de la jouissance. Après un dernier coup, je sors de son cul et lui éjacule partout sur le dos. Au cri qu’elle pousse, j’imagine qu’on a partagé la jouissance. Elle est là, à quatre pattes sur une table, le dos couvert de sperme, et elle est belle.


Je ramasse alors mes affaires et lui dis au revoir, elle me regarde en souriant, toujours dans cette même position, et me dit : « À la semaine prochaine Ben ».


NB : Ce texte sera éventuellement suivi d’une autre aventure dans la Maison si cela vous a plu. C’est la première fois que je publie un texte, alors soyez indulgents et instructifs dans vos commentaires, l’équilibre entre « cru » et « vulgaire » n’est pas évident à trouver.