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n° 20390Fiche technique23822 caractères23822
Temps de lecture estimé : 14 mn
25/07/21
Résumé:  La période d’étude à l’école d’agriculture, suivie des périodes militaires, un mariage et l’insémination familiale. Tout se passe bien.
Critères:  fh ff fhh fhhh hagé extracon candaul campagne fellation cunnilingu -candaul
Auteur : Vopicek      Envoi mini-message

Série : La fratrie

Chapitre 03 / 04
Le mariage

Résumé des chapitres précédents

La Fleur, un ancien militaire issu des bataillons d’Afrique, achète une exploitation agricole et sauve une femme des griffes d’un profiteur. Mariage et cinq enfants à la clé, puis vasectomie. Vie à la ferme jusqu’à l’école d’agriculture.

L’aîné, après la première année, rentre avec une copine de classe avec laquelle il sortait à l’ancienne mode, réservé pour le mariage. Ayant surpris son frère en posture délicate avec sa copine, il se déclare et ils décident de franchir le pas.

Prudent, il équipe son sexe d’un préservatif, mais Anna, sa copine n’est pas d’accord et l’enlève et l’empêche de se retirer.

Alain, l’aîné, surpris se confie à son père qu’elle l’a peut-être roulé, il est poussé dans les bras d’une veuve pour faire ses premières expériences et finalement, trois semaines après, ses craintes s’évanouissent, mais son père, peut-être mal renseigné, lui affirme qu’il ne sera jamais le père biologique, car jeune, il a eu les oreillons et qu’il devra compter sur ses frères pour fonder une famille. S’ensuit une discussion houleuse dont personne n’en ressort indemne.







La reprise des cours


Père a vu grand pour nous loger, il a réussi avec un ami militaire de nous dégotter un appartement trois pièces pour Bertrand, Anna et moi. Oui, c’est son tour de se taper les études et de transpirer sur les concepts qu’il n’a même pas l’idée. C’est vrai qu’on va se la jouer comme avec moi, on va lui aider pour qu’il sorte honorablement.

Les cours se déroulent sans incident spécial et Bertrand se débrouille mieux que moi, on n’a presque pas besoin de l’aider.


Comme les horaires d’Anna et les miens sont identiques, on fait les voyages pour l’école ensemble et on couche ensemble, ce que Bertrand n’apprécie pas trop, car je n’ai pas admis qu’il amène une copine. C’est vrai qu’on aurait pu mettre les deux filles dans la même chambre officiellement. Ceci a bien fonctionné jusqu’à ce qu’un prof me retienne pour me proposer un poste d’assistant et il fallait qu’on en discute et Anna est rentrée avec Bertrand. Vous me diriez, c’est normal, mais quand je rentrai et que j’embrassai Anna en lui annonçant la bonne nouvelle que j’étais pris comme assistant et tous les mercredis je rentrerai deux heures plus tard.

Je trouvais un drôle de goût dans sa bouche qui me rappelait vaguement quelque chose, mais je ne savais pas quoi.



Pendant la nuit, alors qu’on se payait un peu de bon temps, elle me soulagea dans sa bouche et comme la première fois elle vint m’ingurgiter une partie du produit de mes couilles. Là, je compris que la scélératesse s’était payé le frère. C’était pas trop grave, puisque c’était prévu, mais j’aurais préféré être officiellement au courant.

Que faire ? Accepter de partager avec Bertrand. Le mal est fait et on n’y peut rien. Je ne vais pas me fâcher alors que je me suis payé souvent du bon temps avec Madame Dupuis. Je la vois venir tout de suite.

Après ça, je lui ai dit :



Cette salope, elle sait argumenter et je me chope une trique à faire rougir un âne de honte.



Quelques minutes plus tard, après un court conciliabule, les voilà qui viennent en se tenant par la main. C’est mignon !

Et dire que quand j’étais avec le prof, c’est pas la main qu’elle lui tenait la garce.



J’approche ma bouche de l’antre de perdition quand une odeur caractéristique me retient.



Et nous voilà, les deux, la bite en l’air comme des collégiens attendant le retour du professeur.



Alors que je m’applique à rendre rutilant le terrain des opérations, Bertrand malaxe les laiteries réunies et essaye d’en tirer quelque chose. Ce qu’il ne sait pas, c’est qu’en tétant en haut, cela ressort en bas, j’ai le visage inondé à croire qu’elle me pisse dessus, mais rassurez-vous, c’est bel et bien de la bonne crème de con. Quand enfin, rassasié de ma part de dessert, je me plonge dans la brèche ouverte par mes baisers et je me mets à piocher rudement. Anna ne fait aucun commentaire, non pas qu’elle n’apprécie pas, mais elle a été éduquée à ne pas parler la bouche pleine, néanmoins à voir son déhanché je suis sûr qu’elle apprécie ma prise de Sébastopol par la brigade de cavalerie légère. La pression est telle que rapidement je l’inonde de mon flux intime.



Ça lui en a bouché un coin. Tout à sa sucette, elle ne pipait plus un seul mot.

Comme Bertrand s’était fait copieusement vider les coucougnettes, il résista nettement plus que moi, Anna avait depuis longtemps arrêté de me lubrifier le manche, les mâchoires fatiguées, quand il lui arrosa les seins que je lutinais avec application pour aviver la température du four à queues. J’ai juste eu le temps de lâcher ma proie pour ne pas être arrosé.


Changement de partenaire, mais pas de programme. C’est au cours de ma seconde pioche qu’elle partit vers d’autres mondes comme Alice au pays des merveilles. Bertrand n’ayant pas occulté sa bouche, nous eûmes la reprise a cappella des noces de Figaro, Figaro ci, Figaro là. Jusqu’à ce qu’un voisin vienne frapper à la porte nous demandant de baisser la musique. Il avait une épreuve le lendemain.

C’est ainsi que les soirs en arrivant, on passait toujours chez lui pour lui demander si on pouvait mettre l’électrophone en route.


On a passé l’année, en baisant à couilles rabattues, sans partage. Comme prévu, on a tous fini avec la mention bien (pour les cours, pour le reste on n’a pas eu d’évaluation officielle et pour cause). En rentrant, père regarda attentivement la taille de notre amante. Il en conclut que l’anguille n’était pas sous roche.

On est un peu surpris par certains changements, il semble que Madame Dupuis ait élu domicile dans ma chambre. Je me pose la question du pourquoi et du comment.



Mère au fourneau, nous fit en gros la même remarque.

Je m’approche de père et lui demande comment il prévoit mon logement, vu que je suis en couple avec Anna.

C’est alors que Bertrand se penchant vers moi me dit discrètement :



On va voir ce qu’il en est et là, surprise… :



Elles n’ont pas voulu changer leurs habitudes, alors on a continué notre vie de studio à la maison, on a pris une chambre et on a agrandi le lit. Parfois quand on faisait trop de bruits et que père s’était fait remballer par les deux femmes, il passait et repassait en grommelant son désespoir et les cadets n’arrêtaient pas de polluer leur linge de lit. On aurait dit le service topographique national.

Finalement, on s’est résigné à prendre la ferme de Silvaine à notre compte, vu que pendant une demi-année, avec Anna, c’était les travaux pratiques et on s’est choisi, en tandem, de nous consacrer à l’élevage, l’abattage et la commercialisation de viandes exotiques. Créneaux que père nous a volontiers laissés ; en complément, on a acheté un étalon et trois juments pour l’élevage touristique et pour permettre la monte aux vacanciers.


C’est une branche qui se développe dans les environs. Il fallait voir Anna aider l’étalon à faire son devoir conjugal. C’était excitant quand elle prend la chose en main.

À la fin de l’été, c’est Bertrand et Charly qui se retrouvent à l’école d’agriculture. Père a hésité entre adjoindre mère ou Silvaine pour les surveiller. Finalement, c’est Silvaine qui s’est sacrifiée. (Je vois déjà les soirées mouvementées avec ce coquin de Bertrand, sans parler de Charly qui voulait enfin connaître ses premières expériences, elle va être comblée, elle qui était au chômage technique par son veuvage)

Mais avec tout cela, en plus de la pratique, on a dû préparer les examens finaux, Silvaine nous certifiant notre travail qui du reste était connu de l’école, on a eu une visite de contrôle.

Pendant trois semaines, le temps des examens et de la défense de notre travail de diplôme, on était un peu serré dans notre appartement, enfin il y a pire, même Silvaine avait droit à sa chambre particulière.

Résultat des courses, on est diplômé avec félicitations du jury. Mauvaise nouvelle, le service militaire. Ça va être dur ! Une fois le diplôme en poche, Anna va reprendre seule ce que l’on a commencé.



La gaffe


C’est au cours de l’été qu’Anna, se croyant seule, s’est offert un bain de soleil intégral, l’ennui, c’est que La Fleur, venant s’enquérir de la bonne marche des affaires, la trouve dans le plus simple appareil, offrant son corps à Phébus. L’effet est immédiat, de sa culotte de travail surgit par en dessous un long tuyau de chair, noueux à souhait.

Réalisant l’étrangeté de la situation Anna, ne cherche même pas à se couvrir, mais fixe avec intérêt cet hommage à sa beauté.

Constatant le manque de réaction négative, La Fleur s’approche et se mettant à genoux, à l’entrée du capharnaüm, fixe cette forêt luxuriante d’une génération plus jeune que lui.



Retirant ses vêtements il apparaît dans le plus simple appareil et sans attendre plus, il s’avance, la lippe en avant, prêt à déguster cette huître prometteuse.

Il plonge sa langue avide entre les lèvres quémandeuses de tendresse et se rassasie de cette fontaine de jouvence.

La Fleur n’oublie pas de téter consciencieusement son bouton écarlate ce qui déclenche une houle de bon aloi des hanches, il n’a pas besoin de faire beaucoup de mouvement, elle vient au-devant de cette langue qui la rend folle. Après un mini orgasme, elle veut aussi goûter à ce cep noueux qui s’annonce bien goûteux. Elle attrape l’objet de sa convoitise et l’engouffre dans sa bouche, le goût est fort, il a déjà dû bien travailler ce matin, cela sent l’homme au cube. Mais lui n’a pas envie de lui donner son obole dans l’estomac, mais de la prendre comme une femelle. De marquer sa possession en enfonçant profond son sceptre.



Sans attendre, il place son sexe noueux à l’entrée de la grotte des délices et d’un mouvement lent et puissant, il s’introduit dans ce sanctuaire de stupre. C’est bon, la chair jeune. Rapidement, elle prend l’ascenseur pour le 7e ciel, ce qui ne réduit pas son ardeur à piocher cette terre juvénile, après un violent orgasme, elle commence à fatiguer de recevoir ces coups de boutoir puissants.



Il se met sur le dos et la laisse galoper à sa guise. Petit à petit chez lui aussi la pression monte quand il voit cette poitrine faire des allers et retours de haut en bas et ils partent ensemble dans une explosion de plaisir.

Se retrouvant les deux, les uns à côté de l’autre, elle ne peut s’empêcher de caresser ce cep veineux à souhait et ne résistant pas, elle l’embouche, le suce, le pompe et réussit à lui redonner forme.



Juste avant que les mandibules rendent l’âme, elle reçoit sa récompense et La Fleur lui arrose les amygdales copieusement.



Le lendemain et les suivants, rebelote jusqu’au retour d’Alain et Bertrand, bien décidé à fructifier Anna.

C’est à ce moment qu’Anna propose un truc complètement dingue. Un gang bang familial, elle veut que toute la fratrie y passe, comme cela, on ne saura pas qui est le père, donc ce sera Alain.



Évidemment, La Fleur a évité tout quiproquo et les trois aînés, une fois la tâche exécutée, ont pu repartir à leurs occupations. Un sujet cependant taquine Alain, doit-il donner suite à la possibilité de promotion dans l’armée, de remettre une couche de six mois, puis à nouveau une demi-année plus tard pour passer officier, etc. Il en parle avec La Fleur :



Suite à la visite des trois aînés, effectivement Anna a renvoyé pour une petite année les troupes anglaises. Son ventre s’arrondit gentiment et le beau-père est aux petits soins ainsi que sa belle-mère et Silvaine, Alain a obtenu une perm de 5 jours pour autant qu’il confirme son engagement pour l’école de caporal. Il sait que l’amour de sa vie sera bien entouré.



On monte en grade.


Comme il est plus qu’à l’aise avec les chevaux, il en a profité encore pour perfectionner ses connaissances en étant partiellement détaché à l’officier vétérinaire. C’est un complément gratuit et tout à fait de qualité, sans parler de l’adjudant qui lui apprend le dressage et la monte de compétition.

Quand il reçoit sa patrouille, pour instruction, voilà pas qu’il tombe sur son frère, là, il va d’entrée voir le capitaine et lui demande de le mettre dans un autre groupe, comme cela c’est plus juste.



Avant de partir en manœuvre, j’ai reçu un coup de téléphone que Anna était à l’hôpital pour accoucher. Avec Bertrand, on a eu trois jours de perm, pour aller féliciter la maman et voir le bébé.

C’est un très beau garçon qui me ressemble autant qu’aux autres. On l’a déclaré à l’état civil, La Fleur précisant qu’il valait mieux attendre qu’il choisisse lui-même sa religion, comme il l’avait fait pour nous, il reçut le prénom de François remettant en route la production pour la mère patrie.


C’est vers la fin de l’école de recrue qu’Anna est venue nous rendre visite avec le bébé. Bertrand eut aussi un petit congé pour voir sa belle-sœur et son neveu. On a eu droit à une nuit un peu agitée et là, Bertrand s’est laissé aller en disant qu’il faut battre le fer quand il est chaud. Effectivement pour la deuxième fois Anna tomba enceinte.





Notes de fin de page :

Panosse : Mot de patois vaudois signifiant la serpillière ou par dérision le drapeau suisse lors des cours de répétition militaire < ; -

Rutilant Sans circonflexe < ; -

Le flux est une grandeur extensive souvent scalaire (tenseur d’ordre 0), effectivement après mon tenseur était bien à 0 < ; -

Perm = permission < ; -