n° 20429 | Fiche technique | 22106 caractères | 22106Temps de lecture estimé : 13 mn | 16/08/21 |
Résumé: L’accomplissement d’un fantasme peut-être à la fois délicat et bestial. | ||||
Critères: fhhh extracon fête fsoumise hdomine humilié(e) facial fellation pénétratio double gangbang champagne confession -totalsexe | ||||
Auteur : Mistral Envoi mini-message |
C’était une belle journée du mois de septembre 2018, il faisait beau et une petite fraîcheur agréable égayait le fond de l’air.
Je m’appelle Zohra, je venais d’avoir quarante ans, mais avais toujours autant de succès avec les hommes. De taille moyenne, j’étais blonde avec de jolis yeux malicieux et une bouche que les hommes qualifiaient de sexy. Plutôt ronde, ma taille était fine, mais mes jambes étaient galbées. J’avais un cul de Méditerranéenne, de magnifiques seins ronds et lourds, et surtout, mon regard dévastateur avait un léger strabisme qui laissait souvent croire aux hommes que je disais oui avant même qu’ils ne me le demandent.
Quelques années auparavant, j’avais rencontré un homme, Philippe, avec qui j’avais eu une relation plutôt basée sur le sexe, nous nourrissions bien sûr quelques sentiments, mais aimions surtout nous retrouver dans un lit. Il était plutôt expert dans le toucher… Bref, revenons-en à notre sujet ! Un jour, je lui avais avoué mon grand phantasme : « être pour un court moment l’objet sexuel de deux ou plusieurs hommes ».
Un soir, en sa compagnie, cela avait bien failli se réaliser, mais le feeling n’y était pas avec le second garçon, il n’avait alors pas insisté et nous en étions restés là.
J’avais par la suite rencontré quelqu’un avec qui j’avais eu envie de construire quelque chose. Avec Philippe, nous nous revîmes quelques fois : pour un déjeuner, un café, et des appels pour nos anniversaires respectifs… rien de vraiment érotique, même si cette relation platonique était pleine de sous-entendus sous-jacents.
Ah, oui, une chose importante, Philippe avait un grand talent de narrateur, nous passions des heures au téléphone lors desquelles il me racontait, ou plutôt où il me mettait en scène dans des situations extrêmement cochonnes et excitantes : il était courant que je jouisse au beau milieu de ses histoires…
Ce Philippe en question m’appela au bureau une fin d’après-midi, j’allais partir et, contre toute attente, il m’invita à une sorte d’apéro. Une journée merdique… mon mari était en déplacement et comme cela faisait des années que je n’avais pas vu mon pote, contre toute attente aussi, j’acceptai. Il y eut même un petit blanc tant il était surpris.
Il me donna une adresse de rendez-vous. Une fois rentrée, je pris un bon bain et me fis belle… je faisais peut-être une erreur, mais restai campée sur ma décision. Je ne saurais définir pourquoi, mais une fois maquillée, je restai devant la penderie et mon choix de vêtements se porta sur une tenue des plus sexy : une petite robe noire munie d’un décolleté vertigineux, une paire de hauts escarpins rouges, et des dessous plutôt olé olé composés d’une paire de bas noirs, d’un sublime string de même couleur en dentelle et d’un soutien-gorge capable d’occasionner une fracture de la rétine chez une personne non avertie. Je me tournai et me retournai devant la glace en me disant que c’était carrément dommage que personne ne profite de cette vue à faire bander un saint… Je ne me rendais malgré tout pas à ce rendez-vous pour ça, mais quelle satisfaction personnelle d’être ainsi belle et désirable !
19 h, Philippe était devant le lieu de rendez-vous. Après de chaleureuses retrouvailles et quelques compliments bien appuyés concernant le côté sexy de ma tenue, il m’invita à le suivre en me précisant que l’apéro avait lieu dans une jolie villa sur la corniche pas très loin… Et effectivement, une poignée de minutes plus tard, nous nous retrouvâmes devant un portail plutôt cossu.
À l’intérieur, l’on me présenta une dizaine de personnes… son ami, Christophe, était aussi présent.
Philippe me prit par le bras et nous continuâmes à faire le tour des invités.
Une quinzaine de personnes, dont deux couples, tout le monde était un peu coincé, à part Philippe et son copain Christophe avec qui je me retrouvai finalement pour boire une coupe de champagne. Après quelques minutes, Philippe me donna une excuse bidon pour me planter avec son copain, heureusement de bonne compagnie.
Nous parlâmes de tout et de rien, de Philippe, de lui, de leurs conquêtes, et un peu de moi. Il avait beaucoup d’humour. Il ne manquait pas malgré tout de me reluquer discrètement et, par provoc, je l’aguichais un peu… c’était bon de se sentir désirée par un garçon séduisant qui me faisait rire, quand, rompant tout à coup avec le fil de notre conversation, il approcha doucement sa bouche de mon oreille, l’effleurant presque de ses lèvres…
Je restai bouche bée, le souffle totalement coupé. Il venait de se reculer et je compris qu’il attendait réellement une réponse à son regard et son mouvement de sourcils… j’aurai pu le traiter de tous les noms et piquer une colère biblique pour un tel manque de respect, mais restai là sans un mot… Pire, peut-être était-ce dû aux deux verres de champagne, à la musique enivrante, ou à sa franchise et à son petit sourire en coin, mais un frisson naquit du creux de mes reins et me parcourut le dos.
Même en y réfléchissant aujourd’hui, je ne comprends pas ce qui me prit, mais je m’étais avancée pour, tout comme il venait de le faire, effleurer son oreille de mes lèvres et lui répondre dans un murmure…
Je me reculai et le regardai dans les yeux, il eut un petit sourire en coin et acquiesça de la tête, humant l’air comme enivré par le parfum de mon souffle. Il leva son verre en ma direction et me dit :
Puis il partit vers des amis en me donnant discrètement une tape sur les fesses, qui eut presque pour effet de me faire jouir sur-le-champ…
Le temps de retrouver mes esprits dans une autre coupe de champagne, mes pensées tournaient en rond et revenaient inlassablement à la même chose : voilà vingt minutes que j’étais plantée là à attendre je ne sais quoi, il fallait très vite que je rentre, car je commençais à sentir la grosse bêtise arriver. J’avais comme un étau dans la poitrine… ce mec m’avait mis le feu avant de disparaître !
Bon, allez, j’allais retrouver Philippe, dire au revoir et rentrerai prendre une bonne douche pour me rafraîchir les idées…
Alors que je le cherchais dans cette immense maison, j’étais prête à perdre patience en poussant une porte au premier étage me menant dans une pièce meublée d’un somptueux canapé de cuir marron à l’anglaise dans lequel je retrouvai Christophe, assis avec une flûte de champagne à la main. À ses côtés, un prénommé Franck qu’il me présenta, et debout à côté d’eux, mon Philippe, lui aussi une coupe à la main…
Il se dirigea lentement vers moi et me tendit la main, paume vers le haut, comme une invitation…
Attention, ma fille, si tu lui prends la main, tu sais très bien comment tout ça se finira, me dis-je. Il me demanda du regard de prendre ma décision, j’eus un mouvement de recul et tournai légèrement la tête vers la poignée de la porte. Je pouvais dire non, quitter cette pièce, cette maison, il me donnait le choix… mais non, ce fut plus fort que moi, mes pulsions venaient de prendre le dessus sur ma volonté, je posai ma main sur la sienne en lui lançant un regard étincelant.
Je pressentis que je pouvais lui faire confiance et que si je reculais, il serait avec moi et soutiendrait ma décision, je le suivis donc, sereine.
Il se dirigea vers le canapé et me présenta à Franck, la quarantaine très charmante, le maître de cette superbe maison.
Et Christophe, bien sûr, me fit un large sourire en me disant :
Il faisait allusion à la fin de notre conversation quelques minutes plus tôt, ce qui provoqua chez moi un petit rire discret.
Je me tenais devant le canapé, Philippe était juste derrière moi, collé à moi, les deux mains sur mes hanches qu’il caressa très lentement… C’était, je le sentais, une caresse de mise en confiance.
Son souffle balaya mon cou et il me murmura :
Il appuya un peu plus sa caresse en me collant contre lui, la musique d’ambiance était douce et enivrante, son bassin la suivait lentement…
Jetant ma tête en arrière, je lui susurrai en retour :
Je sentis son sexe grossir et durcir contre mes fesses. Christophe et Franck s’enfoncèrent dans le canapé et savourèrent le moment, le moment où j’allai lâcher prise et me donner à eux.
Je me rendis compte que je me frottai contre lui très langoureusement, au rythme de la musique, son sexe était maintenant telle une barre de fer qui roulait entre mes fesses.
Mon souffle devint court, j’avais du mal à reprendre ma respiration. Les mains de Philippe remontèrent sous mes seins, les pressèrent, les soupesèrent doucement puis, d’une caresse précise, les firent jaillir de la robe. Je sentis le feu monter en moi…
Au même moment, une caresse enveloppa mon genou, c’était Christophe, il la fit remonter lentement entre mes jambes qui se mirent à trembler et devinrent comme du coton. Une fois à la lisière de mes bas, il sourit.
Philippe savait comment me toucher et il s’occupa de ma poitrine comme un dieu. Christophe, quant à lui, n’avait pas encore atteint mon string qu’il rencontrait déjà mon plaisir ruisselant qui s’échappait abondamment de ma chatte en feu. Lorsque sa main arriva à mon sexe et le pressa, je jouis pour la première fois de la soirée et perdis le contrôle. Tournant la tête vers Philippe, je lui attrapai la bouche et l’embrassai comme un animal en lui disant :
Il me rendit mon baiser avec encore plus de fougue et appuya lourdement sur mes épaules afin que je m’agenouille, et je me retrouvai devant Christophe, toujours enfoncé dans le canapé… C’est alors que je m’aperçus qu’il avait ouvert son pantalon et qu’il exhibait un magnifique sexe bandé à tout rompre. Je me jetai dessus et entrepris de le sucer et le lécher goulûment.
Il m’attrapa par la tignasse pour me relever la tête. Son visage était à quelques centimètres de moi, j’avais le goût de sa bite dans ma bouche qui était ouverte avec ma langue à moitié sortie…
Il s’assura d’une meilleure prise dans ma tignasse.
Je m’exécutai et il enfonça sa queue. Lorsque son gland heurta le fond de ma gorge, il entama un va-et-vient du bassin en me maintenant fermement la tête… Il me défonça littéralement la bouche et je me mis à gémir tout en ondulant du cul, ça me rendit folle de plaisir… ce qui ne passa pas inaperçu aux yeux de Philippe.
Alors que j’étais à genoux, les deux mains posées sur les cuisses de Christophe, Philippe releva ma robe et appuya du plat de la main sur mes reins. Instinctivement, je me cambrai et écartai les jambes au maximum, lui offrant généreusement ma croupe.
D’un doigt il écarta mon string et enfonça sa queue d’un coup sec dans ma chatte, elle vint taper au fond de mon vagin, m’arrachant un râle de plaisir étouffé par la bite de Christophe.
Il ne se fit pas attendre, me tenant par les hanches, il me martela de grands coups bien profonds et bien appuyés avec sa grosse queue, et chaque coup enfonçait un peu plus le sexe de son ami dans ma bouche. Je venais de jouir deux ou trois fois d’affilée lorsque Christophe, me tenant toujours par les cheveux, me remonta la tête. J’étais haletante et à la recherche de mon souffle.
Il me regarda dans les yeux :
Je me tournai vers Philippe qui me baisait toujours avec fougue.
Il me mit une grande claque sur les fesses et redoubla d’efforts… Il me démonta.
Christophe me lâcha les cheveux et c’est moi qui, toute seule, me mis à avaler les queues, car Franck s’étant rapproché, j’avais dès lors deux belles bites à portée de langue.
Philippe fatiguait un peu et relâchait la cadence, Christophe, quant à lui, m’attrapa par les épaules, me retourna, et m’attira vers lui…
J’en avais en fait tellement envie depuis notre petite conversation que je jouis à la seconde où sa queue me pénétra.
Il releva un peu mes cuisses et démarra un rodéo extrêmement puissant, je jetai ma tête en arrière dans le creux de son cou et me laissai aller pendant que sa grosse queue tapait bien au fond de ma chatte.
Quand il ralentit, je sentis une caresse humide entre mes cuisses, me relevant un peu, je m’aperçus que c’était Franck qui me léchait la chatte pendant que Christophe me la baisait. J’en eus le souffle coupé… Franck me léchait le clito alors que la base du sexe de son ami s’enfonçait en moi. Oui, Franck se délectait de tout le jus qui s’écoulait de nos deux sexes en feu, j’étais comme folle tellement cela m’excitait.
Par plaisir, je dandinai tant du cul que la bite de Christophe fut expulsée, elle vint gifler la joue de Franck qui s’en empara et se mit à la sucer alors qu’elle ruisselait de ma jouissance… Mes yeux étaient rivés sur la scène. Philippe me sourit et me fit un clin d’œil, puis il me prit la main pour la poser sur la tête de son pote.
J’attrapai alors Franck par les cheveux en me mordant les lèvres, et enfonçai sa tête sur la queue de son ami pour le forcer à se faire à son tour baiser la bouche, il émit un râle de plaisir provoquant en moi une si intense jouissance que je faillis tomber du canapé.
Christophe me rattrapa et renfonça sa grosse queue dans ma chatte qui dégoulinait comme jamais.
Je posai mes mains sur ses cuisses et je m’empilai avec rythme. Philippe s’approcha de moi et me prit par les cheveux, et comme une bonne chienne, j’ouvris la bouche pour qu’il y loge sa bite…, puis il la ressortit et me tapota le visage, je tirai la langue qu’il gifla avec sa queue.
Philippe posa alors sa belle bite entre mes seins qu’il resserra de ses mains, entamant cette divine cravate de notaire, je baissai la tête au maximum pour que son gland finisse dans ma bouche à chaque va-et-vient.
Christophe, toujours bien logé au chaud passa ses mains sous mes cuisses et les souleva pour les ramener vers lui, je compris tout de suite en voyant le sourire de Philippe, cette position offrait mon sexe déjà occupé à sa bite.
Il me releva plus encore les jambes, frotta sa queue contre celle de son ami et, en appuyant, entra tout doucement en moi en me disant :
Et ma chatte déjà remplie accueillit cette deuxième bite. Ils commencèrent lentement leurs va-et-vient, au début en rythme, puis ils accélérèrent et se mirent à entrer et sortir chacun à leurs tours. Ils m’explosèrent la chatte ! j’écartai au maximum mes jambes et orientai mon bassin pour leur permettre de pénétrer le plus profondément possible en moi. Attrapant Philippe par le cou, je le suppliai :
Frank était passé derrière le canapé dont il enjamba le dossier, il me tira la tête en arrière et me planta sa queue bien à fond entre les lèvres, j’étais remplie de toute part et devins une machine à jouir…
Je ne saurais dire combien de fois j’ai joui, mais ce fut pantelante que je me retrouvai à genoux pour sucer à tour de rôle mes trois beaux mâles, m’encerclant, debout autour de moi. Le premier à jouir fut Franck… il arrosa mes seins d’une belle giclée, puis ce fut le tour de Philippe qui, d’un jet chaud et puissant, explosa sur mon front. Me mordillant les lèvres d’impatience de recevoir le jus de Christophe, je me tournai vers lui… il se branlait en me fixant du regard.
Il prit une grande inspiration et m’attrapa les cheveux…
J’hésitai… Il pressa sa queue pour se retenir…
Ces quelques mots firent remonter la chaleur entre mes cuisses, j’ouvris grand la bouche et sortis ma langue comme une chienne docile. Il jouit dans un grand râle : le premier jet, puissant et chaud, explosa sur le haut de mon visage et me maquilla de sperme ; le deuxième atteignit sur la commissure de mes lèvres et finit dans ma bouche. Dans de grands soubresauts en resserrant sa prise dans ma tignasse, sa main et ses jambes étaient prises de tremblement au fur et à mesure qu’il se vidait en longs jets bouillants.
Philippe qui avait continué de se branler, trop excité qu’il fût par la scène, s’approcha et éjacula une deuxième fois sur mon visage, je le finis aussi en le suçant bien à fond.
Il y avait une salle de bain accolé au bureau, cette douche fut la meilleure de ma vie ! À la sortie, seul Philippe m’attendait. Il regarda sa montre.
Un fou rire nous prit quelques secondes. Il me ramena à la voiture et me laissa m’envoler à jamais en me déposant un doux baiser sur le front.