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n° 20344Fiche technique18685 caractères18685
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Temps de lecture estimé : 11 mn
02/07/21
Résumé:  Aujourd’hui, ma stagiaire est la caricature parfaite de la comptable sévère à lunettes, et portant un chignon tout simple.
Critères:  fh travail fsoumise fellation -prof -dominatio
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Collection : Formateur est un beau métier
Formateur est un beau métier – Violaine

Une petite histoire fort simple sur une pratique peu commune et connue.

Ne pas confondre auteur et narrateur…

Bonne lecture : )




Violaine 1/3



Mon actuel métier est d’être formateur. Depuis ces dernières années, alors que j’approche de la cinquantaine, je passe ma vie à aller d’entreprise en entreprise pour porter la bonne parole informatique. Généralement, je donne cours à cinq ou six personnes ; parfois à une seule, c’est très variable.


Aujourd’hui, ma stagiaire est la caricature parfaite de la comptable sévère à lunettes, et portant un chignon tout simple. Son habillement est strict, sans aucune fantaisie, même si l’on devine aisément que c’est de la qualité. Sa voix est sèche, ses gestes et ses manières assez brusques, avec un sens de l’humour proche de zéro.


Pour un peu, je me croirai dans une mauvaise série télé. Ce qu’il y a de bien dans mon métier est que, si je tombe sur des personnes imbuvables, je sais que dans quelques jours je ne les reverrai plus, contrairement à bien des employés mal lotis qui doivent subir un chef despotique à longueur d’année.


Aujourd’hui, une fois de plus, je suis plongé dans les joies d’Excel. Après avoir vu les joies de la RechercheV et consorts, je suis en train d’expliquer la consolidation et toutes ses variantes, ce qui semble beaucoup intéresser Violaine, pardon, Madame Deschamps, ma stagiaire. Nous sommes assis l’un à côté de l’autre, partageant le même grand écran. Elle me pose parfois quelques questions auxquelles je réponds au mieux, avec parfois un exemple pratique.


Pour le repas du midi, je reste sur place à manger un sandwich que je me suis préparé la veille. J’étais au courant que rien n’était prévu, comme c’est souvent le cas maintenant. Ça va faire belle lurette que les invitations au restau sont passées aux oubliettes dans la plupart des entreprises. Quant à ma stagiaire, elle repart dans son bureau.


L’après-midi, la fin du cours arrive assez vite. Je rentre chez moi : une journée de faite sur les deux. J’ai connu des ambiances plus folichonnes, mais aussi plus détestables.


Quand on vit seul, il est rare qu’on se fasse des repas sophistiqués, alors je gringotte. Avant de m’endormir, je m’offre une ancienne comédie musicale : « L’amour vient en dansant » (You’ll never get rich, en VO) avec Fred Astaire et Rita Hayworth (excusez du peu), un film tel qu’Hollywood savait si bien les faire (néanmoins, celui-ci est assez cul-cul la praline), même s’il est flagrant que tout est tourné dans des studios.


C’est une bonne façon de passer sa soirée sans se griller un neurone !



Violaine 2/3


Arrive le deuxième et dernier jour de la formation spécifique. Ma stagiaire n’a pas vraiment changé de tenue, sauf un petit foulard autour de son cou. Même si Violaine est peu expansive, le cours avance bien, nous avons vu la plupart des points du programme. L’après-midi sera donc réservé à divers exo et autres applications pratiques.


Après la pause du matin, je constate que Violaine a enlevé son foulard, révélant un curieux pendentif abstrait autour de son cou. Quand elle s’assied à nouveau auprès de moi, c’est avec étonnement que je reconnais celui-ci. Avant de continuer la formation, je lui fais remarquer :



Sans ouvrir la bouche, elle me regarde avec un air étrange. Restant neutre et didactique, je continue mon explication, sans trop me mouiller :



Comme j’ignore où je mets les pieds, je préfère marcher sur des œufs. J’explique de façon vague :



Ça, c’est de la circonvolution ! Ma stagiaire répond flegmatiquement :



Intéressante information. Toujours aussi calmement, je dis d’un ton neutre :



Je fais le point à vitesse grand V : je suis célibataire sans attache, j’ai à côté de moi une femme qui met sous mon nez un pendentif qui indique son adhésion à une certaine pratique, et elle l’a sciemment dévoilé. Donc acte.


À titre de comparaison, le symbole « Dame de Pique » indique que la femme est partisane des blacks et s’offre à eux sans réserve. Le symbole « Rond + Slash en bas à gauche » indique que la femme fait des fellations à qui le lui demande.


À prime vue, les indicateurs sont au vert. Je prends ma décision, je déboutonne ma braguette pour exhiber une verge bien raide, prête à l’emploi :



Je me demande fugacement si je ne viens pas de faire une grosse connerie. Je m’inquiète un peu. Mon attente n’est pas longue. D’un geste lent et délicieux, elle s’empare de ma tige et amorce un imperceptible mouvement de va-et-vient entre ses doigts. Puis se penchant, elle embrasse ma verge, elle la lèche comme un cornet de glace, sa langue enveloppant suavement bien mon gland. J’en frémis d’aise.


À ma grande surprise, ma stagiaire sort son smartphone pour prendre une photo de mon sexe. Elle explique calmement :



Elle ne répond pas, car elle a déjà enfourné ma verge dans sa bouche maintenant bien remplie. Ses mains caressent sensuellement ma barre de chair frémissante qu’elles ont sous leurs doigts. Elle alterne léchouilles et aspirations, ce qui est très efficace !


Soudain, elle plonge une de ses mains pour se saisir d’un testicule. Elle câline cette boule chaude et douce du mieux qu’elle peut, tandis que son autre main astique ma colonne de chair.



La bouche pleine, Violaine se contente de lever les yeux vers moi, puis de cligner des paupières, une sorte de « allez-y » muet. Visiblement, elle souhaite mon flot de sperme dans sa gorge. Autant lui faire plaisir et me faire plaisir ! Une première salve tiède envahit sa bouche. Une deuxième survient, puis une troisième. Je suis en train de me vider à fond. Se faire sucer de la sorte par une femme perverse à l’allure si revêche et si éloignée du sexe est fort stimulant ! J’arrête de compter mes jets après le nombre six, de multiples autres surviennent, moins abondants, mais réguliers et très jouissifs !



Je me lâche par à-coups, comme si je recherchais dans mes réserves la moindre goutte à expulser dans cette bouche qui avale sans effort mon sperme tiède et gluant.


Une fois que je suis à sec, vidé, épuisé, m’ôtant de sa bouche, Violaine me lèche soigneusement pour me nettoyer, puis elle m’offre un dernier petit coup de langue vicieuse sur mon méat. Je tressaille, tellement c’est puissant !


Elle se redresse, un petit sourire de satisfaction sur ses lèvres qu’elle vient d’essuyer. Je reprends mon souffle pour lui dire :



Elle est toujours aussi laconique ! Je lui pose sans fard la question :



Soudain, elle s’empare de son smartphone, le manipule quelques secondes, puis me fait voir une galerie d’images : rien que des verges. Je hausse un sourcil :



Je reste songeur :



Elle me regarde d’un air autoritaire :



Puis, comme si de rien n’était, la formation reprend jusqu’à la pause du midi, bien que je me sente un peu épuisé, avec les idées pas toujours ultra claires et nettes. De ce fait, je regarde d’un autre œil ma stagiaire. Ne pas se fier aux apparences, l’habit ne fait pas toujours le moine…



Violaine 3/3



Et c’est reparti pour la fusion de divers tableaux, aussi bien selon un point commun dans les colonnes que dans les lignes, ou les deux en même temps. Puis arrive la pause de midi. Je propose à ma stagiaire :



Elle se lève sans rien dire. Docile, elle se dirige vers son bureau, je la suis. Une fois arrivé sur place, je constate avec plaisir que la porte est verrouillable de l’intérieur, ce qui ne m’étonne pas d’un endroit comme la comptabilité, lieu sacré et secret d’une entreprise. Je ferme la porte, puis je me tourne vers ma stagiaire, lui ordonnant :



Elle ne dit toujours rien, mais s’exécute. Je continue sur ma lancée :



Toujours aucune réponse, mais elle fait ce que je viens de lui demander. Je pars m’asseoir sur son siège que je recule un peu du bureau. À nouveau, je commande :



Elle ne bouge pas. Je reformule autrement :



Elle sourit faiblement, elle vient se placer sous le bureau comme exigé. L’instant d’après, elle commence une nouvelle fellation. Il n’y a pas à dire, Violaine s’y connaît ! J’ai déjà connu de bonnes suceuses, mais aujourd’hui, je constate que ma stagiaire fait partie de l’élite. Elle a assurément des heures de vol, et ça semble même être son usuelle pratique sexuelle. Je me demande si elle couche avec des hommes, de façon classique, il s’entend.


Je suis actuellement en train d’assouvir le fantasme de bien des employés de bureau ou de bien des patrons, alors que je n’en suis même pas un !



Elle ne répond rien, continuant sa belle sucette sur ma verge dure comme de l’airain. La vie est belle, il suffit de peu pour être heureux, juste d’une bonne bouche de temps à autre. Je me demande s’il est possible d’inscrire Violaine dans mon carnet d’adresses et de la convoquer dès que j’aurais un problème de trop plein… Qui sait ?


Ce qui devait arriver arriva, j’ai un mal de chien à me retenir. À nouveau, j’explose dans la bouche de Violaine, lui offrant son dessert à coup de longues rasades gluantes. Je m’étonne moi-même d’avoir tant de sperme à évacuer alors que j’ai déjà éjaculé, il y a moins de deux heures. Ou bien j’avais des réserves, ou bien mon corps a rempli les réservoirs !



À la suite de cet ordre, elle hésite un peu, mais elle finit par me présenter son popotin. Je me lève, puis j’essuie délibérément ma verge avachie sur ses fesses, les rendant luisantes de salive et de sperme. Ceci finit, je lui dis :



Elle s’éloigne un peu de moi pour venir prendre des mouchoirs sur le bureau. Après s’être essuyée, elle se rhabille sans se hâter :



Je viens de me faire carrément chasser de son bureau. Néanmoins, je ne vais pas me plaindre d’avoir eu une belle sucette, mais cette femme est décidément un glaçon, même si elle suce bien. Allons reprendre des forces en mangeant mon sandwich au thon !


Quand elle revient, elle m’avertit tout de suite d’un ton sans appel :



C’est clair et net ! Nous continuons la formation. Quelques heures plus tard, nous sommes arrivés au bout du plan de cours et aussi au bout de l’après-midi. Je fais remplir la paperasserie à ma stagiaire. Entre-temps, je lui demande :



Puis elle ajoute en faisant la moue :



Je réfléchis un peu :



Je réponds avec humour :



Elle réfléchit quelques instants, puis elle dit :



Sans attendre ma réponse, elle se lève, me tendant sa main :



Un petit sourire s’affiche sur ses lèvres, puis elle tourne des talons et part de la salle sans se retourner. Si elle est ainsi dans la vie intime, peu loquace, peu diplomate et plutôt sèche, j’en viendrais à plaindre son compagnon ou sa compagne. Mais je pense qu’elle vit seule, s’offrant de temps à autre son « dessert » particulier.


Je remballe mes affaires, assez partagé sur cette étrange formation. Néanmoins, il est évident que je me sens nettement plus léger quand je quitte cette entreprise !