Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 20325Fiche technique22411 caractères22411
3487
Temps de lecture estimé : 13 mn
18/06/21
Résumé:  Mon actuel métier est d’être formateur. Aujourd’hui, j’ai droit à une seule stagiaire qui a sensiblement mon âge.
Critères:  formation fh travail caresses nopéné -occasion
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Collection : Formateur est un beau métier
Formateur est un beau métier – Géraldine





Une petite histoire fort simple.

Ne pas confondre auteur et narrateur…

Bonne lecture :)





Géraldine 1/3



Mon actuel métier est d’être formateur. Depuis ces dernières années, je passe ma vie à aller d’entreprise en entreprise pour porter la bonne parole informatique. Généralement, je donne cours à cinq ou six personnes ; parfois à une seule, c’est très variable.


Aujourd’hui, j’ai droit à une seule stagiaire qui a sensiblement mon âge, c’est-à-dire la presque cinquantaine, une blonde de taille moyenne qui possède un certain charme un peu désuet. Le sujet du jour est un perfectionnement Excel, avec ses filtres, ses tableaux croisés dynamiques, ses consolidations et j’en passe. Ma stagiaire sait déjà bien se servir de l’outil et elle apprend vite. Si ça continue ainsi, je vais arriver au bout du plan de cours avant la fin de la formation. Mais comme Excel recèle ci et là plein de petites choses pas très connues, voire cachées, je sais que j’arriverai toujours à meubler.



Elle a déjà fini son exercice ? Décidément, elle va trop vite !



Le courant passe bien entre Géraldine et moi, la première journée s’est déroulée agréablement. Lors des diverses pauses, j’ai appris qu’elle est mariée, mais que la routine s’est installée dans son couple, leurs trois enfants (devenus ados) n’étant pas ce qu’il y a de plus propice aux petits amusements pimentés (ce que j’ai cru comprendre).


Ce midi de la seconde journée, nous décidons de manger sur place, dans la salle de cours, chacun ayant apporté son déjeuner. En écourtant la pause du midi, on peut partir plus tôt, ce qui intéresse ma stagiaire, car elle souhaite faire quelques courses avant de rentrer chez elle. Aujourd’hui, Géraldine est en jupe bleu-marine et top blanc au décolleté en V, elle fait un peu hôtesse de l’air à l’ancienne. De ce fait, elle en fait voir un peu plus qu’hier, ce qui n’est pas désagréable.


La conversation devient plus personnelle :



Tout en mangeant son plat froid, ma stagiaire demande avec une pointe d’amusement :



Elle se met à sourire :



Tout en jouant avec sa fourchette, elle soupire :



Ma stagiaire se met à rire doucement :



À cette confidence, elle s’en étonne :



Géraldine objecte :



Posant son plat, ma stagiaire me demande :



Elle s’amuse en me lançant :



Un peu désarçonnée, elle répond :



Elle devient songeuse quelques secondes, puis murmure :



Je sens que j’ai une carte à jouer :



Je me penche un peu vers elle :



Ouvrant de grands yeux, elle s’étonne :



Tendant les bras vers elle, je souris :



Elle se met à réfléchir, ce qui est bon signe. Beaucoup d’autres femmes auraient déjà dit « niet ». Puis après quelques longues secondes, elle finit par demander :



Ma stagiaire hésite encore un peu, se demandant sans doute dans quoi elle s’embarque. Enfin, elle se décide :



Assez dubitative, elle se lève. Je me glisse derrière elle. J’écarte délicatement ses cheveux afin de dégager son cou. Elle s’alarme :



Affichant un faible sourire, elle se détend un peu :



C’est alors que je l’embrasse dans le cou. Elle sursaute, tout en poussant un petit cri :



De ce fait, comme je suis conciliant, je dépose à nouveau un autre baiser dans son cou. Elle frémit, elle respire fortement, mais ne dit rien. Alors je continue avec un troisième bisou. Elle vibre à nouveau, mais elle ne dit rien non plus, quand je pose mes mains sur ses hanches.




Géraldine 2/3



Qui ne dit mot consent. Donc je continue le long de son cou, de son épaule à sa nuque, puis je croque le lobe de son oreille, je la sens frémir sous les mains. Je susurre à son oreille :



Je continue, tandis que mes mains glissent de ses hanches à son ventre. Je la rends de plus en plus captive entre mes bras. Elle reste passive, se laissant faire, sans doute curieuse de voir jusqu’où j’oserai aller. Je l’enlace posément, l’embrassant toujours dans le cou. Durant ce temps, mes mains remontent petit à petit. Visiblement, ma stagiaire semble se laisser porter par les événements, jouant les petites choses ballottées par le destin, une attitude que certaines femmes adoptent et qui les dédouane.


À moi de ne pas faire d’impair, tout étant assez audacieux, mais pas trop…


Arrive le moment où mes mains arrivent sous l’arrondi de ses seins. Pas de réaction. Je capture aussitôt les molles masses délicates de Géraldine que je malaxe aussitôt. Bercée entre mes baisers dans son cou et mes mains sur sa poitrine, elle soupire :



Mais ce n’est pas pour autant qu’elle chasse mes mains ou qu’elle se dégage de mon étreinte. Non, elle se laisse faire, toujours aussi passive, mais sans aucune résistance. Déjà ses tétons pointent sous le top blanc et le soutien-gorge. Je constate sous mes doigts que ceux-ci sont assez volumineux. J’imagine aisément ce qu’ils doivent donner quand Géraldine est en bikini sur une plage.


Je continue de la palper, de la caresser, de la cajoler, de pincer délicatement ses tétons pointus. Se laissant toujours faire, les bras ballants le long du corps, elle soupire faiblement, adossée contre mon torse, tandis que je lui dévore toujours le cou. Pour l’instant, elle évite soigneusement de venir plaquer ses fesses contre moi, elle reste cabrée en arc de cercle. Néanmoins, elle apprécie ma démonstration.



En général, j’évite de mélanger plaisir et boulot, mais aujourd’hui, je fais une exception. Il ne me reste plus qu’une demi-journée de formation avec Géraldine, je n’en suis plus à quelques heures de décalage. Normalement, quand une stagiaire me plaît, je tente ma chance à la fin de la formation, après le départ des autres. Bien sûr, j’ai donné un prétexte bidon pour retenir l’objet de ma convoitise. Ce genre de traquenard est arrivé quatre fois dans ma vie, ce qui n’est pas énorme. Trois réussites et un demi-échec.


En ce qui concerne Géraldine, je ne sais pas si je la reverrai par la suite. Peut-être que oui, peut-être que non. Je pense qu’elle est le genre de femme qui ne prendra pas l’initiative de vouloir me revoir, mais si, par le plus grand des hasards, je la rencontre quelque part tandis qu’elle est seule, et si je m’y prends avec assez de doigté, elle se laissera assez facilement embarquer dans une chambre d’hôtel ou chez moi.


En attendant cet éventuel jour, je décide de monter d’un cran la suite des réjouissances. Je glisse une de mes mains sous son top, pour venir remonter vers son soutien-gorge. Je commence à caresser à nouveau sa poitrine, avec une épaisseur de tissu en moins. Je sens mieux le volume de son téton, ainsi que la masse et le volume de son sein.



Juste une petite protestation pour la forme, elle ne souhaite être cataloguée comme femme facile. Pour ma part, je me félicite d’avoir trouvé tout de suite le bon angle d’attaque.


Mon autre main rejoint l’autre sous son top blanc. Très vite, le soutien-gorge est relevé pour que je puisse avoir pleinement accès à ses deux seins, dont les masses molles remplissent agréablement mes paumes. Elle respire de plus en plus fortement. Plus bas, son bassin ondule, sans toutefois venir se frotter contre moi. Je déchiffre qu’elle est aussi en train de croiser et décroiser ses jambes, signe qu’il se passe quelque chose en haut de ses cuisses. Je distingue même une certaine odeur…



Si la routine s’est installée dans son couple et si elle est restée fidèle à son mari, je comprends pourquoi son corps réagit de cette façon si, auparavant, elle avait quelques besoins à combler. Elle ne m’en a pas parlé clairement, mais je le devine. En attendant, je me fais un plaisir de peloter ses beaux lolos, tout en l’embrassant dans le cou, sur la joue et parfois à l’orée des lèvres.


Sans oublier ses deux tétons volumineux avec lesquels j’adore m’amuser !




Géraldine 3/3



Il est évident que Géraldine affectionne ce que je suis en train de lui faire. La plupart du temps, les femmes aiment qu’on leur démontre qu’on les adore, et ma stagiaire fait partie du lot. Avec, sans doute, une frustration à combler.



Puis elle s’abandonne à nouveau à mes caresses. Je redouble d’attention, ce qui lui extirpe de nombreux soupirs qui sont autant d’encouragement à continuer. Elle frémit, elle ondule, elle tangue, osant cette fois-ci se plaquer contre mon entrejambe. Je suppose que ses fesses ont enregistré le fait que mon engin est particulièrement en forme et bien dur. Une nouvelle étape vient d’être incontestablement franchie, c’est certain.



Une fois de plus, elle ne dit plus rien, se laissant faire, ses bras toujours le long de son corps, flottants dans le vide. Je parie qu’elle a les yeux fermés depuis le début. Je me demande jusqu’où serait-il possible de pousser Géraldine. Certaines femmes passives adorent qu’on les « oblige » à faire des choses que la morale classique réprouve. Est-ce le cas de ma stagiaire ? Ne mettons pas la charrue avant les bœufs et contentons-nous de continuer dans la même direction puisque ça convient aux deux parties, c’est-à-dire, elle et moi.


Mes lèvres font de plus en plus d’excursions vers les siennes. Elle ne tourne pas franchement son visage vers le mien, mais elle ne le détourne pas non plus. Toujours cette ligne médiane.


Tandis qu’elle ondule toujours du bassin, se frottant à présent lascivement sur mon mandrin bien dur, une de mes mains s’échappe du top blanc pour venir caresser le haut de son ventre, puis le milieu. Après quelques cajoleries, je décide de descendre encore un peu plus bas. Pas de réaction particulière, sauf une respiration plus entrecoupée.


Ma main glisse prestement sous sa jupe et commence délibérément à caresser par-dessus sa petite culotte une certaine fente que mes doigts discernent comme étant déjà humide. Frémissante, Géraldine laisse échapper un petit soupir, mélange de plaisir et d’appréhension.


Avec délicatesse, je câline entre mes doigts les lèvres intimes, accentuant ma caresse sous son pubis. Comme depuis le début, aucune interdiction, aucun encouragement explicite. Juste quelques soupirs et son ondulation marquée contre mon pantalon.


Alors je décide de franchir l’étape suivante et l’élastique de sa petite culotte. Mes doigts se glissent sous le dernier tissu, ils dénichent bien vite un petit bouton rose très sensible qu’ils cajolent, qu’ils agacent aussitôt.



Elle tourne la tête vers moi pour ajouter quelque chose, mais je la prends de vitesse en prenant ses lèvres dans un long baiser langoureux qu’elle ne refuse pas, tandis que ma main caresse doucement un sein et que l’autre la masturbe délicatement.


Ses ondulations deviennent plus amples, sa respiration s’accélère. Enfin ses mains daignent se poser sur moi, sur mes hanches, comme pour m’empêcher de partir, ce qui n’est absolument pas mon idée du moment.


Mes doigts sont détrempés de cyprine, Géraldine gémit de plus en plus, me laissant dévorer ses lèvres, me laissant jouer avec ses seins que je caresse, que je pétris, ses tétons que je taquine, que je pince, que je torture finement.



Un long gémissement sort de sa gorge, tandis que son corps est assailli de tremblements. Je suis fier de moi, elle est en train de jouir, de se laisser complètement aller, de se laisser envahir par ce plaisir qui la submerge, qui la ravage.


Elle se tortille sous mes doigts qui exacerbent son clitoris en feu. Enfin, ses lèvres cherchent les miennes, elle brise peu à peu ses liens, mes mains rivées, agrippées à mes hanches, se frottant impudiquement contre ma verge.



Elle tremble, elle vibre. N’y tenant plus, elle chasse ma main de sa culotte. J’en profite alors pour la retourner contre moi, ses seins plaqués contre mon torse, ses lèvres captives des miennes, mes mains agrippées à ses fesses.


C’est ainsi qu’elle continue de jouir, puis qu’elle s’apaise petit à petit.


Nous restons enlacés l’un contre l’autre durant un certain temps, sa bouche ayant abandonné la mienne. Géraldine niche sa tête sur mon épaule, tandis que je la caresse délicatement. Le temps reste suspendu, immobile.


Soudain, elle pousse un long soupir, puis levant le bout de son nez vers mon visage, elle dit :



Géraldine devient songeuse :



Ses yeux luisent, elle sourit :



Avec un petit sourire étrange, elle met un doigt sur ses lèvres :



Je ne sais pas pourquoi, mais j’imagine assez bien Géraldine commencer à jeter prochainement son bonnet par-dessus les moulins, tout en épluchant soigneusement mon carnet d’adresses après m’avoir testé et retesté, puis épuisé…