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n° 20340Fiche technique69656 caractères69656
Temps de lecture estimé : 40 mn
29/06/21
Résumé:  Ex championne de biathlon certes, toubib en thalasso certes aussi, mais des seins très particuliers.
Critères:  fh voisins grosseins groscul ffontaine fellation préservati pénétratio fsodo -rencontre -voisins
Auteur : Roy Suffer  (Vieil épicurien)            Envoi mini-message
Mes deux seins malgré elle




« Ding dong » fait la sonnette. Et flûte ! Mais qui a l’idée saugrenue de me déranger au sortir de la douche ? Il est vrai qu’il est midi moins le quart, mais j’ai jardiné tout le matin et la douche était indispensable. C’est sûrement quelqu’un de l’immeuble sinon ce serait l’interphone qui aurait sonné. Je crie que j’arrive, le temps d’enfiler un boxer et un peignoir. J’ouvre.



Pas mal la nouvelle voisine. Un peu ronde peut-être, mais… il y a du monde au balcon et une chute de reins comme un tremplin de ski. Des cheveux mi-longs entre châtains, roux et blonds, j’hésite un peu, de grands yeux sombres à l’amande accentuée par un subtil coup de crayon, un nez droit se finissant légèrement en trompette, des lèvres charnues avec deux fossettes aux commissures, disons une jeune femme accorte. Je suis vêtu.



Le temps qu’elle fasse demi-tour et fonce dans son appartement à grandes enjambées, de ma position accroupie j’ai le temps d’admirer des jambes longues, mais très musclées et un incroyable promontoire fessier qui repousse loin sa jupette plissée. Ce qui fait rond chez elle, ce sont bien sûr ces formes généreuses, mais surtout un buste court, comme si elle était en trois parties égales : les jambes des pieds aux genoux, les cuisses des genoux aux fesses et le buste, la tête étant en plus de ces trois segments. Son seul défaut apparent, pas assez de cou ; ou alors il lui faut changer de coiffure, privilégier les choucroutes en hauteur. Elle revient et prend note de l’index. Nous descendons au rez-de-chaussée, je lui montre les placards où sont planqués les compteurs d’électricité et de gaz. Tout est ouvert, tout est noté, nous remontons. Faisant fi de la bienséance qui veut que l’homme passe devant dans un escalier, héritage de l’époque des larges robes à cerceaux, elle me précède. Et le cerceau, elle le porte naturellement. Nom de Zeus, ces cannes et ce cul ! Fa-bu-leux !



Elle me suit dans la cuisine et reste scotchée devant la fenêtre, admirant la mer et l’archipel de Chausey. Je lave une douzaine de petites patates avant de les faire sauter en cocotte avec la graisse du confit.



On picole un peu en croquant des radis et de jeunes carottes éclaircies, juste brossées. Elle trouve ça très bon et très diététique… sauf les tartines de beurre salé qui vont avec, mais tant pis, c’est trop bon. Je mets le confit avec les bonnottes dans la cocotte et nous décidons de faire au plus simple, couverts dans la cuisine. Elle a un besoin pressant, je lui dis d’en profiter, car, en laissant la porte ouverte, on peut voir la mer par la baie du balcon.



Je le reconnais volontiers et nous déjeunons. Elle trouve cela délicieux et mange de bon appétit. On saute le fromage pour un fruit et un café. En guise de cadeau de bienvenue dans l’immeuble, je lui propose de lui donner un coup de main tout l’après-midi pour emménager. Je démarre sa chaudière pendant qu’elle se change en débardeur et short. Ça confirme ma première impression, elle est un peu dodue, mais surtout très « en formes ».



Les vieux meubles vosgiens grincent de partout, une horreur. Savon de Marseille sur les tenons et graisse sur les gonds les rendent discrets.



Vers dix-neuf heures, tout l’essentiel est en place, il ne reste plus que quelques cartons de bouquins et de bibelots à déballer au salon. Nous sommes rincés. Il fait très beau, je lui propose une eau citronnée bien fraîche sur mon balcon. Elle s’extasie encore devant le paysage, le soleil couchant l’oblige à aller chercher des lunettes. Je n’ai pas le courage de me remettre à cuisiner, je l’invite à aller manger des moules-frites dans une brasserie au départ des îles après une bonne douche.



Elle s’extasie une nouvelle fois dans ma petite hybride, si silencieuse et économe. Elle s’attendait à me voir dans un gros SUV ou une voiture de sport, eh bien non. Dîner agréable, balade sur les jetées, bateaux de pêche rentrants au port avec la marée, reflets de la ville et du phare sur l’eau calme des bassins.



Dans les jours qui suivent, elle finit de s’installer. Notre complicité se poursuit et je lui sers de guide pour connaître les meilleures boutiques, en dehors des supermarchés : boulangerie, poissonnerie, boucherie, magasin bio, chocolatier… Ne serait-ce que pour descendre à son travail, je lui fais découvrir le raidillon, important raccourci, mais épreuve pour les jambes et le cœur à la remontée, ça lui plaît énormément. C’est décidé, elle ira sans voiture sauf en cas de très mauvais temps. Et puis nous visitons quelques sites sympathiques, la pointe du Groin du sud face au Mont-Saint-Michel, le Havre de la Vanlée et sa route submersible, la haute ville, le Musée Christian Dior… Tout cela l’émerveille et elle ne cesse d’exprimer sa joie de la découverte, enrichie par quelques bonnes tables locales. En sortant de l’une d’elles un soir et en regardant, effarée, la route submersible recouverte par la marée, elle me dit :



Le lundi arrive et elle prend son nouveau poste avec enthousiasme. J’ai passé presque une semaine très agréable en compagnie de cette femme vive, gaie, intelligente, bien installée désormais dans l’appartement voisin. Il me faut toute une matinée pour me réhabituer à ma solitude retrouvée et chasser la pensée qu’elle pourrait me manquer. J’ai des cours à préparer, demain je vais à Rennes, la reverrai-je autrement qu’entre deux portes ? C’est encore elle qui vient sonner à mon huis le vendredi soir :



La pauvre, déçue peut-être, gênée sûrement, elle en a gros sur la patate et certainement une boule dans la gorge, car elle chipote sans réel appétit. Mais pas question pour moi de me laisser phagocyter par cette femme que je ne connais que depuis une quinzaine. Après tout, est-elle toubib ou seulement femme de service à la thalasso ? C’est peut-être une mythomane, une nymphomane chasseuse de mecs ou que sais-je encore ? Jérôme, mon garçon, sois prudent et protège ta belle petite vie peinarde.


Les jours et les semaines passent assez agréablement avec des rapports apaisés. Nous nous voyons essentiellement le week-end pour des promenades alentour et des petites bouffes sympas. Quand la marée est bonne ou que le jardin donne ses premières fraises, je lui en fais profiter. J’ai passé un coup de fil à la thalasso, demandant le docteur Schwanzlutschen. On me l’a passée, j’ai reconnu sa voix et j’ai raccroché. C’est con, je sais, mais on n’est jamais trop prudent. J’ai aussi cherché sur Internet la traduction de son nom à coucher dehors : « Schwanzlutschen = sucer la bite ». Ben d’accord ! Ici, personne ne s’en émeut, mais en Alsace… En tout cas, bonne bosse de rire et plein d’idées salaces en évoquant sa bouche pulpeuse, j’éviterai de lui en parler.


Juin est arrivé, période des examens pour moi, c’est-à-dire des tas de copies à corriger avec deux fois plus d’attention qu’à l’habitude, des oraux pour certains et des participations aux jurys. C’est-à-dire plus de temps libre, même le week-end. Je la regarde partir se promener seule. J’ai des regrets. Ce n’est pas une beauté ordinaire, mais elle a quelque chose d’éminemment érotique qui me touche profondément et me fait bander. Mais bon, copie suivante…


Mon objectif de l’été est de construire un abri de jardin. Jusque-là, je rangeais mes outils dans un coffre et mon motoculteur sous une bâche. Quelques outils ont disparu et le réservoir de la fraise a été vidé trois fois. Les temps et les comportements ne s’améliorent pas. J’ai fait une déclaration préalable de travaux et je me lance pour un cabanon de neuf mètres carrés. Un grand trou pour une cuve de récupération d’eau de pluie, une dalle de béton de liège dessus, poutres, bardage extérieur, OSB intérieur avec isolation en laine de bois entre les deux, panneaux photovoltaïques en toiture. C’est en plaçant le dernier panneau solaire qu’un coup de vent soudain me fait perdre l’équilibre. Je chois avec l’escabeau dans la terre, molle heureusement, mais sans lâcher le panneau que j’ai voulu épargner. Du coup, j’ai chuté vrillé et je me ramasse tant mal que bien avec une violente douleur au dos. Je rentre cahin-caha avec une superbe sciatique, la patte bien coincée. Je sonne chez ma voisine pour lui donner quelques tomates fraîches et une salade.



J’explique ma mésaventure. Réaction immédiate :



Le ton est péremptoire, je m’exécute en ayant bien du mal à poser mon jean et même à m’allonger par terre.



Je veux bien la croire, j’espère surtout que cette douleur intense va passer. Elle s’agenouille près de moi, me dit de poser mon front sur mes deux mains superposées, et ses doigts effleurent mon dos de la nuque au coccyx. Puis elle m’enfourche et s’assoit sur mes fesses. Le contact de son généreux postérieur sur le mien, jupette retroussée, a tendance à m’électriser… si je n’avais pas si mal. Et maintenant, c’est ma zigounette écrasée contre la moquette rêche qui me fait mal aussi. Ses mains se baladent sans violence le long de ma colonne, insistant à plusieurs endroits qui me font grogner. Puis elle m’intime de faire demi-tour très doucement. Agenouillée derrière moi, elle me soulève doucement la tête, semblant placer ses doigts à des endroits précis du crâne. Elle me la fait tourner tout doucement, quelques doigts glissent sur mon cou, elle me repose la tête sur ses cuisses serrées. Je suis bien, si bien… c’est doux, si doux… Elle recommence dans l’autre sens puis me repose au sol. Dommage ! Mais ? Je n’ai plus mal ! J’esquisse un geste pour tester.



Bien chef ! Ah oui, mais là, tout mou, ça ne va pas être possible parce qu’elle me soulève un genou, tire sur une hanche pour soulever le bassin, passe une main dessous entre mes cuisses, l’autre sous ma taille et je sens son souffle sur ma virilité qui en conclut immédiatement qu’une fête s’annonce. Tout est mou, sauf ma queue et ses doigts puissants qui pianotent sous mon dos.



Elle me caresse délicatement les ustensiles, soupèse, décalotte.



Facile à dire, mais quand sa langue entame la remontée depuis les deux orphelines jusqu’au sommet du casque, j’ai l’impression d’avoir les doigts dans une prise 380 volts. Ce que j’aimerais voir ses lèvres épaisses se refermer sur mon gland quand elle le fait coulisser jusqu’au fond de sa gorge. Ça, c’est du massage ! Chapeau docteure. Elle me pompe tranquillement, sans excès, mais en utilisant mes glandes comme des qi gong, ces boules chinoises de relaxation. Visiblement, elle cherche à m’exciter, mais sans aller jusqu’à purger bébé. Elle joue, elle me prépare, du moins j’espère… Gagné ! Ça s’arrête, elle se lève, quitte sa jupette, sa culotte et son débardeur, et hop, Madame s’accroupit lentement, relève le mât et s’empale en douceur. Elle aurait pu être pilote à la NASA, le LEM atteignait sa cible à tous les coups et en douceur. Vache ! Je n’imaginais pas qu’une vulve aussi dilatée puisse cacher une chatte aussi serrée. Waouh ! Mister Popaul vit un grand moment, il a l’impression d’enfiler une combinaison de plongée. Quant aux gesticules, elles se font délicieusement enfouir sous une masse fessière voluptueuse de douceur et de chaleur. Je bandais, je « tourdebabelise » ! Sensation improbable d’étreinte pénienne puissante et douce à la fois.



Waouh ! Je n’aurais jamais dû promettre quand je vois les deux obus sortir de leurs coques de dentelle. Nom de Zeus quelle poitrine ! Du beau, du gros, du ferme, de l’arrogance extrême dans une enveloppe de chair blanche aux bouts rose orangé. C’est ça l’origine du Munster ? Pas de souci, je fais la trayeuse ! Ma bouche béante ne trouve pas les mots pour exprimer mon admiration et mon désir ardent qu’elle doit sentir au fond de son ventre. Mais ma belle Clotilde coupe court à mon mutisme ébahi :



Elle se courbe pour bécoter mes tétons, se creuse pour frotter les siens sur mon torse, et quand les quatre mamelons se superposent, ses lèvres charnues viennent butiner les miennes. C’est bon, c’est doux. Puis sa bouche se fait plus vorace, sa langue force sa voie entre mes lèvres, et nous échangeons notre premier baiser profond, interminable, passionné. Son bassin s’agite alors, oscillant doucement d’abord pour étirer ses muqueuses étroites, puis de plus en plus frénétiquement. Elle se dresse alors sur ses bras tendus, reprenant souffle et rejetant sa tête en arrière et martèle mon ventre à un rythme effréné. Je demeure interdit, bandant de tout mon sang et contemplant le spectacle étourdissant de cette femme superbe prenant son plaisir sur ma queue. Elle souffle à grand bruit, sa chevelure mordorée fouette l’air juste avant qu’elle ne se tétanise en soubresauts furieux. Couverte d’une fine buée de sueur, elle retombe sur ma poitrine, vaincue par le plaisir. Je caresse doucement son dos, ses épaules, sa nuque. Après un long moment, elle se redresse à demi, écarte ses mèches folles et me regarde amoureusement de ses yeux injectés.



Elle n’hésite pas un instant, se rétablit et pivote autour de mon sexe en le gardant planté en elle, délicieuse torture. Sa rotondité callipyge m’apparaît soudain, phénoménal étau de plaisir qu’aucun interdit ne m’empêche de saisir à pleines mains. En appui sur mes jambes tendues, elle entame ses mouvements de piston. Jamais mon sexe n’avait été gobé par une telle croupe, charnue, puissante et tendre à la fois. Cette fois, c’est moi qui donne le tempo, bien décidé à me prendre un pied magistral. Mais elle a mille ressources, la coquine. D’abord, je sens l’une de ses mains venir me triturer les testicules, faisant monter d’un cran mon plaisir. En même temps, je ne doute pas une seconde que son poignet ou son pouce en profite pour s’agacer le clitoris. Ensuite, elle écarte les jambes, installe ses pieds au ras de mes fesses et se redresse accroupie, le prose encore plus rond, plus tendu et étiré, et entame un balancement ébouriffant d’efficacité. Je ne maîtrise plus rien, cette femme me rend fou. Fatiguée ou perdue, elle finit par s’asseoir carrément sur mon pieu, corps rejeté en arrière et jambes largement écartées. J’accompagne les soubresauts de son bassin en massacrant son clitoris, grognant déjà du plaisir ultime qui me vrille le ventre. Ça la rend folle et nous partons ensemble au pays de l’extase, elle déversant un flot de cyprine sur mon pubis, moi emplissant son ventre chaud de six mois de désir refoulé.


Deux corps inertes, mais ruisselants et palpitants gisent empilés sur la moquette.



Je la regarde s’éloigner, nue. Putain ce cul ! Une vraie danseuse de samba brésilienne. J’en banderais encore si je pouvais. Je suis sur pieds quand elle sort, attendant mon tour. Je n’ai plus trace de sciatique.



Elle coupe court à la conversation par un baiser magistral.



L’eau bien chaude me coule délicieusement sur la nuque, le dos et le sexe endolori. Voilà, camarade, les dés sont jetés. Tu as baisé avec elle, et tu sais déjà que tu ne pourras plus jamais t’en passer. Donc la crainte de souffrir de nouveau te fabrique une boule dans la gorge au lieu de profiter simplement de ces instants merveilleux, irremplaçables, ceux de la découverte, les plus beaux. Profite, bordel, profite ! Demain n’existe pas, pas encore. Il faut que je goûte l’instant, et seulement l’instant. On verra quand les ennuis arriveront, s’ils arrivent, après tout ce n’est pas obligatoire. Pour le moment, j’ai très envie d’un whisky et d’une clope. Je passe chez moi pour me ravitailler et je m’installe sur son balcon, elle m’y rejoint.



Et le reste, j’en profite. On peut dire que désormais nous vivons ensemble, tantôt chez l’un, tantôt chez l’autre comme elle l’avait initialement proposé, c’est à dire en fait deux soirs chez elle et cinq jours chez moi à cause de la vue. Elle insiste pour venir m’aider à terminer mon abri de jardin, au moins pour tenir l’escabeau, et s’extasie encore de constater que, là aussi, j’ai vue sur mer. Et pourquoi des panneaux solaires ? Pour avoir du courant. Pour quoi en faire dans un jardin ? Pomper l’eau de la citerne pour arroser, mais aussi placer des webcams et des projecteurs LED pour éviter les vols, de plus en plus fréquents. Normal que ce potager fabuleux attire des convoitises, elle se propose même de venir régulièrement m’aider à l’entretenir.


Une vraie vie de couple est en train de s’établir. Nos nuits sont câlines et sensuelles, nos retrouvailles après nos journées de travail parfois torrides, surtout les jours où je vais à Rennes. Je crois qu’elle est toujours sincèrement inquiète quand je suis sur la route, peut-être à cause des gens qu’elle soigne et qui sont parfois de grands accidentés. Ravi d’avoir bien récupéré de ma chute, toutes les fantaisies amoureuses me sont désormais permises et nous en profitons outrageusement. Est-ce à cause de plusieurs mois de désir refoulé, mais je ne parviens pas à me rassasier de ce corps que je trouve sublime, quoi qu’elle en dise. En plus d’être remarquablement beau, il est solide, puissant et souple à la fois, toutes les « figures » sont possibles sans crainte de lui faire mal. Pour elle aussi, son appétit est sans limites, sauf les seins. Il y a là un mystère qui me titille le bulbe de plus en plus, d’autant que cela manque parfois cruellement dans les caresses amoureuses. Je me replie sur une autre fixette, sa rosette. Elle est étonnante et magnifique. Étonnante par sa taille et sa couleur, très large, d’au moins six centimètres de diamètre et rose orangé exactement comme les aréoles de ses seins. Bien cachée au fond de la profonde vallée de ses fesses, elle est plissée avec la régularité d’un éventail circulaire japonais, une merveille. Je ne manque pas une occasion de la caresser du bout de mes doigts hésitants, certaines femmes ont horreur de ça, que ce soit lors de nos levrettes furieuses ou, à l’aveuglette, lorsqu’elle me chevauche intensément.


Un vendredi soir en revenant de boulot, elle me tend une boîte allongée.



C’est le genre d’invitation qui ne se refuse pas et un beau programme pour le week-end. Je fais comme il est dit dans le manuel. Une noisette de gel dans le creux de la main pour le réchauffer, sinon ça crispe. On trempe le bout du doigt et l’on caresse doucement tout le tour, avec patience et application. Il faut dire que Clotilde se prête bien au jeu, cul levé et bien étiré par ses deux mains. Au bout d’un moment, effectivement le cratère minuscule, de la taille d’une tête d’épingle, se détend peu à peu et passe à la taille d’une pièce d’un centime, puis de deux et enfin de cinq. Il est alors temps de lubrifier tout l’index avant de tenter une première insertion. Contraction réflexe, normale, qui se relâche ensuite, laissant le doigt tourner, aller et venir. Quand il est bien accepté, de nouveau une noisette de gel avant que le majeur vienne prendre sa place. Le muscle annulaire se détend petit à petit, jusqu’à ce que l’index revienne rejoindre son copain. Quelques rotations étirent la pastille en douceur et l’annulaire peut s’associer aux autres doigts. Il faut encore un peu de temps pour faire progresser ce trio qui, à sa base, correspond à peu près au diamètre d’un pénis.



Le pénis bien enduit de gel, fort excité par ce « bricolage » préliminaire, pénètre effectivement assez aisément.



Je ne bouge plus, mais je palpite. Et quand je palpite, ça la fait se contracter, et moi ça me fait palpiter. Il faut attendre que tout le monde s’habitue et se calme. Les minutes passent, et c’est elle qui vient s’empaler lentement jusqu’à sentir mes testicules sur sa vulve. Elle relâche ses fesses, l’étau de chair se referme sur moi me tirant un bref sursaut.



J’y vais donc, doucement d’abord. Que c’est serré, que c’est bon ! Elle se redresse à l’horizontale, en appui sur ses mains libérées, ce qui me permet de me pencher sur elle pour aller titiller son clitoris. Après ça ressemble à une puissante levrette avec son généreux fessier qui vient frapper mon ventre, mais la compression est si forte que je ne tarde pas à m’épancher en elle. Est-ce la sensation de mon sperme chaud dans ses boyaux qui déclenche sa jouissance ? Toujours est-il que c’est certainement le rapport le plus court et le plus efficace que nous ayons eu.



Un bonheur n’arrive jamais seul. Quelques jours plus tard, je croise dans l’escalier mon voisin de palier, les bras chargés de cartons pliés. Il y a quatre appartements par étage, le quatrième étant une résidence secondaire rarement occupée. Ce voisin est locataire de l’appartement voisin, symétrique au mien et donnant aussi sur la mer.



Le soir même, j’en parle à Clotilde qui bat des mains.



La visite l’emballe, d’autant que les locataires l’ont bien aménagé, pensant y rester plus longtemps. Parquet flottant partout, entrée, salon et chambres, des portes supprimées pour plus d’espace, vraiment en très bel état. Nous repartons avec les coordonnées du propriétaire et nous l’appelons.



L’affaire s’engage plutôt bien : la banque est d’accord, celle des voisins aussi. Comme leur appartement est strictement identique à celui de Clotilde, on empile tous ses meubles chez moi provisoirement et le voisin peut récupérer son parquet flottant et le réinstaller tel quel. De notre côté, nous sondons les murs. Impossible de toucher aux murs porteurs en béton banché, mais nous découvrons que les petites pièces de l’entrée, qui servent de dressing chez moi et d’atelier de bricolage chez mes voisins, ne sont séparées que par du placo. Nous décidons de faire sauter cette cloison et de réunir les deux appartements par ce sas. Clotilde adorant mon carrelage décide de tout carreler à l’identique. Après deux mois de travaux, l’effet est saisissant. Nous avons pris des risques, parce que nous avons fait les travaux pendant le temps que les banques ont mis à débloquer les fonds, mais sans regret, tout s’est bien passé. Nous voilà donc dans un super appartement de 180 mètres carrés, vue sur mer. Une fortune ! Et surtout un espace de vie hyper agréable, même si l’aménagement n’est pas facile : deux toilettes, deux salles de bain pour quatre chambres, c’est parfait ; mais deux cuisines… On en démonte une en camouflant les servitudes et on la transforme en bureau. Pas si mal. Côté cuisine, on fait une grande salle à manger, et un grand salon de l’autre.


C’est fou ce que le changement du lieu de vie peut influer sur le comportement. D’abord, la vue sur mer permanente enchante Clotilde qui est plus gaie que jamais. Je la sens heureuse, pleinement satisfaite, et l’absence de vis-à-vis proche l’incite à se balader très fréquemment en costume d’Ève en cette fin d’été encore chaude. Ça me ravit et me procure de fréquentes érections qui se finissent toujours bien. Le revers de la médaille, c’est qu’elle promène sous mon nez cette insolente paire d’obus à laquelle je n’ai toujours pas accès. Insupportable frustration, j’en fais presque une fixation. Pourtant je remarque bien qu’elle aime effleurer mon torse ou mon dos de ses pointes dressées lors de nos jeux sensuels et qu’elle semble y trouver un certain plaisir. Mais c’est toujours « pas touche ».


C’est elle qui fait la cuisine aujourd’hui. Pour poêler les premières noix de Saint-Jacques de la saison, elle a enfilé un petit tablier, mais juste un tablier. Le nœud du vêtement minimaliste repose gracieusement sur son séant, d’autant plus saillant qu’elle porte de hautes mules à talons. C’est affolant d’érotisme et elle le sait bien, la coquine. Mais elle se défend de toute distraction : « les noix, ça n’attend pas, si c’est trop cuit, c’est caoutchouc ! » Nous les dégustons donc avec une délicieuse fondue de poireaux du jardin, puis elle me demande ce que je souhaite comme dessert.



Je l’invite donc à se coucher sur la table devant ma chaise, je me rassois et je fourre ma bouche avide entre ses cuisses levées. Merveilleuse vulve déjà gonflée de désir, délicieuse foufoune déjà humide, délectable cyprine qui se met vite à couler sous mes coups de langue. Du bouton à la belle rosette et inversement, elle rit, glousse de plaisir, mais comme toujours avec discrétion. Clotilde n’a pas l’amour bruyant. Mes doigts rejoignent mes papilles et tous ses orifices humidifiés sont scrupuleusement visités. Et puis soudain, je ne sais pas ce qui me prend, je repense à un porno japonais où l’homme fourrageait furieusement de deux doigts la face avant du vagin, probablement la racine du clitoris ou « point G », faisant ainsi dégouliner la dame de flots de cyprine. Je me mets à en faire autant, doucement d’abord puis de plus en plus fort.



J’en relève la tête. Son « oui » a été dit avec une voix que je ne reconnais pas, grave, rauque, puissante, provenant de son incroyable coffre. Et là, elle me prend un poignet et me plaque la main sur un sein.



Je suis dans « L’exorciste ». Ce n’est pas ma Clotilde qui parle ainsi, surtout pas avec cette voix d’outre-tombe. Elle a le visage dur, des yeux de cheval fou, elle oblige ma main à lui écraser le sein. Je fais quoi ? On verra bien, mais si ça finit en corps à corps, je ne suis pas sûr de gagner avec une telle athlète. Mais pour une fois que je peux enfin lui tripoter les seins, il faut en profiter. J’en gobe un (normal pour un sein-gobe un !), je pelote l’autre en pinçant le téton érigé, sans cesser d’agiter mes doigts dans sa chatte. Elle grogne, rugit, s’agite en tous sens, une vraie furie. Et soudain, un jet sort de sa chatte. Mais quand je dis un jet, ce ne sont pas trois gouttes, c’est comme un robinet qu’on ouvre à fond un bref instant, un jet libre, désordonné qui éclabousse tout. Vache ! Jamais vu ça…


Et ce n’est pas fini. Nouveau rugissement. Elle saute de la table, me saisit la queue et se retourne.



Et toujours, cette voix rauque et grave qui résonne dans sa poitrine collée contre la mienne. Je fais ce qu’elle ordonne, je lui bourre le cul de toutes mes forces en lui pétrissant les nichons et triturant ses tétons. C’est elle-même qui s’occupe de son clitoris avec une violence inouïe, le frottant énergiquement et le claquant violemment. Raide dingue, ma petite chérie ! Le résultat ne se fait pas attendre. Un nouveau jet jaillit d’entre ses cuisses écartées, puis un autre encore un instant plus tard. Ses jambes se mettent à trembler, à flageoler, son corps couvert de sueur commence à glisser le long du mien, je ne peux pas la retenir juste avec ma queue dans son cul et ses seins dans mes mains, je l’accompagne jusqu’au sol. Elle est secouée de sursauts désordonnés, mais je finis tout de même de lui pilonner le fion, comme demandé. Elle crie de sa voix retrouvée quand mon sperme jaillit dans son ventre et elle se laisse tomber sur le côté, inerte.


Elle a peut-être craché l’équivalent de trois verres d’eau, mais trois verres d’eau sur le carrelage d’une cuisine, ça fait une sacrée flaque. Je patauge hébété, la queue en décompression, elle est toujours inerte. Je lui parle, je lui caresse la joue, elle marmonne, mais je ne comprends rien. Alors je décide de la transporter jusqu’au lit. Mais un corps de soixante-dix kilos inerte, c’est une sacrée charge. J’essaye de me souvenir des exercices de secourisme de mon service militaire. Je la prends sous les bras pour la hisser sur une chaise d’abord, en poussant sur mes cuisses et pas sur mon dos. Puis je m’accroupis devant elle, passe un de ses bras par-dessus mes épaules et attrape une jambe de l’autre main. Corps chargé, extension laborieuse des cuisses qui en vibrent, surtout en venant de baiser. Dix mètres jusqu’au lit, paquet déposé. Je l’essuie, je la couvre, je la couve. Elle dort trois heures de rang, paisiblement. J’ai le temps de passer la serpillière dans la cuisine. C’est drôle, ce liquide est incolore et inodore, pas de la cyprine, pas de l’urine, on dirait de l’eau.


Mine de rien, je suis inquiet devant cette sorte de catalepsie. Le toubib c’est elle, pas moi. Enfin, elle émerge vers seize heures trente, lentement, hébétée et pâteuse.



Vitamine C, deux comprimés, grand café serré, elle sort peu à peu de sa torpeur.



Je la regarde s’éloigner nue vers les sanitaires, toujours aussi fasciné par ce prose exceptionnel. Bon sang, comme je suis amoureux de cette femme hors du commun ! Pour la fin de cette mémorable journée, Clotilde est un peu loque, j’assure l’intendance. En revanche, son esprit est bien présent et sa langue bien affûtée. Nous parlons beaucoup. D’abord, ayant enfin goûté au délice de palper ses glandes mammaires, j’essaye de la convaincre de m’y laisser un accès, contrôlé bien sûr.



Bon. Il a fallu cinq essais. Elle s’est fait virer deux fois du tapis, on est tombés une fois par terre, il a fallu trouver la bonne position, un peu penchée en avant, démarrage lent… Mais on y est arrivé. Putain ce bonheur ! La bite broyée, à droite, à gauche, et on accélère. J’ai tenu presque dix minutes d’un enfer paradisiaque. Orgasme partagé, nouvelle expulsion du tapis, intense rigolade de bonheur.



Dans la semaine, je fais de nombreuses recherches sur Internet pour essayer de comprendre l’incroyable phénomène qui lui arrive. J’utilise plusieurs entrées, « femme fontaine », « éjaculation féminine », et je tombe sur quantité de sites qui racontent à peu près ce qu’elle m’a dit : vessie, « prostate féminine », glandes de Skène, etc. Mais apparaissent aussi des sites de vidéos pornos montrant ce phénomène, sans l’expliquer bien sûr. Globalement aussi étonnant que dégoûtant, j’y retrouve des clips japonais du style de celui que j’avais vu, mais aussi une série de vidéos d’une petite nénette plutôt très mignonne qui se fait gicler toute seule dans des lieux incongrus : en pleine nature, sur une terrasse, le long d’une maison, chez elle, en bagnole… Et en plus, elle est française, semble gérer cette faculté avec un grand sourire et fait du pognon avec en possédant une chaîne « Mouille-Tube ». Je lui mets des messages dans les commentaires, sans réponse. À force de recherches ciblant sa boîte de production, puis son inscription au registre du commerce et ainsi de suite, je finis par trouver une adresse mail plus directe. Je montre ça à Clotilde qui, dubitative, me dit que cette fille n’est pas toubib et qu’elle ne peut en rien l’informer.



On lui laisse un mail avec suffisamment d’infos pour l’accrocher. Deux jours après, elle répond en proposant une conversation sur Skype. La jeune femme attaque fort :