n° 20335 | Fiche technique | 18224 caractères | 18224Temps de lecture estimé : 11 mn | 24/06/21 |
Résumé: Aujourd’hui, un nouveau stagiaire est arrivé, et ce n’est pas Robert de Niro, il est tout jeune. J’ai bien l’impression qu’il a flashé sur moi, je suis pourtant plus vieille que lui de presque vingt ans… | ||||
Critères: fh fplusag inconnu collègues grossexe grosseins poilu(e)s ascenseur travail exhib noculotte préservati pénétratio humour -humour | ||||
Auteur : Antilope Envoi mini-message |
Ce jour-là, j’avais une présentation devant la direction. Comme j’en ai marre qu’on ne me voit pas dans cette boîte, je m’étais faite belle.
Un chemisier décolleté : avec moi, le décolleté c’est facile ! j’ai beaucoup de volume. Le problème est de tout remonter, car avec les années ma poitrine s’est un peu cassé la figure. Un bon soutif en balconnet… et hop, le tour est joué ! Le tout est de ne pas se baisser, sinon ça fait comme quand on lit l’heure avec un verre à la main : ça se renverse et ça se répand partout !
Une mini-jupe, celle de mon tailleur. Bon, il sent un peu la naphtaline, je ne l’ai pas utilisée depuis mon entretien d’embauche ! Depuis, mes fesses ont un peu grossi, et l’arrière de la jupe est devenu un peu court. Pareil, le truc est de ne jamais se baisser… ni de s’accroupir d’ailleurs, sauf en croisant les jambes, etc., etc. bref tout le tralala que les mamans apprennent à leurs filles, et que leurs filles oublient dès qu’elles ont trois verres dans le nez.
Ensuite, il ne faut pas voir l’élastique de la culotte, et moi, là, j’ai un problème parce que mes fesses sont très molles alors les élastiques creusent. Il faut dire qu’à 43 ans, n’ayant jamais mis les pieds dans une salle de sport… forcément, j’ai plus de cellulite que de muscle. La solution est simple : le string ! Sauf que je n’en mets jamais, alors le seul que j’avais datait de mes études… beaucoup trop petit ! Bon, tant pis, j’étais en retard, alors je l’ai mis quand même. Par contre heureusement que je n’ai pas de rencard, parce que j’ai plus de poils de foufoune en dehors du string que dedans
Juste avant ma présentation, mon chef m’a présenté un charmant garçon qui s’est avéré être le nouveau stagiaire auquel nous allions pouvoir refiler toutes les sales besognes pendant les trois prochains mois.
Déjà en retard, je l’ai salué rapidement… peut-être un peu trop rapidement… en levant à peine le nez, puis j’ai foncé vers la salle de réunion.
Donc me voilà à ma présentation où je sentais bien que les regards n’allaient pas vers mes yeux… mais au moins, j’avais toute l’attention de mon auditoire !
Le tableau sur lequel était projetée la présentation était au-dessus d’une estrade de 40 bons centimètres, et le PC qui faisait office de projeteur était en bas, donc, à chaque diapositive, je devais descendre de l’estrade, et remonter. À chaque fois que je descendais, à l’atterrissage, mes seins sortaient du soutif et je devais les remettre dans les bonnets avant de cliquer sur la diapositive suivante, et à chaque fois que je remontais, ma jupe remontait aussi et je devais la redescendre en étant en hauteur, devant tout le monde. Un cauchemar, si l’on ajoute en plus les talons hauts, particulièrement casse-gueule.
Bien sûr, avec toute cette gymnastique, ma culotte m’est complètement rentrée dans la chatte, et au bout de dix minutes, j’avais une ficelle derrière, mais devant aussi, bref… difficile de se concentrer !
À part ça, ça s’est plutôt bien passé. Les retours étaient positifs, je dirais même que les participants étaient sous le charme (c’est le cas de le dire). J’ai même eu les félicitations en personne du directeur avec un sourire jusqu’aux oreilles, alors que d’habitude, il ne me répond même pas quand je lui dis bonjour. Ah le pouvoir de la mini-jupe et du décolleté ! Encore un qui ne doit pas être tout à fait net sur sa relation avec les femmes au travail… Je sentais à son regard que la main aux fesses n’était pas loin, mais, devant tout le monde, il n’a pas osé !
Une réunion de dernière minute m’a empêchée d’aller manger avec mes collègues… euh… copines ? … heu non, collègues ! Et ces « charmantes » créatures ne m’ont pas attendue… plus aucune place à leur table quand je suis arrivée.
Du coup me voilà seule sur ma table de deux, personne pour manger avec moi. La lose totale.
C’est là qu’il s’est approché, tout droit dans son costume, tête blonde, belle musculature, tout droit sorti de chez papa maman : le stagiaire !
Mais qu’est-ce qu’il me veut ce p’tit c.n ?
Bravo… très observateur ! Eh oui, tu vois, je mange toute seule parce que je suis vieille, moche, et que je n’ai pas d’amis !
Mon dieu je suis d’une banalité affligeante ! dis donc… il est mignon en fait !
Hein ? Qu’est-ce qu’il me fait, lui… ?
Et merde, la tuile ! Je vais devoir me le coltiner tous les matins et tous les soirs maintenant !
J’y crois pas, 30 secondes… et il commence déjà à me draguer !
Et crac, ça y est !
help ! help !
C’est à ce moment-là que mes collègues qui avaient fini de manger et qui rapportaient leur plateau sont passées à côté de ma table :
J’ai pris ma tête dans mes mains.
Il était gêné aussi, maintenant.
C’est vrai qu’il était sacrément mignon… Je ne sais pas si c’était l’effet de ses compliments ou bien sa retenue ou le fait qu’il avait pu voir ma chatte dans le train ou tout simplement son torse musclé qui faisait bailler les boutons de sa chemise… mais je commençais à me sentir toute drôle moi… en plus, je n’avais pas eu le temps de passer aux toilettes avant d’aller manger, et en plus d’une envie de faire pipi terrible, j’avais toujours ma culotte ramassée sur elle-même, enfoncée au fond de ma chatte, et je sentais glisser les élastiques contre mon petit détonateur… Tout ça commençait à devenir extrêmement mouillé et ça ne faisait que commencer.
J’ai décidé de foncer…
Je m’étais rapprochée de lui en posant mes seins sur la table, ce qui faisait remonter tout le décolleté et le rendait encore plus profond ?
J’avais dégoté un numéro exceptionnel, c’est clair ! J’étais en train d’inonder ma culotte… ou plutôt ma chaise, car ma culotte ne couvrait plus rien et ma jupe était trop courte pour que je m’assoie dessus.
Nous sommes sortis de la cantine. Prendre un café ensemble aurait été trop suspect alors nous sommes remontés directement.
Après cinq étages d’ascenseur, dans un silence pesant bercé par une petite musique ridicule, durant lesquels je me suis demandé si je devais appuyer sur le bouton « stop », me mettre à poil et lui sauter dessus, j’ai finalement décidé, entre le cinquième et le sixième étage, d’enlever ma culotte et de lui donner.
De toute façon, elle ne couvrait rien, me tirait les poils et me démangeait à mort…
J’ai fait ça très vite, sans lui laisser le temps de réagir, et je lui ai mis dans la main… gauche bien sûr… et heureusement, car en sortant, il a dû serrer la main du chef de département, tout en serrant ma petite culotte dans son autre main.
Nous nous sommes quittés et je suis partie dans les couloirs vers mon bureau.
Je suis passée par les toilettes, juste à temps pour ne pas me pisser dessus, et j’ai vidé sans retenue le litre que j’avais dans ma vessie en m’éclaboussant copieusement les fesses et les poils au passage avant de m’apercevoir… qu’il n’y avait pas de papier toilette !La malédiction continuait !
J’ai cherché sur moi : aucun mouchoir pour m’essuyer, rien ! Et bien sûr, je n’avais plus de culotte, et de toute façon, elle aurait été trop petite et déjà trop mouillée pour absorber quoi que ce soit.
Tant pis, ma jupe était foncée, on ne verrait pas les tâches, ça allait sécher tout seul…
Je me suis secouée et je suis retournée à mon bureau mine de rien, pendant que des gouttes descendaient le long de mes jambes jusqu’à mes chaussures.
Un mail m’attendait : « Merci pour ton cadeau, il a un parfum extraordinaire, je vais le garder précieusement. »
C’est là que j’ai réalisé mon erreur : j’allais faire le retour en train le soir sans culotte, et avec ma jupe toujours aussi courte. Ah là là… moi et ma manie d’agir toujours sous l’impulsion.
Avant que je ne puisse m’asseoir, mon chef est arrivé en trombe dans mon bureau et m’a demandé d’aller lui chercher un dossier à la documentation de toute urgence.
J’y suis allée, alors que mes fesses gouttaient encore, et que, je ne sais pourquoi, un petit reste de pipi, resté bloqué quelque part, venait de se répandre sur mes cuisses. Incontinence ou stress dû à l’intervention de mon chef ?
Le passage à la documentation a été épique. Évidemment, le dossier était en hauteur. J’ai dû monter à l’échelle avec ma jupe super courte qui remontait quand je grimpais les barreaux, et ma chatte poilue qui voulait découvrir le monde.
Le vieux vicieux qui gérait l’endroit est resté assis à son bureau tout le temps avec le regard clairement dirigé vers mes cuisses. A-t-il remarqué que je n’avais rien en dessous ? Je ne sais pas.
Pendant l’après-midi, j’ai reçu une invitation à une réunion à l’appellation équivoque : « Réunion de travail pour une étude détaillée du sujet abordé ce midi ».
La salle était à l’autre bout du bâtiment, dans la partie en travaux, là où les salles de réunions ne sont pas vitrées côté couloir et où les fenêtres donnent sur l’autoroute, et le créneau d’une demi-heure judicieusement choisi juste avant le départ.
Il me restait deux heures pour préparer cette fabuleuse réunion et arriver avec des sujets… ah ah !
Lorsque nous nous sommes rejoints dans la salle de réunion, il avait amené son ordinateur portable comme s’il allait faire une vraie réunion ! Trop mignon ! … Moi, je n’avais même pas pris le mien.
On a commencé à s’enlacer à peine rentrés !
Moi, je voulais voir ce qu’il y avait sous sa chemise, et lui… lui, je savais ce qu’il voulait voir, ou revoir !
En quelques secondes, je me suis retrouvée allongée sur la table avec la jupe relevée, le chemisier ouvert et le soutif retiré… il était très pressé, et moi aussi.
Il avait sorti un préservatif qu’il a enfilé sur son engin frénétiquement en s’y reprenant à trois fois… mon Dieu qu’il était grand ! Pas étonnant que ça ait du mal à rentrer…
Pourtant, il est venu en moi très facilement. Il faut dire que j’étais tellement mouillée…
Il était gros… très gros ! Je le sentais aller très loin, tellement loin que je me disais qu’il aurait pu faire mal à une femme plus jeune.
Lorsqu’il a commencé les choses sérieuses, il m’a secoué tellement fort que je sentais mes bourrelets ballotter partout. Mes seins voyageaient tellement qu’ils me frappaient la figure à chaque passage. Nous avons joui tous les deux en même temps, lui dans moi et moi dans toute la pièce, et même peut-être dans toute cette partie de l’étage. Heureusement que personne n’était à proximité…
Après cette expérience intense, nous avons repris le chemin du train, chacun de notre côté pour ne pas éveiller les soupçons.
Bon, il était beau, il baisait bien, et il était sacrément bien équipé ! Mais ce n’était pas pour autant que je voulais faire le voyage avec lui. J’avais aussi mes petites habitudes et j’entendais bien continuer à pouvoir dormir ou regarder ma série tranquille.
Alors nous avons convenu d’un petit stratagème qui pourrait se reproduire à chaque voyage. Le deal était qu’il irait s’asseoir un peu plus loin, pile dans l’axe de ma jupe, et qu’il aurait le droit de profiter du spectacle que je ne manquerai pas de pimenter en croisant et en décroisant les jambes, d’autant que je n’avais plus de culotte. Le train était suffisamment peu rempli pour qu’il puisse être le seul spectateur.
J’avoue que ça a très bien fonctionné. Nous avons répété ce petit jeu tous les matins et tous les soirs…
Tous les matins, il découvrait ma nouvelle petite culotte, et dans la journée il trouvait un moyen de me la retirer.
C’était souvent dans l’ascenseur entre deux étages, il appuyait sur le bouton « stop », me la dérobait d’un geste habile et la gardait dans sa poche. Et moi je passais tout le reste de la journée toute nue sous ma jupe.
Nous avons aussi renouvelé plusieurs fois l’expérience de la réunion dans cette salle à part, jusqu’au jour où j’ai eu une « vraie réunion », tout ce qu’il y a de plus sérieuse, avec mon chef et toute son équipe dans cette même salle. Je me souviens très bien avoir eu beaucoup de mal à me concentrer, mon attention étant captée par un de mes poils de foufoune qui était resté collé sur la table juste à l’endroit où se trouvaient les mains de mon chef. Le pauvre, s’il avait su que, quelques heures plus tôt, j’étais en train de me faire tringler précisément à cet endroit…
Après ça, il n’était plus question de baiser au boulot ! Trop dangereux !
Mais tous les tiroirs ont une fin, et celui de mes culottes aussi. Forcément, il ne me les rendait jamais. Lorsque j’ai commencé à manquer au point de ne plus en avoir pour le week-end, il est apparu évident que nous devions nous rencontrer pour qu’il me les rende.
Les enfants étant chez leur père, il est venu chez moi.
Il s’est présenté avec un bouquet de fleurs… trop mignon ! C’est ça que j’aimais chez lui, c’était à la fois cette distinction, et cette fougue avec laquelle il baisait.
Le bouquet n’a jamais atteint le vase. Avant même qu’il soit rentré, nous nous sommes jetés l’un sur l’autre et le peu de vêtements que j’avais mis s’est retrouvé par terre au milieu des fleurs.
En plus d’une soirée et d’une nuit d’amour époustouflante, j’ai pu récupérer toutes mes culottes prises en otages. Il les avait lavées, repassées et pliées avant de me les rapporter !