n° 20383 | Fiche technique | 17394 caractères | 17394Temps de lecture estimé : 11 mn | 23/07/21 |
Résumé: Marie part en jogging comme d’habitude... mais rien ne va se passer comme d’habitude ! | ||||
Critères: fh fplusag fagée jeunes extracon cocus candaul vacances sport fsoumise fist pénétratio fdanus fsodo sm init -dominatio | ||||
Auteur : Lauriolan Envoi mini-message |
Marie avait l’intuition étrange ce matin que son jogging rituel serait différent aujourd’hui des autres jours.
C’était les vacances et elle allait courir tous les jours entre 7 h 30 et 10 h. Quel que soit le lieu où elle se trouvait, elle ne sacrifiait jamais au rituel de son jogging matinal.
Son mari venait de lui faire l’amour, et elle se rendait compte qu’elle s’était abandonnée comme ça lui arrivait de plus en plus souvent à des pensées singulières.
Quand lui la pénétrait et la baisait, elle était trempée de désir, mais elle savait que ce désir n’était pas directement lié à ce corps qui était contre elle et qui jouissait du contact de sa nudité. Elle pensait à un autre, ou plutôt à d’autres hommes qui se succédaient parfois juste un instant dans son esprit, mais pas seulement : c’était des pensées fugitives, mais aussi des émotions fugaces, des sensations exquises… et tout ça l’excitait sans qu’elle n’ose se l’avouer… avec l’impression qu’elle était dans les bras d’un autre.
Il faut dire que son mari, qui n’était pas toujours aussi performant qu’avant, n’avait de cesse de lui parler de son désir de la voir se libérer, d’aller « jusqu’au bout de ses désirs » !
Au début, elle trouvait cette volonté de savoir qu’elle pourrait se donner à un autre homme avec l’accord de son mari, déplacé, comme imposé à elle, alors qu’elle n’avait jamais ressenti vraiment cette volonté de « le tromper ». Mais elle se rendait bien compte maintenant qu’à chaque fois qu’il lui parlait d’un autre homme, elle était de moins en moins insensible.
Quand il lui susurrait d’imaginer qu’elle puisse jouir d’un autre, le plus souvent, elle ne le repoussait pas. Ça l’excitait même, et il ne pouvait que s’en rendre compte tant son sexe glissait facilement contre les parois de son vagin humide.
Elle était dans l’épanouissement de sa maturité de femme longiligne et sportive. Elle se sentait belle, ce qui la rendait plus belle encore.
Et ce matin, une intuition étrange lui venait. Sans qu’elle sache pourquoi, c’était comme si elle se sentait prête, mais prête à quoi ?
Elle enfila son top qui moulait ses petits seins à la fois souples et fermes et dévoila son ventre magnifique, plat et avec un si joli petit nombril. Puis, après sa fine culotte, elle se glissa dans son short qui laissait deviner les formes exquises de son joli petit cul, tout en offrant ses superbes jambes longues et fines à la vue de tous.
Elle savait que quand elle courait, elle pouvait attirer certaines attentions pas toujours innocentes, mais ce n’est pas ça qui occupait ses pensées, mais plutôt l’image du beau mec qu’elle croisait depuis quelques jours.
Car ce n’étaient pas que leurs corps en pleine action qui se croisaient, mais aussi leurs regards… Quelques secondes à chaque fois, le temps que durait le sourire qu’ils s’échangeaient et qui témoignaient de l’intérêt qu’ils avaient l’un pour l’autre.
Elle se rendait compte qu’elle attendait ce moment où elle allait le voir avec impatience, et que son cœur semblait s’accélérer dès qu’elle abordait ce virage le long de la côte où elle était susceptible de le voir, car ils se croisaient toujours au même endroit.
Mais brusquement ce jour-là, elle sentit comme un vide en elle. Elle ne le vit pas droit devant elle comme d’habitude. Et elle fut envahie brusquement par l’impression absurde de se sentir terriblement seule, alors qu’elle croisait plein d’autres joggeurs !
Elle avait les jambes coupées… et elle qui ne s’arrêtait jamais, avait soudain envie d’interrompre sa course !
Elle se sentait comme une petite fille prise en faute. Ce qu’elle avait pris comme une attention vague pour un homme, et comme la flatterie d’une femme mariée d’âge mûr, d’attirer ainsi le regard d’un bel éphèbe, c’était quelque chose de plus profond qui d’un coup la dévastait.
Et quand elle arriva à la hauteur d’un banc pour la première fois, elle eut l’envie de s’asseoir. Elle se sentait comme vidée physiquement et mentalement. Elle ne sait pas combien de temps ce moment dura…
Mais soudain, cette sensation profonde qui envahissait tout son être disparût ! Sur sa droite au loin, elle reconnut la silhouette si caractéristique du bel athlète qui avait ce pouvoir si étrange et puissant sur elle.
Elle ne pouvait le lâcher du regard, en position de l’observer comme elle ne l’avait pas fait jusqu’ici. Ses muscles bandés de sportif, son beau visage, sa peau hâlée et luisante de transpiration, tout en lui l’attirait brusquement !
Elle ne savait pas alors ce qu’elle craignait le plus, d’être vue, là, abandonnée à un désir pour lui qu’elle imaginait bêtement visible à tous. Où qu’il passe devant elle sans la voir ou pire, après un bref coup d’œil, avec indifférence.
Mais c’est autre chose qui arriva… elle croisa ses beaux yeux et elle se sentit un peu stupide de le suivre d’un regard pour lequel elle ne pouvait dissimuler son admiration. Et quand il la dépassa, elle ne put s’empêcher de mater ce qu’elle n’avait pas pu voir de son physique, son petit bien musclé à travers son short, ses belles cuisses par-derrière, sa foulée splendide à la fois puissante et aérienne.
Elle était rassurée de l’avoir vu à nouveau, mais comme étrangement paniquée de le voir disparaître si vite… elle avait cette curieuse sensation que c’était le dernier jour où elle allait le voir… et en cela elle ne se trompait pas !
Mais encore une fois, les choses ne se passèrent pas comme elle l’avait imaginé.
Bientôt elle le vit revenir dans l’autre sens et il vint s’asseoir à côté d’elle.
Il commença à lui parler, et elle avait l’impression qu’elle entrait dans un rêve. Pourtant, la perception de sa présence physique était bien réelle, et notamment son odeur où se mêlait la transpiration et un parfum qu’elle aimait.
Elle ne se souvint pas du détail de ce qu’il lui dit, tant elle était envahie par toutes sortes d’émotions. Seulement, qu’il lui dit alors combien il la trouvait belle et qu’il lui parla de son désir de prendre un verre ensemble.
Ensuite, elle retint surtout la chaleur de sa voix à la terrasse du café, son regard chaleureux et désirant qui parcourait les traits de son visage, puis plus discrètement, le relief de ses seins.
Et puis soudainement, elle qui transpirait si peu se mit à sentir de la sueur glisser sur son corps.
C’est qu’il venait de lui prendre la main, que sa main à lui, large et chaude était en train de réchauffer la sienne… et qu’en elle, c’était tout son corps qui se réchauffait brutalement, mais d’une façon si exquise !
Elle sentit des picotements dans son bas-ventre et elle était terriblement excitée. Persuadée que tout ce qu’elle éprouvait était visible, qu’il sentait à quel point elle avait envie de lui… elle se mit à rougir !
Elle n’en pouvait plus, submergée par son désir, comme si son corps ne lui appartenait plus.
C’est alors qu’il lui dit en une phrase tout ce qu’elle attendait :
« Est-ce que tu veux venir un peu chez moi pour qu’on passe du bon temps ? »
Elle lui répondit par un sourire en pressant sa main fine contre l’épaisseur de la sienne.
Elle lui demanda juste un instant pour faire ce qu’elle n’aurait jamais imaginé faire. Envoyer un texto à son mari pour lui dire qu’elle rentrerait plus tard que prévu.
Lui, il savait ce que ça voulait dire : pour la première fois, sa femme venait d’accepter de céder aux avances d’un inconnu. Mais ce qu’il ne pouvait pas savoir, c’est si c’était juste pour prendre un verre ou pour aller plus loin !
Son beau joggeur habitait une belle villa toute proche qui surplombait la côte.
Ils montèrent un sentier main dans la main… et elle se surprit elle-même se blottissant contre lui pendant qu’ils marchaient. Elle favorisait ainsi le fait qu’il l’enlace ensuite par la taille pour faire finalement glisser sa main jusqu’au bas de son dos. Maintenant, et à chacun des pas de Marie, il frôlait l’étoffe et sentait ainsi sous ses doigts l’exquise sensation de son petit cul musclé de bourgeoise qui allait devenir pour la première fois une femme infidèle.
Quand ils passèrent le porche de la maison, il n’en fallut pas plus pour qu’ils s’embrassent fougueusement, langue contre langue, ses petits seins plaqués, comme écrasés par le large torse de son amant.
Il l’effeuilla avec une adresse qui laissait présager, malgré sa jeunesse, une belle expérience d’amant fougueux, et c’est cette fougue qui la flattait autant que le contact de son corps qu’elle désirait si fort. L’ardeur avec laquelle ce beau jeune homme la désirait, elle, une femme mûre qui avait l’âge d’être sa mère !
Une fois qu’elle se retrouva nue et totalement soumise à ses volontés, alors que sa volonté à elle était précisément de lui être totalement soumise, il s’agenouilla, alors qu’elle devait lutter pour parvenir à rester debout. Il lui lécha l’intérieur de ses jambes, puis son abricot déjà si excité.
Elle devait s’agripper à ses épaules, à sa nuque pour ne pas tomber à la renverse… submergée déjà par l’approche d’un premier orgasme. Mais par sadisme ou raffinement, il interrompit les caresses de sa langue laissant Marie face à un abîme de frustration sexuelle.
Il lui demanda ensuite de se plaquer dos au mur et s’approcha doucement d’elle. Il la caressait du bout des doigts lui laissant imaginer qu’il pourrait la laisser là sans lui faire l’amour. Elle eut l’impression que cet instant durait une éternité. La seule caresse qu’elle pouvait éprouver, étant celle de son regard.
À cet instant, il pouvait tout faire d’elle. Elle savait dans son fantasme même qu’il n’y avait rien qui l’excitait plus que de céder à tout ce qu’elle refusait désormais à son mari.
Il commença par la prendre debout, en lui mordillant les lèvres, l’oreille puis les seins.
Il lui demanda ensuite de la retourner et avec beaucoup d’application, de délicatesse et d’assurance dans ses gestes, il se glissa à nouveau en elle, pour la prendre en levrette tout en tripotant ses seins. Ce moment dura longtemps, elle aimait sentir sa vigoureuse ardeur au fond de son intimité ! Il lui chuchotait des mots tendres et c’est alors qu’il glissa à son oreille :
« Tu préfères que je sois plus tendre ou plus brutal ? »
Elle lui répondit qu’il pourrait faire comme il voudrait, qu’elle était prête à tout !
Chacun avait conscience que leurs étreintes sauvages seraient les premières et les dernières, et elle avait l’intention de tout lui donner, et surtout de lui sacrifier ce qui lui restait de dignité de femme bourgeoise à l’éducation stricte et culpabilisante !
Elle avait envie d’être humiliée, et il le comprit vite, se mettant à lui donner la fessée et à l’insulter.
En même temps qu’elle rougissait du cul, elle rougissait des joues, mais de honte.
Elle avait envie de rattraper tout ce temps où elle n’osait pas même reconnaître le plaisir légitime d’une femme d’être désirée par des hommes.
Prête à accepter tous les outrages, il décida lui de commencer par l’enculer avec un gode de bonne taille… puis par l’enculer tout court… ça faisait longtemps qu’elle ne s’était pas laissée faire, longtemps qu’elle n’avait pas éprouvé cette douleur singulière, mais ce plaisir aussi, de sentir son anus et les parois du fourreau de son cul ainsi dilaté par un membre viril déterminé à jouir de son intimité honteuse.
Il lui demanda de le sucer, ce qu’elle fit avec toute la concentration possible, en lui caressant les bourses de façon si exquise. Il lui baisa ensuite littéralement la bouche avec son sexe pour finir de nettoyer la souillure de son cul en gorge profonde en la faisant baver… C’était la première fois pour elle et elle avait l’impression qu’elle allait vomir. Ça la dégoûtait et en même temps, elle porta sa main à son entrecuisse déjà trempé, poussée par un désir irrésistible de se branler. Ce qu’elle ne faisait jamais d’habitude qu’à l’abri des regards.
Il commença ensuite à gifler ses seins de plus en plus fort, à lui triturer ses mamelons, à les pincer jusqu’à la faire crier et il ne la laissa pas tranquille, jusqu’à ce que de belles marques rouges zèbrent l’ensemble de son superbe buste.
Il lui demanda d’aller ensuite dans la salle de bain pour lui pisser dessus. De se placer dans la baignoire assise les jambes écartées et d’ouvrir grandement la bouche tout en commençant par déverser son urine sur ses jambes, sa chatte, puis ses seins, son visage et ses cheveux.
Puis, il lui ordonna à nouveau à la levrette et il lui claqua le cul de plus en plus fort afin de bien y laisser l’empreinte de ses mains.
Il introduisit ensuite un vibro dans sa chatte et son cul qu’il actionna à distance, se délectant du spectacle de cette digne bourgeoise perdant tout ce qu’il lui restait de dignité. En poussant des gémissements et des cris de plus en plus forts d’un ton suppliant sans qu’on sache si c’était pour arrêter ou ne surtout pas arrêter !
Quand il fut lassé d’avoir joué avec elle, et alors qu’elle avait plus que jamais envie qu’il la prenne à nouveau et qu’il la souille. Il lui offrit uniquement le léchage de sa raie du cul en lui demandant de le branler en même temps en lui caressant les couilles.
Et sa dernière giclée, au lieu de venir combler ses ardeurs incontrôlées de femme qui se découvre, vint atterrir sur la froideur du carrelage. Il lui accorda de pouvoir venir lécher son foutre tout en profitant de sa position pour lui fourrer le vagin puis le cul avec sa main puis avec son poing le plus profondément possible !
De tous ces actes inavouables, elle devait garder le plus ému des souvenirs et la succession de plusieurs orgasmes qu’elle n’aurait jamais cru pouvoir vivre un jour dans l’alliance de la douleur et de la jouissance, de la soumission et du sentiment de puissance d’aller jusqu’au bout de sa volonté.
Elle se sentait plus femme que jamais. D’avoir été ainsi dégradée, dépravée curieusement, faisait naître en elle une force. Elle savait que l’acceptation ou le refus de certains actes ne dépendait en fait que d’elle-même. Elle avait osé assumer ce qu’elle avait jusqu’ici caché et inconsciemment voulu ignorer en elle.
Elle pouvait désormais se dire que sa sensualité de femme épanouie, que sa sexualité dépendait de son seul désir tant elle se sentait désirable et désirée.
Longtemps elle aurait eu peur de brûler ses ailes en s’approchant de la concrétisation de ses fantasmes à peine avoués. Maintenant qu’elle avait dépassé ces peurs, elle se sentait simplement heureuse, et si heureuse de retrouver son cher mari !
À propos de son mari après tous ces outrages, son amant lui demanda, comme elle le désirait elle-même, de ne surtout pas se laver du sperme et de la pisse qu’elle avait reçus en elle et sur elle. Et de les porter comme un témoignage d’affection ultime à l’égard de son mari resté fidèle qui pourra enfin réaliser son rêve de cocu.
Comme son bel amant d’un jour était malgré tout un gentleman, il ne la laissa pas partir seule dans la rue, mais l’accompagna en voiture jusqu’à chez elle. Tout en conduisant, il lui demanda de le gratifier d’une belle pipe tout en doigtant son cul lubrifié par le foutre et élargi par les outrages subis.
Ils se dirent adieu par un chaste baiser, en se remerciant l’un l’autre et en se jurant de changer leur parcours de course pour ne plus jamais se revoir. Ils ne savaient presque rien l’un de l’autre et c’était la force de leur rencontre. Ils avaient vécu ces moments merveilleux comme détachés de toute contingence et des pesanteurs de la vie quotidienne.
Quand Marie put rejoindre son mari, sa réaction en la voyant ainsi souillée et déshonorée, fut de lui dire qu’elle lui offrait le plus beau cadeau de sa vie !
À cet instant, elle savait qu’elle avait carte blanche pour s’offrir tous les amants du monde.
Mais sincèrement, elle ne savait pas encore si ce fantasme réalisé devait rester le seul, chaque autre conquête n’étant que la répétition en moins bien de la réalisation du premier… ou si elle allait devenir la plus dévergondée des femmes mariées libertines !
– FIN –