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n° 20343Fiche technique33101 caractères33101
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Temps de lecture estimé : 19 mn
01/07/21
Résumé:  Aujourd’hui, j’ai deux personnes dans mon cours, la troisième étant absente. Il s’agit de Nathalie et Jamal à qui j’explique les joies du langage Python afin de tripatouiller les données.
Critères:  fh hplusag extracon profélève collection ffontaine fellation cunnilingu préservati -prof
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Collection : Formateur est un beau métier
Formateur est un beau métier – Nathalie

Une histoire fort simple.

Ne pas confondre auteur et narrateur…

Bonne lecture : )



Nathalie 1/4



Mon actuel métier est d’être formateur. Depuis ces dernières années, alors que j’approche de la cinquantaine, je passe ma vie à aller d’entreprise en entreprise pour porter la bonne parole informatique. Généralement, je donne cours à cinq ou six personnes ; parfois à une seule, c’est très variable.


Aujourd’hui, j’ai deux personnes dans mon cours, la troisième étant absente. Il s’agit de Nathalie et Jamal à qui j’explique les joies du langage Python afin de tripatouiller les données. Comme ma stagiaire (qui doit avoir la bonne trentaine) est dans le style de femme que j’affectionne, je ne peux m’empêcher de souvent la regarder. Elle est mignonne dans sa robe verte, pleine de boutons blancs et de poches. Quant à son collègue, il est en chemise noire et pantalon de la même couleur.



L’intéressé secoue la tête :



Jamal râle un peu, car il a déjà un peu manipulé Julia, un langage concurrent, plus rapide et un peu plus cohérent sur divers points de détail. Je ne peux pas lui donner tort, mais comme son entreprise a décidé de basculer sur Python, et non sur Julia, il n’a pas le choix. Sa collègue le réprimande :



De son côté, Nathalie s’en fiche un peu. Avant, elle faisait son boulot à coup de tableur, et plus lointainement, avec Mathematica dans une autre entreprise. Elle est venue suivre mon cours, mais je parie qu’elle continuera avec son ancienne méthode.



Tel est l’un de mes problèmes quand je donne une formation, il n’est pas rare que je serve de tampon, voire de défouloir à la mauvaise humeur de mes stagiaires qui n’apprécient pas trop qu’on perturbe leurs habitudes. Néanmoins, je dois reconnaître que Nathalie et Jamal n’ont pas tort. J’explique une certaine vision des choses :



Nathalie me coupe :



Je passe ma première matinée à poser les bases du langage et surtout à expliquer les joies de mutable et immutable, un concept absent de la plupart des autres langages, une façon comme une autre (à mes yeux) de déguiser la notion de pointeur.


Après mon exposé, Jamal ricane :



Appuyant son collègue, Nathalie ajoute :



J’ai trois jours d’initiation avec eux, plus deux jours de perfectionnement à faire dans une quinzaine. Je sens que ça ne va pas être du gâteau durant ces cinq jours ! Je jette un furtif coup d’œil en bas à droite de mon écran. Dans quelques minutes, il sera l’heure d’aller manger, ce qui me permettra de souffler un bon coup.


Arrive l’heure du midi. J’apprends que Jamal retourne chez lui, car il habite à moins de cinq minutes, et aussi qu’un repas est prévu dans une petite salle annexe du restaurant d’entreprise. Tandis que nous nous rendons sur place, je fais constater à ma stagiaire :



Avec gentillesse, elle m’explique la marche à suivre. Étant derrière elle, je peux la contempler de dos, de sa chevelure châtain clair à ses jambes bien galbées, sans oublier son mignon popotin qui ondule agréablement. Un plat de choix…


En parlant de choix, il n’y a pas un éventail énorme dans ce resto d’entreprise, mais c’est mieux que rien du tout ou qu’un simple sandwich. Puis, mon plateau en main, je la suis vers une petite salle qui s’avère assez décorée. Le cadre est assurément sympathique. Sans parler de mon accompagnatrice…


S’asseyant, Nathalie explique :



Assis en face à face de part et d’autre d’une table ronde, nous commençons à déjeuner, en parlant un peu de tout. Nathalie semble ne pas détester les marivaudages, elle me tend souvent la perche. J’abonde dans son sens, mais en restant prudent, car le terrain est glissant et je ne tiens pas à salir ma réputation dans le petit domaine de la formation. On met des années à se bâtir une réputation qui peut être détruite en moins de cinq minutes pour un mot ou un geste malheureux.


Achevant son dessert, ma stagiaire confie :



Posant ma fourchette, je rectifie :



Provocante, elle se moque gentiment de moi :



Elle soupire :



Je commence à comprendre diverses petites choses. Je compatis :



Je cherche une réponse diplomatique, Nathalie se met à pouffer cruellement :



Soudain, elle me fixe curieusement :



C’est alors qu’elle lâche sa bombe :



Elle regarde ostensiblement sa montre :



Gardant un visage impassible, je botte en touche :



Nathalie sourit :



Houlà, ma stagiaire y va fort dans les sous-entendus ! Je réponds flegmatiquement, prenant le chemin de la neutralité :



Ah oui, carrément… Néanmoins, je reste prudent :



Le silence s’installe, tandis que nous nous regardons dans les yeux. Je me demande comment tout ceci va tourner, car Nathalie est assez entreprenante, mais pas trop téméraire. Elle semble attendre que ce soit moi qui fasse le premier pas. Pour ma part, j’essaye de ne pas mélanger boulot et plaisir. Néanmoins, je ne dirais pas non, la dame me semble être torride, mais nous sommes au premier jour de cette formation et elle se déroule sur cinq jours. C’est trop tôt, sauf si elle était ma seule stagiaire, mais ce n’est pas le cas.



Nathalie 2/4


Actuellement, je suis un célibataire sans attache, et sans petite amie attitrée. En clair, je suis libre de mes mouvements. D’après ce que je comprends, Nathalie prend des amants pour compenser les défaillances de sa vie de couple. Elle s’offre même des extra un peu particuliers, si j’en crois son histoire de « vertes et de pas mûres » au sujet de la salle où nous sommes.


Je reconnais sans problème que faire une petite partie de jambes en l’air avec ma stagiaire ne me déplairait pas du tout. Les femmes mariées frustrées sont souvent de très bonnes compagnes de jeu. Mais ce qui me chagrine, c’est que je suis en début de formation.


Comme j’aime les choses claires et nettes, j’expose la situation à ma vis-à-vis :



Verre en main, elle s’amuse :



Autant dire les choses telles qu’elles sont :



Ma phrase achevée, je me lève pour venir près d’elle, en contournant la table. Tout en souriant, elle me regarde m’approcher d’elle. Un peu avant que je ne sois à ses côtés, elle se lève à son tour, sans dire un mot.


Sans préambule, je la capture aussitôt dans mes bras pour venir poser mes lèvres sur les siennes. C’est un contact très agréable et légèrement électrique. Elle répond fougueusement à mon baiser, ses mains derrière ma nuque, collée contre moi, se frottant contre mon corps sans aucune honte. Une femme qui sait ce qu’elle veut et qui assume.


Après avoir dévoré ses lèvres, je couvre son visage et son cou de mille petits baisers voraces, puis je reviens m’emparer de sa boucle sucrée. Mes mains se baladent sensuellement sur ses courbes avec avidité, cette femme sait déclencher en moi un désir puissant.


Quand nos lèvres se décollent, toujours enlacés, elle me déclare, les yeux luisants :



Et je suis absolument sincère !



Nathalie 3/4


Faire une formation avec, face à soi, une femme que vous désirez n’est pas un long fleuve tranquille ! Il faut avoir une certaine maîtrise de soi. Mais l’attente a du bon. Il me suffit de patienter jusqu’à la fin de l’après-midi.


Ça y est, la première journée de formation s’achève. Jamal vient de quitter la salle. Je referme derrière lui la porte, et je m’empresse d’embrasser ma nouvelle conquête qui se laisse faire avec joie. Quand nous reprenons notre souffle, elle dit :



Nous avons spontanément basculé au tutoiement, c’est plus simple. Coquine, elle répond :



Puis nous nous embrassons à nouveau. Je me dis que Nathalie a dû feuilleter bien des livres depuis un certain temps. Ou bien, elle a une bonne connaissance initiale des hommes. Ou les deux en même temps. Je ne serais pas étonné que son mari plus âgé ait fait son éducation, et que ses amants aient complété son expérience.


Peu importe, puisque Nathalie est à moi !


C’est ma stagiaire qui prend l’initiative :



Toujours plaquée contre moi, elle s’étonne :



Puis, elle change de ton, devenant nettement plus sensuelle, très féline :



Elle m’adresse un large sourire :



Puis elle m’embrasse passionnément.



Nathalie 4/4


Nathalie me suit avec sa voiture. Tandis que je roule vers mon petit chez-moi, je songe à ce qui vient de se passer durant la journée. C’est bien la première fois que je ramène si vite une stagiaire à la maison ! Comme je suis assez ordonné, mon logement est propre et bien rangé. De plus, j’ai passé la serpillière avant-hier.


Quelques minutes plus tard, je me gare dans mon allée, Nathalie se plaçant juste derrière moi. Elle sort de sa petite voiture. Elle s’exclame :



J’enlace sa taille. Ensemble, nous nous dirigeons vers la porte d’entrée :



J’ouvre la porte. S’échappant prestement de mon étreinte, curieuse de nature, elle entre la première dans le couloir :



À cet énoncé, elle s’amuse :



Nous débouchons dans le salon-salle à manger. Fureteuse, elle regarde à droite à gauche, sans rien toucher, puis elle se plante au milieu de la pièce :



Je me plaque sur son dos, mes mains la ceinturant :



Mes mains caressent ses seins par-dessus sa robe verte.



C’est la première fois qu’une femme veut aller si vite en besogne. Comme si elle devinait mes pensées, elle ajoute :



Je l’entraîne aussitôt dans ma chambre. Elle s’exclame :



Elle me repousse. Sans complexe, elle enlève sa robe verte, apparaissant en soutien-gorge blanc et en string noir. Je n’ai pas l’occasion d’admirer longtemps sa lingerie : elle est vite ôtée ! Je découvre qu’elle est presque intégralement épilée, sauf un fin ticket mi-sombre. Puis elle s’approche de moi, bras tendus. Avant de la capturer, je lui dis :



Une femme nue qui s’offre de la sorte, j’en profite illico. Je commence par l’embrasser, laisser glisser mes mains partout sur ses courbes, puis je continue ma série de baisers en attaquant ensuite son cou, puis je descends sur ses seins, bien décider à les croquer !


Nathalie aime visiblement ce que je suis en train de lui faire. Un peu plus tard, je m’agenouille pour mieux bisouter son ventre, puis je la fais tourner sur elle-même afin d’accéder au creux de ses reins. Elle frémit d’aise. J’attaque ensuite ses fesses toutes dodues que je couvre de baisers et mordille parfois, étant un peu cannibale.



Pour toute réponse, je lui donne une petite fessée qui fait vibrer agréablement sa fesse blanche. Elle pousse un petit cri, mais elle ne me gronde pas pour autant.


La refaisant pivoter, mes lèvres se posent sur son ventre, puis descendent petit à petit vers son pubis. Bien vite, j’aborde son petit ticket avec lequel je lutine, avant d’aller voir à nouveau plus bas. Là m’attend une fente odorante dont je devine déjà le goût. Ma langue s’insinue entre ses lèvres, se chargeant déjà de cyprine. Nathalie est déjà bien excitée, à ce que je vois !


Pour conquérir une femme, rien ne vaut une langue agile, à la fois pour lui dire des mots doux et pour taquiner son clitoris. Il ne faut pas bien longtemps pour qu’elle soupire d’aise, ma caresse insidieuse lui faisant beaucoup de bien. Parfois, elle guide de ses mains ma tête. Nathalie sait ce qu’elle veut, quand elle le veut.


Très vite, elle commence à pousser de petits cris et à presser ma tête contre sa vulve dégoulinante. Sa cyprine devient de plus en plus abondante, son corps de plus en plus vibrant, sa respiration haletante. Soudain, elle part dans une longue mélopée :



Elle jouit sous ma langue qui virevolte dans son intimité détrempée et ruisselante. J’ai déjà connu des femmes « liquides », mais Nathalie décroche la première place sur le podium.


Brusquement, elle repousse ma tête, et m’ordonne :



Je me débarrasse prestement de mes habits, tandis qu’elle m’attend allongée sur le lit, cuisses largement ouvertes. À peine le préservatif mis, je me précipite en elle pour lui faire goûter la fermeté de mon mandrin. Ses bras se referment sur mon dos, ses ongles se plantent dans ma peau. Une vraie tigresse !


Ses yeux dans les miens, elle dit d’une voix rauque :



Je m’exécute, la pistonnant joyeusement, lui faisant sentir toute ma longueur, la barattant dans tous les sens afin de la visiter dans les moindres recoins. Ses cris éraillés, ses ongles dans ma peau m’indiquent qu’elle apprécie ma cuisine ! Je m’arrange pour bien me frotter sur son pubis et par ricochet à titiller comme il doit son clitoris en feu.



Emportée par une vaste vague, Nathalie jouit à nouveau, m’arrachant presque la peau du dos, telle une vraie chatte en furie ! Ma nouvelle compagne de jeu ne fait pas dans le détail ! Encore heureux que je ne sois pas un homme marié, j’aurais du mal à justifier ces marques rouges.


Quelques instants plus tard, c’est à quatre pattes que la suite se déroule. Fermement accroché à ses hanches, je la pistonne longuement et fortement. Ma verge entre et ressort sans effort, lubrifiée par la cyprine de Nathalie. Celle-ci apprécie beaucoup la façon dont je la baratte à nouveau, elle gémit, elle se tord, elle ondule.


Délaissant momentanément sa hanche, une de mes mains se pose sur son dos, afin que Nathalie s’aplatisse mieux dans le lit :



Elle fait comme je lui ordonne. La tête dans l’oreiller, les seins écrasés, ses doigts virevoltent dans sa fente détrempée, ses ongles frôlant souvent mes testicules, ce qui n’aide pas à mon contrôle. De mon côté, mes deux mains sur ses hanches, je me fais un immense plaisir d’aller et venir en elle.



Visiblement, ma stagiaire semble bien partie pour décoller vers d’autres cieux. Moi aussi, je ne vais pas tarder à l’accompagner. Mon bas-ventre claque harmonieusement contre ses fesses. Je suis aux anges. Faire l’amour avec Nathalie est l’une des meilleures choses qui me soient arrivées depuis bien des mois. J’ai eu d’autres amantes, mais avec mon actuelle stagiaire, c’est nettement plus jouissif et jubilatoire, comme si nous étions bien synchrones, en harmonie.


À nouveau, elle jouit, je me laisse aller à mon tour. Nos cris se mélangent, nos jouissances fusionnent, je décolle au lointain, par-dessus les nuages, à la fois si loin et si près ! Faire l’amour avec Nathalie, c’est quelque chose de… de puissant ! Cette femme me fait un sacré effet !


Visiblement, Nathalie récupère plus facilement que moi :



Avec dextérité, elle enlève mon préservatif, puis sans temps mort, elle avale ma verge avachie et pleine de sperme dans sa bouche afin de me procurer une fellation à réveiller un mort. Nathalie a de l’expérience dans le domaine, c’est flagrant. Je ne sais pas comment elle fait, entre ses léchouilles, ses sucettes, ses aspirations, mais c’est ultra efficace ! Très vite, mon braquemart est à nouveau d’attaque pour la suite des joutes !


Comme je suis à nouveau en pleine forme et que Nathalie m’excite à fond, nous enchaînons les positions afin de profiter au mieux de l’instant présent. Je sais que ma stagiaire ne sera pas souvent disponible pour les galipettes, et qu’il faut dans ce cas vivre l’instant présent intensément.


À prime vue, Nathalie aime bien qu’on la bouscule, mais pas trop, il convient de régler le curseur à la bonne position entre vide-couille et grande dame, allant parfois un peu plus vers une extrémité ou l’autre, en fonction du contexte. Mais je pense que je m’en sors bien, si j’en crois ses cris, ses ongles et ses bras qui me serrent parfois tellement fortement que je pourrais étouffer !


Toutefois, il convient d’avoir une bonne constitution pour survivre aux étreintes de ma nouvelle maîtresse !


Mais toutes les bonnes choses ont une fin, car il arrive un moment où le corps est rompu, fatigué, hors service. Je suis allongé sur le dos qui me picote un peu, je serre tendrement Nathalie contre moi, son bras sur ma poitrine, sa jambe sur mon ventre. Je me laisse aller à la douceur et la chaleur de sa peau. Je suis bien, très bien.


Quelques minutes plus tard, s’écartant un peu, elle s’étire voluptueusement :



Ajustant une mèche, elle sourit :



Elle se redresse, ses seins nus presque sous mon nez, ses bras autour de mon cou :



Traduction en clair : je n’ai pas l’intention de le quitter, je ne fais que m’amuser au-dehors avec des types qui me plaisent. Ce qui me convient, la dame ne sera pas embêtante. Nathalie approche son visage du mien :



Ça, je m’en doutais déjà. Je réponds par une maxime :



Elle pose son front contre le mien :



Je fais semblant de réfléchir. Puis, je dis :



Elle m’attire à elle, posant carrément un de ses seins sur mes lèvres :



Naturellement, j’ai obéi à ma nouvelle maîtresse. Nous avons commencé et recommencé plein d’autres fois…