n° 20375 | Fiche technique | 19869 caractères | 19869Temps de lecture estimé : 12 mn | 18/07/21 |
Résumé: Un homme hétéro veut jouer à se faire peur en allant au sauna gay. Il y découvre que ses fantasmes sont bien plus forts qu’il ne le pensait. | ||||
Critères: hh sauna hsoumis hdomine hsodo init -gay -lieusexe | ||||
Auteur : Francky |
Ce samedi, ma femme est partie en week-end chez une amie et cette soirée est pour moi.
N’ayant eu que des expériences hétéros, mais ayant quelques fantasmes de voir ou de caresser d’autres sexes d’hommes, j’ai décidé de m’offrir une soirée dans un sauna gay parisien bien connu. Je sais aussi que j’ai l’anus très sensible, car dès que je peux je joue avec les différents godes de ma femme. Ce qui me donne toujours beaucoup de plaisir. Mais pour moi : rien d’homosexuel là-dedans, juste un plaisir prostatique inavouable.
Pour moi, ce fantasme de bisexualité doit rester un fantasme et ce soir j’ai juste envie de jouer à me faire peur.
Arrivé au sauna, je me déshabille et je pars de suite explorer le lieu. Je me promène entièrement nu et j’aime cette sensation de liberté. Il y a pas mal de monde et je regarde discrètement les hommes qui passent. La population est assez jeune et en forme physiquement même s’il y a de tout.
Pour ma part, malgré mes 43 ans, je suis ancien rugbyman et suis toujours très sportif. Pour l’occasion, j’ai fait attention à bien m’épiler pour faire ressortir mes muscles et mon sexe. Ma femme aime aussi quand je m’épile, en particulier pour pouvoir avaler mes couilles, donc elle ne se doutera de rien.
Je passe par la piscine. Je me prélasse en regardant un mauvais film gay qui ne m’excite pas du tout. Dommage. Les quelques regards échangés avec les hommes qui passent sont bien innocents. Je pensais rentrer dans un espace de proposition sexuelle débridée et il n’en est rien. Je suis bien tranquille et mon plan de simplement jouer à me faire peur semble plus que réaliste.
Dans le hammam, la tension monte déjà d’un cran. La moiteur du lieu recouvre mon corps et je sens toute ma peau ruisseler, glisser. Mon sexe gonfle et même si je ne bande pas, il prend des proportions appétissantes que j’exhibe sans pudeur en écartant mes jambes. On voit évidemment très mal dans ce hammam, mais je sens bien des regards passer. Au fond, dans la brume, je devine des mains qui se baladent sur des sexes. On entend quelques râles de plaisir. Je commence à être excité. L’humidité court jusqu’à mes fesses et je sens mon petit trou qui semble mouiller de plaisir. J’y glisse un petit doigt pour le vérifier. La sensation me fait fermer les yeux quelques instants.
Lorsque je rouvre les yeux, un type d’une quarantaine d’années se trouve face à moi. Il doit mesurer 1 m 90 et est solidement bâti. Contrairement aux autres hommes croisés jusqu’ici, il me fixe droit dans les yeux et ne détourne pas son regard. Déstabilisé et bizarrement un peu honteux, je ressors mon doigt de mon petit trou – ce qu’il n’a pas pu manquer de voir – et descends mes yeux, comme soumis. Je tombe alors face à face avec sa bite, à moins d’un mètre de moi. Son sexe, au repos, me semble avoir un potentiel énorme. Il est épais, long, magnifique. Je détourne de nouveau le regard. Je sens qu’il continue de me regarder fixement. Finalement, il se lasse et vient s’asseoir à côté de moi, mais regarde ailleurs.
Je suis très perturbé par cette rencontre furtive et je me sens parcouru de frissons. Ma gorge est sèche, mon estomac est serré, mon bas-ventre a comme de petits spasmes. Je décide de m’en aller. J’ai assez joué, il est temps de s’éloigner de la tentation.
Je monte à l’étage et pars m’asseoir sur une sorte de grand canapé en vinyle, protégé des regards par des cloisons à mi-hauteur. Au plafond, un film bisexuel est diffusé. Une jolie fille latina est en train de sucer un type baraqué qui en suce un autre. Voilà qui m’excite davantage. Je commence à me caresser et à bander devant cette scène. L’action avance vite dans le film et lorsque la fille se retrouve prise en sandwich, je bande dur et me masturbe plus énergiquement. J’en profite pour glisser un doigt dans mon cul, toujours humide depuis le hammam. Puis un deuxième. Je me laisse aller à vocaliser mon plaisir.
C’est alors que, dans l’ouverture entre les cloisons, apparaît l’homme du hammam. Il me regarde fixement, comme tout à l’heure. Mais là, je suis trop excité pour arrêter et je continue de me masturber doucement le sexe et le cul de façon totalement indécente. Je continue de regarder le film pour ne pas affronter son regard. Juste penser qu’il me mate pendant que je me masturbe est suffisant à mon plaisir. J’assouvis ce côté exhibitionniste que normalement j’assouvis via webcam.
Je ne réponds rien. Je suis interloqué par cette assurance. Cette façon de me parler crûment est tellement nouvelle. Il s’approche, debout face à moi, et vient poser son sexe à quelques centimètres devant moi. J’ai un œil sur le film et un autre sur cette magnifique bite, qui me paraît encore plus grosse que tout à l’heure.
Tout occupé à mon plaisir, je ne me rends même pas compte des implications de l’acceptation sans broncher du terme de soumission. Ni du fait qu’il continue de me féminiser.
Les digues sautent une à une.
Je commence par avaler le bout de sa queue, qui est encore calottée. J’ai l’impression que le gland seul remplit déjà ma bouche. C’est la première fois pour moi. Je sors les doigts de mon cul et me redresse. Assis face à lui qui reste debout et continue de me regarder avec insistance, je commence à le masturber tout en jouant de ma langue autour de son gland. Ma main fait à peine le tour de son chibre qui grossit rapidement. Le gland est maintenant découvert et je l’engloutis entièrement. Je me sens transporté. Voulant profiter au maximum de cette bite, je lâche la mienne et avec cette deuxième main libre, je caresse et malaxe doucement ses grosses couilles imberbes. Je prends un plaisir immense juste à faire bander ce mec dans ma bouche. Il est maintenant totalement dur sous ma bouche et mes doigts. Quel pied ! Il pose alors sa main sur ma tête et me force à l’avaler plus profondément.
Oui, j’en ai envie. J’essaye de me laisser guider par sa main, d’ouvrir ma bouche au maximum et de bloquer la glotte pour l’aspirer plus profondément. Je bloque à la moitié de sa bite. Il me fait faire des mouvements d’aller-retour qui me font presque étouffer. Je la ressors alors de ma bouche et le regarde alors à mon tour dans les yeux, tout en continuant à le masturber de mes deux mains.
Je m’excuse alors qu’il y a encore quelques secondes il me défonçait littéralement la bouche.
Je m’exécute. Évidemment, je n’ai pas de chatte, mais j’ai bien compris ce qu’il voulait. Il veut me traiter comme une femelle et je me surprends à aimer cela. Ce n’est pas moi qui suis en train de sucer ce mec, mais une jolie salope. Cette jolie salope a le droit de jouer avec le feu et de faire ce qu’elle veut de son corps. Elle n’a aucun compte à rendre. Juste du plaisir à prendre.
Mes deux doigts ont retrouvé leur place au fond de mon cul et j’essaye de jouer avec ma prostate tout en continuant de sucer cette grosse bite. J’essaye de le sucer comme j’aime qu’on me suce, en aspirant et jouant avec ma langue tout autour de son gland enfoncé dans ma bouche. Je l’entends prendre du plaisir.
Je fais tout pour qu’il ne se rende pas compte que c’est la première bite que je suce.
Mon cul est de plus en plus ouvert. À côté de la banquette, il y a des préservatifs et un distributeur de lubrifiant. J’en prends et je glisse un troisième doigt au fond de moi. Puis un quatrième. Je suis bien ouvert, mon cul est habitué à ces jeux de mains. Je ne touche plus ma bite depuis un moment, mais elle reste rigide.
Je sais très bien ce qui m’attend en répondant cela. Je n’y étais pas prêt en venant, mais la petite salope en moi n’attend que ça.
On y est. Le point de non-retour. Ce type va m’enculer avec sa grosse bite.
Je me positionne sur la banquette, en cambrant pour lui exposer mon trou qui doit déjà être bien entrouvert par les va-et-vient de mes doigts.
J’espère de tout mon corps qu’il dit vrai. J’ai tout de même un peu peur. Je le vois prendre un préservatif et du lubrifiant. Je l’entends ouvrir le préservatif et le placer sur sa bite, ce qui me détend. Je reprends la masturbation de mon sexe avec un appui précaire. Il étale du lubrifiant sur mon trou du cul et tout autour. Mes fesses sont ruisselantes de lubrifiant. Il insère un doigt dans mon anus comme pour tâter le terrain. Il y fait quelques va-et-vient en appuyant déjà sur ma prostate. Quel délice ! Je sors quelques râles de plaisir.
Je le sens écarter mes fesses de ses deux grosses mains et poser son gland sur ma rondelle. Je sens le gland recouvert de caoutchouc glissant posé à l’entrée de mon cul. Je respire et mon cul s’ouvre légèrement. Il pousse une première fois à l’intérieur. J’ai un petit mouvement de recul et une très légère douleur qui s’estompe rapidement. Il est dedans. Mais il ne bouge pas. Il laisse mon cul s’habituer à sa présence. Il sait ce qu’il fait. Je respire profondément et essaye d’aspirer un peu sa bite avec mon cul. Il rentre un peu plus. Il recule un peu et revient en moi. Premier va-et-vient divin.
Il prend le distributeur de lubrifiant dans la main et je le sens arroser copieusement la longueur de son sexe encore en dehors de moi. Il en met aussi tout autour de mon cul et je suis véritablement trempé.
Je continue de me faire traiter de chienne et de salope et j’aime ça. J’ai envie qu’il m’encule et je recule sur sa bite rigide. Elle continue de s’enfoncer en moi et mon corps s’habitue à sa présence. À chaque centimètre d’introduit, il refait un petit mouvement vers l’arrière et revient un peu plus profondément. À chaque fois, un spasme parcourt mon corps et il s’en rend bien compte.
Je regarde au milieu de mes jambes. Ma bite pend entre mes jambes. Elle est grosse, mais plus molle maintenant. Je saisis mes couilles pour les écarter et mieux voir sa bite entrer en moi. C’est une position difficile pour bien voir, mais comme s’il lisait dans mes pensées, il sort entièrement de mon cul et je la vois entière. Je le vois se repositionner à l’entrée et pousser progressivement toute la longueur de son membre. Cette vision est inouïe. Il rentre cette énorme bite jusqu’aux couilles. Je les vois bien pendre en dehors de mon cul… grosses et sûrement pleines d’un sperme prêt à jaillir.
Il commence alors des mouvements de va-et-vient doucement en sortant sa bite presque entièrement. La sensation est tellement forte, j’ai l’impression d’un orgasme à chaque mouvement. Tout mon corps, toute ma sexualité se retrouve dans mon cul. Il n’y a plus que mon cul qui compte et cette bite qui me transperce et m’écartèle de plaisir.
Ma bite est molle maintenant, mais je m’en moque. Je ne suis plus qu’une petite salope qui se fait prendre sa chatte pas une grosse bite.
Il reste plus profondément maintenant et accélère ses coups qui sont maintenant courts et puissants. Je crie comme une femelle à chaque fois que son corps vient taper contre mes fesses. Il continue de me parler crûment et j’adore ça. J’y vais moi aussi de mes mots crus.
J’ai bien conscience que je n’ai qu’un seul trou, mais j’ai encore plus l’impression d’être dans un film porno ou la fille commence par se faire prendre la chatte avant de se faire enculer. C’est ce que je préfère. J’appréhende un peu de me retrouver face à lui et à ce regard si dominant, mais je m’exécute. Je m’allonge sur le dos, j’écarte les jambes et remonte les genoux vers moi pour lui laisser un accès facile à mon cul parfaitement ouvert maintenant. Je sens d’ailleurs parfaitement les spasmes de mon cul maintenant vide et qui demande à se faire remplir.
Il vient se placer au-dessus de moi et me pénètre de nouveau, presque sans ménagement. Cette position m’amène de nouveaux plaisirs. Sa bite doit être en train d’appuyer encore plus fortement sur ma prostate et je sens un orgasme approcher.
Il est face à moi, il tient mes jambes et me défonce maintenant littéralement. Son visage est sauvage, animal. Je soutiens son regard et mon visage doit être totalement déformé par cette sensation violente de plaisir qui m’envahit.
Je continue de lui obéir et je saisis ma bite qui pourrait en effet faire penser à un gros clitoris, car elle est totalement flaccide et saute sur mon ventre à chaque coup de boutoir. Toute mon énergie sexuelle est concentrée sur mon cul. Mon sexe s’est déplacé de ma verge à mon cul et j’en suis parfaitement heureux.
Les caresses sur ma bite me procurent néanmoins un plaisir complémentaire à ce cul qui se fait défoncer. À défaut de bander vigoureusement, je retrouve une certaine raideur qui me permet de faire quelques allers-retours. Le plaisir est immense et j’ai envie de me faire jouir. Je sens que je suis à quelques mouvements de main de terminer, mais je veux trop profiter de ce moment, mon cul me donne tellement de plaisir, un plaisir tellement différent et plus fort qu’une simple éjaculation. Je repose mes mains et continue de profiter des sensations intenses que me délivre ce baiseur hors pair.
Tout d’un coup, la sensation évolue, je sens que mon cerveau est prêt à exploser. Cela monte. Tout mon corps est en transe. Je crie :
Mon cul se contracte violemment, mon sexe est pris de convulsions et crache sur mon ventre un sperme abondant sous mes cris de plaisir, des cris d’une vraie chienne. Je suis dans un état second.
Mon enculeur semble avoir été éjecté par les contractions de mon cul et se retrouve la bite à la main face à moi.
Je ne réponds rien, j’en suis bien incapable. Il vient s’asseoir sur mon torse et se masturbe face à moi. Il veut jouir sur mon visage ou dans ma bouche et quoi qu’il choisisse je serai d’accord, car je me sens vraiment maintenant comme sa petite soumise. Il place ses couilles sur ma bouche et je les avale avec le peu d’énergie qu’il me reste pendant qu’il continue de se masturber vigoureusement en poussant de petits cris virils. Il se recule soudainement, penche sa bite vers mon visage et m’arrose copieusement de son sperme chaud et collant.
J’en ai partout. Sur les yeux, les cheveux, la bouche. C’est la conclusion parfaite de cette baise parfaite.
Il se rassoit sur la banquette et se repose de ses efforts. Je reprends petit à petit mes esprits. Je viens de vivre un moment unique. Je ne culpabilise pas, car c’est vraiment une autre personnalité de moi que je ne connaissais pas qui était là. Je la laisse garder le contrôle encore quelques instants et lui dis :
Je remarque alors que lui aussi a une alliance et avait bien remarqué la mienne. Alors qu’il se lève et me laisse couvert de sperme, je suis obligé de reconnaître que oui, cela sera difficile de ne pas recommencer et de continuer d’essayer d’égaler ce moment inégalable.
Mais où trouver un dominant actif qui saura détecter la petite salope soumise qui fait désormais partie de moi ?