n° 20376 | Fiche technique | 21600 caractères | 21600Temps de lecture estimé : 12 mn | 18/07/21 |
Résumé: Madeleine propose à Charlotte de se faire déniaiser par Louis. Charlotte accepte et veut bien que Madeleine assiste aux ébats. Mais ensuite, les choses se gâtent. Louis saura faire face, bien au-delà de ce que Madeleine aurait pu espérer de lui. | ||||
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Auteur : Lacducoucou (vieil épicurien) Envoi mini-message |
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Résumé de l’épisode précédent :
Madeleine, avait flashé son ancien maître de CP et, par un heureux hasard, son voisin. Elle s’était mis en tête d’être dépucelée par lui. Elle en garda un souvenir ébloui et proposa à Louis de dépuceler également Charlotte, sa copine de paroisse.
Il fallut d’abord que Madeleine présentât sa proposition à Charlotte qui l’accueillit avec enthousiasme et accepta la condition imposée par Madeleine qui voulait assister à l’évènement. Elle abonda avec bonne humeur :
Ensuite il fallut trouver un créneau qui convienne à tout le monde, ce qui ne fut pas évident. Madeleine n’oublia pas d’effacer de son portable les traces de ses appels à Louis. Son père, d’autorité, y fourrait régulièrement le nez.
Louis avait également donné des consignes précises. Elles lui devront une obéissance absolue durant toute la rencontre. Elles seront habillées de façon similaire : jupe jusqu’au-dessus de genoux, culotte blanche en coton, soutien-gorge et tee-shirt, cheveux tombant sur les épaules, etc.
Enfin, le grand jour arriva. Rendez-vous était pris en ville, sur le parking d’une supérette. Elles l’attendaient déjà quand il arriva.
Charlotte tapa tout de suite dans l’œil de Louis. Il fut subjugué par le physique de la jeune fille, un visage harmonieux, rond et souriant encadré par des cheveux noirs, de beaux yeux pétillants de malice. Elle respirait la féminité et la sensualité avec une silhouette de rêve. Encore une belle fleur paroissiale, pensa-t-il. Au lieu d’une bise, il lui fit un baisemain respectueux, délicate attention qui enchanta la demoiselle surprise. C’était la première fois qu’on lui accordait un tel hommage.
C’est aussi la première fois que je vais être baisée, pensa-t-elle, et tout dans la même journée !
Un court contact rapproché avec Madeleine, avec une bise fugitive sur la joue, et il les invita à prendre place dans le véhicule :
Il démarra et roula quelques centaines de mètres.
À l’arrière, Charlotte pouffa.
Il se gara sur le bas-côté et commanda :
Charlotte s’empressa d’obéir. Louis redémarra et posa sa main droite sur la cuisse gauche de sa passagère offerte. La main remonta et atteignit la vulve. Madeleine poussa encore son bassin vers l’avant en fermant les yeux. Louis était fasciné par la fourche de chair tendre offerte à son plaisir. Il en éprouvait le même émerveillement que lorsqu’il l’avait découverte pour la première fois.
Il coinça les lèvres entre pouce et index et commença à rouler son bouton d’amour.
C’est quand même pratique de disposer d’une boîte automatique, pensa-t-il.
Il changea d’attouchement, c’est maintenant son index qui s’agitait sur le clitoris gonflé.
Pour lui-même, il pensa « Mon ami Louvi serait surpris comme moi de la rapidité avec laquelle elle a passé d’un langage d’honorable jeune fille aux mots obscènes en tout genre ». Mais il devinait pourquoi Madeleine s’était gargarisée si rapidement de ces mots crus : ce vocabulaire brutal la plongeait dans le stupre pour son plus grand délice.
Un coup d’œil au rétro lui permit de surprendre Charlotte rejetée contre le dossier de la banquette arrière, les yeux fermés, bouche ouverte, haletante, le bras droit agité de mouvements répétés. Elle explosa avec un cri étouffé.
Son plan était payant : il voulait que Charlotte soit excitée au possible par ce prélude. Elle réagissait comme il l’avait souhaité. Elle était mûre pour la suite du film…
Dans le garage, lorsqu’elles sortirent de la voiture, il céda à une impulsion brusque : il plaqua Charlotte contre la voiture, passa sa main sous sa jupe et lui agrippa fermement le sexe. Elle se lova contre lui et l’embrassa sur la bouche. Il l’écarta et les dirigea vers l’escalier.
Madeleine fut cueillie en pleine montée. Louis passa sa main sous la jupe et passa son doigt entre ses fesses puis sur son œillet. Elle faillit trébucher, puis continua son ascension. L'appartement, puis illico la chambre à coucher.
Elles se tinrent debout, côte à côte, attendant le bon vouloir du maître des lieux qui les observa quelques secondes en silence. Puis :
Louis demanda à Madeleine de lever les bras. Il lui enleva son tee-shirt, ensuite il passa derrière elle pour défaire le soutien-gorge et la jupe qui tombèrent au sol. Elle avait enlevé sa culotte dans l’auto. Toujours dans son dos, il lui empoigna les seins et la fit se tourner vers Charlotte.
Madeleine tressaillit, plia légèrement les genoux, mais ne marqua pas de recul. Elle avait fermé les yeux semblant savourer l’attouchement. Les yeux brillants, Charlotte laissa sa main sur le sexe dénudé encore quelques secondes.
Eh bien, si les deux aiment ça, il y a encore du travail, pensa Louis.
Charlotte ajouta :
Louis s’approcha d’elle et la déshabilla avec des gestes assurés. Tee-shirt et soutien-gorge jonchèrent le sol. Il admira la poitrine qu’il trouva plus excitante que celle de Madeleine, mais se garda bien de faire le moindre commentaire comparatif. Enfin, la jupe. Une tache humide apparaissait sur la culotte au bas du pubis, témoignage éloquent de ses activités digitales sur la banquette arrière. Et le slip rejoignit les autres vêtements au sol. Là aussi, une chatte magnifique, une véritable provocation.
Madeleine s’exécuta avec hésitation. Charlotte ouvrit la bouche et poussa son pubis en avant :
Louis savait maintenant pourquoi l’une avait demandé à assister et que l’autre avait accepté. Les deux nourrissaient la même envie de se voir nues et en avaient saisi l’opportunité.
Elle se laissa tomber à genoux face à lui et tira le zip du pantalon. Elle s’arrêta pour admirer le membre tendu et décalotté, puis se précipita bouche ouverte.
La suite fut tumultueuse à un point tel que Louis fut surpris lui-même. Et quand après la tempête il voulut prendre la belle pour enfin la déflorer, elle exigea qu’il se couche sur le dos et, à califourchon sur lui, elle se laissa descendre doucement sur son membre avec un immense « ahhh » de libération. Elle avait prévenu Madeleine : elle prendra des initiatives, elle.
Mais c’est Louis qui imposa la sienne pour terminer : il la fit basculer dos au matelas, remonta ses genoux vers ses épaules en l’encerclant dans ses bras et la pilonna avec une brutalité inouïe jusqu’à ce qu’elle hurle son orgasme.
L’après-midi avait été une totale réussite. Le calme revenu, elles attaquèrent leur partenaire :
Louis éclata de rire :
Louis ramena les deux filles sur le parking de la supérette. Ils se promirent de se revoir. Mais les deux amies ne devaient jamais se revoir, car…
Un coup de sonnette. Qui cela pouvait-il être ? Louis ouvrit la porte d’entrée et fut surpris. Face à lui, l’air rébarbatif, le père de Madeleine, et derrière, à trois marches, sa fille en larmes entre deux valises.
Louis le contourna et se précipita sur Madeleine, saisit les deux valises :
Et, à l’adresse du père, au passage :
La porte refermée, Louis prit Madeleine contre lui :
Madeleine se serra contre lui, tête contre sa poitrine, agitée de sanglots incontrôlables. Comment la calmer ? se demanda-t-il.
Ben tiens, il paraît que… On pourrait essayer ?
Impossible de dire si ce principe s’appliquait à Madeleine. Sa jouissance fut phénoménale, mais l’eût été tout autant sans les larmes. Cependant, elle fut réconfortée, presque sereine.
Un peu plus tard, assis à la cuisine, devant une tasse de café :
Elle éclata de nouveau en sanglots.
Elle se jeta à son cou.
Le soir, Louis fit une découverte qui le ravit. Madeleine fit la popote comme elle y était astreinte chez ses parents (une bonne épouse doit savoir cuisiner !) : un délice ! Une fée au lit, une fée au logis.
Ils montèrent se coucher. Avant que chacun ne regagne sa chambre, Madeleine fit la bise à Louis et le retint contre elle :
Il n’y eut pas de rodéo sauvage, mais un immense moment de tendresse.
**********
Plusieurs années passèrent. Madeleine habitait toujours chez Louis. Ses parents n’étaient plus leurs voisins, le père, de rage, avait vendu leur propriété peu de temps après l’installation de leur fille chez celui qui l’avait « pervertie ».
À vingt-trois ans, Madeleine fut reçue deuxième au concours de l’agrégation de mathématiques. Ce bon classement lui permit de trouver un lycée pas trop loin de chez eux. Quinze heures de cours par semaine, le reste du temps elle le consacrait au foyer de son Maître vénéré et à quelques hobbies. Elle ne se voyait pas avec un autre homme. Et Louis se l’avouait secrètement : il ne se verrait plus avec une autre femme.
Madeleine lui déclara un jour en riant qu’elle n’avait plus d’acné et lui demanda si elle pouvait arrêter de prendre la pilule.
Louis accusa le coup : à la quarantaine, se retrouver papa ? Euh…
Verdict : papa deux fois ! Annabelle et Léo, trois ans maintenant, qui jouaient sur la pelouse sous les regards attendris de Madeleine et de sa mère. Celle-ci avait repris contact avec elle au sortir de la maternité et venait régulièrement visiter sa fille et ses petits-enfants. Son père, jamais.
FIN