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n° 20324Fiche technique21036 caractères21036
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18/06/21
Résumé:  Margaux a reçu un stand up paddle pour ses quarante ans. Son mari m’avait appelé pour choisir le bon modèle, adapté à sa pratique et son gabarit. Mais comme bon nombre de bonnes résolutions, le stand up est resté dans son sac.
Critères:  fh extracon copains plage sport massage caresses intermast fellation cunnilingu pénétratio -occasion
Auteur : Conteurreveur  (Julien, beau brun athlétique, genlteman séducteur)            Envoi mini-message
La sortie paddle




Pour celles et ceux qui ne me connaissent pas, je suis Julien, beau brun athlétique, 1,80 m pour 75 kilos, très bien éduqué et cultivé, j’ai plutôt une attitude de gentleman séducteur. J’ai cependant mis du temps à percevoir et maîtriser mon charme, ce qui m’a valu une sexualité et une vie amoureuse plutôt calme et réservée dans ma jeunesse. Les années ont passé et me voici plutôt hédoniste et entreprenant.


Margaux est une amie de ma femme de longue date. Grande, cheveux lisses châtain clair très longs et de beaux yeux marron. Ses deux grossesses ont renforcé sa silhouette de femme épanouie avec une poitrine plus volumineuse et lourde, des hanches plus larges et un petit peu de ventre. Elle reste très désirable et son petit côté « bourge » la rend même excitante dans un cadre fantasme.


Margaux a reçu un stand up paddle pour ses quarante ans. Étant adepte de ce sport, son mari m’avait appelé pour choisir le bon modèle, adapté à sa pratique fitness et son gabarit. Mais comme bon nombre de bonnes résolutions, le stand up est resté dans son sac.


Nous habitons en baie de La Baule et je trouvais vraiment dommage que Margaux ne profite pas de son paddle pour se balader le long de la plage et de la côte sauvage. Je l’ai motivée pour qu’elle m’accompagne, s’implique et s’investisse et découvre réellement ce qu’est ce sport. Après un peu de pratique, elle a bien progressé et m’est reconnaissante de l’avoir « boostée ».

Notre histoire commence ici.



Nous voici partis en direction de la petite île. Le temps est idyllique et les paddles glissent tout seuls sur l’eau. La discussion s’engage très librement. J’ai beau connaître Margaux depuis plus de vingt-cinq ans, je m’aperçois que je la connais assez peu finalement et surtout très peu intimement. Surtout il y a une chose qui me fait sourire, Margaux a des lunettes très fumées, mais pas complètement opaques et je la grille plusieurs fois en train de me mater sans vergogne. J’ai l’impression qu’elle fait une fixette sur mes tablettes de chocolat. Je ne la voyais pas sous cet angle-là.


Après quarante-cinq minutes d’effort, nous arrivons sur la petite île, déserte en ce milieu de semaine. L’eau est transparente, nous sommes luisants de transpiration et un bain rafraîchissant nous fait le plus grand bien.



Gloups, je prends un air détaché et bredouille :



Margaux roule avec grâce et délicatesse le haut de son maillot de bain une-pièce jusqu’à ses hanches. Je ne veux paraître trop lourd et je me fais discret, mais j’apprécie sa belle poitrine, je dirai 90C, ses aréoles brunes et ses tétons déjà dressés, probablement par l’eau froide. Elle s’assied sur la plage et s’étend sur ses coudes. Je prétexte de devoir remonter le paddle sur le sable pour calmer mon début d’érection et pouvoir la mater tranquillement en remontant vers elle.


Ses seins sont magnifiques, bien proportionnés, arrogants, c’est une invitation au plaisir. Je me demande à ce moment si Margaux s’amuse à m’allumer pour vérifier si elle me fait de l’effet et viens m’asseoir à côté d’elle.



BG, moi ? Là c’est clair, elle me chauffe. D’ailleurs elle enchaîne :



Je décide de reprendre l’avantage.



J’ai senti une légère inflexion dans sa voix.


J’attrape la crème et passe à genoux derrière elle. Margaux plie ses jambes et se redresse et puis penche son buste en avant pour m’offrir la plus grande partie de son dos. Nous n’avons pas de serviettes, l’idée est d’éviter d’avoir du sable partout.


J’étale généreusement la crème puis je commence à masser ses épaules, son cou. Je décale délicatement ses cheveux pour libérer sa nuque et la masser avec douceur. Je sens Margaux qui se détend et qui se laisse aller. Moi aussi du coup, j’ai une érection monstrueuse et je fais attention à ne pas la toucher avec ma bosse pour ne pas paraître inconvenant. Cela dit, elle n’est pas innocente non plus et elle m’encourage.



Margaux s’exécute et se dénoue complètement. Mes mains à plat avec mes pouces le long de sa colonne et mes doigts sur les extrémités de ses côtes partent de ses hanches puis remontent lentement, mais fermement sur tout son dos pour venir plonger de chaque côté de sa nuque et du haut de ses bras. À chaque passage, j’aventure mes doigts toujours plus au large et j’effleure le galbe de ses seins qui me semblent gonfler et se raffermir progressivement. Margaux soupire d’aise. Je prends ça pour un encouragement et je ne me gêne plus pour caresser ses seins de chaque côté de son dos.

Margaux se redresse et le souffle court, vient se coller sur mes pectoraux et à voix très faible :



Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase et viens prendre sa bouche pour un long baiser passionné qu’elle me rend avec envie. Nos langues se mêlent et mes mains désormais empaument ses seins et font rouler ses tétons complètement tendus d’excitation.



Je la garde dans mes bras et je lui chuchote dans l’oreille sur un ton rassurant, interrompu de baisers dans le cou :



Tout en parlant, je n’ai pas lâché ses seins et elle sourit sur cette dernière remarque.



Sur ce, je reprends sa bouche et nos langues entament un ballet fougueux. Ma main gauche continue à jouer avec son sein gauche tandis que ma droite descend vers le bas de son maillot. Je la passe dessus pour sentir son pubis et ses grandes lèvres. Margaux semble électrisée à ce contact. J’insiste un peu pour faire grimper son excitation, puis-je passe mon majeur sous l’élastique du maillot pour venir caresser son clitoris déjà bandé et ses petites lèvres toutes humides. Margaux devait déjà mouiller pendant le massage, car je n’ai aucun mal à aller et venir le long de sa fente.


Margaux se laisse aller et soupire langoureusement sous mes caresses. Je l’invite à se remettre sur ses coudes et lever ses fesses pour enlever complètement son maillot. Je fais glisser le tissu jusqu’au bout de ses pieds et, une fois libéré, je laisse négligemment une de ses jambes sur mon épaule.


Margaux est face à moi, dans une position indécente, le sexe offert. Nos regards se croisent et je fais entrer directement mon index et mon majeur dans sa fente tant elle mouille. Mes doigts bougent en elle et mon index vient titiller son point G. Mon pouce lui agace le clito. Margaux semble partie ailleurs et ne plus me voir. Sa montée du plaisir est rapide, aussi je pousse avec mon épaule sa jambe et me baisse pour venir coller ma langue sur son clitoris. Un petit cri s’échappe de sa gorge et elle tressaille à chaque coup de langue sur son bouton.


D’abord salé par l’eau de mer, son abricot se fait plus doux et je goûte progressivement le parfum de son nectar. Je joue avec son clito, je l’aspire, le frôle de ma langue, le coince entre ma lèvre et mes dents faisant mine de le mordre. Margaux ne se contrôle plus et agrippe ma tête ou plutôt mes cheveux pour la souder avec sa chatte. Son bassin bouge, elle tremble, se tortille et finit par s’arquer dans un puissant orgasme qui m’inonde la main et le menton.


Je laisse Margaux atterrir doucement et reprendre ses esprits. Mes doigts ont quitté son sexe et je la couvre de bisous en haut de ses cuisses, au bas de son ventre pour éviter son clito si sensible.



Elle me tire vers elle pour, cette fois c’est elle, me prendre la bouche et me donner un baiser enflammé.



En me parlant, sa main droite caresse mes pectoraux, descend sur mes abdos et en dessine le contour de chacun d’eux puis se saisit de mon sexe dur comme du bois.


Elle me repousse pour me faire tenir sur mes coudes comme elle précédemment et quitte ma bouche pour venir lécher mes tétons, puis descendre sur mes abdos, suivre les sillons, passer sur le nombril.



Je suis nu sur la plage, le sexe au garde-à-vous. Margaux a sa tête sur mon ventre, me lance un dernier regard puis vient délicatement embrasser le bout de mon gland. Elle descend le long de ma tige pour venir embrasser mes testicules à leur tour. Puis remonte et me gobe littéralement.



Margaux commence alors une belle fellation où elle prend le temps d’apprécier chaque partie de mon sexe, scrutant mon plaisir de temps à autre, désireuse de bien faire et de rendre cette pipe inoubliable.

Elle alterne les coups de langue sur le gland, la tige ou les testicules pour ensuite les reprendre en bouche tout en me branlant de plus en en plus rapidement. Un détail me marque, à chaque fois qu’elle reprend mon sexe en bouche, ses longs cheveux soyeux viennent me chatouiller le haut des cuisses ou le bas du ventre.



J’explose sous ses caresses et mon sperme, trop longtemps contenu se déverse en saccade sur mes pectoraux et mon ventre. Margaux est tout sourire et s’amuse à étaler le sperme sur mes abdos et en prenant soin de marquer chaque contour.



Cette petite mise en bouche semble avoir fait tomber pas mal de barrières. Nous sommes sans gêne, nus l’un contre l’autre alors qu’une demi-heure plus tôt nous discutions encore de tout et de rien sur nos paddles. Cette parenthèse aux Evens semble hermétique. Nous parlons comme deux amoureux et Margaux laisse ses mains se balader sur moi, comme pour si elle voulait toucher pour sentir la marchandise, à savoir moi le sportif du groupe. J’ai clairement le sentiment que cela a un goût de trop peu pour elle et qu’elle veut profiter au maximum de cette opportunité.



Nous nous baignons, mais l’eau est plus fraîche de ce côté moins protégé et Margaux sort rapidement prétextant avoir froid. Je la regarde sortir avec une démarche chaloupée et admire ses fesses.

Je sors juste après elle et ne cache même pas mon début d’érection, à quoi bon ! Frissonnante, je viens me coller derrière elle pour la prendre dans mes bras et la réchauffer. J’ai pris soin de caler mon pénis entre ses fesses pour une invitation sans équivoque. Margaux l’accueille avec enthousiasme. Elle ondule du bassin et je deviens immédiatement dur.



Je me garde de bien de lui dire que cela n’a rien à voir avec ma condition physique, mais que j’ai juste très envie de la prendre là, maintenant, bestialement.



Elle se retourne m’embrasse et se saisit de mon pénis pour le masturber et soupeser mes testicules.

Je ne fais plus de manière, je la soulève en passant mes mains sous ses fesses et la fais redescendre en la pénétrant de mon membre. Elle glisse toute seule sur moi et lâche un profond souffle de satisfaction. Je recommence l’opération plusieurs fois en la faisant descendre de plus en plus vite et brusquement. Les derniers allers-retours, je l’ai simplement lâchée pour qu’elle s’empale profondément sur moi.


Margaux est surexcitée et me mange la bouche littéralement. Je commence à fatiguer et j’avise un rocher où Margaux pourra prendre appui sur ses bras et moi la prendre par derrière, à la hussarde. Je saisis fermement ses hanches et la pénètre puissamment et rapidement.

Margaux crie son plaisir.



Finalement, c’est elle qui est à ma disposition et qui me laisse décider de mon bon plaisir. Mon ventre claque sur ses fesses à chaque coup de boutoir et parfois je me penche pour venir caresser un sein ou son clito ou encore lui donner mon doigt à lécher. Le cadre, la situation, le comportement de Margaux, je me sens très « mâle » à cet instant et Margaux très « femelle », dans une symbiose parfaite. Mais je veux partager aussi et j’ai découvert Margaux très clitoridienne. Sans trop de regret, je me retire et elle se retourne un peu surprise.



J’avise un petit bout de sable au ras de l’eau que les vaguelettes viennent parfois recouvrir et je m’y allonge, invitant Margaux à me chevaucher.



Margaux est éclairée par un sourire qui rayonne de béatitude.



Margaux introduit mon pénis en elle et sans préalable entame immédiatement de rapides et puissants mouvements de bassin sur moi. Elle est belle ainsi, prenant son plaisir, les cheveux collés sur le front, les yeux mi-clos, le souffle saccadé.



Je n’imaginais pas Margaux capable de se lâcher comme ça et se montrer un brin perverse. Mais j’adore.


Elle exagère sa cambrure pour frotter son clito sur le bas de mes abdos au maximum. Puis, dans une dernière cavalcade, elle donne tout pour laisser éclater son orgasme au cours duquel je sens son vagin se contracter sur mon pénis. Elle s’affale sur moi…



Le rocher à côté est assez plat sur le dessus, j’invite Margaux à s’allonger dessus et je viens positionner ses genoux sur mes épaules.



Je m’introduis en elle et commence de profonds va-et-vient. Margaux semble prendre du plaisir à nouveau, elle m’observe, m’encourage, me regarde avec passion, me serre la main très fort. L’orgasme est là, il monte du creux de mes reins et Margaux semble aussi prendre du plaisir à me donner du plaisir. On souffle comme des bêtes tous les deux. Puis n’y tenant plus, je sors de son fourreau et viens éjaculer sur sa belle poitrine. Je reprends mon souffle puis je m’amuse à étaler mon sperme sur ses seins en insistant sur ses tétons.



Il est 14 h 30 passées, on est complètement hors des clous pour le timing, Margaux semble crevée.

Je vois passer un zodiac tout proche et je lui fais signe. Après quelques échanges, le plaisancier très sympathique accepte de nous ramener au point de départ.


16 h, j’ai raté ma première visio et j’ai zéro concentration pour la seconde. Je repense sans cesse à cette sortie paddle. J’ai dû rêver ce n’est pas possible.

Le mobile bipe, je reçois un message avec une photo des Evens



Bon bon bon, je me demande où je pourrais l’emmener pour une prochaine balade…