n° 20370 | Fiche technique | 32686 caractères | 32686Temps de lecture estimé : 18 mn | 16/07/21 |
Résumé: Aveu et confession. Tout est bien qui finit bien. Ouf ! | ||||
Critères: fh hh policier -policier | ||||
Auteur : Domi Dupon (Une antiquité sur le site) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Fatale Fellation Chapitre 09 / 09 | FIN de la série |
Résumé de l’épisode précédent :
Charlotte Dorset ne serait pas coupable. Le véritable assassin serait une femme ( de naissance), la belle Adeline;, gouvernant du sieur Sanmarco
CHAPITRE 22 (suite)
(Lundi matin)
Pas de câlin au réveil. Un petit-déj sur le pouce. Nous avions hâte de rencontrer Adeline N’guyen. Quand j’avais voulu prendre ma poubelle, ma belle amie s’était moquée.
Je protestai. Ça n’allait pas le faire si nous arrivions ensemble au boulot. Sa réputation allait en prendre un coup. Elle se mit en rogne. En moins d’une minute, elle balaya tous les problèmes que nous avions occultés durant le week-end.
Alors qu’elle montait dans la Subaru, elle conclut sa diatribe par un coup bas.
À quoi bon répondre ?
Le gyro sur le toit, la main toujours sur le levier de vitesse, Anna battit des records et je faillis rendre mon déjeuner à plusieurs reprises.
À 8 heures, quand nous arrivâmes, Barbara-Anne de la Bitchboille, le ventre en avant, faisait les 100 pas dans le couloir. Nous fîmes un point rapide. Elle assisterait à l’audition de la pièce jouxtant la salle. Après le dernier renseignement fourni par Serge, nous avions décidé de ne pas faire dans la dentelle, d’attaquer bille en tête. Elle approuva. J’allais m’y coller.
Quand Anna et moi entrâmes dans l’antre au lion, notre suspecte y mitonnait depuis plus d’une heure.
Les duettistes avaient bien travaillé. Ils l’avaient cueillie au saut du lit, ne lui avaient pas laissé le temps de s’apprêter. En leggins et sweat, pas maquillée, les cheveux en bataille, elle perdait beaucoup de son charme et par la même occasion de ses certitudes. Elle se la jouait hautaine, outragée, mais on lisait un certain flottement dans son regard se demandant ce qu’elle faisait là, ce qu’on savait.
Selon un process bien rodé, je m’assis en face d’elle tandis qu’Anna s’adossait à la porte après avoir mis en route la cam. Je nous présentai puis fis mine de me plonger dans l’épais dossier que j’avais posé sur la table.
Bras croisés, regard dans le vague, elle restait impassible. Enfin presque, elle jetait des coups d’œil de plus en plus fréquents à sa montre. Je n’étais pas pressée. Un gros quart d’heure s’écoula avant qu’elle sorte de son mutisme. Elle s’exprima posément, poliment.
Putain… Elle jouait à quoi Anna ? V’là pas qu’elle repartait dans l’impro. Mais là, nous n’avions rien. Sarah n’avait pas encore pu joindre le garçon. Pourquoi lui lançait-elle ça à la figure ? Elle était totale incontrôlable. Je ne pouvais interférer maintenant sous peine de flinguer l’interrogatoire. Y’allait avoir explication de texte, tout à l’heure. Le temps que ces pensées tourbillonnent dans ma tête, je compris que je n’aurais qu’à la fermer. N’Guyen réagit brutalement. Son calme de façade s’effondra.
J’assistais, muette, à cette partie de tennis. J’avais toujours un coup de retard.
Anna montait au filet sans lui laisser finir ses phrases.
Adeline N’Guyen baissa la tête, mais ne répondit pas. Je mis mon grain de sel pour donner l’impression de participer au match.
Une larme perla au coin de sa paupière. Je ne comprenais pas ce qui avait motivé la stratégie que développait Anna, mais je ne pouvais que constater son efficacité. Toute la suffisance qui l’habitait quelques minutes auparavant avait disparu. Ses épaules s’étaient affaissées, ses mains tremblaient autant que sa voix.
Anna claqua cette question comme elle aurait claqué un smash.
Les larmes coulaient lentement le long des arêtes de son nez. Je repris au vol le rôle du « good cop ». Sur un ton compatissant, je lui demandai :
Sans nous concerter, nous nous tûmes. Au bout de quelques secondes, elle répondit.
Je ne voyais toujours pas où Anna voulait l’amener, mais je pouvais poser la question suivante.
La question à 1 000 €. Anna avait sans doute raison. Mais comment allait-elle réagir ?
Bingo.
Elle nous raconta le calvaire qu’elle avait subi la première semaine puis le changement d’attitude progressive de son violeur. Elle avait bien vécu son rejet des hommes jusqu’à ce qu’elle rencontre Marc et qu’elle tombe amoureuse. Il était prêt à attendre, mais elle savait que c’était inutile, d’où la rupture. Oui, il l’avait mal pris. Il ne pouvait pas avoir tué Paolo. Elle lui avait parlé de lui, mais il ignorait qu’il était responsable de son état. Elle lui avait raconté qu’elle avait été violée au Vietnam.
Anna balança encore une de ses questions tordues.
La messe était dite.
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(Le soir du meurtre)
Récit de Adeline N’Guyen
Cette sortie au théâtre était prévue depuis longtemps. Je m’étais imaginé que cela m’aiderait à oublier Marc, l’espace de quelques heures. Ça a marché, la durée de la pièce, j’ai oublié. J’ai ri. Les camarades qui m’accompagnaient étaient sympas et j’ai accepté d’aller boire un verre avec eux. La soirée aurait pu bien se terminer si je n’avais pas reçu ce SMS : « Viens ! J’ai besoin de parler ! ». Il l’avait envoyé aux environs de 9 heures et je l’avais lu vers 11 heures. Il devait être furieux. J’ai eu la tentation d’ignorer son message. Je le haïssais, mais il me restait un trimestre avant d’obtenir mon doctorat. J’avais besoin de son fric pour achever mes études. Alors j’y suis allée avec toute cette colère qui bouillait au fond de moi.
Pendant des années, j’avais refoulé cette haine, je m’étais même accoutumée à ma frigidité. Le sexe ne m’avait jamais réellement intéressé. Mes orgasmes n’avaient rien de grandiose. Au Vietnam, j’avais eu quelques petits amis avec qui j’avais fait l’amour sans plaisir démesuré et sans tomber amoureuse. Ces aventures ne m’avaient pas laissé un souvenir impérissable. Que Paolo ait abusé de moi de toutes les manières possibles n’avait pas changé profondément ma vie sexuelle. La répulsion avait remplacé l’indifférence… jusqu’à ma rencontre avec Marc.
au début, l’amour m’a fait croire que je surmonterais cette aversion. Je le désirais, j’aurais voulu gémir sous ses caresses, sentir son membre en moi, fusionner avec lui. J’ai compris très vite que je n’y parviendrais pas. Quand il me touchait, tout mon corps se crispait, mon poil se hérissait. Je devais prendre sur moi pour ne pas le repousser. Un baiser dans mon cou par surprise provoquait un saut de carpe. Il s’est très vite rendu compte de ce qui se passait. Je lui ai menti. J’ai inventé un viol pendant mon adolescence. Il m’a crue. Il ne voulait pas qu’on se sépare. Je suivrais une thérapie et il attendrait le temps qu’il faudrait. Des mots. Je savais que rien ne changerait. Les viols à répétition que j’avais subis ne s’effaceraient probablement jamais. Les rencontres régulières quasi journalières avec leur auteur empêchaient toute chance d’oubli.
C’est à ce moment que tout a basculé. Toute ma haine est remontée. Il avait détruit ma vie, j’ai commencé à me demander comment j’allais détruire la sienne. Le détruire… pas le tuer. Lui ôter la vie ne l’aurait pas fait assez souffrir. J’ai compris le ressentiment obsessionnel de jeune garçon devenu travesti qui l’avait harcelé pendant des années.
Quand je me suis rendue à l’Allée du chêne clair cette nuit-là, cette colère m’habitait. Durant le trajet, dans ma voiture, je me suis monté la tête. J’ai imaginé une conversation où je lui disais tout ce que je pensais de lui. Sachant très bien que je me tairai, je n’avais pas le courage. Et j’avais peur de lui. Le souvenir de ses coups sur tout mon corps, ses gifles restaient vivaces.
La lumière brillait dans son bureau. Il devait m’attendre. J’ai frissonné de peur. Il ne me frappait plus avec ses mains seulement avec des mots : ça faisait aussi mal. Il n’avait pas verrouillé la porte, l’alarme était coupée. Connaissant sa paranoïa galopante, cela m’a surprise et pas rassurée. S’il avait bu… crainte irraisonnée qu’il pose de nouveau ses mains sur moi.
Peut-être s’était-il endormi… Je suis entrée dans son bureau aussi silencieusement que j’ai pu. Quand je l’ai vu attaché, nu, sur son fauteuil, un godemichet dans l’anus et touche artistique, son sexe flasque entouré d’un ruban rose, j’ai éclaté d’un rire inextinguible et sonore.
Le bruit l’a réveillé.
S’il ne m’avait pas traité de connasse… peut-être que… Mais il l’a crié… À cette seconde, j’ai su que j’allais le tuer.
Habituellement, je ne bois pas d’alcool, mais le scénario que j’étais en train de bâtir… Sans prendre la peine de lui répondre, je suis allée dans son coin-bar me servir une très, très grosse dose de gin puis je me suis assise en tailleur en face de lui.
Je détestais la vulgarité, mais le traiter de connard… Je ne saurais exprimer ce que j’ai ressenti à ce moment. Avoir son violeur en son pouvoir ! Et lui qui ne comprenait rien.
Il s’est enfin tu. Un éclair de compréhension. La crainte, dans son regard.
Je n’ai pas pris la peine de répondre. J’ai bu une grande gorgée de gin. J’allais avoir besoin de tout mon courage. J’ai posé mon verre et me suis levée.
Ensuite, j’ai agi sans rien ressentir. Je suis allée chercher le flacon de débouche-évier. Je lui ai expliqué ce que j’allais faire. Je lui ai montré le cutter qu’il m’avait fait acheter pour me défendre en cas d’agression et à quoi il allait me servir. Il s’est agité, m’a insulté, m’a supplié, m’a demandé pardon, l’hypocrite. Il a été jusqu’à me proposer des sommes colossales. Le fric, le fric ! Il pensait que l’argent pouvait tout acheter. Qu’est-ce que j’en avais à foutre de son argent. Il ne me rendrait pas mon humanité. À bout d’arguments, il s’est tu et s’est mis à pleurnicher.
Pour éviter qu’il ne se débatte, pendant que, à l’aide d’une poire à lavement, je lui remplissais les intestins de « destop », je l’ai endormi d’un coup de taser. La douleur l’a ressuscité, il a hurlé pour retomber presque immédiatement dans les pommes. J’avoue que cela m’a déçue. Surtout que lorsque que je l’ai émasculé, il n’a même pas repris conscience.
Ensuite, j’ai fait le ménage et emporté tout ce qui pouvait m’impliquer. Non, je n’ai ni regret ni remords, j’ai débarrassé la planète d’un nuisible. Je suis seulement délivrée.
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CHAPITRE 22 (fin du fin)
À notre sortie, les aveux de N’Guyen dûment signés, De la Bitchboille nous accueillit fraîchement. Les variations sur le thème d’Anna lui restaient en travers de la gorge. Elle la félicita du bout des lèvres tout en lui faisant remarquer qu’elle aurait pu tout faire foirer. Ce à quoi, mon adjointe bien-aimée lui répondit avec sa délicatesse habituelle qu’elle pouvait aller se faire foutre, tout en précisant que dans son état, il valait mieux qu’elle attende le retour de couche. Elle lui fit valoir que seul le résultat comptait et, qu’avec sa tactique, à nul moment, Adeline n’avait songé à faire appel à un avocat.
Le ton montait entre les deux donzelles. Sadiquement, je comptais les points. Serge, qui nous avait rejoints entre temps, s’interposa reprenant son habituel rôle de médiateur. Avec le caractère légèrement abrupt de sa moitié (en ce moment plutôt de ses trois quarts), il avait l’entraînement. Il proposa que toute l’équipe fête le dénouement de l’affaire chez eux le soir même. Je trouvais fascinant ce pouvoir qu’il avait de « calmer » sa compagne.
Je n’avais rien dit en public, mais quand nous nous retrouvâmes seules dans mon bureau, j’entrepris Anna.
Aucune trace dans sa réponse de l’agressivité qu’elle avait développée face à la proc. Bêtement, ça me toucha.
Elle réfléchit quelques secondes.
Je la regardai, interloquée. Elle me prit la main.
Je ne la contrai pas. La mise en scène était bien le fait de Dorset qui officiellement était un homme. Adeline avait simplement profité de la situation. Mais je n’avais aucune envie de défendre Gaby et encore moins de m’embrouiller avec Anna à cause d’elle. Égoïstement, qu’elle soit jalouse de mon ex me faisait chaud… au cœur. Je la laissais continuer.
S’en suivirent un long baiser langoureux, des mains qui s’égaraient, ma culotte qui s’humidifiait. Je nous interrompis.
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ÉPILOGUE 1
Et Charles, me direz-vous ?
À ma grande honte, entre tout le cirque inhérent à la résolution de l’affaire et ma « love affair » avec Anna, je l’avais complètement squeezé. Il se rappela à mon souvenir le jeudi suivant par l’entremise du Brigadier Poilala.
Le meurtre de Sanmarco réglé, Bourrel nous avait refilé dès le mercredi un nouveau dossier. Celui-ci ne présentait pas la même difficulté et nous venions d’arrêter un abruti qui sous l’influence de l’alcool avait défenestré sa compagne. Le plus dur avait été de retrouver le bouge dans lequel il s’était réfugié.
Poilala m’intercepta alors que nous revenions de la maison poulaga pour me donner un pli cacheté. Un quidam lui avait demandé de le remettre en main propre au Commandant Dupin. Je le jetai sur mon bureau avant d’aller recueillir les aveux de notre homme et en oubliai l’existence. Anna le remarqua en fin d’après-midi quand elle vint me chercher.
Elle secoua l’enveloppe sous mon nez.
J’y avais accordé si peu d’intérêts que je n’avais pas fait attention à l’enveloppe fantaisie… une fantaisie florale. Je finissais de taper un rapport pour le procureur alors je lui demandai de la lire.
Elle ne se fit pas prier. Elle déchira l’enveloppe et en tira une simple feuille A4 décorée de fleurs, elle aussi.
Je sursautai, relevai la tête, soudain intéressée.
J’avais pas oublié sa jalousie… La lui laisser lire lui coupait l’herbe sous les pieds. Elle entama la lecture.
Anna interrompit sa lecture.
On ne pouvait pas parler de rupture alors qu’il n’y avait pas eu de… liaison. Pourtant, c’est ce que je ressentais.
Elle marqua une hésitation avant de continuer.
Je fis mine de réfléchir.
Je réalisai soudain à quoi elle pensait. J’éclatai de rire.
Je l’avais.
J’attendis d’être rentrée à Bressoles pour l’appeler. La discussion dura un certain temps. Je le félicitai pour ses dons de visionnaires. J’ajoutai qu’il n’avait pas tout juste, qu’Anna et moi serions heureuses que Charlotte vienne nous rendre visite. La négociation fut longue, mais agréable.
Nous le reçûmes à Bressoles où nous passâmes une chaude soirée dans un trio atypique. Anna prenant en charge la partie (les parties) masculine de notre amie tandis que je faisais l’amour avec son côté féminin. Au cours de la soirée, ma bouche s’amusa avec sa bite, mais celle-ci n’usa pas de mon vagin. À l’opposé de celui de mon adjointe qui fut visité plusieurs fois. Charlotte bénéficia aussi de l’artefact de pénis qu’Anna avait amené pour l’occasion.
Ce soir-là, à 46 ans, je compris la signification profonde du triangle amoureux. Anna, allongée sur le lit, en symbolisait l’hypoténuse, sa langue mignardant mon clitounet, son intimité accueillant le pénis bandé de Charlotte. Elle et moi formions les côtés adjacents. Triangle dont le sommet pratiquait un langue à langue intense. Tandis que nos bouches se déformaient en un angle de moins en moins droit : de rectangle, cette figure de géométrie acrobatique devint scalène*. Notre triangle, sans jamais avoir été équilatéral ou même isocèle, n’en fut jamais pour autant quelconque…
La nuit se termina dans ma chambre à la grande satisfaction de tous, pardon de toutes. Au matin, elle nous fit ses adieux. Elle avait acheté un camping-car et décidé de partir à l’aventure, ailleurs en abandonnant sa double personnalité pour sa vie de femme.
*scalène : triangle dont les trois côtés sont de longueurs inégales.
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ÉPILOGUE 2
(Quelques semaines plus tard)
Bryce appuya sur le déclencheur et courut se placer derrière Lay Houay. La photo de famille, de ma famille. Cela n’allait pas être le cliché de l’année. La veille, nous n’avions pas fonctionné à l’eau fraîche. Nous avions même abusé de la dive bouteille à l’exception de la proc qui s’était contentée d’une seule et unique coupelle de champagne, allaitement oblige.
Cette petite sauterie qui avait tourné à la beuverie avait été organisée pour fêter l’arrivée, une quinzaine de jours auparavant, de Lucy Rhonda Ampépeur-De La Bitcheboille*.
J’avais été plébiscitée pour recevoir tout ce beau monde à Bressoles étant la seule à disposer d’un « espace vert » et de suffisamment de place. Ma maison avait été transformée l’espace d’un week-end en auberge de jeunesse. Béa, Sergio et leur bébé s’étaient installés dans ma chambre alors qu’Anna et moi, pour la nuit, avions migré vers la chambre d’amis. Martineau et sa copine avaient hérité du canapé et Sarah d’un matelas posé dans un coin du salon où elle avait tenté de dormir.
Cette fête et la naissance de Lucy Rhonda marquaient la fin définitive de l’affaire Sanmarco. Le dossier avait été transmis à un juge d’instruction. Adeline N’Guyen disposait d’une chambre individuelle à la maison d’arrêt de Corbas. Comme je l’avais supposé, aucune poursuite n’avait été engagée à l’encontre de Rose Delion. Mieux, aucune plainte n’ayant été déposée, Béa avait fait en sorte que Michel Dorset s’en sorte sans dommage. Aux dernières nouvelles, Rose et lui avaient officialisé leur liaison. Le préfet de police nous avait affirmé qu’il n’y avait pas/qu’il n’y aurait pas d’affaire Oldborg, rajoutant en off que « cette ordure avait choisi la bonne porte de sortie » (sic).
Quant à Anna et moi, si ne vivions pas ensemble, elle ne couchait plus très souvent dans son petit appartement d’Écully. Notre improbable attelage… Wait and see.
Anna, ça n’rime à rien du tout
Oh ! mais tiens-le-toi pour dit
Ce soir, on va s’aimer
Anna, je veux rêver d’amour
Anna, ne serait-ce qu’un jour
Jean-Louis Aubert
* Private joke pour musicologue averti
Je présente mes excuses anticipées :
Un grand merci, pour leur courage, aux quelques lecteurs qui ont été au bout de ce récit. :)